La suite de l'histoire la plus conne du monde!
La suite d'au moins une des plus connes!
Disclaimer : Aucun personnage ne m'appartient… Jusqu'à présent! À part Rarris et Ptykon! Ils appartiennent à J.K. Rowling… Je ne possède personne… Sauf ceux que je manipule… Un tantinet! *^_^*
Voilà la suite de l'histoire en question!
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Comme il avait pu s'y attendre, Harry se réveilla cet autre matin avec, une fois de plus, un mal fou au front, mais aussi avec le pressentiment que cette journée, bien qu'ensoleillée, serait affreuse et vile, puisqu'il avait à la passer en compagnie de Dudley.
Dudley : (hurlation provenant du rez-de-chaussée) Maman! Je ne veux pas manger de ton foutu pamplemousse! J'veux des gâteaux! J'veux des glaces! J'veux plein de cochonneries! Mais pas de PAMPLEMOUSSE!!!
Pétunia : Dudlychounet, tu dois manger ta tranche de pamplemousse, c'est bon pour toi…
Vernon : Voyons Pétunia, si tu ne lui fais manger qu'un si petit peu, il ne pourra jamais devenir aussi fort et costaud que son père (manière polie de dire gros et obèse ^_^), n'est-ce pas mon garçon?
Dudley approuva d'un petit signe de tête tandis que son père lui donnait un bon pain moelleux Pom entier (quel gaspillage!) avec des tonnes de confiture aux myrtilles. Harry, d'en haut, entendant très lassablement, mais toujours obligatoirement ces querelles se faisant d'ailleurs de plus en plus souvent, soupira.
Harry : J'ai tellement hâte que Ron arrive…
Dudley monta bientôt en faisant entendre un rot qui aurait pu faire tomber la Tour Eiffel (mais c'est en France, et nous sommes en Angleterre, quel dommage!). Harry tenta de ne pas faire de bruit afin que son porc de cousin ne vienne pas l'importuner mais en vain. Une tornade de gras titubante fit éruption dans la chambre du binoclard en criant.
Dudley : Eh, tu sais quoi? Tu sais quoi? Aujourd'hui, on s'en va m'acheter un p'tit chien! Et j'le dresserai pour qu'il te morde les fesses! Ha ha ha !
Et Dudley se sauva en mimant la grimace la plus mature qu'il pouvait faire, sous l'air totalement dégoûté de Harry qui aurait voulu se trouver n'importe où sauf ici et en ce moment. En effet, Harry avait toujours détesté les chiens, sauf, bien entendu, celui qu'était son parrain. Ceux de sa « tante » Majorie étaient sans hésitation les pires de tous. Il allait vraiment se faire massacrer… Espérons au moins qu'il ne s'agirait pas d'un bouledogue méchant et féroce, pensa Harry…
Plus loin se régimaient les souris entraînées de Rarris, la souris domestique de Voldemort, à laquelle, sa bien-aimée souris, il avait donné la parole (tous les animaux de même race peuvent parler ensemble, sans aucun doute, mais Rarris pouvait sans problème être entendue et comprise par les humains de tous genres)…
Rarris : Un, deux, un, deux, un, deux, un, deux… Allez on saute!
Et toute la troupe sauta. Sauf une souris.
Rarris : Un, deux, un, deux, un, deux, un, deux… Allez on rampe!
Et toute la meute rampa. Sauf une souris.
Rarris : Un, deux, un, deux, un, deux, un, deux… Allez on cours!
Et toute la bande courut. Sauf une souris.
Rarris : O.K. Mwaaaaahaaaaaahaaaaaaaah!!! Au repos tout le monde! Sauf une souris. TOI! Tu me fais toujours rager! Ptykons, va me faire trente pompes! Mwaaaaahaaaaaahaaaaaaaah!!!
Ptykon était le seul qui avait toutes les misères de monde à suivre les commandements de Rarris. Il avait beau essayer, malgré cela il trébuchait, ou courrait moins vite que les autres, ou avalait du sable, bref, il lui arrivait toujours un malheur. On aurait facilement pou le qualifier de Neville souricien. Et il se faisait maltraiter par Rarris… Elle ne le ménageait jamais. Et alors il devait toujours en faire plus. Pourquoi s'était-il embarqué dans cette armée merdique? se demandait-il souvent. Parce que ses parents, très pauvres, devaient survivre de peine et de misère, et donc, allant à l'armée, Ptykon, tous repas payés, sans oublier le logement, pourrait survivre. Quel désastre… Il avait vite tiré conclusion qu'il était le pire de tous et, dépressif, il avait même prévu se suicider l'après-midi même. Il faisait ses pompes quand il recommença avec le groupe suivre les commandements de Rarris la diabolique.
Vernon : Harry! Dépêche-toi nous partons!
Dudley : VITE!!! Je veux mon chien!
Harry n'en croyait pas ses oreilles. Il avait cru qu'il resterait toute la journée placardé dans ce qu'il pouvait appeler une chambre sans sortir. Mais s'il n'en croyait pas ses oreilles, ce n'était pas positif… Il avait cru avoir un peu de repos! Mais ce n'était pas le cas. Il devait aller avec Dudley. C'était assez déprimant. Il descendit en troisième vitesse pour ne pas se faire battre s'il n'arrivait pas.
Vernon : Dis donc, tu arrives avant Noël ou pas?
Harry : Oui, Oncle Vernon, je viens, je viens…
Et ils partirent pour l'animalerie du centre-ville, Harry découragé, et Dudley, avec sa grosse face et ses yeux porcins, tout content. Harry avait une fois de plus vraiment hâte à demain. Ron viendrait enfin le chercher et ce serait la fin de l'enfer… Du moins pour cette année.
Une fois rendus au centre-ville, Harry aperçut l'animalerie… Que toute sa « famille » cherchait. Mais il n'avait aucunement envie d'y aller. Il avait plutôt envie d'aller se promener et d'être libre, hors de la responsabilité de gardiens de son oncle et de sa tante. Alors il se sauva. Il fit une diversion plutôt réussie : Il décida de faire tomber une p'tite vieille qui se promenait en marchette près d'un magasin d'artisanat. Personne ne l'aperçut mais définitivement tout le monde se trouvant dans la rue entendit le fracas de la madame s'écrasant sur le bitume froid. Harry pria pour qu'elle ne l'ait pas aperçu mais comme on l'apprit plus tard, la pauvre madame pensa qu'elle avait dû glisser sur un déchet quelconque qui devait traîner par terre quelque part près de là. Mais Harry l'avait prise par derrière, alors ça lui donnait plus de chances de s'enfuir. Il était toujours sceptique à propos du fait que peut-être, quelqu'un aurait pu l'apercevoir poser cet acte malveillant mais il ne le croyait pas vraiment. C'est alors qu'il savait qu'il pouvait librement se promener dans les rues du centre-ville de Londres. C'est ce qu'il fit.
Ptykon avait mangé sa collation en cachette de Rarris, qui ne lui permettait pas de reprendre des forces quand bon cela lui semblait puis décida qu'il en était temps. Il se sauva du camp d'armée infernal qui lui faisait la vie plus dure que s'il avait été mourrant de faim chez lui avec ses parents. Rarris prenant et donnant une pause aux soldats ratiens et souriciens, Ptykon s'enfuit. Une course folle s'ensuivit. Mais tout seul. Tellement paranoïaque qu'il était, Ptykon croyait que les autres le poursuivaient à une vitesse folle, et donc courait de toute la force que pouvaient lui offrir ses petites pattes. De toutes façons, plus rien ne pouvait compter, il serait bientôt au paradis des souris. Quand il s'avoua vaincu (contre lui-même), il trouva le chemin d'un égout visqueux et pas très intéressant (pour nous) qui lui convenait parfaitement. Il écrirait une lettre à ses pauvres parents pour leur dire que ce camp de concentration fut sa mort et que, comme ils ne pouvaient probablement plus le reprendre chez eux et qu'il devaient, à eux seuls, avoir du mal à survivre, il était mieux de se débarrasser de lui… Et qu'il se suicidait.
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Voilà c'est mon deuxième chapitre. O.K., j'avoue, il est pas vraiment beaucoup humoristique mais ça va venir… Ce n'est qu'un début! Rewiews PLEAZZZZZ!!! J'vous aimeuh mais j'ai bzoin d'un p'tit public quand même… Sinon j'aime dans l'vide!
*Will*
*Lij*
*Neo*
Faudrait pas en mettre trop mais j'en mets trop!!! Yahoo!!! * !* ! NEA !* !*
