Et voilà la deuxième et dernière partie de ma fic -enfin ! J'ai été
beaucoup plus long à l'écrire que pour la première ( j'avais plus qu'à
faire le chapitre 5 et 6 en fait, vu que j'avais déjà écrit le 4 quand j'ai
édité la deuxième partie ) mais c'était un gros morceau et puis l'école,
toujours l'école.
Elle est quand même plus longue que la première partie et personnellement, je préfère cette deuxième partie ( et déteste résolument les deux tous premiers chapitre de cette fic ).
Ouf, je suis content d'en avoir terminé ( lol ! ) même si je me suis trop amusé en écrivant cette première fic sur le net.
J'espère que vous allez vous amuser autant à la lire.
4) Le déjeuner.
Pendant le repas, Harry fut bien forcé de constater que les cuisines s'étaient surpassée ( comme tous les samedis ). Evidemment, les Steack- hachés-Omellette-Hamburgers-Frites- baignaient dans l'huile et les pichets de jus de viande, que l'on servait maintenant à la place du jus de citrouille, ne rencontraient pas beaucoup de succès, mais il était indéniable que Maïté était sur la bonne voix ; sa cuisine se faisaient de plus en plus légère et raffinée, comme le faisait remarquer Hermione lorsqu'elle relevait les regards accusateurs des autre élèves qui continuaient de lui en vouloir d'avoir libéré tous les elfes de maison.
Elle était justement en train de hurler à Neuville que s'il ne finissait pas son assiette - l'huile comprise, elle ne l'aiderait plus jamais à préparer la moindre potion quand le professeur McGonagall (hé oui ! encore elle. ) vint trouver Harry à sa table pour le prier de la suivre chez le directeur, qui voulait lui parler à propos de sa cicatrice. Harry remarqua qu'elle n'avait pas réussit à essuyer toutes les traces de gloss sur son visage pendant qu'elle ne cessait de se recoiffer pour être présentable devant les caméras, certainement en vue du Prime du soir même ( avec Nikos Imlécasse ! ).
Très vite, il se retrouvèrent au beau milieu d'une grande agitation. Une hystérie collective semblait s'être emparée de dizaines de gens qui couraient en tous sens.
-Qu'est-ce qu'il se passe ? demanda le professeur McGonagall au premier homme venu, qu'elle empoigna par la gorge.
Il n'eut pas besoin de répondre : sur une musique rythmée par un drôle de TIC-TAC, un énorme reptile tourna au coin du couloir.
-Oh, je vois. C'est le crocodile de Peter Gland qui s'est sauvé.
-Mais c'est pas dans le scripte, hurlait une femme.
-Rattrapez-le, s'époumonait le metteur en scène tandis que les armures du couloir s'écartaient sur le passage du reptile.
-Hé !Tachette ! Ca va bien ? cria Harry en reconnaissant la tache jaune que le crocodile poursuivait ?
Après que la ménagerie ait ainsi déboulé jusqu'au bout du couloir, Harry et le professeur McGonagall repartirent et arrivèrent devant les gargouilles qui gardait le bureau de Dumbledore.
-Sorbet Citron-Cassis enrobé de coulis de camembert avec du parmesan et de la purée d'épinards., annonça le professeur de métamorphose.
Rien ne se produisit.
-Ah, c'est vrai. Le nouveau de passe est bidon.
Les gargouilles s'écartèrent.
-Merci les filles !
Après avoir été amené à la porte du bureau du directeur par des escaliers roulant, Harry s'arrêta pour vomir un peu, puis pénétra seul dans la pièce qu'il aimait tant, chargée de sagesse et d'objets étranges dont le plus précieux, le sous fétiche de Dumbledore, trônait sur un piédestal, sous une cloche de verre.
Cependant, le professeur Dumbledore n'était pas derrière son bureau. A sa place se tenait une espèce d'affreux nain tout vert et tout poilu.
-Ah ! Enfin te voilà, jeune Padawan.
-Vous etes qui, vous ?
-Formé tu ne sera pas. La force toi en puissante est, mais vieux tu trop es*.
-C'est vous qui dites ça ? Non mais regarde-toi, vieux bouc.
-Sale nain à lunettes !Prend ça ! ( il lui envoya sa cane à la figure et se bloqua les vertèbres au passage, d'après ce que ses hurlement laissaient entendre ).
-TAISEZ-VOUS, hurla un vieillard à barbe blanche.
-Professeur.Mais.qui etes-vous ?
-le petit frère de votre directeur, mais appelez-moi Gandalf.
-Qu'est-ce que vous faites ici, vous n'étiez pas censé détruire une bague ? Ah non ! c'est vrai ! Vous deviez la retrouver.pour vous marier, j'imagine. Sans vouloir être méchant, ils doivent vraiment toucher le fond pour vous avoir engagé, à Bachelor.
-Je dois tout simplement détruire l'Anneau Unique, répondit Gandalf. Mais à mi-temps seulement. Et puis, l'elfe a du mal, ces temps-ci. Il devait tourner sa première scène avec son arc, mais il a envoyé notre réalisateur à l'infirmerie.
-Et.euh.où est le professeur Dumbledore ?
-Eh bien.
-Je suis là, fit la voix étouffée du directeur de Poudlard.
Un bruit de chasse d'eau se fit entendre et le professeur Dumbledore sortit des toilettes, alla jeter une bonne dizaine de rouleaux de papier toilette vides dans sa corbeille à papier qui rota bruyamment, ce qui lui valu un coup de pied ( « Tiens ! Prend ça, saleté ! » ), et alla déloger Gandalf de son fauteuil pour s'y asseoir.
-Hé bien, au revoir. A la prochaine, lança celui-ci.
-Au revoir, répondit Dumbledore. Je te prie de m'excuser, Harry, mais j'ai été bloqué là-bas depuis trois jour. Sûrement à cause d'un des plats de notre cuisinière. J'ai toujours dit que c'était trop lourd. Ou alors les aliment étaient avariés. Toujours est-il que l'heure est grave. Je pense que maintenant que tu as pu voir de tes propres yeux Lord Voldemort proclamer qu'il allait manger des Nuggets à la volaille le soir même, tu es assez âgé et sûrement prêt à entendre la vérité au sujet d'une prophétie dont personne n'est au courant à part moi, bien sur, que personne ne t'as jamais raconté et que je m'apprête à t'apprendre. Tu es l'Elu, ce qui veut dire que quand Bouffy
-La blondasse du 6e ?
-Oui. Quand elle sera morte, ça sera ton tour d'aller tuer les vampire moches et te taper ceux qui sont beaux. Mais la prophétie que je m'apprête à te raconter est bien plus ancienne et mystique que cela. Evidemment, je vais sortir quelque chose que tout le monde sait déjà pour essayer de faire grimper l'audimat au Prime de ce soir, mais je te prierai de m'écouter attentivement. Tout d'abord, je dois te raconter la vérité sur tes parents. En plus d'être sorciers, ils étaient agent triples pour la CIA, le W-C 6, et les U2 ainsi que pour le K-gibi, la CIA aussi ( c'est là qu'ils se sont connus, en fait ) et l'A-Bpierre, ce qui fait que personne ne sait vraiment pour qui ils travaillaient réellement. Ensemble, ils ont réussit à rassembler l'?uvre de Crémossobaldi, celui qui a importé la Marijuana en Italie au XVe siècle. Ils ont ainsi créé une recette de yaourt véritablement 0% matière grasse ( mais infect ) et une machine à voyager dans le temps. Après avoir fait un bond de 2 ans dans le futur, ils se sont aperçu qu'ils ne conduisaient pas sur la bonne voie et ont essayé de faire marche arrière. Le problème, c'est qu'ils avaient oublié le frein et la marche arrière. C'est ainsi qu'ils sont morts d'un accident de la circulation. Seulement, au dernier moment, ta mère a tenté un sort pour se sortir de là. Comme tu n'arrêtait pas de brailler dans le haut parleur pour bébé qu'elle avait laissé dans ta chambre, elle a foiré son coup et depuis, un sortilège très puissant te protège en permanence. Maintenant, la prophétie concerne un enfant né en Juillet et dont les parents seraient les plus grands gloglos de tous les temps. Ca ne laissait le choix qu'entre toi et Neuville, mais comme tes parents battaient quand même tous les records dans ce domaine, cela ne fait aucuns doutes, c'est bien toi que la prophétie concerne. Maintenant, je vais t'apprendre de quoi il est question : Voldemort ne t'aime pas, et il veut te tuer. Je dois t'avouer en plus que comme il y aura le Prime ce soir, une note de dramatique ne fera pas de mal.
Un lourd silence s'installa, que seul des grignotement interrompaient. Cornélius Fudge se tenait derrière eux, ainsi que Percy Weasley. Il était occupé à manger de Brétzèles.
-Oh ! Bonjour, Cornélius.
-Vous savez pourquoi nous somme là ?
-Je suis sur que vous allez me le dire.
-Pour jouer les imbéciles paranoïaques, me faire détester de tout le monde, puis me faire mettre une raclée par vous, lança joyeusement le ministre de la magie, un sourire joyeux sur le visage, Allons-y.
-Tout de suite ?
-Oui !
-Oh, vous etes en forme, aujourd'hui.
-Vous n'allez tout de même pas croire ce garçon, Dumbledore
-Pourquoi ? Parce que c'est un mythomane qui n'a qu'une passion, celle de figurer dans les journaux et parce que je n'arrête pas de partager mon temps entre ce bureau, ces toilettes, et la section psychiatrique de St Mangouste ?
-Oui ! s'exclama Fudge. Vous avez compris ! C'est tout à fait ça.
-Alors, oui ou non, vais-je vous croire ?
-Il faut croire en la force, fit le nain affreux qui était toujours là.
-La ferma. Réfléchissez un peu, Fudge, vous qui me connaissez si bien.
Le visage de Fudge se crispa en un douloureux effort de concentration. Son teint vira au rouge, puis au violet.ses yeux s'ouvrirent en grand.
-Entreverriez-vous la réponse, Cornélius, demanda aimablement Dumbledore.
Mais celui-ci ne dit rien, trop occupé à s'étrangler avec les Brétzèles.
-Dumbledore, enfin.s'indigna Percy, vous savez très bien qu'il est incapable de faire deux choses en même temps Le faire réfléchir alors qu'il était en train d'avaler une bouchée.
-Tu peux y aller, Harry, je vais arranger ça, dit Dumbledore, si j'ai la malchance d'en avoir le temps.
-Et que la force soit avec toi, jeune Padawan !
Harry ressortit du bureau et se rendit en directions du Grand Hall pour rejoindre les autres élèves pour la sortie à Près-au-Lard. En chemin, il recroisa le crocodile, son TIC-TAC et sa drôle de musique qui suivait docilement les membres de l'équipe de tournage tandis que le metteur en scène se tapait la tête contre un mur en pleurant et que la jeune femme de tout à l'heure tentait de le consoler en lui tapotant le dos.
-Il nous a foutu Peter par la fenêtre.
-Oui mais il était bête, aussi de croire qu'il pouvait voler.
Comme les pleurs ne cessaient pas, elle ajouta :
-Et puis c'est seulement la troisième fée qu'il nous bouffe. C'est pas la fin. On en retrouvera bien une.
* prière de remettre les mots dans le bon ordre, SVP
Elle est quand même plus longue que la première partie et personnellement, je préfère cette deuxième partie ( et déteste résolument les deux tous premiers chapitre de cette fic ).
Ouf, je suis content d'en avoir terminé ( lol ! ) même si je me suis trop amusé en écrivant cette première fic sur le net.
J'espère que vous allez vous amuser autant à la lire.
4) Le déjeuner.
Pendant le repas, Harry fut bien forcé de constater que les cuisines s'étaient surpassée ( comme tous les samedis ). Evidemment, les Steack- hachés-Omellette-Hamburgers-Frites- baignaient dans l'huile et les pichets de jus de viande, que l'on servait maintenant à la place du jus de citrouille, ne rencontraient pas beaucoup de succès, mais il était indéniable que Maïté était sur la bonne voix ; sa cuisine se faisaient de plus en plus légère et raffinée, comme le faisait remarquer Hermione lorsqu'elle relevait les regards accusateurs des autre élèves qui continuaient de lui en vouloir d'avoir libéré tous les elfes de maison.
Elle était justement en train de hurler à Neuville que s'il ne finissait pas son assiette - l'huile comprise, elle ne l'aiderait plus jamais à préparer la moindre potion quand le professeur McGonagall (hé oui ! encore elle. ) vint trouver Harry à sa table pour le prier de la suivre chez le directeur, qui voulait lui parler à propos de sa cicatrice. Harry remarqua qu'elle n'avait pas réussit à essuyer toutes les traces de gloss sur son visage pendant qu'elle ne cessait de se recoiffer pour être présentable devant les caméras, certainement en vue du Prime du soir même ( avec Nikos Imlécasse ! ).
Très vite, il se retrouvèrent au beau milieu d'une grande agitation. Une hystérie collective semblait s'être emparée de dizaines de gens qui couraient en tous sens.
-Qu'est-ce qu'il se passe ? demanda le professeur McGonagall au premier homme venu, qu'elle empoigna par la gorge.
Il n'eut pas besoin de répondre : sur une musique rythmée par un drôle de TIC-TAC, un énorme reptile tourna au coin du couloir.
-Oh, je vois. C'est le crocodile de Peter Gland qui s'est sauvé.
-Mais c'est pas dans le scripte, hurlait une femme.
-Rattrapez-le, s'époumonait le metteur en scène tandis que les armures du couloir s'écartaient sur le passage du reptile.
-Hé !Tachette ! Ca va bien ? cria Harry en reconnaissant la tache jaune que le crocodile poursuivait ?
Après que la ménagerie ait ainsi déboulé jusqu'au bout du couloir, Harry et le professeur McGonagall repartirent et arrivèrent devant les gargouilles qui gardait le bureau de Dumbledore.
-Sorbet Citron-Cassis enrobé de coulis de camembert avec du parmesan et de la purée d'épinards., annonça le professeur de métamorphose.
Rien ne se produisit.
-Ah, c'est vrai. Le nouveau de passe est bidon.
Les gargouilles s'écartèrent.
-Merci les filles !
Après avoir été amené à la porte du bureau du directeur par des escaliers roulant, Harry s'arrêta pour vomir un peu, puis pénétra seul dans la pièce qu'il aimait tant, chargée de sagesse et d'objets étranges dont le plus précieux, le sous fétiche de Dumbledore, trônait sur un piédestal, sous une cloche de verre.
Cependant, le professeur Dumbledore n'était pas derrière son bureau. A sa place se tenait une espèce d'affreux nain tout vert et tout poilu.
-Ah ! Enfin te voilà, jeune Padawan.
-Vous etes qui, vous ?
-Formé tu ne sera pas. La force toi en puissante est, mais vieux tu trop es*.
-C'est vous qui dites ça ? Non mais regarde-toi, vieux bouc.
-Sale nain à lunettes !Prend ça ! ( il lui envoya sa cane à la figure et se bloqua les vertèbres au passage, d'après ce que ses hurlement laissaient entendre ).
-TAISEZ-VOUS, hurla un vieillard à barbe blanche.
-Professeur.Mais.qui etes-vous ?
-le petit frère de votre directeur, mais appelez-moi Gandalf.
-Qu'est-ce que vous faites ici, vous n'étiez pas censé détruire une bague ? Ah non ! c'est vrai ! Vous deviez la retrouver.pour vous marier, j'imagine. Sans vouloir être méchant, ils doivent vraiment toucher le fond pour vous avoir engagé, à Bachelor.
-Je dois tout simplement détruire l'Anneau Unique, répondit Gandalf. Mais à mi-temps seulement. Et puis, l'elfe a du mal, ces temps-ci. Il devait tourner sa première scène avec son arc, mais il a envoyé notre réalisateur à l'infirmerie.
-Et.euh.où est le professeur Dumbledore ?
-Eh bien.
-Je suis là, fit la voix étouffée du directeur de Poudlard.
Un bruit de chasse d'eau se fit entendre et le professeur Dumbledore sortit des toilettes, alla jeter une bonne dizaine de rouleaux de papier toilette vides dans sa corbeille à papier qui rota bruyamment, ce qui lui valu un coup de pied ( « Tiens ! Prend ça, saleté ! » ), et alla déloger Gandalf de son fauteuil pour s'y asseoir.
-Hé bien, au revoir. A la prochaine, lança celui-ci.
-Au revoir, répondit Dumbledore. Je te prie de m'excuser, Harry, mais j'ai été bloqué là-bas depuis trois jour. Sûrement à cause d'un des plats de notre cuisinière. J'ai toujours dit que c'était trop lourd. Ou alors les aliment étaient avariés. Toujours est-il que l'heure est grave. Je pense que maintenant que tu as pu voir de tes propres yeux Lord Voldemort proclamer qu'il allait manger des Nuggets à la volaille le soir même, tu es assez âgé et sûrement prêt à entendre la vérité au sujet d'une prophétie dont personne n'est au courant à part moi, bien sur, que personne ne t'as jamais raconté et que je m'apprête à t'apprendre. Tu es l'Elu, ce qui veut dire que quand Bouffy
-La blondasse du 6e ?
-Oui. Quand elle sera morte, ça sera ton tour d'aller tuer les vampire moches et te taper ceux qui sont beaux. Mais la prophétie que je m'apprête à te raconter est bien plus ancienne et mystique que cela. Evidemment, je vais sortir quelque chose que tout le monde sait déjà pour essayer de faire grimper l'audimat au Prime de ce soir, mais je te prierai de m'écouter attentivement. Tout d'abord, je dois te raconter la vérité sur tes parents. En plus d'être sorciers, ils étaient agent triples pour la CIA, le W-C 6, et les U2 ainsi que pour le K-gibi, la CIA aussi ( c'est là qu'ils se sont connus, en fait ) et l'A-Bpierre, ce qui fait que personne ne sait vraiment pour qui ils travaillaient réellement. Ensemble, ils ont réussit à rassembler l'?uvre de Crémossobaldi, celui qui a importé la Marijuana en Italie au XVe siècle. Ils ont ainsi créé une recette de yaourt véritablement 0% matière grasse ( mais infect ) et une machine à voyager dans le temps. Après avoir fait un bond de 2 ans dans le futur, ils se sont aperçu qu'ils ne conduisaient pas sur la bonne voie et ont essayé de faire marche arrière. Le problème, c'est qu'ils avaient oublié le frein et la marche arrière. C'est ainsi qu'ils sont morts d'un accident de la circulation. Seulement, au dernier moment, ta mère a tenté un sort pour se sortir de là. Comme tu n'arrêtait pas de brailler dans le haut parleur pour bébé qu'elle avait laissé dans ta chambre, elle a foiré son coup et depuis, un sortilège très puissant te protège en permanence. Maintenant, la prophétie concerne un enfant né en Juillet et dont les parents seraient les plus grands gloglos de tous les temps. Ca ne laissait le choix qu'entre toi et Neuville, mais comme tes parents battaient quand même tous les records dans ce domaine, cela ne fait aucuns doutes, c'est bien toi que la prophétie concerne. Maintenant, je vais t'apprendre de quoi il est question : Voldemort ne t'aime pas, et il veut te tuer. Je dois t'avouer en plus que comme il y aura le Prime ce soir, une note de dramatique ne fera pas de mal.
Un lourd silence s'installa, que seul des grignotement interrompaient. Cornélius Fudge se tenait derrière eux, ainsi que Percy Weasley. Il était occupé à manger de Brétzèles.
-Oh ! Bonjour, Cornélius.
-Vous savez pourquoi nous somme là ?
-Je suis sur que vous allez me le dire.
-Pour jouer les imbéciles paranoïaques, me faire détester de tout le monde, puis me faire mettre une raclée par vous, lança joyeusement le ministre de la magie, un sourire joyeux sur le visage, Allons-y.
-Tout de suite ?
-Oui !
-Oh, vous etes en forme, aujourd'hui.
-Vous n'allez tout de même pas croire ce garçon, Dumbledore
-Pourquoi ? Parce que c'est un mythomane qui n'a qu'une passion, celle de figurer dans les journaux et parce que je n'arrête pas de partager mon temps entre ce bureau, ces toilettes, et la section psychiatrique de St Mangouste ?
-Oui ! s'exclama Fudge. Vous avez compris ! C'est tout à fait ça.
-Alors, oui ou non, vais-je vous croire ?
-Il faut croire en la force, fit le nain affreux qui était toujours là.
-La ferma. Réfléchissez un peu, Fudge, vous qui me connaissez si bien.
Le visage de Fudge se crispa en un douloureux effort de concentration. Son teint vira au rouge, puis au violet.ses yeux s'ouvrirent en grand.
-Entreverriez-vous la réponse, Cornélius, demanda aimablement Dumbledore.
Mais celui-ci ne dit rien, trop occupé à s'étrangler avec les Brétzèles.
-Dumbledore, enfin.s'indigna Percy, vous savez très bien qu'il est incapable de faire deux choses en même temps Le faire réfléchir alors qu'il était en train d'avaler une bouchée.
-Tu peux y aller, Harry, je vais arranger ça, dit Dumbledore, si j'ai la malchance d'en avoir le temps.
-Et que la force soit avec toi, jeune Padawan !
Harry ressortit du bureau et se rendit en directions du Grand Hall pour rejoindre les autres élèves pour la sortie à Près-au-Lard. En chemin, il recroisa le crocodile, son TIC-TAC et sa drôle de musique qui suivait docilement les membres de l'équipe de tournage tandis que le metteur en scène se tapait la tête contre un mur en pleurant et que la jeune femme de tout à l'heure tentait de le consoler en lui tapotant le dos.
-Il nous a foutu Peter par la fenêtre.
-Oui mais il était bête, aussi de croire qu'il pouvait voler.
Comme les pleurs ne cessaient pas, elle ajouta :
-Et puis c'est seulement la troisième fée qu'il nous bouffe. C'est pas la fin. On en retrouvera bien une.
* prière de remettre les mots dans le bon ordre, SVP
