Chapitre 2 : Son anniversaire

Quelques jours plus tard, et comme lors de tous ses anniversaires Harry se réveilla à minuit et se souhaita un joyeux anniversaire. Il regarda alors par la fenêtre espérant voir Hedwige de retour et ne vit rien. Il se recoucha et dormit jusqu'au matin il descendit et lorsqu'il vit une lettre sur la table lui étant adresser, il sautât de joie, mais fut vite déçu en s'apercevant que ce n'était autre qu'une lettre de Poudlard l'informant des évènements de l'an passé et des nouvelles mesures de sécurités : En effet pour être plus sûre, la rentrée se passerait sous le contrôle d'aurors et trois aurors seraient en permanence à Poudlard.

Dépité, il retourna dans sa chambre et s'enferma pour réviser son Occlumencie. Il était devenu de plus en plus bon et n'avait maintenant presque plus de cauchemars. Il réussissait même à sonder son esprit de façon à revivre pleinement des souvenirs particulièrement heureux. A midi il descendit dans la cuisine et se servit dans le frigo devant le regard envieux de son cousin puis remonta grignoter dans sa chambre, sous les remarques déplorables du tas de graisses qu'était Dudley.

Après se casse croûte  n'y tenant plus il descendit dans le salon et pris de la poudre de cheminette pour contacter Lupin. Il devait forcément se passer quelque chose de grave pour qu'ils aient tous oublier son anniversaire. Il passa donc la tête dans la cheminée et là il sentit que quelqu'un le poussait à l'intérieur. Il se retrouva donc entièrement dans la cheminée de la maison des Black. Harry se releva furieux et contempla la scène.

Ils étaient tous présents et au-dessus de leurs tête flottait une banderole rouge et or où était écrit JOYEUX ANNIVERSAIRE HARRY. Harry rentra alors dans une colère noire (qu'il voulait persuasive) expliquant qu'il s'était inquiété de ne pas avoir de nouvelles de leurs part a tous, qu'il pensait qu'une attaque était survenue et qu'ils étaient tous morts. Un silence se fit et devant leur mines attristées, Harry éclatât de rire et les remercia pour la surprise.

Et la fête commença. Ils dansèrent beaucoup puis mangèrent un festin de rois (ou plutôt de lions affamées qu'ils étaient) préparé avec soin par Mme Weasley. La distribution des cadeaux débuta dans cette ambiance festive.

Dumbledore commença. Il lui offrit un collier protecteur composé d'une chaîne et d'un pendentif-médaillon en or blanc, représentant un phénix survolant un lion faisant fasse à un serpent. Harry lu le mot qui l'accompagnait. Il disait que ce collier devait le protéger contre tous le sorts mineurs et devait atténuer les sorts plus importants. Harry vit là, un magnifique cadeau, qui se révèlerait sûrement d'une grande utilité quand on connaissait les goûts du jeune garçon pour l'aventure. Il se jeta dans les bras de Dumbledore qui lui murmura à l'oreille « je dois t'expliquer certaines choses mon garçon après la fête ». Il relâcha son étreinte et se retourna.

MacGonagall lui apportait un gros paquet qu'Harry commençait à déchirer quand elle lui fit signe de remettre son déballage à plus tard. Il embrassa donc sa directrice de maison sur la joue pour la remercier, bien qu'il se demandât pourquoi la vieille femme faisait autant de mystères. Il sentit alors une grande claque dans le dos. Ron se tenait là tout sourire et lui tendant son cadeau. Durant ces vacances Ron avait écrit un livre intitulé :  « autobiographie d'un sorcier en herbe » et retraçant tout ce qui avait attrait à la magie et dont il avait eu l'occasion de voir. Il était accompagnée d'une petite dédicace pour Harry :

« Si tu lis ce bouquin aussi attentivement que Hermione lit L'histoire de Poudlard, tu ne devrais plus avoir à jouer les étonnés devant les goules et les gnomes ! J'ai passé du temps dessus, mais je pense que ça en vaut la peine, et que c'est du temps gagné dans le futur : quand tu rencontreras les fées et les créatures des bois, je n'aurais plus à tout t'expliquer ! -p »

Harry serra son ami dans ses bras très touché des heures qu'il avait du passées sur ce livre pour lui faire plaisir.

Hermione et Ginny s'avancèrent à leur tour. Elles avaient dans les bras deux gros livres. Harry lu les titres « Harry Potter vu par le monde sorcier » et « Harry Potter vu par ses amis ». Elles avaient récapitulé tous les articles qui parlaient de lui ainsi que tous les passages des livres. Hermione lui expliqua qu'elles avaient été au ministère tous les jours pendant 4 semaines pour arriver à tous retrouver et le soir et le Week-end elles se consacraient au deuxième livre, dans lequel elle retraçait les différentes aventures vécues par Harry et ses amis et une deuxième partie était consacré aux différents témoignages des Gryffondors et quelques élèves d'autres maisons.

 Harry eu les larmes aux yeux quand il vit le paragraphe écrit par son parrain. En effet elles avaient commencé leur travail durant la fin de l'année de façon à ce que le livre soit prêt en temps et en heure et elles avaient eu la chance de demander à Sirius d'écrire quelque chose pour Harry avant le tragique évènement du ministère…

Harry,

Il faut que tu continue à travailler dur et surtout ne baisse jamais les bras. Tu sais que Remus, tes parents et moi serons toujours là pour veiller sur toi, quel que soit l'endroit ou nous nous trouvons. Je suis très fier de connaître un garçon tel que toi. Tu es le digne fils de James et Lily, et surtout je suis chanceux de t'avoir comme filleul, toi qui m'a sauvé d'Azkaban car je sais que je n'avais pas le droit de rester sans m'occuper du fils de mes meilleur amis. Tu m'as ensuite évité de devenir un meurtrier en me raisonnant et en m'empêchant de tuer le traître à la face de rat, et ensuite l'idée que tu comptais sur moi m'a aidé à tenir durant ma longue fuite.

Je t'aimerai toujours, Harry, quoi qu'il arrive et plus que si tu avais été mon propre fils.

Pou ne pas montrer ses larmes Harry tourna la page et lu la dédicace des jumeaux :

Harry,

Nous te léguons notre titre de « fauteurs de troubles numéro 1 ». Soit en digne et fait bien ton boulot, certaines personnes doivent payer pour ce qu'elles ont fait : Rusard pour le nombre de fois ou il nous fait chier en rodant dans les couloirs, et pour son attitude indescriptible l'année dernière,  Peeves avec son concours pour dépasser nos blagues (entre nous il ne nous arrive pas à la cheville), et surtout ROGUE … -sans commentaire-, et ses petits protégés. Harry, Ron est notre frère mais toi qui est de la famille aussi, nous plaçons notre confiance en toi pour perpétrer la tradition des maraudeurs, de nous et maintenant du trio infernal, nous te faisons CHEVALIER DE LA BETISE.

A toi notre 2eme frère cadet

F&G      

Les dédicaces de deux filles lui disaient qu'elles l'aimaient toutes les 2 vraiment beaucoup et qu'il était le meilleur ami qu'elles n'aient jamais eu(avec Ron pour Hermione) et qu'elles savaient qu'elles pouvaient compter sur lui. Harry fut soulager de n'être qu'un ami car il tenait vraiment beaucoup au deux filles mais n'en était pas amoureux. Il les serra fort dans ses bras et les deux filles en furent ravi, il semblait qu'Harry appréciait leur cadeaux.

Remus lui offrit alors lui aussi un livre -mais ô combien précieux : Il s'intitulait « les exploits des maraudeurs illustré et leurs inventions. » Lorsqu'il vit le titre il regarda Remus puis les professeurs MacGonagall et Dumbledore qui détournèrent le regard en faisant comme s'il ne voyait pas.  Il prit Remus dans ces bras et lui dit à l'oreille :

- merci j'en ferai bon usage je te le promets.

Avec un clin d'œil complice Remus lui sourit et le laissa se faire happer par deux bras. Molly venait de le prendre dans ses bras et lui dit :

- Pour ton 16eme anniversaire Arthur et moi avons voulu que tu te sentes bien. Comme nous sommes maintenant ta seule famille. Nous avons voulu t'offrir un beau cadeau. On te trouvait un peu squelettique mais tu dois sans cesse faire fasse à des situations qui te demandent plein d'efforts physiques. On a donc eu l'idée de fabriquer une boite de nourriture inépuisable. On a demandé l'aide de Fred et Georges et J'ai fait ça. Il te suffit d'annoncer ce que tu veux et la boîte le fait apparaître. Exemple : gâteau citrouille, Chocogrenouille et bierraubeure

Quand Molly ouvrit la boîte tout se trouvait là et Harry croqua dans le gâteau pour vérifier que ce n'était pas une plaisanterie. Il s'aperçut qu'il s'agissait de la très bonne cuisine de Molly et remercia les Weasley chaleureusement pour ce cadeau hors du commun. Fred et Georges s'avancèrent avec leur sourire espiègle et lui remirent un assortiment de ce qu'ils vendaient dans leur boutique du chemin de Traverse ainsi que 2 ou 3 gadget qu'il venait de créer pour l'occasion.

- Voici de quoi continuer notre œuvre durant le premier mois de ta sixième année. Tu recevras un assortiment de produit test chaque mois de façon à faire des blagues et continuer ainsi l'œuvre des jumeaux les plus célèbres de l'histoire de Poudlard ainsi que des Maraudeur. Tu es le plus digne de posséder cet héritage en tant que le fils d'un des Maraudeurs et avec l'aide de Ron qui sera apporter une touche de « Weasley » dans les blagues et Hermione qui réfléchira à comment les mettre en place sans se faire prendre.

Tout le monde se mit à rire devant les jumeaux rougissant et Harry stupéfait de la quantité de choses qui était sortit de la tête des jumeaux en si peu de temps. Les professeurs assuraient que les jumeaux étaient en effet arriver au niveau des Maraudeurs sous l'acquiescement de Remus et qu'il fallait bien que quelqu'un mettent un peu d'ambiance au château et sans les jumeaux la vie y serait moins drôle.

Bill offrit un serpent à Harry il lui apprit qu'il l'avait trouvé dans une prairie et qu'il s'était enrouler autour de sa jambe jusqu'à ce qu'il arrive chez lui ou il s'était installé devant la cheminée et il ne bougeait que pour chasser. Harry demanda à Dumbledore de vérifié que le serpent n'était pas sous les ordres de Voldemort et après confirmation il dit au serpent :

-  Je sssuisss Harry. Comment t'appelles-tu ssss ?

-  Je n'ai passss encore de nom monssssieur Harry.

Harry réfléchi puis repris

- Je croisss que je ssssais, aimeraisss-tu SSSSerge

- sssCe nom me convient maître Harry.

Et Harry reprit pour les autres personnes de la salle :

-Je vous présente Serge. Merci beaucoup Bill.

Charlie lui offrit un rouleau de parchemin énorme avec un grand sourire. Harry le déroula et découvrit un poster de lui contre le magyar à pointes lors de la première épreuves du tournoi des 3 sorciers qui s'était dérouler 2 ans auparavant. Il le remercia et commença à ranger ses cadeaux lorsqu'il vit que personne ne bougeait et le fixait en silence. Rogue s'avança alors en lui tendant ce qui ressemblait à un coffret emballé Harry restait stupéfait les bras ballants quand Rogue lâcha

- vous attendez le déluge ou que je vous retire des points peut être, ajouta-t-il avec un sourire carnassier...

Harry se dépêcha de prendre le cadeau et décacheta d'abord le mot l'accompagnant : « Vous m'avez épaté Potter votre examen de BUSE était à peut près correct et j'aurais le plaisir de vous retrouver en cours cette année aussi. » Harry regarda son professeur d'un air dubitatif et ouvrit le cadeau, il s'agissait d'un superbe jeu d'échec version sorcier avec des pièces qui se réparaient toutes seules après chaque parties. Harry était impressionné mais ne comprenait pas pourquoi son professeur de potion faisait tant d'efforts pour lui. Il le regarda et celui-ci haussa les épaules en disant tout bas qu'il lui fallait quelqu'un pour jouer aux échecs et qu'Harry était vraiment un adversaire idéal parce qu'il savait qu'il ne le laisserait pas gagner. Harry sourie d'un air entendu et se laissa tomber sur le canapé se situant derrière lui.

Tous ces cadeaux étaient trop pour lui qui n'en avait jamais reçu avant l'age de 11 ans. Il vit alors deux autres paquets à côté de lui il regarda la foule devant lui et on lui dit de les ouvrir. Le premier venait de l'ordre du phénix, c'était un livre sur le métier d'auror et le second était un livre offert par tous les profs de Poudlard : « Comment devenir expert en Occlumencie ».

Avant qu'Harry ait pu dire quoi que ce soit, il vit Fumseck le phénix de Dumbledore se poser à côté de lui. Il tenait une de ses plumes dans son bec et il la déposa sur les genoux d'Harry puis il regarda autour de lui, vola jusqu'à la table et revient se poser devant Harry avec un verre propre dans son bec. Il le posa sur une table juste a cote et pleura jusqu'à ce que le verre soit au ¾ plein. Puis il reprit le verre dans son bec et le donna à Harry. Tout ceci c'était passer dans le plus grand silence et lorsque Harry le regarda, il croisa les yeux expressif de l'oiseau et dit

- Merci beaucoup Fumseck *avec une voix cassée par l'émotion*

Ce dernier chanta faiblement et s'envola sur l'épaule de son maître qui le caressa en déclarant :

- Cet oiseau m'étonnera toujours …

Tout le monde éclata de rire. McGonagall transforma le verre en flacon fermer par un bouchon de façon à pouvoir le transporter. Dumbledore prit alors la parole

- Harry comme tu dois t'en douter Fumseck est le phénix qui a donné la plume qui se trouve dans ta baguette. Cependant voyant que tu te trouves du coté du bien il veut te montrer qu'il est là pour te protéger. En te donnant ses larmes il te procure la solution pour te guérir et comme tu le sais peut-être les plumes sont des objets de protections très fortes, elles dégagent une aura qui te protège en permanence et amplifie tes pouvoirs. Cependant elles n'ont ces propriétés que pour la personne qui les reçoit du phénix même et ce sans les avoir voler. C'est donc un grand gage de protection que Fumseck te déclare et je pense que la meilleure manière de l'honorer serait d'avoir ces deux cadeaux toujours sur toi je vais donc miniaturiser la plume et l'intégrer à ton collier quant aux larmes tu peux réduire le flacon pour t'en faire un pendentif ou bien le garder tel quel dans un endroits sûr à toi de choisir Harry.

Un silence se fit durant lequel Harry regarda alternativement Albus et Fumseck puis il finit par hocher la tête. C'est ce moment que choisit Percy pour approcher avec les derniers des cadeaux. Il lui tendit d'abord un parchemin Harry le lut puis le relut tout fort.

« M. Harry Potter,

Ayant atteint l'age de raison, vous êtes autorisé à utiliser la magie en dehors de Poudlard à partir de ce jour. Je vous prie d'en faire bon usage et vous souhaite un bon anniversaire.

            Usage RESTREINT,

Chargé des restrictions magique pour le ministère de la magie. »       

 Il lui fit un grand sourire et Molly lui glissa à l'oreille qu'il venait de rejoindre l'Ordre après s'être rendu compte que Harry avait toujours dit la vérité et qu'il avait été trop aveuglé pour le croire. Harry le regarda et Percy lui tendit un deuxième parchemin avec une mine un peut plus triste. Il s'agissait de la réhabilitation de son parrain par le ministère et Harry pensa en lui-même : « c'est pas trop tôt avec tous ce qu'il a du subir … mais maintenant c'est trop tard il ne pourra plus en profiter ».

 Il releva la tête vers Percy les yeux plein de larmes. Il vit que Percy lui tendait un écrin et un journal. L'écrin contenait l'ordre de Merlin 1ere classe pour service rendu à la communauté magique et le journal qui était celui du lendemain titrait « réhabilitation et décoration de Sirius Black. »  Malgré qu'Harry ait décidé de se montrer fort face à la disparition du denier membre de sa famille il ne put s'empêcher d'éclater en sanglots et de tomber dans les bras de Remus le dernier ami de son père qui se trouvait à peu près dans le même état que Harry en plus silencieux. Molly mit sa main su son bras l'assurant ainsi de son soutient et Harry se calma un peu.

La voix d'Hagrid retentit alors

- On n'aurait pas oublié de me prévenir que la fête se trouvait ici et pas chez les moldus d'Harry ?

 Tout le monde éclata de rire et Harry sourit en entendant la voix du plus imposant de ses amis. Il marcha droit vers Harry et lui donna un cadeau emballé dans du papier kraft. Il l'ouvrit et découvrit une corne de licorne et une chose qui ressemblait de loin à des bonbons. Harry savait trop bien que la cuisine d'Hagrid n'étais pas souvent mangeable. Il laissa donc de coté les bonbons et s'intéressa à la corne. Hagrid lui dit alors « Cette corne m'a été donné par une licorne et elle contient une grande puissance magique qui te permet de détourner les pouvoirs de ton adversaire à ton propre usage. J'aurai aimé l'avoir avant, ça t'aurait peut-être évité bien des ennuis… » « Merci Hagrid c'est un fabuleux cadeau. ». Il se tourna vers Dumbledore qui hocha la tête et réduisit la corne pour la placer avec la plume dans le médaillon d'Harry et le sceller pour que les 2 objets ne bougent plus.

L'après midi avait été forte en émotion et Molly décréta qu'ils devaient tous aller manger rapidement et se coucher ensuite. Ils obéirent tous de peur de s'attirer les  foudres de la mère des Weasley qu'ils avaient tous vue, au moins une fois, se déchaîner contre les jumeaux. A la fin du repas Harry se dirigea lentement vers sa chambre et découvrit toutes ses affaires à côté de celles de Ron et il l'entendit derrière lui dire « bienvenue au QG Harry et bon anniversaire ».

Ce soir là Harry s'effondra sur son lit et s'endormit tout habillé. Rémus passa le voir et le découvrit dans cet état il le regarda un moment. Lui, Rémus, était maintenant le seul maraudeur encore en vie sachant qu'en trahissant les Potter Peter avait renier son appartenance au groupe. Il était le seul ami du père du garçon qui se trouvait étendu devant lui et devait donc maintenant tout faire pour protéger son filleul d'adoption. D'un coup de baguette il changea Harry et le mit sous les couvertures, puis il l'embrassa sur le front en lui souhaitant un bon anniversaire. Harry ouvrit les yeux et l'étreignît en murmurant

- Moony ? Bonne nuit … Daddy  avant de retomber dans un profond sommeil.

Remus sentit son cœur se pincer. Ce garçon avait vraiment besoin de lui et s'il voulait l'aider, il devait oublier la mort de Sirius ou au moins passer à autre chose et apaiser le garçon. Il était peut-être celui qui avait survécu, mais il était surtout un adolescent perturbé par la mort de son parrain et qui avait besoin d'affection, et surtout de quelqu'un avec qui il puisse en parler…

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A bientôt

sandy