Auteurs : Urumi et Willy

Remerciements : Miya, notre fidèle bêta-lectrice qui a bien voulu assumer cette lourde tâche et corriger nos lacunes sur HP !

Disclaimer : Nous ne voulons pas de procès, donc nous affirmons que Sirius ne nous appartient pas (c'est pas qu'on voudrait pas…) ainsi que le reste du monde magique de J.K.R.

Résumé général : Vie de Sirius à Azkaban (oui, on sait, on est pas douées pour les résumés… mais lisez quand même !). Il ne s'agit pas d'un état des faits de ses conditions de vie, c'est une histoire !!!

Résumé du chapitre précèdent (au cas où il  y aurait des gens qui, au bout de six mois, auraient oublié ce qu'il s'est passé) : après moult péripéties (accident de métro, évasion de l'hôpital etc.) Lyra arrive enfin devant la célèbre prison.

Résumé du Chapitre : Lyra entre à Azkaban pour la première fois…

Avertissement : C'est notre première fic, elle n'est sans doute pas parfaite ! Nous réclamons humblement votre indulgence et, SVP, quelques reviews !

Chapitre 5

11 novembre 1981, Azkaban

Lyra entra par les portes principales de l'établissement et sentit tout de suite une vague de froid l'envahir. Elle frissonna sous son long manteau de détraqueur qui la recouvrait de la tête aux pieds. Elle regarda autour d'elle, et vit qu'elle était entourée de hauts murs gris sans la moindre nuance de couleur ou de forme. Elle continua dans ce  triste couloir. De chaque coté se trouvaient des cellules avec un prisonnier, et quelques détraqueurs patrouillaient au centre. L'un d'eux vînt dans sa direction, la regarda un moment et aspira l'air comme s'il essayait de découvrir la supercherie. Lyra sentit une vague de panique lui bloquer le cœur, mais elle se reprit et se concentra sur ce qu'elle avait appris avec le professeur Dumbeldore pour cacher son âme. Quand ce fut chose faite, elle eût l'impression que la créature en face d'elle la dévisageait, chose pourtant impossible, elle était dépourvu d'yeux. Le détraqueur finit par passer son chemin pour retourner patrouiller dans le sombre couloir.

Lyra s'avança et observa les prisonniers qui ne ressemblaient plus qu'à de simples coquilles vides, comme si tout sentiments les avaient quittés, ce qui était sans doute le cas. La jeune femme continua tranquillement son chemin en dévisageant chaque être vivant.

17 Novembre 1981, Azkaban

En une semaine la jeune espionne s'était quelque peu acclimatée à l'ambiance pesante de la prison et elle deverait bientôt se rendre à terre pour son premier rapport. Mais elle était confrontée à un sérieux problème : devait-elle dire la vérité quand à la vie à Azkaban ? N'ayant aucune pitié pour les conditions (méritées) des prisonniers elle ne voyait aucun inconvénient à les laisser croupir dans cet état, mais elle avait été envoyée pour dénoncer, justement, ces mêmes conditions, et il était hors de question qu'elle faillisse à sa mission. Elle décida donc d' «édulcorer » sa version des faits, ne mentionnant que les aspects les plus choquants de l'incarcération. Le soir même elle quittait l'île pour se rendre au ministère et bénéficier d'un week-end de repos.

17 novembre 1981, 8 pm, ministère de la magie

Fudge se pâmait avec délectation dans son nouveau fauteuil, devant son nouveau bureau, dans ses nouveaux locaux. Il sifflotait, extatique, un air moldu revisit : « Je suis ministre, je suis ministre, je suis ministre, je suis ministre. »

En effet, Charles Durant, épuisé par la guerre contre Voldemort, n'ayant pas la force de sortir le monde magique de la débâcle, avait démissionné. Et c'était, à la surprise générale, à Cornelius Fudge qu'était revenu le poste. Il prenait ses aises, un des cigares oubliés par son prédécesseur dans la main droite, un verre de firewhisky dans l'autre. « Pfiou, souffla-t-il en exhalant une bouffée, je savais pas que le vieux Charles avait réussi à se garder quelques Coronas, on dirait pas mais c'est pas si mal la vie de ministre ! » Il vida son verre et tendit son bras vers la bouteille sur la table.

Ce fut le transplanage de Lyra qui stoppa son élan. Une ironie mordante se lisait dans ses yeux mais Fudge avait l'avantage, il était ministre, il lui suffisait d'un geste pour qu'elle soit renvoyée. Elle n'avait jamais supporté cet imbécile gonflé de suffisance mais au moins elle n'était pas obligée de le fréquenter quand il était à la tête des Catastrophes Magiques (excepté pour sa dernière mission). Elle pensait qu'on l'avait relégué là bas, faute d'avoir trouvé autre chose pour l'occuper mais elle n'avait jamais envisagé le fait qu'il deviendrait son supérieur hiérarchique officiel. Quand on l'avait mise au courant de son avancée, elle avait cru à une plaisanterie, cet égoïste, opportuniste et irresponsable ne pouvait diriger la communauté magique de Grande-Bretagne.

- J'ai appris votre promotion monsieur le directeur, commença-t-elle.

- Monsieur le Ministre s'il vous plait.

- Très bien monsieur le « Ministre », appuya t'elle, je ne veux pas savoir ce que ce siège vous à coûté mais est-ce toujours à vous que je dois faire mes rapports ?

- Je me débarrasserais volontiers de vous, mais, voyez-vous, je m'intéresse au sort de nos détenus.

- Vous avez d'autres espions je suppose.

Il se mordit la lèvre, il avait fait une erreur, il était maintenant obligé d'admettre qu'elle était la plus puissante, et la seule à maîtriser l'occlumencie et qu'il n'avait pas d'autre choix que de la garder pour cette mission. Décidément, quel que soit son poste ce serait toujours elle qui aurait le dessus avec lui.

10 minutes plus tard

- Bon merci beaucoup, nous allons prendre des mesures, conclut le ministre.

- Et pour la suite ? demanda l'espionne.

- Vous allez maintenant passer au niveau supérieur c'est à dire que vous officierez dans le quartier des détenus haute sécurit ! C'est dans ce couloir que se trouvent les partisans de Vous-savez-qui jugés le plus dangereux, avec les arrestations en masse de ces dernières semaine les détenus, pas encore totalement affaiblis par les détraqueurs, sont dans un état d'excitation particulière et donc potentiellement dangereux.

- Potentiellement ? Seulement ? Bah ça devrait faire l'affaire.

Fudge la regarda comme si elle était folle.

- Je ne plaisante pas Lyra, ce ne sont pas des gens normaux, ils peuvent tuer.

- Moi aussi.

19 novembre 1981, Azkaban

Malgré toutes les fanfaronnades dont elle avait fait preuve devant Fudge, ce n'est pas sans un petit frisson et une légère appréhension que la jeune espionne pénétra dans les étages supérieurs de la prison. Elle arriva donc au premier étage, mais continua son ascension jusqu'au quatrième. Elle s'arrêta un instant pour reprendre son souffle. Elle avait beau être en bonne condition physique, son rythme cardiaque avait sensiblement accéléré, pas a cause de la montée, mais plutôt de ce qui l'attendait à cet étage. Elle inspira profondément, et s'engagea dans le couloir. Même si elle n'avait pas connu le lieu, elle aurait pu deviner sans peine que ce quartier était sous étroite surveillance. Elle passa ainsi devant plusieurs cellules qui, à la différentes des précédentes, étaient individuelles.(« Pour éviter qu'ils ne s'entretuent » avait précisé Fudge.) Chaque porte était gardée par un détraqueur alors qu'une demi-douzaine d'autres patrouillait dans l'unique couloir. Les regards qui la suivaient étaient différents, vidés par les détraqueurs certes mais aussi étonnement plus perçants. Elle les regarda, chacun d'entre eux. Les criminels les plus célèbres détruits par leurs souvenirs s'exposaient sous ses yeux, et elle en retira bizarrement une joie malsaine. Maintenant, elle allait voir si ces heures d'entraînement avec le professeur Dumbeldore lui avait servit à quelque chose. Les plus grands tueurs était gardés ici. La jeune femme se concentra un instant sur l'occlumencie, et marcha tranquillement devant les sombres geôliers. Mais les souvenirs de son enfance refirent surface aussi. Elle partageait son esprit entre joie, haine et effort, pour ne rien laisser paraître. Ce n'était pas chose facile. Elle essaya de se concentrer sur le visage des prisonniers, beaucoup lui rappelèrent de sombres nouvelles qu'elle avait lues dans la presse. Elle se remémorait l'histoire de chacun, quand elle se retrouva devant deux détraqueurs qui gardait une cellule. Au bout du couloir, elle jeta un regard à sa droite et se retrouva face à deux yeux d'un bleu océan sur le visage sombre d'un homme, encadré d'une masse de cheveux noirs tombant de manière désordonnée sur ses épaules. Assis sur le sol, il la regarda et elle frémit. Sirius Black se trouvait face à elle. Quand elle avait lu dans les journaux l'histoire des Potter, elle avait immédiatement méprisé cet homme qui avait trahi et tué ses amis sans remords. Elle se souvint avoir pensé que c'était une belle ordure et avait fusillé du regard son homologue photographique qui souriait insolemment. Et voilà qu'elle tressaillait insensiblement sous l'onde de ces prunelles. Elle se rendit compte de son erreur, se détourna le plus vite possible et s'en alla à grandes enjambées.

Le plus célèbre prisonnier d'Azkaban jeta un coup d'oeil morne au deux détraqueurs qui patrouillaient devant sa cellule. Mais soudain un étrange sentiment lui envahit le coeur, comme si un peu d'humanité venait d'entrer ici. Il fixa les sinistres gardiens, tentant de comprendre les raisons de son bien-être. Mais il ne décela rien d'inhabituel. Les créatures s'éloignèrent mais la chaleur mit quelques minutes à quitter le corps de Sirius Black.

Lyra traversa tout le couloir et descendit les escaliers qui se trouvaient là. Elle se retrouva au premier étage, elle le traversa en coup de vent en se dirigeant vers la sortie. Mais juste avant la grande porte, une ouverture à sa droite attira son attention. Elle hésita un instant, puis fini par s'y engouffrer. Elle se retrouva dans une sorte de tunnel. Un étrange bruissement lui parvint. Elle le suivit sur une centaine de mètres. Le bruit s'accentua, jusqu'à qu'elle parvienne à entendre des gémissements. Quand elle arriva au bout, elle se tenait sur une corniche qui surplombait une grande grotte remplis de lits sur lesquels reposaient des hommes et à leur chevet, des détraqueurs. Le bruit venait de là. Les hommes alités, étaient en fait gravement blessés et gémissaient. A sa droite se trouvait une volée de marche. Elle les descendit et arriva sur une seconde corniche qui lui donna une vue d'ensemble de la salle.

La jeune femme qui avait portant l'habitude du sang, de la mort et de leurs odeurs, se sentit mal. Si elle avait été humaine, elle aurait sans doute vomi. Elle regarda le spectacle qui s'offrait à ses yeux avec dégoût. Une vingtaine d'humains, des homme pour la plupart, étaient étendus sur des brancards, certains étaiten même enchaînés. Par contre tous semblaient gravement, pour ne pas dire, blessés. Des plaies béantes laissaient à l'air libre des organes sanguinolents.

La jeune femme descendit la marche restante et se retrouva au beau milieu des lits, des détraqueurs et des hommes agonisants. Le sang était repandu partout et l'odeur de la chair mise à vif difficilement supportable.

Les couchettes étaient parfaitement alignées sur quatre rangées, de gauche à droite, par degrés de mutilation.

Lyra resta un moment à contempler l'immonde spectacle. Elle semblait figée. Puis elle se reprit et commença à déambuler entre les lits. Au fond de la salle était suspendu un grand rideau bordeaux couvert de taches sombres, et de chaque coté, un détraqueur. Malgré le bruit de la grotte, elle parvint à entendre des hurlements provenant de la partie cachée par les rideaux.

Elle passe devant le gardien et traversa. A peine eut-elle franchie la tenture qu'elle s'arrêta nette, frappée d'horreur. Elle avait devant elle une pièce de la taille d'une salle de classe. Les murs semblaient tapissés de grosses taches, comme sur le rideau, mais ils étaient à la base blancs, on distinguait donc nettement la couleur des taches, un rouge sombre et parfois certaines apparaissaient plus claires. Du sang. La jeune femme ne mis pas longtemps pour comprendre comment les murs avaient été éclaboussés. Au centre de la pièce se trouvait deux lits et sur chacun d'eux, était enchaîné un homme entouré de quatre détraqueurs.

L'un, armé d'un couteau, s'approcha du lit de gauche et leva son arme au dessus du prisonnier qui se débattait et suppliait. Cela ne l'empêcha pas de recevoir l'arme dans le sternum. Il hurla de douleur. Le sang gicla et aspergea au passage Lyra. La jeune femme trop choquée pour réagir ne pût même pas détourner le regard et continua de contempler, impuissante, le carnage. Le détraqueur plongea ses extrémités qui lui faisaient office de main dans la plaie qu'il venait d'ouvrir, se débattit avec les cotes, s'arque bouta et en retira un poumon. De nouveau le "patient" hurla à s'en déchirer les cordes vocales. Son corps se tendit, puis s'affaissa, et dans un dernier sursaut  de douleur l'homme mourut, avec dans ses yeux une expression de douleur et de haine. Le détraqueur rangea le poumon dans une boite entourer d'une auréole rougeâtre, puis retira le second organe qu'il plaça au même endroit. Dans un état second la jeune femme traversa le rideau et retourna dans la grotte principale. Sous le choc, la tête lui tournait. Si elle avait possédé une anatomie humaine, elle aurait vomi. Ses jambes ne la tenaient plus. Elle s'appuya contre un lit. L'homme alité posa sur elle un regard remplit de terreur, de douleur et de folie. Elle se concentra sur son visage pour essayer de reprendre ses esprits. Elle reconnut un des plus grands mangemorts. Il  avait été arrêté une bonne dizaine d'années auparavant et avait été déclaré décédé un mois plus tôt. De toute façon il n'était pas loin de l'être. Des plaies vives couvraient son corps. Normalement aucun être humain ne pouvait rester vivant dans ces conditions. Lyra se rendit compte que chacun des prisonniers de la grotte était maintenu artificiellement en vie grâce à la magie. Mais si cette magie les gardait en vie, elle ne leur épargnait pas la douleur.

La jeune femme eut, de nouveau, envie de vomir...

Les réponses aux reviews :

Willy *qui n'a absolument aucune envie de subir le terrible courroux des lecteurs mais qui se fait pousser par Urumi* : mesdames, mesdemoiselles (le plus grand nombre d'entre vous, je suppose), messieurs,  je vous fait ce petit discours pour m'expliquer de tout ce retard (6 mois c'est pas si long que ça, non ?). Ce n'est pas entièrement de ma faute, Urumi n'as mis que 5 mois pour écrire le chapitre… mais, j'ai eu de gros problèmes avec mon ordinateur pendant plusieurs mois (maintenant j'en ai un nouveau…), j'ai aussi eux de petits problèmes à l'école (me suis un peu fait virée… mais finalement, la situation c'est arrangée…). Et, pour couronner le tout, mon âmes sœur est enfin venue à moi… ou je suis allée à elle, comme vous voudrez. Donc avec tout ça et surtout le peu de reviews que nous avons eu, je n'ai pas eu beaucoup de temps et de motivation… (Et oui maintenant, c'est de votre faute !!!)

Bon à part ça voila. Et maintenant place aux excuses cent fois moins valables que les miennes, de Rourouchinette (Urumi pour ceux qui ne le sauraient pas)… Mais comme d'habitude elle est plongée dans… *roulement de tambour* la lecture, ô combien instructive, pour une personne qui lit du Molière, Baudelaire et j'en passe, de… Lucky Luke !!! Je voudrais bien céder ma place à Miya notre courageuse, je dis bien courageuse, bêta lectrice qui elle aussi est plongée dans une lecture du même niveau que ma chère co-auteur, qui elle aussi semble habituée à des lectures plus intellectuelles (comme les œuvres complète, je crois, de Tolkien (pour les incultes je précise qu'il n'a pas écrit que le Seigneur des Anneaux …)… j'en étais où moi ?? ah oui, Miya lit donc Spirou !!!!!!!!!!!

Urumi *toute aussi gênée que Willy d'autant plus que ses excuses ne sont pas non plus très valables* : Bon déjà, je n'ai pas mis 5 mois a écrire ce chapitre mais seulement  4… Bon c'est déjà pas mal ! Ensuite la hasard faisant mal les choses j'ai moi aussi changé d'ordi et en changeant j'ai perdu le magnifique programme qui me servait à écrire cette fic, le célèbre microsoft word (pourquoi mon nouvel ordi, bien plus performant et bien moins sujet au bug que l'ancien ne possédait pas ce logiciel pourtant basique, c'est une question sur laquelle je ne m'étendrait pas, la réponse n'ayant pas encore été trouvée !). Ensuite j'ai aussi rencontré l'amour (formulation stupide puisque j'ai rencontré l'unique objet de mon affection et de mon ressentiment il y 2 ans et demi mais qu'il n'est devenu « l'Amour » qu'il y a 5 mois… Petit bla bla bla sur ma vie sentimentale si triste et si vide !) mais malheureusement tout cela n'a pas duré et, accablée par la souffrance je ne me sentais pas le cœur à continuer d'écrire… Bon après tout ceci je vous pris d'accepter mes plus humbles excuses et de bien vouloir reviewer… svp… *regard humide de chien battu *

Miya Black :

Urumi : Qu'est ce que Tom fichait dans les toilettes des filles ? Mais ça me parait évident, il n'a trouver que ça pour aller changer sa couche… vu qu'il est incontinent ! *petit clin d'œil à notre chère Elehyn*

Willy : bon, après une demi heure d'explication sur la fic d'Elehyn que je n'ai pas malheureusement pas lu, j'ai compris, alors voila lol et salut Miya !!!

Cyngathi (2x) : Notre première revieuweuse, toujours fidèle, le seras tu encore 6 mois après ? Merci pour tes gentilles reviews, compliments et tout et tout ! On espère que tu aimeras ce chapitre ! Désolé malgré ton *petit regard michant * on a pas beaucoup accélér !

Khellar :

Urumi : Tu oses prétendre que les Gryff' débitent plus de conneries alors que tu te met à délirer sur le retour de Zaz' ? D'abord Zazu-chou n'est pas le maître incontesté du monde sorcier (il est juste celui d'Harry, il lui forme sa culture, un peu comme Yoda ! Vous êtes fières de m'avoir contaminés ???) Que le Schwartz soit avec toi !

Willy : et oui tu as tous compris j'ai toujours été attirer par les beau méchant !!! il sont excitant, ténébreux (logique sa)… bon ok, je me tais je vais choquer les âme sensible !!! Mais si un jours tu rencontre un certain Alexis (tu c qui c non ?) ne lui dit pas ce que je viens d'écrire !!! Et sinon merci pour ta review !!!

Morgane Ceridwen :

Urumi et Willy : Ben merci pour tes compliments et puis euh… tout ce que tu dis dans ta review n'étant plus trop d'actualité (c'est normal ça fait quand même 6 mois !) on va te laisser (à bientôt sur msn… eh oui 6 mois après on arrive à se parler !) !

Urumi : Et vive HH !!!!

Sohalia :

Willy et Urumi : Euh ben euh…. C'est regrettable que tu sois pressée d'avoir la suite… Vu qu'elle n'arrive que 6 mois (et demi… mais faut pas le dire !) après… encore toutes nos excuses… Et merci pour tout tes compliments (en espérant que tu ne nous aies pas oubliés !)

Thomot512 :

Willy (à mon très cher frère (le joueur de R.O le plus nul du monde…), sa génialissime et pleine de tact, sœur !) : Ah bon ? Nous n'accélérons pas le rythme de production ??? T'exagère là, je trouve qu'on est en progrès, on se surpasse je dirai !!!

Urumi : *regard dans le vague * : Il fait beau aujourd'hui je trouve…

Alias :

Urumi et Willy : Le retard ??? Quel retard ??? *lèvent de concert les yeux au ciel* : Il fait beau aujourd'hui je trouve nan ? Ah tu parlais de ton retard… Ben merci quand même pour ta review voila la suite… !

Note : Bon alors pour ceux qui l'auraient oublié un défi avait été lançé sur les noms des espions au service du ministère, et bien il s'agit de deux célèbres (urumi : hum hum… c'est relatif…) cavaliers de saut d'obstacle (détail crucial rajouté par Willy !)