Je me couchais dans un arbre, sur une branche assez haute pour attendre que le jour se lève et quand il arriva, je vis ma mère sortir du puits. Elle sortis une bicyclette d'un buisson et s'en alla. Je la suivit discrètement en la suivant d'arbre en arbre. Elle s'Arrêta près d'un arbre, c'était l'arbre Goshiboku et regarda en haut. Mon père y était.
-Inu Yasha descend.
-Pourtant hier, tu ne voulais plus me voir
-Inu Yasha...
Ma mère avait l'air autoritaire alors qu'avec moi, elle ne l'était que quand je posais trop de questions. Mon père ne bougea pas.
-O-suwari !
Moi aussi, je veux faire ça, je lui ferais payer d'être comme il est.
Il tomba directement la face dans le sol.
-Inuko, a disparut.
Elle avait l'air tellement inquiète, je regrettais de rester caché ici.
-Elle n'est pas ici, je l'ai renvoyé chez elle hier.
-Parce que tu pense qu'il suffit d'ordonner quelque chose à une adolescente pour qu'elle obéisse... Qu'est ce que tu lui as dit ?
-Rien... Elle à deviner que j'étais son père. Elle doit avoir compris plusieurs chose, elle à vite fait le lien avec tes histoires pour enfants et moi. Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée.
Elle s'assit à coté de lui.
-Elle est dans l'âge où l'on se prépare à devenir adulte. Ce qu'elle fait aujourd'hui qui déterminera ce qu'elle sera plus tard.
-Et alors.
-Elle cherche à savoir qui elle est. On aurait dû tout lui dire auparavant.
-Tu n'avais qu'à lui dire, c'est ta fille !
-C'est la tienne aussi.
J'en avais assez entendu, j'avais apparemment un père qui ne désirait pas me connaître.
-Qu'est ce que tu fais là ?
-Le pervers !
Depuis quand était-il là ? Je glissa, il m'attrapa. J'entendit ma mère crier mon nom.
-Merci...
-Appelle-moi Shippo, hier c'était un malentendu.
-je l'interprétais comme je veux.
-Tu as vraiment le caractère de ton père
Il rit
-C'est faux !
Je descendit de l'Arbre en atterrissant derrière ma mère.
-Je t'avais dit qu'il ne fallait pas t'inquiéter.
-Maman, viens, on rentre. Je préfère pas connaître mon père que d'avoir quelqu'un comme lui.
-Inuko...
Je partis en avant. Inu Yasha sauta devant moi. Kagomé nous regardait. Moi et mon père nous nous fixions dans les yeux.
-Tu veux vraiment savoir ce que tu es?
-Je crois que j'ai déjà tout compris. Comment peut-tu aimer quelqu'un comme ça, maman?
Je partit sans attendre ma réponse.
-Inu Yasha descend.
-Pourtant hier, tu ne voulais plus me voir
-Inu Yasha...
Ma mère avait l'air autoritaire alors qu'avec moi, elle ne l'était que quand je posais trop de questions. Mon père ne bougea pas.
-O-suwari !
Moi aussi, je veux faire ça, je lui ferais payer d'être comme il est.
Il tomba directement la face dans le sol.
-Inuko, a disparut.
Elle avait l'air tellement inquiète, je regrettais de rester caché ici.
-Elle n'est pas ici, je l'ai renvoyé chez elle hier.
-Parce que tu pense qu'il suffit d'ordonner quelque chose à une adolescente pour qu'elle obéisse... Qu'est ce que tu lui as dit ?
-Rien... Elle à deviner que j'étais son père. Elle doit avoir compris plusieurs chose, elle à vite fait le lien avec tes histoires pour enfants et moi. Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée.
Elle s'assit à coté de lui.
-Elle est dans l'âge où l'on se prépare à devenir adulte. Ce qu'elle fait aujourd'hui qui déterminera ce qu'elle sera plus tard.
-Et alors.
-Elle cherche à savoir qui elle est. On aurait dû tout lui dire auparavant.
-Tu n'avais qu'à lui dire, c'est ta fille !
-C'est la tienne aussi.
J'en avais assez entendu, j'avais apparemment un père qui ne désirait pas me connaître.
-Qu'est ce que tu fais là ?
-Le pervers !
Depuis quand était-il là ? Je glissa, il m'attrapa. J'entendit ma mère crier mon nom.
-Merci...
-Appelle-moi Shippo, hier c'était un malentendu.
-je l'interprétais comme je veux.
-Tu as vraiment le caractère de ton père
Il rit
-C'est faux !
Je descendit de l'Arbre en atterrissant derrière ma mère.
-Je t'avais dit qu'il ne fallait pas t'inquiéter.
-Maman, viens, on rentre. Je préfère pas connaître mon père que d'avoir quelqu'un comme lui.
-Inuko...
Je partis en avant. Inu Yasha sauta devant moi. Kagomé nous regardait. Moi et mon père nous nous fixions dans les yeux.
-Tu veux vraiment savoir ce que tu es?
-Je crois que j'ai déjà tout compris. Comment peut-tu aimer quelqu'un comme ça, maman?
Je partit sans attendre ma réponse.