Chapitre 1 : Il était une fois...
Voilà une fic qui met venu en lisant celle de Kaori_2 requien pour les Enfers. Ça n'a pas grand chose à voir sauf que c'est du fantastique. Donc j'hésite à la mettre soit dans lemon, soit dans le Journal des Mondes. On verra bien.
Il était une fois une jeune femme d'une beauté tout à fait remarquable. Une de ces femmes que l'on ne voit que dans les magasines, magnifiques car retouchées de façon acharnée à l'ordinateur. Cette jeune femme avait aussi bien une beauté physique qu'une beauté du coeur. Elle était tout pour un homme. Elle représentait la vie pour cet homme, son seul moyen de survie.
Ils étaient donc un couple qui s'aimait sans se l'être dit et qui travaillait ensemble. Ils s'entendaient à merveilles quand il s'agissait de travail mais beaucoup moins quand il s'agissait d'autre chose.
« mais tu vas te réveiller à la fin????? » hurla kaori
Elle était au bord du lit de son partenaire qui ronflait gaiement la tête posée sur son traversin. Kaori souleva vivement les draps et remarqua que Ryô ne portait sur lui que.... en fait il ne portait rien du tout. Elle se mit de nouveau à hurler pour une autre raison que précédemment et sortit une de ses innombrables massues pour obsédés notoires. Elle encastra Ryô contre le sol en lui ayant préalablement fait traverser son lit.
Elle quitta la chambre d'un pas pressé et nerveux. Elle claqua fortement la porte avant de descendre en grommelant vers la cuisine.
Ryô regarda bêtement devant lui.
« Il ne doit pas y avoir de travail aujourd'hui.... » lança-t-il en se grattant la tête. Il se leva et alla prendre sa douche.
Il descendit quelques minutes plus tard et sentit une bonne odeur venant de la cuisine. Il était midi passée et lui comme un noceur, il avait fait la fête une bonne partie de la nuit, dépensant l'argent qu'il n'avait pas. Il ouvrit discrètement la porte de la cuisine pour ne pas se faire violemment attraper par Kaori mais la scène qu'il vit le foudroya sur place. Kaori était là, juste devant lui, les mains appuyées contre le lavabo. Elle avait la tête baissée et il entendait des petits bruits comme des sanglots. Et là, il sut tout de suite qu'elle pleurait. Même s'il se faisait passé pour un mec indifférent, il n'arrivait pas à rester insensible à ça. Il se doutait bien du pourquoi de ces larmes.
Il quitta doucement la cuisine et fit plein de bruit pour que sa partenaire l'entende. Il n'avait pas envie de parler avec elle. D'ailleurs les discussions sérieuses ce n'était pas son fort loin de là. kaori essuya les larmes du revers de sa manche et posa les plats sur la table. Ryô s'assit en faisant semblant de ne pas voir les yeux rougis de sa partenaire. Pourtant il les voyait. Son coeur les voyait et il se serrait comme à chaque fois où il la surprenait à être triste.
Kaori ne parla pas au cours du repas. Elle se contenta de manger un peu et de débarrasser la table. Elle servit le café dans le salon et derrière son journal, Ryô la fixa intensément. Il n'avait pas encore remarqué mais Kaori était très pâle et elle avait maigri. Pourquoi s'en était-il pas rendu compte avant?
Elle était sa partenaire, sa Kaori et elle allait mal. Si seulement ça ne touchait que les sentiments, il aurait pu jouer les autruches et se cacher la tête sous le sable mais apparemment la santé de kaori en dépendait. Il devait alors savoir ce qui se passait une bonne fois pour toute. Se mourrait-elle d'amour?
Ryô se détestait quand il pensa à ça. Il se détestait de ne pas l'aimer comme elle le mériterait avec ferveur et passion. De ne pas être capable de lui montrer les abysses de son coeur.
Elle était là, assise sur le canapé, à portée de bras. Elle regardait les infos qui n'arrêtaient pas de répéter qu'une série de meurtre inexpliquée avait eu lieu en 15 jours. 6 femmes auraient été vidées de leur sang en pleine nuit. L'autopsie révéla qu'elles portaient toutes 4 marques au niveau du cou.
Kaori semblait comme absorbée par cette histoire. Elle tourna lentement la tête vers son partenaire.
« A ton avis? » demanda-t-elle simplement sans aucun sentiment apparent.
« Sûrement des vampires!!! » dit-il avec une mine effrayante.
Il pensait faire peur à Kaori pour la détendre un peu mais elle resta stoïque. On aurait dit une statue de verre, magnifique et extrêmement fragile. Ryô la fixa quelques instants et s'arrêta quand elle reposa ses yeux sur l'écran de la télé.
Quelques heures plus tard, Ryô alla voir Miki pour se renseigner auprès de sa partenaire.
« Tu l'as enfin remarqué Ryô. »
« Tu dois savoir ce qui lui arrive non? »
« je le sais oui et non » répondit Miki
« Comment ça oui et non? »
« Elle m'a un peu parlé. Elle m'a dit que depuis quelques temps elle faisait de drôles de rêves aussi beaux qu'effrayant. »
« Et ils parlent de quoi ses rêves? »
« D'un homme qui l'appelle sans cesse. Elle marche en direction de cette voix mais rien, personne. Elle baisse la tête et en dessous il y a un gouffre d'où elle entend des gens hurler à la mort. »
« mais qu'est-ce que c'est que ce rêve débile? » lança-t-il en l'air
« Ce n'est pas débile! Elle se réveille quasiment toutes les nuits depuis 15 jours. Elle ne mange presque plus et pleure souvent et toi tu trouves ça débile? »
« pardon » dit-il d'une voix éteinte
« Moi à ta place j'essaierais de savoir pourquoi elle fait ce genre de rêve. »
Ryô quitta le café et marcha pendant une heure en ville. Il réfléchissait. Il essayait de comprendre le sens profond des rêves de Kaori. Il voulait savoir ce que voulait lui dire son inconscient. Puis soudain, la réponse fut claire pour lui. Les gens qui hurlent, cette voix grave: ça représentait son univers. La mort, les pleures, la tristesse c'était le monde de City Hunter et kaori était en plein centre de cette histoire. Elle marchait parmi les cadavres sans jamais atteindre la voix grave, celle de Ryô, sans réussir à atteindre l'homme et ses sentiments.
C'était les conclusions de Ryô et deux réponses s'imposaient: soit tout lui avouer, soit la quitter. La deuxième solution n'était pas envisageable.
Voilà une fic qui met venu en lisant celle de Kaori_2 requien pour les Enfers. Ça n'a pas grand chose à voir sauf que c'est du fantastique. Donc j'hésite à la mettre soit dans lemon, soit dans le Journal des Mondes. On verra bien.
Il était une fois une jeune femme d'une beauté tout à fait remarquable. Une de ces femmes que l'on ne voit que dans les magasines, magnifiques car retouchées de façon acharnée à l'ordinateur. Cette jeune femme avait aussi bien une beauté physique qu'une beauté du coeur. Elle était tout pour un homme. Elle représentait la vie pour cet homme, son seul moyen de survie.
Ils étaient donc un couple qui s'aimait sans se l'être dit et qui travaillait ensemble. Ils s'entendaient à merveilles quand il s'agissait de travail mais beaucoup moins quand il s'agissait d'autre chose.
« mais tu vas te réveiller à la fin????? » hurla kaori
Elle était au bord du lit de son partenaire qui ronflait gaiement la tête posée sur son traversin. Kaori souleva vivement les draps et remarqua que Ryô ne portait sur lui que.... en fait il ne portait rien du tout. Elle se mit de nouveau à hurler pour une autre raison que précédemment et sortit une de ses innombrables massues pour obsédés notoires. Elle encastra Ryô contre le sol en lui ayant préalablement fait traverser son lit.
Elle quitta la chambre d'un pas pressé et nerveux. Elle claqua fortement la porte avant de descendre en grommelant vers la cuisine.
Ryô regarda bêtement devant lui.
« Il ne doit pas y avoir de travail aujourd'hui.... » lança-t-il en se grattant la tête. Il se leva et alla prendre sa douche.
Il descendit quelques minutes plus tard et sentit une bonne odeur venant de la cuisine. Il était midi passée et lui comme un noceur, il avait fait la fête une bonne partie de la nuit, dépensant l'argent qu'il n'avait pas. Il ouvrit discrètement la porte de la cuisine pour ne pas se faire violemment attraper par Kaori mais la scène qu'il vit le foudroya sur place. Kaori était là, juste devant lui, les mains appuyées contre le lavabo. Elle avait la tête baissée et il entendait des petits bruits comme des sanglots. Et là, il sut tout de suite qu'elle pleurait. Même s'il se faisait passé pour un mec indifférent, il n'arrivait pas à rester insensible à ça. Il se doutait bien du pourquoi de ces larmes.
Il quitta doucement la cuisine et fit plein de bruit pour que sa partenaire l'entende. Il n'avait pas envie de parler avec elle. D'ailleurs les discussions sérieuses ce n'était pas son fort loin de là. kaori essuya les larmes du revers de sa manche et posa les plats sur la table. Ryô s'assit en faisant semblant de ne pas voir les yeux rougis de sa partenaire. Pourtant il les voyait. Son coeur les voyait et il se serrait comme à chaque fois où il la surprenait à être triste.
Kaori ne parla pas au cours du repas. Elle se contenta de manger un peu et de débarrasser la table. Elle servit le café dans le salon et derrière son journal, Ryô la fixa intensément. Il n'avait pas encore remarqué mais Kaori était très pâle et elle avait maigri. Pourquoi s'en était-il pas rendu compte avant?
Elle était sa partenaire, sa Kaori et elle allait mal. Si seulement ça ne touchait que les sentiments, il aurait pu jouer les autruches et se cacher la tête sous le sable mais apparemment la santé de kaori en dépendait. Il devait alors savoir ce qui se passait une bonne fois pour toute. Se mourrait-elle d'amour?
Ryô se détestait quand il pensa à ça. Il se détestait de ne pas l'aimer comme elle le mériterait avec ferveur et passion. De ne pas être capable de lui montrer les abysses de son coeur.
Elle était là, assise sur le canapé, à portée de bras. Elle regardait les infos qui n'arrêtaient pas de répéter qu'une série de meurtre inexpliquée avait eu lieu en 15 jours. 6 femmes auraient été vidées de leur sang en pleine nuit. L'autopsie révéla qu'elles portaient toutes 4 marques au niveau du cou.
Kaori semblait comme absorbée par cette histoire. Elle tourna lentement la tête vers son partenaire.
« A ton avis? » demanda-t-elle simplement sans aucun sentiment apparent.
« Sûrement des vampires!!! » dit-il avec une mine effrayante.
Il pensait faire peur à Kaori pour la détendre un peu mais elle resta stoïque. On aurait dit une statue de verre, magnifique et extrêmement fragile. Ryô la fixa quelques instants et s'arrêta quand elle reposa ses yeux sur l'écran de la télé.
Quelques heures plus tard, Ryô alla voir Miki pour se renseigner auprès de sa partenaire.
« Tu l'as enfin remarqué Ryô. »
« Tu dois savoir ce qui lui arrive non? »
« je le sais oui et non » répondit Miki
« Comment ça oui et non? »
« Elle m'a un peu parlé. Elle m'a dit que depuis quelques temps elle faisait de drôles de rêves aussi beaux qu'effrayant. »
« Et ils parlent de quoi ses rêves? »
« D'un homme qui l'appelle sans cesse. Elle marche en direction de cette voix mais rien, personne. Elle baisse la tête et en dessous il y a un gouffre d'où elle entend des gens hurler à la mort. »
« mais qu'est-ce que c'est que ce rêve débile? » lança-t-il en l'air
« Ce n'est pas débile! Elle se réveille quasiment toutes les nuits depuis 15 jours. Elle ne mange presque plus et pleure souvent et toi tu trouves ça débile? »
« pardon » dit-il d'une voix éteinte
« Moi à ta place j'essaierais de savoir pourquoi elle fait ce genre de rêve. »
Ryô quitta le café et marcha pendant une heure en ville. Il réfléchissait. Il essayait de comprendre le sens profond des rêves de Kaori. Il voulait savoir ce que voulait lui dire son inconscient. Puis soudain, la réponse fut claire pour lui. Les gens qui hurlent, cette voix grave: ça représentait son univers. La mort, les pleures, la tristesse c'était le monde de City Hunter et kaori était en plein centre de cette histoire. Elle marchait parmi les cadavres sans jamais atteindre la voix grave, celle de Ryô, sans réussir à atteindre l'homme et ses sentiments.
C'était les conclusions de Ryô et deux réponses s'imposaient: soit tout lui avouer, soit la quitter. La deuxième solution n'était pas envisageable.
