Salut ! Voilà le troisième et dernier chapitre je le crains, enfin me suis bien marrée quand même à l'écrire ce fic. D'ailleurs j'ai commencé une Traduction sur Nirvana, d'un auteur anglophone (il m'a pas encore répondu sur sa nationalité exacte), donc si ça vous intéresse, allez y jeter un coup d'œil !
Donc ça c'était pour la pub, j'imagine que maintenant je dois faire des excuses… *part fouiller dans son armoire et reviens avec un gilet pare balles*. Je tiens à m'excuser pour l'attente ô combien interminable que vous avez subi pour accéder à ce chapitre, même les queue (pas de billard cette fois ci) à Disneyland ou au Futuroscope sont moins éprouvantes, car tout le monde sait que cette fic est géniale et que tout le monde en est fan, donc la populace -en l'occurrence vous- en a é-nor-mé-ment souffert. *lance un regard circulaire avec un sourire à la Lockhart*
Enfin soyez rassurées, du moins pour celles qui lisent uniquement cette fic, « Effets secondaires » (mon autre fic en cours) ça fait au moins 3 mois et demie que je l'ai pas continué. Vous voyez, j'ai fais pire ! (Pour celles qui suivent les deux euh… Promotion exceptionnelle ! Une sandale offerte par mois de patience !)
En attendant, j'ai fait l'acquisition de trois petits chats qui se baladent sur l'écran, c'est marrant le premier quart d'heure mais ça commence à me gonfler, pourtant j'ai pas envie de les enlever. Moi compliquée ? Mais qu'est ce que vous croyez ? Ça vous étonne peut être !
Chapitre 3 (et dernier)
J'ouvre les yeux. Tout noir. Ké passa ? Ah oui c'est vrai, Potter. Quoique, je crois que l'appeler Harry serai aussi bien, voire mieux, enfin ce n'est que mon avis. Pourquoi je me suis réveillé au fait ? Cette nuit est parfaite, Po… Harry et moi avons passé des moments on ne peut plus satisfaisants et… Oh non c'est pas vrai ! Argh ! On s'est dit le truc le plus gnangnan du monde !
Aïe.
Je viens de tomber du billard. Qu'est ce qui m'a pris de faire ça sur un billard ! Je dois vraiment être dérangé. Ecouter et suivre les soit disant conseils de Dumbledore, qui en fait n'étaient qu'une couverture pour permette à Potter… Harry ! De me violer ! Moui c'est plutôt le contraire certes mais bon, vous m'avez compris. Nan mais vraiment ! Je suis définitivement perdu et en plus, j'ai dit que je l'aimais ! Pas que je le nie mais quand même, ça ne se fait pas ! Je suis la honte de ma famille !
Je suis resté par terre. Dans la famille perturbés j'appelle le blond… Je me relève avec toute la grâce possible qu'on peut avoir en étant à poil, mordu, griffé, suçonné et j'en passe, et regarde la raison de mes actuelles tribulations. Ô vision excitante. Harry, (j'ai réussi !) paisiblement endormi, étalé sur une table de billard (dont la moquette, après mûres réflexions, n'est pas si moelleuse que ça), au quart recouvert d'une mince couverture. Pour vous décrire, cette couverture de mes couilles cache les siennes, recouvre entièrement son ventre plat et ses jambes.
Je m'approche de lui, lui caresse doucement le torse et profite de la situation pour descendre la couverture. Il fait trop chaud, qu'on me laisse au moins voir son torse dans toute sa splendeur (ndla : lerdamer, ou je fais un malheur) ! Nom. De. Dieu. Je vais aller sur le balcon moi, quelqu'un serai capable de m'accuser de viol.
Je déniche mon pantalon quelque part par terre et vais sur le balcon pour retrouver avec délice les joies nocives de la cigarette. On n'a pas fermé la fenêtre cette nuit, heureusement d'ailleurs, avec la chaleur qui régnait… Je m'assieds sur le muret, les pieds dans le vide. La fenêtre d'une maison de l'autre côté de la rue s'éclaire, et une femme d'une quarantaine d'années apparaît. Elle m'aperçois et me jette un regard courroucé. Ben quoi ? On a plus le droit d'être assis sur le balcon de son amant maintenant ? Peut être que c'est la cigarette qui la perturbe, ou le fait que je sois torse nu ? Ils sont vraiment débiles ces moldus. Elle est encore l ! Mais qu'est ce qu'elle a !
-Ne t'occupe pas d'elle, c'est une vraie mégère.
Des bras musclés et biens connus m'entourent, mon catogan est jeté sur mon torse et des lèvres me picorent la nuque.
-Qu'est ce qui la dérange à ton avis ? Je demande à mon amant, le fait que je sois à cette place ou le fait que son mari n'ait pas mon corps.
-Elle nous a vu, dit il simplement.
-Comment ça ? Quand !
Là je commence à m'inquiéter un chouya. Et lui entame une partie caresses qui, je le sens, ne va pas me laisser indifférent au bout du compte.
-Eh bien… au début, après le départ de Ron et Hermione. Elle est tout de suite partie quand tu m'as amené sur le billard, mais à la… troisième fois…
-Tu veux dire que cette vieille peau a joué les voyeuses !!
Je le sens sourire dans mon cou alors que ses mains descendent vers mes cuisses.
-Exactement, susurre-t il.
Je penche ma tête en arrière quand ses mains entrent dans mon pantalon.
-Pourquoi tu ne l'as pas dis ? Pourquoi n'as-tu rien fait ? Je murmure.
Ça devait arriver, ce gars a la mauvaise habitude d'enflammer mes sens.
-Je trouve ça… diablement excitant, dit il en me titillant l'oreille et en taquinant mon érection naissante.
L'image d'une quadragénaire devant sa fenêtre, pop corn sur les genoux, profitant du spectacle, apparaît à mon esprit.
-Harry ?
Je le sens sourire.
-Oui ?
-Dis moi qu'elle ne mangeait pas de pop corn.
Il éclate d'un petit rire.
-Elle n'en avait pas…
Je soupire de soulagement.
-C'était des chips.
Je me redresse vivement.
-QUOI ?!
Il est mort de rire mais me tient fermement, c'est mignon de voir qu'il ne veut pas me perdre. Je jette un coup d'œil vers la charmante voisine de mon amant. Elle a l'air absolument dégoûtée de nous voir ensemble, Harry les mains dans mon futal. Futal en question qui devient trop serré à la longue.
-C'que tu peux être crédule quand même, me dit mon beau brun qui a plus ou moins retrouvé son souffle, comme si j'allais m'attarder à regarder ce que bouffe ma chère voisine pendant que je suis occupé avec toi.
Et il reprend ses caresses…
-Je ne savais pas que tu avais un tatouage, murmure-t-il après quelques temps en traçant du doigt des petits cercles sur ma clavicule. J'y jette un regard et aperçois une gargouille qui semble ronronner de plaisir sous la caresse de mon amant.
-Je crois que tu étais trop occupé hier soir pour l'apercevoir, dis-je en fermant les yeux, et puis de toute façon elle est timide, elle a du aller se cacher hier soir.
Harry émet un petit rire.
-Je ne t'imaginais pas une gargouille.
-Ah ? Et qu'est ce que tu m'attribuais alors ?
-Je ne sais pas… Peut être un nundu ou un kelpy.*
-Comme c'est joyeux, dis je sarcastiquement.
Il pouffe.
-En fait un jarvey t'irais très bien.
Je grogne. Il éclate d'un rire cristallin, m'embrasse le cou et glisse une main dans mon pantalon, taquinant mes testicules et faisant de lents mouvements de va et vient, et l'autre sur mon torse, titillant mes boutons de chair, depuis longtemps durcis sous le plaisir. A cela s'ajoute sa langue, chaude et sensuelle, qui s'aventure dans ma gorge. Je ferme les yeux de plaisir, et replace ma tête sur son épaule. Ce type est vraiment doué. Je tourne ma tête pour l'encastrer dans son cou.
-J'ai envie de toi, dis je dans un murmure.
Il sourit et arrête ses caresses. Je grogne (encore). Il m'entoure alors fermement de ses bras et me tire un peu en arrière.
-Hé tu fais quoi ?
-Laisses toi faire.
J'obéis et regarde autour de moi, attendant les agissements de mon amant. Mon regard croise celui de la vieille d'en face. Elle n'est pas encore partie celle l ! Je lui lance le regard de la mort, et entend un discret sort d'allègement. Là-dessus, Harry me prend et m'emmène à l'intérieur, une main en dessous de mes genoux, et l'autre dans mon dos. Moi aussi j'aurai pu le faire.
Il me dépose sur le billard. Je proteste !
-Ah nan ! Je refuse de le refaire ici ! Avec la vieille perverse doublée d'une voyeuse qui nous scrute continuellement l !
Il me fait une moue boudeuse et se retourne. Non non non non ! Résiste Draco ! Trouve un autre endroit ! Une ampoule apparaît soudain au dessus de ma tête à l'air angélique.
-Par contre… je prends un sourire vicieux, j'ai besoin d'une petite douche, dis je d'un air innocent.
Mon ex gryffondor préféré me rejoint dans mon délire pervers et m'embarque direction la salle de bain.
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Jeuh suis plus grand que lui ! Jeuh suis plus grand que lui ! Jeuh suis plus grand que lui !
Et pour l'instant c'est moi qui me prends toute l'eau sur la gueule.
Ça fait à peine cinq minutes qu'on est sous la douche et on est déjà en pleine action. Il faut avouer qu'il ma magnifiquement chauffé sur le balcon et que je suis en pleine forme. Harry m'en fait encore voir de toutes les couleurs, il a vraiment un don pour ça, il sait parfaitement où mettre ses mains et quoi faire avec pour me faire réagir. Ça m'énerve d'ailleurs. Mais moi aussi j'ai ma botte secrète. J'ai bien remarqué cette nuit qu'il est sensible aux hanches, plus qu'à d'autres endroits du corps. Je fais un petit sourire victorieux pendant qu'il tremble et gémit sous la caresse que lui procurent mes pouces à cet endroit si sensible.
Je glisse mon genou droit entre les siens qui s'écartent doucement à cette approche. Remontant la jambe, il place une des siennes sur mon bassin tandis que ma main glisse vers son bas ventre. Il lève vers moi un regard assombri par le désir quand mes doigts se referment sur sa virilité qui est, il faut l'avouer, de taille. Le taquinant sur toute sa longueur, mon autre main se glisse un peu plus loin pour le préparer, je déteste que mes amants souffrent quand je leur fait l'amour. Quand ils sont vierge c'est inévitable, mais je m'applique à les traiter de la meilleure des manières. Mais là, même si je n'ai pas le privilège de l'initier, (ce qui me frustre mais à un point) c'est Lui, celui à qui j'ai dit les mots qui m'ont condamnés. Douce condamnation il faut l'avouer, je n'aurai pas rêvé mieux en vérité, mais je lui ai dit que je l'aimais et, si je ne regrette pas le moins du monde, je dois en assurer pleinement ce qui en ressort.
Règle n°1 : Etre un amant d'excellence. Je sens que ça va me plaire…
Il me mordille le cou, signalant qu'il se sent prêt, je le plaque doucement contre le mur et il place son autre jambe sur mes hanches. Je le pénètre doucement, lui laissant le temps de s'habituer encore une fois à ma présence, et suis un peu surpris quand il m'impose quasiment tout de suite un mouvement de reins qui nous fait gémir tout les deux. Il remet ça, m'arrachant, à son plus grand plaisir, de nouveaux gémissements et je le rejoins dans son rythme appuyé.
Tout en nous réclame l'assouvissement du désir. Je le sens se cambrer dans un énième coup de reins, caressant mon torse brûlant au passage, pour revenir vers mon visage et m'embrasser avec une énergie brutale qui enflamme mes sens dans un supplice intense. Ses bras, qui jusque là s'enroulaient autour de mon cou, commencent à descendre lentement, caressant chaque millimètre de peau qu'il leur est possible d'atteindre, et ses mains se placent finalement sur mes fesses qu'il taquine amoureusement, augmentant encore plus mon désir pour lui, ce que je n'aurais cru possible.
Je m'insinue profondément en lui et admire son visage alors qu'il rejette la tête en arrière et se libère entre nos deux corps dans un long râle d'extase et qu'il me soupire encore une fois ces trois mots. Superbe. Je me libère à mon tour et me déverse en lui alors qu'il m'embrasse fiévreusement, me dévorant la bouche comme si il avait peur de me perdre. Vraiment adorable.
Vraiment Horrible. Et avec un H majuscule. Je deviens sentimentaliste. Je cours à ma perte.
On sort de la douche une heure plus tard, il va avoir une note d'eau plutôt salée. Il me conduit jusqu'à sa chambre, tout les deux portant pour unique vêtement une serviette nouée autour de la taille, je m'assieds sur son lit et l'admire pendant qu'il me cherche des fringues plus ou moins convenables. Pas question de remettre les vêtements de la veille. En même temps j'avais pas prévu de rester toute la nuit, remarque je ne regrette pas le moins du monde…
Il fouille toujours dans sa penderie. Smoking moldu, robe sorcière de soirée verte et argent (bizarre… lapsus révélateur ?), tenues de combats, jeans quatre fois trop larges (ndla : on appelle ça des baggys ignare), chemise Hawaïenne, blouson à franges, débardeur rose fluo… Maman…
Il me sort finalement un jean d'allure simple, un peu trop simple en fait, il me faut de la classe à moi, je secoue donc la tête en signe de dénégation. Il lève ses yeux ô combien magnifiques vers le plafond et replonge dans la penderie pour me sortir un cuir assez tentant –sûrement du simili. Je tends la main et il m'envoie le vêtement sûr la tête. Aucune raison de s'énerver.
Il manque quelque chose. Je me redresse, laissant « involontairement » tomber la serviette à mes pieds et croise son regard très appréciateur. Il me sourit gaiement et je lui jette le regard le plus froid possible, sans grand succès malheureusement. J'arrive cependant à énoncer un mot.
« Boxer »
Il me jette un regard renfrogné et ne bouge pas.
« Boxer Potter ! »
Là j'ai droit au regard courroucé, et je me rend compte de ma gaffe.
« Harryyyyyyyyyyyy ! »
5… 4… 3… 2… 1…
HEY ! Normalement ça marche à tous les coups le « Harryyyyyyyyyyyy » avec un regard implorant, et là il me fait un sourire horriblement pervers et il ne bouge pas d'un pouce. Bon ben je suis bon pour me le trouver tout seul ce boxer.
Je me lance à la recherche de l'endroit où il range ses précieux sous-vêtements en sentant son regard délicieusement brûlant parcourir tout mon corps, étant donné que j'ai renoncé à garder la serviette qui passait plus de temps en chute libre que sur mes hanches qui, rappelons-le, sont superbement fines et parfaitement formées.
Une fois l'objet de mes désirs –qui pour une fois n'était pas un brun aux yeux verts- trouvé, j'enfile le pantalon –qui en fait est en cuir de dragon de qualité- et cherche l'approbation d'Harry d'un regard. Le Harry en question qui se passe la langue sur les lèvres d'un air affamé. Je tourne sur moi-même et entend un bruit de déglutition difficile, qui m'arrache un sourire satisfait. Mon cher en tendre me tend d'une main tremblante une chemise blanche complètement froissée. Je lui lance un regard courroucé.
-C'est fait exprès, tu va voir, ça rend très bien.
J'enfile ladite chemise face à lui, attachant un à un et avec une lenteur extrême –ça va de soi- tout les boutons jusqu'au dernier que je laisse lâche. Harry s'approche de moi et m'entoure la taille de ses bras avant de m'embrasser comme jamais.
-Je t'aime, me susurre-t-il à l'oreille avant d'en mordiller le lobe.
-Oh mais moi aussi, lui dis je en lui enserrant la taille.
Quel tableau –pitoyablement gnangnan- on doit présenter. Moi entièrement –et avec classe- habillé, et lui, la taille a peine cachée d'une serviette éponge. Nous deux face à face, enlacés, énamourés. Pathétique.
-C'est vrai ? Geint il d'une voix de gamine.
-Oui. Je soupire d'exaspération.
-Je veux en être sûr.
Ça ne sent pas bon. Ça sent le piège en fait.
-Qu'est ce qu'il faut que je fasse pour te le prouver alors ?
Il sourit d'un air sadique, envolé la pucelle effarouchée d'il y a 12 secondes.
-Tu pourrais descendre à l'épicerie du coin ?
-Dis moi que c'est pour des capotes, je râle.
-Non non pas vraiment non. En fait j'ai plus d'échalotes et j'ai la flemme.
(Ndla : je sais, c'est pas bien d'effacer la capote mais je me plais à croire que les sorciers ne sont pas touchés par ces maladies, à quoi sert la magie sinon ?)
Je savais qu'il y avait un piège, maintenant je n'ai plus qu'à me mêler à la populace pour aller acheter –à des moldus qui plus est- des échalotes. Je suis au summum de ma honte personnelle. Je pousse un énorme soupir, il me tire la langue et je sors de la pièce d'un pas exaspéré pour revenir deux secondes plus tard, encore plus énervé.
-J'imagine qu'il faut les acheter, lui dis je avec une certaine animosité, il tourne calmement son regard vers moi et cligne des yeux d'une manière débile.
-Judicieuse perspicacité Draco, me dit il en appuyant bien sur mon prénom, mon portefeuille est sur le bar et l'épicerie au coin de la rue, à tout à l'heure !
En disant cela il me pousse hors de la chambre et me ferme la porte au nez. Je me drape dans toute la dignité qui me reste, prends le portefeuille et sors dans la rue pour entamer ma grande quête des échalotes.
**/**/**/**
-J'ai déjà fait une quête avant.
-Quel genre de quête ?
-J'ai du chercher dans tout le village les poules de mon grand père qui s'étaient enfuies !
**/**/**/** (Ndla : désolée, un délire made in Naheulbeuk)
ET MERDEUH !!! Justement c'est le mot, je lance toute une série de jurons en pleine rue, ces moldus n'ont vraiment aucune éducation, et ça reparaît sur leurs chiens ! Je récite du coin des lèvres une formule de nettoyage rapide et cirage express dirigé sur ma chaussure (droite en plus !) et continue ma route jusqu'à l'épicerie des mes cauchemars. Je m'acharne sur la porte vitrée qui refuse de s'ouvrir, pourtant l'épicerie est ouverte, il y a des gens dedans ! Mes yeux se posent sur le montant droit de la porte, où un petit écriteau « Poussez » me nargue. Avec toute la dignité qui me reste je pousse ce montant honni et entre, majestueux, dans l'épicerie. Vue de dehors, la file d'attente ne me paraissait pas aussi éprouvante, mais c'est bien une dizaine de petites commères en pleine crise de ménopause qui patientent dans un calme assez relatif de passer à la caisse. Réprimant une grimace de dégoût je me dirige posément vers le rayon des échalotes. Il n'en reste plus qu'un lot, j'ai de la chance. Je tends la main et la referme sur de l'air.
Je regarde où est passé le lot d'échalote, cause de tous mes malheurs depuis quelques minutes, et vois la charmaaaaaaaaaaante voisine de mon gryffondor. Je vais réclamer mon dû avec tact et doigté.
-Excusez moi madame, au risque d'abuser, pourriez vous, je vous prie, avoir l'amabilité, sans vouloir vous offusquer, de me remettre ce lot d'échalotes, en évitant de faire un scandale, ou je t'éclate la tronche.
Elle écarquille les yeux et laisse tomber les échalotes. Je me baisse et la remercie poliment.
-Vous êtes un monstre ! C'est contre nature ! Me chuchote-t-elle alors que je me retourne vers l'avant du magasin.
-Peut être bien… Mais en attendant, si j'étais une femme, je ne serais pas vieille fille.
Elle pâlît à vue d'œil.
-Et puis, ça n'avait pas l'air de vous gêner tout à l'heure, en tout cas vous vous êtes bien remise.
Elle tourne les talons, visiblement en colère. Tact et doigté son mes armes… (gniark gniark gniark)
Dix minutes plus tard, je suis de retour dans l'appart de mon petit brun, appartement bizarrement silencieux je trouve. Personne ni dans la cuisine, ni dans le salon, aucun bruit devant de la salle de bains. J'ouvre la porte de la chambre et tombe sur le spectacle le plus attendrissant que j'ai jamais vu :
Il s'est endormi, la tête sur ma chemise de la veille.
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*Pour les personnes qui n'ont pas lu « Les animaux fantastiques » (si il en reste) :
-Un kelpy est un démon des eaux qui peut prendre différentes forme, il embarque ses victime au fond de l'eau et laisse remonter leur entrailles ect… rien d'exceptionnel.
-Un nundu c'est un léopard géant dont le souffle provoque des maladies qui peuvent transformer des villages en charnier bien organisé, une bestiole hyper difficile à maîtriser. Oh et, accessoirement, la bébête considérée comme la plus dangereuse du monde.
-Un jarvey, c'est un gros furet qui lance des insultes à tout va, c'est déjà plus intéressant.
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ÇA Y EST !!!! Je l'ai finie ! Bon, la fin ne me plait pas vraiment mais c'est pas grave, enfin vous dites hein si elle ne vous plaît pas non plus, je la changerais ! (mais ça risque de prendre un peu de temps)
Chronique de quelques trucs que j'ai emprunté par ci par l :
Le délire sur Naheulbeuk, c'est une saga MP3 que je vous conseille vivement ! Disponible sur c'est absolument hilarant ! Immanquable ! Incontournable ! (et j'exagère pas pour une fois)
La charmante réplique pleine de tact de Draco, c'est dans le tome 3 de la BD Trolls de Troy, l'original étant « Bonjour Monsieur, auriez vous s'il vous plaît je vous prie l'amabilité de bien vouloir, sans vous déranger, nous indiquer le plus court chemin pour le volcan Salaston, avec le moins de mer possible, sans vouloir abuser, ou je t'éclate la tronche ».
Réponses aux rewiews :
Yami Aku : (ce bordel pour retrouver les rewiews du vrai chapitre 2 ! houloulou !) Bah merci beaucoup pour tout tes compliments hein ! ça fait vraiment plaisir ! J'espère que ce chapitre t'a autant plu ! (Bon la fin tu seras pardonnée si ce n'est pas le cas)
Flore : MDR !!!! Je suis explosée quand je lis ta rewiew ! Bé c'est le dernier chapitre, j'avais prévenu que c'était une fic courte !
YunaFab : Ahlala ! Que de compliments !! Ihihihi ! J'espère que tu es contente de ce chapitre !
Diane23 et sa conscience qui m'éclate vraiment trop : Je vais être responsable de ton orgie de crumble aux pommes si j'ai bien compris ! Lol ! J'espère que tu le passes bientôt ce cap du lemon !! C'est pas si dur en fait, une fois qu'on l'a passé évidemment, mais j'ai encore du mal avec les relations hétéro…
Angy : PARTOUUUUUSEEEEEEE !!!! lol ! si tu voulais garder ce projet secret c'est raté ma ptite Angy ! Pis le chapitre 10, c'est loin d'être fini, je vais tout remanier pour faire une fin sombre.
Eldwina : Oui enfin non, pour tout te dire je suis quasi-incapable de taper correctement dans une boule. Je ne suis pas encore très habile avec une queue, manque d'entraînement je pense… mdr ! en tout cas merci beaucoup !
Kitty : Heureuse que tu aies apprécié alors ! Je souhaite que cette fin t'ai plu aussi !
Laurie : et voilà le 3ème ! Chaud chaud chaud devant je pourrais dire ! lol !
Blaise le poussin masqu : Ton pseudo me fait délirer, ça fait poussin vengeur ! mdr ! bah j'espère bien vous voir morts de rire devant mes chapitres ! C'est un peu le but, même dans une fic que je veux sérieuse ça part en live de toute façon, je peux pas renier ma nature… Merci beaucoup pour tes rewiews !
Miya Black : oui, surtout Urumi je pense, pasque ce quèque de Jonat, je lui dédie une fic et il ne va même pas la lire, il aura pas de câlin cet ét ! na ! J'espère que la suite te plaît autant !
Tarahiriel : je te l'ai jamais cach ! lol !
Akashana : j'espère que tu penses la même chose de ce chapitre !
Celinette : aaaaah !!!! ça fait trop plaisiiiiir !! je suis trop fan !!! mdr ! fais pas attention ! lol ! et toi faut essayer d'écrire un lemon ! Pour quand le choixpeau s'en mêle ça serai trop bien !
Vinea K.S Malfoy : et moi je te réponds euh… Tagazok ! Signification du GROAR ?
Urumi : oui, Hermione et Ron, no comment, enfin, ils sont un peu comme ça dans les livres aussi, mais là, j'avais envie, histoire de faire ressortir les 2 protagonistes !
Iannis : IANNIIIIIIIIS !!! Bon, tu va encore me traiter de perverse au lycée toi, je le sens bien, mais je revendique ! Pis Dumbledore/McGo, nan pas vraiment nan, quoique y aurai un bon travail de détails avec la barbe… mais nan ! ça me tente pas plus que ça tu vois.
Dédy : bah c'est évident ! il lui a murmuré « je t'aime », rien de plus ! Pis pour les phrases à double sens bah merci ! je suis passée maître en la matière !!! lol !
Ivrian : iiiiiiiiiiiiiiii !!! je suis encore faaaaaaaan !!!!! ahlala ! y a que des auteurs que j'aime ici !!! *complètement hystérique* le voilà le chapitreuh !
Hermimi : Ah oui ! Comment as-tu fais ! lol ! passer à côté de ma fic ! Inadmissible ! lol ! nan je t'en veux pas ! tant qu'elle te plaît !
Ah oui ! Annonce de dernière minute, lundi dernier, en cours de physique, le prof a dessiné une forme au tableau qui a tout de suite attiré mon attention (qui a dit perverse ?), il s'agissait en réalité d'un quille… c'était pas du tout ressemblant mais ça a éveillé quelque chose en moi ! lol ! Juste après, il a dessiné un gros truc plus ou moins rond, représentant une boule, comme je suis extrêmement attentive en physique, j'ai pas remarqué. Mais voilà qu'il dit bien fort « La boule vient frapper la quille » réalisant ses paroles, j'explose de rire et pense à cette fic. Ça vous dirait un Lucius/Severus sur ce sujet ?
