Titre : Au delà des yeux

Auteur : Moi, Saria! (3)

Genre : Drame

Disclaimer : Tous les personnage appartiennent a JKR!!!!! Sauf, Tangina, Aldry, Savannah, Mr Black, Aldria, Kayla, Mélodie, Luna et Drake! Mais les chevaux ne sont pas a moi! Shania est une jument que je monte a l'écurie ou je travail, Dragueur est un cheval que j'ai faillit prendre en demi pension et qui est super gentil ! Sinon, pas de personnages a la petite Saria qui a changer de mal !

En résumer : Que fait Harry après la mort de son parrain et de Remus? Après avoir vécut quelque temps avec les Maraudeurs, Harry revient a la brusque réaliser, après avoir fait quelque chose de grand. Tout change. . . Pour le mieux, ou pour le pire?

Mot de l'auteur : La suite de ma fic Les Yeux de La Mort! Ce ne sera pas exactement comme mon autre fanfiction, mais ça sera la suite, mais ça sera narrateur!

Chapitre 15

Épilogue

Le vent des morts

Peut-être Harry deviendrait t'il le futur Lord Voldemort ?

Cela faisait près de trois ans que tout était finit ! Plus de Voldemort qui n'a en fin de compte jamais exister pour le commun des sorciers de la terre. L'aventure de la maisons des regrets était terminer. Même si tout c'était passer sauf les pires atrocité. Le père de Sirius était mort lorsque celui ci avait 17ans. Le père de Remus était mort lorsqu'il avait 16ans. Tout ça c'était passer bien sur, mais voulant sauver la vie de ceux qu'il aime, Harry avait rendu la vie plus belle a Neville Londubat, le pauvre qui n'avait connu ces parents que enfermer dans une chambre pour personnes aux problème dans la tête, le petit Neville avait retrouver ce qu'il avait perdu, en faite, il ne l'avait jamais perdu, Bellatrix n'était pas morte, ça non, mais elle s'était enfuit très loin, voyant que rien ne faisait contre son cousin qui avait subitement guérit. Tout était redevenu joyeux, les oiseaux chantaient, les papillon se posait sans crainte sur les roses du potager de Lily Evans Potter. James jouait a un jeux débile avec ses trois meilleurs amis pendant que son fils se morfondaient tout en attendant la naissance de sa petite sœur qui déjà dans le ventre de sa mère tourmentait le commun de la famille Evans Potter.

Harry était assis sous un pommiers, il n'avait pas bouger même après les trois pommes que son père lui avait subitement fait tomber sur la tête. Le pauvre Harry pensait, se souvenait des choses qu'il avait fait avant, du comment sa vie était avant. Il était certes moins heureux, mais au moins il avait quelque chose a faire, quelque chose était poser sur lui, comme un sort, comme un collant gluant qui refuse de décoller même après trois millions de coups. Harry réfléchissait aussi a son avenir. Hermione était devenue professeur de Défense contre les forces du mal a Poudlard et par hasard, cela faisait trois ans qu'elle y était. Ron était devenu auror, avec chances bien sur, le pauvre avait quelque difficulté a rester calme et silencieux. Harry avait passer haut la main le test et était un parfait auror, comme son père, mais cela ne l'intéressait pas vraiment. Qui pouvait t'il arrêter si il n'y avait plus de méchant dans le coin de l'Angleterre ? Il y avait certes les bandits qui dévastait les pyramide en Egypte, les voleurs de Dragons en Roumanie, les mages noir en Bulgarie, mais qu'est ce que cela pouvait t'il bien changer ? A quoi sa servait d'avoir pleins d'argent, d'avoir le diplôme de Poudlard, d'avoir le diplôme d'Auror et d'avoir le pouvoir sur quasiment tout et d'être plus fort que le commun des sorciers si c'était pour rester assis a l'ombre d'un pommiers a ce faire assommer par son père ? Ca ne servait pas a grand chose, bien sur. Donc Harry commençait a se poser beaucoup de questions. Il avait bien fait de tuer Tom Elvis Jedusor, bien sur, car personne n'avait souffert depuis, sauf ce vieux Dumbledore qui avait rendu l'âme un ans après sa sortie de Poudlard. Il n'y avait plus de terrible mage noir, il y avait juste un Harry Potter, puissant avec sa cicatrice qui ne servait plus a rien sur le front. Il avait aussi un chat et était un animagus non déclarer, l'héritier de Gryffondor et fourchelang aussi, mais a quoi tout cela pouvait t'il bien servir a présent ?

Un jour, Harry avait songer a faire le con, a créer sa mort a son époque et foutre le camp a l'époque des Maraudeurs rejoindre ses amis et peut-être même Aldria. Il avait chercher a la retrouver, mais a chaque fois qu'il posait une question sur elle, les Maraudeurs changeait brusquement de sujet. Ce a quoi, Harry n'avait pas insister. Harry avait même songer a se tuer, après tout, pourquoi avoir un Harry Potter pour le laisser se faire assommer par son père ? Mais il avait renoncer, voulant goûter au bonheur qui s'offrait a lui, même si il devait avoir plusieurs bosses sur le crane dut a James Potter.

Harry avait donc décider, quand il se lèverait de l'ombre de son merveilleux pommiers, qu'il quitterait la maison familiale et qu'il changerait quelque peu de fréquentation. Et aussi, qu'il changerait tout de sa vie. Il dut donc se lever a l'heure du souper, mais pas pour changer, mais parce que il devait aller manger avec sa famille et aussi parce que une pluie de pommes s'abattaient sur sa pauvre tête. Il mangea donc avec les Marauders et sa maman enceinte de 6mois, ce qui faisait le grand bonheur de James qui fier ne cessait de répéter que c'était un garçon, même si tout le monde savait que c'était une fille qui allait s'appeler Mélodie. Harry annonça donc son départ au reste de sa famille.

-Ca non ! je ne veux pas que tu parte ! Avait dit James.

-Il a 19ans, il en a tout les droits ! Avait répliquer Sirius, protecteur dans son rôle de parrain.

Il se devait bien de protéger son filleul de l'attaque de James Potter, le fort et heureux lion.

-C'est vrai, il doit voler de ses propres ailes ! Ajouta Lily.

Bang, c'était dit, c'était fait et c'était accepter. James ne contestait jamais sa belle déesse Lily, c'était la voix de la raison pour lui. Harry fit donc ces bagages et deux jours plus tard, il partait, seul, vers l'inconnu, vers Bulgarie ou peut-être un peu d'action attendait Harry Potter. Il s'installa donc dans un petit appartement qu'il peint bleu et vert, comme ces yeux et comme les yeux de personne en faite, juste le vert de ses yeux et le bleu entre le jour et la nuit. Assis dans son salon, il observait la rue. Il s'était installer dans un cartier ou seul les sorciers habitaient. Il n'avait pas été accueillit par ces voisins qui l'avait lamentablement ignorer pour aller préparer de vilaine potion de magie noire dans la pièce au dessus de la tête d'Harry qui les entendaient rire a gorge déployer. Harry plus seul que jamais, se pris la tête entre les mains, se demandant silencieusement ce qu'il pouvait faire de sa triste vie.

Six mois avait passer depuis le déménagement soudain d'Harry. Celui ci, fier, comme a son habitude, debout dans les hautes herbes entourer d'au moins quinze sorciers préparaient une nouvelle attaques, la sixième depuis son arriver dans le monde de la magie noire. Il était a Londres, dans une clairière d'une foret, il attaqueraient Gringott. Non, Harry ne voulait pas d'argent, il ne voulait pas le pouvoir ni l'immortalité, car tout ça, il l'avait déjà. Il voulait voler le secret d'un homme, d'un être, il voulait voler le secret de Sirius Black. Il avait besoin de savoir ce qu'on refusait de lui dire. Le secret portait un nom, Aldria. Il voulait a tout prix savoir et il saurait. Par de source sur, il savait que dans le coffre, 711, le coffre de Sirius, se trouvait son journal intime, des photos et la réponses a ses questions, l'adresse d'Aldria. Il l'avait bien chercher, bien sur, mais étrangement, personne ne la connaissait, sauf, les quatre Maraudeurs.

Ses quinze adeptes marchaient devant lui, comme pour le protéger, ils étaient sur l'allée principal du chemin de traverse, se foutant très bien des sorciers et qu'il faisait jour, il s'en foutait vraiment. Ils avaient presque atteint leur but lorsque dans un Pouf sonore, les Auror arrivèrent. Harry portait une cape noir et longue, une capuche sur la tête a la façon Voldemort. Seul dans le noir de sa capuche brillaient ses yeux rouges sang dans lesquelles brillaient encore une lueur émeraudes. Sirius, James et Remus étaient en tête. Harry laissa ses adeptes s'occuper d'eux, ordonna cependant de ne tuer personne. Ses fidèles réussit a bloquer tous les aurors sauf trois qui luttaient en vain pour libérer leur coéquipier. Harry leva la main gauche vers eux et leur baguettes magiques volèrent dans la direction du nouveau mage noir, un autre mouvement, et tous trois furent a genou devant ce qui avait été si longtemps le survivant. Harry marcha lentement vers eux, sans toutefois les regarder avec mépris, il se pencha devant eux et les regarda un après l'autre avec intensité.

-Qu'avez vous tentez de faire ? Demanda Harry avec sa voix un peu trop lugubre.

-Vous arrêtez car vous alliez commettre un acte impardonnable ! Répondit Sirius avec plus d'avidité qu'il ne l'aurait voulu.

-C'est juste, mais sait tu un peu la largeur de mon pouvoir Sirius Black ? Dit Harry.

-Comment savez vous mon nom ? Demanda le Gryffondor presque au bord de la panique.

-Je sais d'avantage sur toi que ton nom ! Répondit Harry en souriant dans le pénombre de sa cape.

-Qui êtes vous ? Lui demanda le beau au cheveux ébènes.

-Tu le découvrira bien assez tôt ! Dit Harry en se relevant un peu. Dit moi une chose Sirius, et je te laisse partir, toi Remus et James sans faire d'histoire et sans plus jamais revenir troubler la paix de votre monde ! Dit moi ou habite Aldria ?

-Aldria ? Qui êtes vous pour connaître Aldria ? Demanda soudainement Remus.

-Répondez moi, n'importe le quel d'entre vous . . . et peut-être pourrais- je vous donner des nouvelle d'un nom qui vous est familier. . . Harry Potter, ça vous dit quelque chose ? Ironisa Harry.

-Quoi ? Vous avez des nouvelles de mon fils ? S'écria James.

-Répondez a ma question et peut-être j'oserais vous répondre ! Hasarda Harry.

-Elle habite le sud de Londres, dans une écurie qui loue des chevaux en pension ! Vous la trouverez sans problème. . . Répondit Remus.

Harry mis un de ses doigt sur sa propre joue, en signe de réflexion. Il attendit un moment, cherchant dans sa mémoire ou se trouvait le lieux écris. Il se gratta lentement la tête avec de se redresser de toute sa grandeur.

-Nous vous avons répondu, alors a vous de répondre a nos question ! Dit James avec arrogance.

-Je sais vos noms car Harry Potter me les a dit, je sais tout de vous, car il ma tout raconter ! Je connais Aldria d'une façon que personne n'oserais encore imaginer, et ça, je ne répondrais pas a cette question, car je crois bien sur, que ce n'est pas important ! Harry Potter est vivant, rassurez vous, en bonne santé et quelque part a se morfondre en Bulgarie ! Tant qu'a moi, je n'ai pas de nom, mais on me nomme Mage noir et peut-être quelque fois, le Mage noir Jamise ! Dit Harry en faisant un signe a ses adeptes qui disparurent tous en un clin d'œil, laissant derrière eux, les auror et les trois Maraudeurs ainsi que leur maître, Harry.

James, Sirius et Remus se relevèrent, fiers, ils observèrent Harry qui n'avait pas bouger. Puis Sirius, doucement, sortis sa baguette magique, prononça une formule et la pointa vers Harry. Un léger courant d'air traversa l'espace entre les deux hommes et la capuche d'Harry fut rejeter en arrière. Harry avait les yeux rouges, les chevaux long et noir, très long qui lui cachait parfois les yeux. Il n'avait plus ses lunettes, sa cicatrice était cacher par les mèches de cheveux rebelles, mais pourtant, aucun des Maraudeurs de le reconnut. Harry leur souris et avant que quelqu'un eut fait un geste vers lui, le mage noir avait disparut.

James se laissa tomber sur le sol, ramena lentement ses genou contre lui, sans toutefois les toucher. Il poussa un énorme soupire de soulagement. Il s'était inquiéter depuis les six derniers mois et Harry n'avait pas donner signe de vie. Sirius rejoignit son amis et tenta de le réconforter. Remus, lui, jugea qu'il ne valait pas trop se fier a la parole d'un mage noir. Quoi qu'il en sois, le mage était parti embêter Aldria et ce n'était plus leur problèmes. Ils rentrèrent a la maison des Potter ou Mélodie, Lily et Peter les attendaient. James se garda bien de raconter sa rencontre avec le mage, peut-être aurais-ce été trop dure pour la pauvre Lily qui n'avait toujours pas pris le départ subite d'Harry et son absence de nouvelle.

Harry était aller voir Aldria, elle n'avait toujours pas grandit et ce fait convaincu Harry de ne plus jamais tenter de la revoir ou quelque ce sois d'autre, ne jamais revoir son passer, car cela causerais trop de problème, songea t'il. Longtemps après sa rencontrer avec les Maraudeurs, Harry avait continuer a lancer des attaques, mais pas pour lui, mais pour ces adeptes et cela agaçait vivement les aurors qui lancèrent alors une attaque, une énorme attaque contre Harry.

C'était un 13 Octobre, l'air était froid et humide, l'hiver approchait et partout dans la ville de Londres avait des air de fête et la neige se faisait largement attendre. Harry était seul dans son château voler avec ces adeptes. Il était assis au salon, cape par terre, pieds sur un pouf a regarder le feu et a se prélasser lentement, calmement, sans rien redouter, même si au fond de lui, il sentait le danger approcher. Il le savait, il savait aussi que la nuit serait de courte durer pour lui, mais pourtant, il ne réagissait pas, ne chercher pas a contrer les attaques, il les attendait. Harry avait envoyer inutilement ces adeptes a l'autre bout de la ville et il se savait en danger. Si après ça on disait que Harry Potter n'aime pas prendre des risque, il recevrait sans doute un « avada Kedravra » dans le ventre. Finissant son verre de champagne calmement, il ne réagit pas lorsque la porte de sa maison fut sauvagement arracher, il ne réagit pas non plus lorsqu'une quinzaine d'Auror entrèrent dans son salon, et ne réagit encore moins, lorsque Sirius se planta devant lui. Harry but les dernières gorger, posa son verre sur une table, se leva et s'étira, avança calmement vers Sirius et lui donna sa baguette magique, avant de reculer de plusieurs pas.

-Alors j'attend, va s'y, fait moi tout ce que tu veux Sirius, ça n'empêchera pas mes amis de détruire l'ouest de la ville ! Dit Harry.

-Pourquoi tout détruire ? Demanda Sirius.

-Ce n'est pas moi qui décide, c'est eux qui choisisse leur attaque, moi je ne suis la que pour les épauler, choisir l'emplacement et assurer leur protection ! Répondit Harry en fixant Sirius de ses yeux rouges. Mais ça n'empêchera pas le fait que j'ai tuer Harry Potter !

-Tu. . . Tu. . . tu a tuer Harry ? Bégaya Sirius.

-Oh mais que vois-je, un soudain changement de politesse ! Je t'en pris Sirius, sois donc plus poli et recommence ta question !

-Vous avez tuer Harry !!!! Rugit alors la voix de James et Sirius, en même temps, égales, comme si chacun avait penser les mots, comptez jusqu'à trois et les crier a tut tête.

-Hélas, je l'ai détruit jusqu'à la couleur de ses yeux, il n'existe plus rien de lui sauf un enveloppe charnelle, veille, pourrie de l'intérieur. . . Marmona doucement Harry.

Dans un pop, les adeptes d'Harry transplanèrent a la recouse, et chacun se lança alors dans une batailles qui devait durer l'infini. Sirius se jeta sur Harry et se mis a la ruer de coup, oubliant la magie, et tout ce qui pouvait exister de plus fort que ces poings. Harry le laissa faire, a quoi bon l'arrêter si il avait voulu, lui même, de ses propres main, en finir avec sa vie. Sirius attrapa en deux poigner les cheveux d'Harry et lui fracassa le crane a plusieurs reprise contre le sol de pierre. Il le frappa si fort avec une telle violence que le sang chaud d'Harry se rependait. L'arrière de son crane complètement fracasser, la vie d'Harry était en train de s'enfuir. Sirius, en califourchon sur lui, n'arrêtait pas de la frapper contre le sol et soudain, comme si la magie avait décider de se dissiper, les yeux rouge sang d'Harry s'effacèrent pour laisser place a ces émeraudes. Un autre coup, Sirius était figer, encore un autre, et Sirius tassait les cheveux d 'Harry pour enfin, découvrir la cicatrice en forme d'éclair. Sirius lâcha les cheveux d 'Harry, recula, se leva et fixa Harry puis ferma les yeux empêcha l'horreur de le gagner, dans un dernier souffle, Harry murmura une dernière parole de réconfort, d'amitié. . .

-Ca va Sirius. Ne t'en veux pas, j'avais choisit de mourir. .

Les adeptes d'Harry s'était envoler comme des oiseaux a la mort de leur bien aimer maître. James rejoignit Sirius et lui donna une joyeuse tape dans le dos.

-Bien jouer ! Dit t'il en souriant.

-Non ! Répondit Sirius toujours aussi figer. C'etait Harry. .. C'est Harry!

-Harry? Non. . . C'est. . .

Mais James aussi avait vue la cicatrice et les yeux vert. Il l'avait même imaginer avec les cheveux court et lorsqu'il le reconnut enfin, il se jeta a genou. Sirius le rejoignis sans attende, marmonna des excuses sans toutefois les réussir. Mais la plus sincère des excuses, était les larmes translucides qui coulait sur les joues de Sirius Black, il avait enlever la vie de celui qu'il devait protéger. Il se leva et disparut dans la nuit d'Octobre.

Personne ne le revit avant les funérailles, trois jours plus tard. Il restait légèrement en retrait, écoutait les hommages sans pour autant retenir ces larmes. James l'avait vu, mais ne l'avait pas rejoint. Lily était désespérer et cela fendait le cœurs de plusieurs personnes. Lorsque le cercueil de Harry fut emmener dans le cimetière, Sirius restait toujours en retrait, mais d'autre couleur éclairait le ciel tout jeune du matin. Du bleu, du mauve, du rose, de blanc, du jaune, toute les couleur des aurore boréal. Aldria et Drake parcourait le ciel et offrait un magnifique spectacle. Sirius n'eut pas le courage d'assister au reste de la cérémonie et préféra rester seul dans le cimetière froid, alors que tout le monde rentrait manger, se réchauffer et réconforter leur cœur triste, gros et débordant de tristesse.

Sirius avança lentement vers la pierre tombale d'Harry, s'assit lentement, tranquillement, le cœur en peine. Il attendit que son cœur se calme. Le ciel s'assombrissait, un vent chaud souffla sur Sirius et une douce voix murmura, comme un ami, comme une étincelle de bonheur :

-« Trouve en toi ce petit nid chaud et calme, loin des tourmentes de la nuit et des pleurs, rappelle toi des songes et de tes souvenirs et plus jamais tu n'oubliera qui je suis, mais avant tout, qui tu est. . . »

Le cœur encore plus triste, Sirius ne se laissa pas abattre, il marmonna au vent, comme si il était son ami, le vent avait cesser, il était comme suspendu, en attente d'une réponse :

-J'ai fermer les yeux sur la nuit, pour ne plus voir ta douleur, pour ne plus entendre tes cris d'agonie, pour ne plus souffrir avec toi! Je ne t'ai pas vu t'enfuir vers un endroit trop étroit pour moi, quand j'ai ouvert les yeux, tes beaux yeux sombres étaient parti vers un infini plus intense, vers un univers plus joyeux, plus craintif peut-être. Tu a quitter mes bras, mes songes, ma tête, mes yeux et ma chaleur, tout en même temps, sans dire adieux une dernière fois. Et je t'en ai étrangement voulut. J'ai demander mille fois, pourquoi tu m'avais abandonner et chaque fois je recevais une claque froide du vent. Tu avait dit aimer la vie et la terre, mais pourquoi, après tout ce que j'ai put faire pour toi, j'ai enfin réussit a te tuer, en même temps que ma vie, ma joie et tout ce qui me rendais heureux. J'ai réussit a te tuer avec la force du désespoir, tout en priant quelqu'un de m'en empêcher, moi qui t'aimais tendrement. J'ai enfin réussit a détruire le mal qui t'avait férocement atteint, j'ai détruit le rouge en toi en faisant revenir le vert de tes forets, faire revenir le vert de l'infini tout en noyant ma peine dans le sombre de la nuit, celle ou je suis parti. Peut-être pour te retrouver un jour, peut-être pour t'abandonner une autre fois ou peut-être pour t'aimer comme je l'ai fait jadis. Loin dans mes songes, je demanderais a la vie de pardonner mon geste, de pardonner ma douleur d'avoir enlever la vie en toi et peut-être qu'un jour, je réussirais a te rejoindre, ou que tu sois, pour me faire pardonner de toi seul. . .

La voix de Sirius s'était briser et puis le vent avait repris vis, il finit par s'enfuir très loin et très haut. Sirius se releva, essuya ces larmes et partie pour toujours ou peut-être, vivre ailleurs, vivre loin des vies qu'il avait détruite.

Pendant que James et Lily mourait petit a petit, après 10ans de joie et de peine, après la mort d'Harry et la disparition de Sirius. Remus avait abandonner le combat et était mort deux ans après le disparition de son ami, la pleine lune avait eut raison de lui. Mélodie entrait bientôt a Poudlard, mais personne ne s'en préoccupait vraiment. James se morfondait, tournait en rond, son ami souffrait, il le sentait, mais ne pouvait rien faire. Puis deux jours plus tard, il appris par le journal local que le corps de Sirius Black avait était retrouver pendu dans le cour de bar d'ivrognes. . . Sirius avait donc tout gaspiller.

Et encore une fois, le vent se leva, seulement, il était trois fois plus fort qu'avant, deux autres vies l'animait.

Dans une douce harmonie, en souvenir de Sirius, on brûla la maison du 12 Square Grimmaurd, pour que plus jamais quelqu'un tente de tout changer, même si c'est pour le mieux, même si ils ont de bonne intention, tout finit toujours pareil, un truc débile vient tout changer et la mort surgit par delà du vent et de la vie. Plus jamais la maison des regrets viendra changer quelque chose, la vie restera comme elle est et jamais plus, les yeux de la mort viendra hanter des âme si pur, car maintenant tous ces âmes apeuré par eux, se sont enfuit vers un monde meilleur, vers un avenir moins corrompu, vers un endroit ou plus rien n'existe. . .

La vérité a adoucit le cœur d'Harry, elle la libérer de son énorme fardeau de peine, de drame et de tristesse. Mais surtout de rage de toujours voir ceux qu'il aime souffrir la mort pour rien, pour vivre après, mais vivre combien de temps ? Pas longtemps, la mort est un être terrible qui ne lâche jamais ces victimes. . .

Peter, lui, fut toujours mis en arrière, même sans Voldemort. Les Maraudeurs n'avait pas oublier, parce que Harry leur avait dit, que Peter n'aurait jamais hésiter a les trahir si quelqu'un de plus fort serais venu a sa rencontre. Donc, tout restera a jamais comme avant. Plus de Peter

Tout les moments vécus avec Les Maraudeurs sont incruster pour toujours dans le cœur d'Harry et c'est aussi ceci qui rendit Harry triste et ragent de vengeance. Mais il ne faut jamais oublier que chaque instant est un moment qui passe a l'éternité !

Chaque fois que des amis d'Harry mourait, chaque eux rejoignait un chant, un cris, une douleur et chacun eux attendait d'être libre, voulaient déchirer ce qui le retenait prisonnier a l'infinie et on dit d'eux qu'ils sont les âmes qui attend patiemment que ce déchire la toile du doute !

Et si le cœur chantait, nous serions peut-être plus vigilent ! Et si nous écoutions nos cœur, peut-être que jamais personne ne mourrait tristement, tuer, assassiner ou simplement ronger par le mal jusqu'à mettre nos os en bouillit.

Si nous écoutions nos cœur, on entendrait peut-être entendrais t'on ces cris de douleur, ces cris d'urgence, peut-être serions nous dans un paradis. Seulement, chacun de nous pourrait tout changer et faire de sa vie un paradis, comme Harry. Mais le pauvre Harry était habituer a la douleur, a l'action, au mal et maintenant dans un monde presque paradisiaque, ça la détruit. Pauvre Harry que son âme repose en paix.

Le plus bel instant de la vie d'Harry fut tout ces souvenirs avec ces amis, son père, sa mère et surtout, tout les moments vécus avec les Maraudeurs ! Seulement toute ces joies, n'ont jamais réussit a cacher toutes ces peines.

La douleur de l'âme d'Harry était si forte qu'elle la entraîner dans le même monde que Voldemort. (NA : et je manque d'inspiration) La douleur d'un âme peut presque faire n'importe, elle nous traîne a la mort, elle nous traîne a nos pleurs et parfois elle nous traîne a l'amour. Un amour qui ne pourra jamais survivre, un amour qui murera avant même d'avoir exister. . .

Bellatrix fut tuer par un métro. Elle était revenu, sauvagement, lentement, discrètement a Londres, après la mort de son cousin. Elle avait tout abandonner, elle n'avait plus rien. Son âme était mortellement empoisonner. Plus rien n'aurais pu la sauver. La pauvre, s'était laisser tomber devant le train du métro un certain soir de Février.

Et tout ce silence, cette joie briser, cette douleur infini qui s'était presque tut en même temps que le vent. La petite Mélodie, la petite sœur d'Harry, le survivant, jouait joyeusement dans la cour de son énorme maison. Trois papillons voleta autour d'elle. L'un d'eux était tout noir, un autre était vert comme les yeux de sa maman et le dernier avec la couleur de la lune. Les trois papillon voletait autour de la jeunes filles, se posait sur elle et s'envolait dans le vent, sans un bruit, comme Sirius avait été, un petit roi du silence. . . .

Si la lumière venait de nos yeux au lieux du soleil ? La douce lumière des yeux, une douce lueur qui vacille dans la prénom d'une nuit. Aldria vécut presque toujours. Apres environ près de 10 ans après la mort d'Harry et la fin de tout, Aldria était parti avec un colonie d'Ange fée, elle les suivit pendant très longtemps. Drake, lui, le dragon intelligent, parti dans un colonie de dragon sauvage en Alaska. Blanc comme neige, il se confondit avec la neige et s'amusa a créer les aurore boréal au crépuscule. La lumière boréal de des yeux, un douce lueur, une lumière douce et aimante, une lueur de vie près de la mort, une étincelle de vie dans un trou béant. Presque tout était aspirer par ce trou au milieux du néant.

Tout le monde a un temps limite, même James Potter. Les yeux de la mort se fixèrent sur lui un certain soir et les yeux l'engloutit pendant cette dernière nuit. Lily a ses coter, suppliait, promettait tout ce que la vie lui avait apporter, de lui laisser son pauvre mari. Mais la mort, cruelle, ne l'écouta pas et pris son mari. La mort fut de retour dans la maison des Potter deux semaines plus tard, pour emmener Lily, la belle rousse. Mélodie fut adopter, bousculer, mal traiter, elle finit par changer de nom et le monde de la magie ferma les yeux, oubliant la menace qui pesait sur eux. . . Mélodie Potter serait t'elle un nouveau mage noir ?

Mais non, Mélodie fut tuer trois ans après la mort de ces parents. Tout ce terminait maintenant, plus de Potter, plus de Black, plus de Lupin. . . Seulement, Ron et Hermione était toujours de se monde. Amoureux par dessus tout, ils restèrent toujours ensemble, formant une jolie petite famille. Trois enfant rendait leur vies plutôt mouvementer. Le plus vieux de leur trois garçons s'appelait Harry James Weasley. En souvenir d'Harry et de James. Leur deuxième fils s'appelait Sirius B Weasley, quoi que le B restait un mystère pour la plupart des sorcier. Et leur troisième fils s'appelait Remus Weasley. Une famille heureuse, Hermione combler avec son ventre rond, elle portait un autre enfant, une fille cette fois. Ron était heureux, joyeux de ces trois fils, heureux d'avoir des souvenirs vivant a chérir, mais triste par le vide que causait la présence d'Harry. Mais un promesse planait encore dans l'air. . . Et si la fin n'était pas ce qu'on croyait ?

La vie continuait, se finissait, bien au delà des yeux, des vilains yeux de la mort qui n'en voulait seulement au plus gentil, au plus sage, a ceux que tous préfère et aime. Une douleur, une perte planait encore sur le commun des gens. Une absence était remarquer, tous le savait, mais personne ne savait réellement qui manquait a l'appel, personne ne se souvenait, 20ans plus tard, de se petit garçon frêle, au cheveux noir ébouriffer, au yeux vert émeraude, personne de se souvenait de ce garçon du nom de Harry Potter, le garçon a la cicatrice. . .

FIN

Réponse aux reviews :

Cicin : Voilà, j'espère que ça te plait. . . .

Ana : J'ai fait du mieux que j'ai put comme longueur ! je sais, ça la pris plus de 3 jours, j'avais de gros problème d'inspiration ! Mais enfin, j'y suis enfin arriver, non sans verser une larme ! Je suis quelqu'un de très sensible moi aussi ! Et je t'assure que le Québec, c'est vraiment l'air, tout polluer et plus beau du tout ! Le seul endroit encore beaux, c'est la ville de Québec a plus de trois heures de chez moi ! C'est tout propre tout beaux, j'adore cette ville la, c'est moins polluer que Montréal, le petit New York du Québec. . . Enfin, mon autre fic, je ne sais pas encore, je manque un peu d'inspiration, mais j'essais de faire romance, mais je suis nulle en romance, alors je fait complètement ce que je peux ! J'espère que je te reverrais bientôt dans mes review !

Siria : Yaha un autre chapitre de Siria ! Enfin, voilà la suite et la fin de mon histoire ! J'espère que tu l'aime, j'espère que tu me lira encore, j'espère que je te reparlerais bientôt, ça fais un bout de temps que je ne t'ai pas parler !

Tatiana Black : J'ai même pas fait express pour changer la syntaxe dans le journal de Sirius ! faut croire qu a ce moment la, il a complètement pris possession de mon être et a écrit ce qu'il voulait ! ha ha ca m'arrive souvent ! Enfin, j'espère que tu aime ma fic, j'espère que j'aurais la suite de tes histoires et j'ai une grande envie d'écrire le journal de Sirius, mais ce serais plate, pas d'histoire a écrire ! donc je vais encore une fois tenter de continuer ma fic romance. . . .

Mot de l'auteur : J'ai un jour que le dernier mot du septième livre serait « cicatrice » alors j'ai voulu faire pareil. J'espère que ma fic vous a plut, vous plaira pour ceux qui la lirons une fois fini, j'espère que vous avez appris un petit quelque chose. . . Ce n'est pas toujours bon de vouloir revivre son passer. Croyez moi, j'en ai l'expérience avec ma maman. C'est drôle je trouve. J'ai eut l'idée de ma fic Les Yeux de La Mort, en Novembre, quand quelqu'un très proche de moi est mort et je l'écrivais seulement pour me défouler, vider mon cœur briser et je crois que c'est la meilleure chose que j'ai put faire dans ma vie, (sauf aller en voyage étudiant a Québec) et aussi, je crois que ça ma beaucoup aider, a moi, a mon cœur, a ma tête. Ca ma permis de faire un ménage dans ma tête, ça ma permis de m'ouvrir a autre chose que ma peine et j'en suis heureuse, vraiment très heureuse ! Alors j'espère que vous avez aimer lire mon défouloir, ma peine, ma tristesse et mes moments de joie, car je pense que tout ce que j 'ai écrit, depuis Les yeux de la mort a la fin de cette fic son des moments que j'ai vécut, des choses qui me sont arriver et que j'ai transformer pour en faire une histoire d'Harry Potter ! Je doit avouer que le poison de Sirius d'existe pas, je l'est peut-être transformer, c'était peut-être ma peine et ma rage que j'ai mis dans ce poison et j'ai voulu trouver un coupable. Je trouve que je me suis bien venger, Bellatrix a souffert un peu beaucoup, j'en suis toute fière. Enfin, je vous laisse la dessus, si vous ne comprenez pas trop ce que je veux dire, relisez tout depuis ma première fic,(Les Yeux de la mort) et transformer chaque évènement en mettant quelqu'un d'autre, en changent les fait pour des plus réelle, peut-être que vous trouverez ce que je veux dire et peut-être que ça vous libérera d'un fardeau, si vous avez connu une peine énorme. . .

Il ne faut jamais oublier, Chaque instant est un moment qui passe a l'éternité. . . .

Il ne faut jamais chercher a revivre son passer, car le regretter, c'est courir après le vent. . . .