Désolééééééééééééée for Ze retard, j'étais pô là... Enfin si, mais j'avais la flemme de poster...

Je vous annonce tout de suite que ma tronçonneuse est réparée, et je décline entièrement toute responsabilité de membres tranchés en cas d'agression sur l'auteur. Merci.

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RAR :

Boneless : Arrangé. Merci quand même de faire plus attention...

Venus Potter : Meuh Nan... DRaco ferait jamais ça voyons ^^*

Ornaluca : J'espere bien... lol.... Bonne lecture :P

Lee-NC-Kass : Sadique, moi ? Meuh nan.... lol.... Vi vi tu vas savoir ^^

Orlina : Moi pas de coeur, nierk.... T'en as pas un bout pour moi ? Tant pis. Vais continuer le sadisme niéhéhéCe chapitre t'es dedie....

DW : Meeeeeeeeeeeeeeerci pour le chocolat !!!!!!!!!!!!! Vais te prevenir là aussi..... Prend un kleenex ^^

Serpentine : Oui, vive la non violence.... Merci pour les noeufs :D Ché bon cha.... :P

alinemcb54 : Ah c'est comme ça ??????????? *boude * Bon, t'as la suite quand même.... :roll:

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VII/ End of all Hope

- LAISSE-MOI !!!!!

Il m'a poussé brutalement, et est parti en courant.
Je savais qu'il n'était pas prêt.
Même s'il savait, il n'était pas encore prêt à revivre cette scène.

Nos derniers instants de bonheur.
Je sais ce qu'il a vu.

Il a vu notre première fois.
Nos corps entrelacés, nos vies prenant un nouveau tournant.

Réalité brutale qui lui revient à la figure.

Nous avions vécu notre première fois la veille.
La veille de ce combat.
De ce combat où j'ai tout perdu.

Ma famille, et le plus important, mon amour.
L'espoir.

L'espoir de retrouver une vie comme celle d'avant, avec lui. Contre lui. En lui.

Où est-il allé ?

Harry, je t'avais prévenu.

Pourquoi m'as-tu empêché de sauter ?

Je suis toujours sur cette tour…

Tu sais Harry, c'est tentant. Très tentant.

Et comme le bord du précipice s'approche, c'est ton visage que je vois, ton rire que j'entends, tes bras que je sens autour de mon corps, ton odeur si délicate qui m'accompagne.
Tu fais partie de moi, que tu le veuilles ou non. Tu fais partie de moi, comme j'ai fait partie de toi.
Tu feras toujours partie de moi…

Je t'en supplie, reviens-moi, retiens-moi encore avant que je ne fasse le grand saut.
Reviens prendre ma main, Amour…

Viens empêcher ce sombre dessein.

*¤*

Il m'avait prévenu. J'aurais dû l'écouter.
J'aurais dû me douter que je verrais cette scène à un moment ou à un autre.

Nos corps entremêlés, lui sur moi. Lui en moi.

Le plaisir sur nos visages.
La douleur aussi.

Cette scène passe et repasse dans ma tête.

Première fois ? Possible. Fort possible.

Je ne suis qu'un idiot.

Je ne dois pas le laisser seul. Pas maintenant.

Même si mon amour pour lui a disparu, ce n'est pas comme ça que je le regagnerai…

Harry, triple buse, remue toi, vas le rejoindre…
Mais qu'est-ce que ça peut te faire après tout qu'il souffre ? Il est redevenu ton rival. N'est-ce pas mieux comme ça ?
Non, quelque chose ne colle pas. Ce n'est plus de l'inimité.
Ce n'est pas de l'amitié.
C'est de la haine.
Non. Je ne supporterai pas qu'il disparaisse. A cette idée, mon cœur se serre… Merlin, je crois que j'ai compris…
Laisse-le partir.
Pourvu qu'il ne soit pas trop tard.

*¤*

Les jambes dans le vide, un jeune homme fixe l'horizon d'un œil éteint. Des traces, blanches traînées sur ses joues, et ses yeux gonflés montrent qu'il a pleuré.
Les yeux encore humides, il s'apprête à sauter.


Essoufflé, un jeune homme monte quatre à quatre les marches de la tour. Ce qu'il voit en arrivant le fait hurler.

Cheveux au vent, le blond a sauté.

- NOOOOOOON !!!!!!!!!

Le brun se précipite au bord, et hurle « Draco, je... je t'aime. »

La dernière image qu'il aura de lui, avant de le voir en bas, sera son sourire.

Mais il était trop tard.

Regrets, remords, tristesse envahissent l'esprit du jeune homme brun, alors qu'il contemple la tâche brune au sol.

« Draco… Tu es parti à présent. Mais tu sais également, que finalement j'avais retrouvé ce que j'avais perdu. Et maintenant je comprends ce que tu ressentais. Draco, jamais je ne pourrai continuer sans toi, toi qui as pris ton envol, cher ange. Il ne te reste plus qu'à m'attendre, où que tu sois maintenant. Ouvre moi tes bras, j'arrive dès maintenant. »

Séchant ses larmes, le brun reproduisit les gestes de son amant.

Et il sauta.

Jamais chute ne lui parut plus longue.

Mais quand il vit arriver le sol, et enfin, son ange, il sourit.


Deux anges entrelacés dans la mort, deux anges dévorés par leur passion, perdus dans le chaos de leur existence. Juste deux anges, qui à présent veillent sur le monde.

*¤* FIN *¤*

Il est bien entendu interdit de frapper l'auteur, qui de toute façon se cache derrière sa tronçonneuse....