Titre : Au delà des yeux

Auteur : Moi, Saria! (3)

Genre : Drame

Disclaimer : Aucun personnage de m'appartiens pour le moments

En résumer : Que fait Harry après la mort de son parrain et de Remus?

Mot de l'auteur : La suite de ma fic Les Yeux de La Mort! Ce ne sera pas exactement comme mon autre fanfiction, mais ça sera la suite, mais ça sera narrateur!

Ceux qui ont le cœur sensible, aller chercher votre meilleur ami la boite de kleenex! J'en ai eut besoin, mais mon ami, la boite de kleenex, a rendu l'âme!

Chapitre 9

La douleur de l'âme

Harry descendit l'escalier du Square, la même escalier ou Kretur s'était fracasser le crane. Il n'y avait personne dans la maison, Harry sorti et s'en alla a Poudlard. A peine était t'il entrer dans le parc de l'école, qu'une fille se jeta a son cou.

-Harry !! Oh Harry ! je suis tellement désoler! Sanglota Hermione.

-Désoler pourquoi ? Demanda Harry sans comprendre.

-Tu. . . ne sais pas ? Demanda Hermione en se reculant un peu.

-Savoir quoi ?

-Chez toi. . . Drago et Ron était aller chez toi pour faire un devoirs avec Sirius et Remus. . . mais il y a eut une explosion. . . des mangemorts. . . sont tous morts ! J'étais venu demander a Dumbledore de tes nouvelles et je retournais chez les Wealsey. . . pour consoler Molly. . . Je suis tellement désoler. . .

Harry ragea et donna un coup de pied en l'air. Hermione, dont le visage reluisait de larmes, enfuit son visage entre ses mains. Harry s'approcha d'elle et lui attrapa les poignets, pour pouvoir la voir.

-Qui d'autre devait être dans la maison ? Demanda t'il.

-Toi ! Se lamenta Hermione.

-Juste moi ?

-Oui. . . qui d'autre voulait tu qui sois dans la maison ?

-D'autres. . .

Le visage d'Harry se crispa, une foule de souvenirs se bousculait dans sa tête. Il avait été élever par Sirius et Remus. Ces parents étaient morts, Harry était le survivant. Il avait accepter l'amitié de Draco qui était a Gryffondor. Tout ces souvenirs était comme l'une des fois ou il était revenu. Mais dans sa tête, aucun souvenirs du voile et de Bellatrix ne vint le tourmenter. Kreatur n'y était plus, donc Harry n'était jamais aller au ministère de la magie, mais toutefois, Voldemort avait trouver une nouvelle façon de le tourmenter, en tuant quatre de ses amis, quatre êtres qui lui tenait a cœurs. En y pensant, Harry revit le visage de Ron, son ami, son précieux ami et il tomba a genou, frappant le sol de ses poings. Il n'arrêtait pas de frapper le sol, pour Ron, pour faire sortir sa douleur. Puis il pensa a Draco, son ami qu'il connaissait dans ces souvenirs et ces coups devinrent moins violents. Puis, comme un film, il vit Remus, l'aidant, l'écoutant, comme un grand frère, ses coups redoublèrent. Son grand frère le loup garou, son grand l'homme sensible. Puis, un dernier visage s'interposa devant les yeux d'Harry, Sirius. Sirius l'aidant, le protégeant, les coups d'Harry diminuent mais ces sanglots remonta en pente. Sirius jeune, seul et triste. Sirius a 16ans, malade, blanc et faible. Sirius bousculer par sa mère. Sirius, sirius. . . Sirius chantant, Sirius joyeux, Sirius déprimer. . . Seulement Sirius. Sa voix étouffer, il ne dit rien, il ne faisait que pleurer, frapper le sol et se torturer l'esprits avec les images de ces amis.

Hermione se jeta a genou devant Harry et le serra contre lui. Harry se laissant faire pleura tout son être dans les bras de sa douche amie qui pleurant la perte de son meilleur ami, comprenait la peine que pouvait ressentir Harry. Elle le berça doucement, comme l'aurait fait Lily. Elle lui tapota le dos doucement, comme une mère. Elle lui chuchota que tout n'était pas finit, qu'elle était la encore, elle. Douce Hermione, calme Hermione. La boule qui formait les sanglots d'Harry l'empêchait de lui répondre. Sa peine lui donnait mal a la tête, au front et au temples, ce mal d'avoir trop pleurer, un mal atroce a supporter, ce mal qui nous fait tout oublier pendant plusieurs jours. Harry se laissant faire, bercer dans les bras d'Hermione, son cœur ralentis, son souffle s'apaisa, ses sanglots se calmèrent, mais ces larmes ne cessa pas d'inonder le visage meurtris du survivant. Sans que Harry ne l'ait vu, Dumbledore arriva et il aida Hermione a relever Harry et de l'emmener a l'infirmerie ou ils couchèrent Harry qui se retournant une fois, s'endormit.

Harry rêva du début de son été chez Potter's Manoir. Il rêva de cette grande maison dans laquelle son père habitait, rêva de Sirius qui arrivait, sourire au lèvres, oubliant sa vie et son passer. Lorsque Harry ouvrit les yeux, le soleil peignait la pièce de jaune et d'orange, une douce lumière que Harry aimait tant. Et dans cette lumière, il laissa libre cour a son esprit de penser que peut-être, tout ce qu'il avait vécut n'était qu'un rêve, un horrible mensonge de son subconscient. Il se leva doucement, lentement, comme paralyser. Il pris une grande respiration, sans pouvoir la prendre au complet, ces sanglots presque éteint lui coupa son souffle. Sur une chaise, près de son lit d'infirmerie, un habit noir, un complet qu'on met a des funérailles, semblait l' attende. Harry s'habilla, sans se presser. Puis réfléchissant a se qui l'attendait, se remis a pleurer.

-Pourquoi fallait t'ils qu'ils meurt ?

Puis, les sanglot s'hier revenu, Harry fut pris de haut le cœur et du se rendre au toilette, les même ou Sirius avait vomit plus jeune, pour y vomir aussi, toutes ces larmes, toute sa peine, tout son désespoirs. Une fois calmer, Harry se releva, lentement, tremblant, blanc comme la neige. Il se secoua mentalement et sortis de l'infirmerie, pris le chemin de la grande salle et y trouva, les Weasley, Hermione, les professeurs de l'école et Dumbledore. Harry avança lentement et pris place a coter d'Hermione. Il ne mangea toutefois rien, tout comme Hermione et bons nombres de personnes assis a cette table. Ils se levèrent tous vers la porte, dehors les attendait quatre limousine. Une pour la famille Weasley, une pour la famille de Draco du quelle ne vienne qu'une personne. Une pour les amis et l'autre pour les professeurs. Ils partirent tous ensembles, vers une église ou leur cérémonie funèbre serais célébrer. Leur corps, trouver en morceaux ne fut pas exposer, mais brûler, donc a l'avant, quatre cercueils vide, possédant les reste de leur corps et une photos, a l'intérieur comme a l'extérieur, pour rappeler leur visage, pour rappeler leur souvenirs qu'on aimerais tant oublier. Le prête, triste de voir tant de mort, fut attrister par les messages d'adieux, dit par presque tout le monde. Ginny monta sur le petit palier, triste elle aussi. Elle se dirigea vers le micro, s'éclaircit la gorge puis dit, d'une voix étrangler, ses adieux, a son frère par dessus tout.

-En un poème, qui s'avère a être plutôt une penser, une réflexion je dirais mes adieux, ces ainsi que j'ai voulu lui rendre hommage. . .

Tu as fuit la vie, Ron

Aujourd'hui, ce sont tes funérailles . . .

et c'est à ce moment que

je saurai totalement que tout cela est vrai.

Que plus jamais

je ne pourrai te parler,

me disputer avec toi,

te prendre dans mes bras...

Pourquoi fallait t'il

Que tout se termine

Si tôt, trop tôt pour moi

J'ai voulu crier ma rage

Lorsque j'ai sut ta mort

On ai venu me déranger dans ma joie

Simplement pour dire que tu était parti

Vers un monde meilleur

Que tu était en train de passer un bon moment

Avant que tu ne ferme les yeux

sur ta vie et que prenne

la fuite ou je ne peut le suivre

On ma dit quelque mots

qui me hanterons toujours

Qui me détruira chaque fois

Qu'ils résonnerons dans ma tête

Ta vie se terminais

pourquoi fallait t'il que

tout ce termine ?

tout sera fini, après aujourd'hui

Tout sera a jamais fini pour toi

Je ne te verrais plus. . .Tout est fini

À jamais.

Il faudra que je me rappelle toujours, que je me ressaisisse. . . Mais cette voix résonnera toujours en moi « Ginny, Ron est mort » !

Ginny éclata en sanglots, puis lentement, calmement, elle descendit du palier pour aller pleurer dans les bras de sa mère. Harry se leva, sans qu'on ne le demande, il pris la place de Ginny, un sanglot dans sa gorge, l'empêcha de parler, puis reprenant un peu le dessus sur lui, il s'éclaircit la gorge.

-Perdre un être cher c'est énormément dur, mais en perdre, ce l'est encore plus, pas seulement pour moi, qui les connaissait tous très bien, mais pour tout le monde, pour nous tous et pour toute la terre. On ne devrais jamais passer a coter de quelqu'un qui meurt, même si c'est un inconnu. Et moi qui a la chance de leur témoigner mon amour, mon amitié un après l'autre, je le fais sans gêne, sachant que vous aller m'écouter, approuver, désapprouver, pleurer, sourire, peu m'importe, tant que vous m'écouter. Draco était un ami, un ami fidèle qui a sut prouver plusieurs fois sa valeur, il me manquera toujours, de son ironie a sa gentille et de sa crainte a sa méchanceté, sans toutefois être méchant. Ron était pour moi, mon plus grand ami, un frère, un confident. Il me manquera, lui aussi, toujours. Ron laissera une marque en moi, un manque, un vide, un trou noir. Cet ami perdu est pour moi, l'un des pires du quel je souffre. Ron, mon confident, mon ami perdu, je le laisserais partir en paix, sans le retenir, pour nous voir souffrir de sa perte. Remus était pour moi, un ami, un souvenir vivant qui chaque jour me rappelais ma famille, mes parents, auxquels je n'ai pas put dire adieux, il a sut m'écouter comme m'aurais écouter mon père, il a sut me comprendre comme je l'aurais souhaiter, lui aussi, je le laisse partir en paix vers un parc ensoleiller ou il retrouver la paix de son âme.

Il fit une pause, les sanglots trop puissants l'étouffait, l'empêchait de continuer. Il essuya ces yeux embrouiller de larme et regarde les autres. Hermione pleurait, la tête enfouit dans ses mains, Molly pleurait dans les bras de son mari et Ginny pleurait dans les bras de Fred. Tous pleuraient, même Dumbledore qui ne chercha pas a sécher ces larmes. Harry pris une grand respiration et repris son discours d'adieu.

-Et Sirius. . . Il était plus qu'un parrain. Il était un père, un frère, un ami, un protecteur. . . un complice ! Il était tout ce que je n'ai pas connu. Lui que j'ai connu a la place d'un père qu'il a si bien remplacer ! Je le laisse partir aussi, même si sa vie, loin de l'ombre de la mort, se terminait par une courte destiner de chose superbe. Je sais qu'il n'aurais pas voulu mourir ainsi ! Il aurait voulu mourir en protégeant ceux qui aime, mourir en héros et pour ça, je le vengerais, je vengerais tous ceux donc nous devons dire adieu aujourd'hui ! J'ai jurer venger mes parents et je les vengerais en même temps qu'eux. Je les laissent tous partir retrouver leur âme, leur paix, leur joies, leur souvenirs d'antan. . .

La voix casser par les sanglots, Harry s'arrêta, descendit et repris sa place près d'Hermione qui sanglota près de lui. Personne d'autre ne fit d'adieu. Tout avait été dit dans les deux témoignage perçant de larmes et de sentiments de Harry et Ginny. Les cercueils fut emporter, un a un on les descendirent entre les mains du créateur, si toutefois il existe. Les petits cercueils de Ron et Draco fut descendit les premiers entre les mains de la mort, ouis doucement, lentement le cercueil du loup-garou fut descendu, rejoindre les siens, lui être de terre. Et en dernier, aussi émouvant que l'était le témoignage d'Harry, Sirius fut descendu entre les main de James qui l'attendait dans l'au delà, avec Lily, a bras ouvert. Se joignant a eux, Remus leur sourit, puis comme pour remercier Harry, Ron et Draco se présenta devant eux.

Sous une douce pluie, les amis, la famille et les professeurs retournèrent lentement a leur vie d'avant. Dumbledore emmena les Weasley, Hermione, Harry et les deux autres familles au Square. Ils s 'installèrent a la cuisine pour parler, raconter des souvenirs, pleurer, essayer de manger. Harry était incapable d'écouter, de parler ou de manger, préféra se lever, monter l'escalier, entrer dans la chambre de Sirius. Il s'assit dans un ombre de la pièce et pleura tout son mal, toute sa douleur, toute les larmes de son corps. . .

Fin du chapitre 9 ! A suivre dans le chapitre 10

Fait changement du chapitre 8 !!!