La reresuite de l'histoire la plus conne au monde!

La reresuite d'au moins une des plus connes!

Disclaimer : Aucun personnage ne m'appartient. Jusqu'à présent! À part Rarris et Ptykon! Ils appartiennent à J.K. Rowling. Je ne possède personne. Sauf ceux que je manipule. Un tantinet!

Voici la reresuite de l'histoire en question!

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Harry était très fier de lui! Il avait réussi à retourner à la maison avec son bêta de cousin sans chien dans ses jambes! C'était merveilleux! Mais il n'aurait pas dit non au petit chien tout mignon tout noir qui aurait ressemblé à un p'tit bébé Sirius… Enfin, il faut croire que c'était mieux ainsi. Vernon avait bien entendu chialé après Harry une bonne heure mais ç'aurait été surprenant voire même bizarre qu'il ne le fasse pas. Il s'endormit ce soir-là en se demandant quand Ron viendrait le chercher dans la journée demain.

Ron, pour sa part, était prêt à aller chercher Harry au beau milieu de la nuit. De cette manière, il ne pourrait pas déranger l'oncle et la tante de son meilleur ami, ni, bien entendu, ses parents à lui. Alors vers minuit, il se leva de son lit, et, écoutant attentivement en quête d'un son clandestin, il se dirigea silencieusement vers la cuisine où se trouvait le foyer.

Ron : Je me demande quel nom je dois donner pour sa maison? Je vais donner hem… Dursley… Oui, Dursley, juste Dursley, ça me paraît bien.

Il jeta de la poudre de cheminette dans le foyer. Alors il s'approcha de l'antre et annonça pas très clairement…

Ron : Hem Du… Dursley!

Et une grande flamme verte s'empara de son corps qui fut transporté on ne sait où, dans un pays où, il avait beau faire un grand soleil, n'était pas si rassurant que ça à première vue. Ron crut tout d'abord, un bref instant, être dans le jardin des Dursley puis il se rendit compte de trois choses qui lui prouvèrent que ça n'était pas le cas.

Uno : Il faisait un grand soleil et il était parti de chez lui à minuit;

Secundo : Le champ en avant de lui s'étendait à perte de vue;

Tertio : Mais surtout, la cheminée par laquelle il était sorti, tenait dans le vide, pas sur un mur, et n'avait aucune « cheminée », justement.

Il n'y avait rien pour évacuer la fumée sortant du foyer, et, se rappela Ron, d'habitude, les gens n'ont pas vraiment l'idée d'installer une cheminée dans leur jardin, où elle n'était malheureusement pas d'une grande utilité. Alors il dût s'avouer qu'il était bel et bien perdu. Mais le pire dans tout ça, c'est qu'il n'avait pas laissé de mot chez lui, pour dire à ses parents, mais surtout à sa mère, où il était allé… Et qui sait combien de temps cela lui prendrait pour retrouver le chemin du Terrier…

Ptykon sortit de la poche du manteau posé sur la chaise du coin de la chambre.

Ptykon : Que je suis brillant! Quelle bonne idée j'ai eue! Il ne faut pas rêver, ma belle, mais ce coup-ci, tu ne pourras pas t'en vanter, pour une fois!

Il tremblait de tous ses membres, comme si le fait de se croire un tant soit plus courageux lui faisait peur. On aurait dit aussi qu'il craignait que Rarris l'entende parler d'elle de cette manière. Il avait Harry Potter entre les mains. Il en faisait ce qu'il voulait.

Ptykon : Non, non, rêve pas vieux, tu es qu'un nul… Tu ne peux pas avoir Harry Potter à toi tout seul! Rarris te le répétait souvent… Tu n'es pas bon, pas bon du tout…

Harry se retourna dans son sommeil.

Ptykon : Ah, ça y est, il va me trouver et m'écraser comme une crêpe… Je suis si faible… Aaahh!

Et il continua ainsi à se maudire et à se traiter de tous les noms jusqu'au lever du soleil, c'est-à-dire jusqu'à ce que Harry se réveille, puis il retourna se cacher dans un des coins poussiéreux du garde-robe de celui-ci. En fait, ce qui s'était passé est que, sans que Harry s'en rende compte, Ptykon se glissa dans sa poche de manteau lorsqu'ils se trouvaient à l'animalerie. Quel acte de bravoure venant de Ptykon! Surtout que son nom dit vraiment tout au sujet de son Q.I. … Enfin, Harry ne s'en était pas rendu compte (c'est ce qui compte), et il le ramena tout bonnement avec lui au 4 Privet Drive.

Pendant ce temps, Ron était tout ce qu'il y avait de plus perdu. Il avait passé au moins 4 fois près d'un arbre en guimauve dans lequel il poussait des moutons roses et au moins 8 fois aussi à côté d'un lac de ce qui semblait être des tomates fondues… Sans oublier la rencontre avec une girafe à dents de vampires qu'il put néanmoins heureusement éviter en se cachant sous une roche de carton qui traînait près de là. La cerise sur le sundae, c'était que, con qu'il est, il avait bien entendu omis de disperser de contenu de ses poches pour retrouver par la suite le chemin de la cheminée. Pourquoi n'y serait-il pas immédiatement retourné? Parce que c'était Ron. (Voyons, vous me prenez pour qui? ^_^ ) Et qu'il était stupide. Tout simplement. Mais aussi parce qu'il n'avait pas pansé de rapporter de la poudre de cheminette avec lui pour faire le chemin du retour. Perdu. Perdu vraiment beaucoup. Alors il alla manger un peu de guimauve dans l'arbre de guimauve. Il se promit d'en rapporter un peu chez lui et d'essayer d'en planter une… Qui sait… Tout ce qui vient de ce monde peut être complètement débile…

Harry se réveilla se matin là en ayant très hâte que la journée soit terminée. Au moins d'ici la fin de la journée il aurait rejoint Ron et sa famille au Terrier. C'est ce qu'il croyait. *Gnark, gnark!*

Molly et Arthur Weasley se réveillèrent aussi ce matin-là et descendirent pour déjeuner. Percy, Fred et George étaient déjà debout mais Ginny et Ron semblaient encore en haut en train de dormir. Ginny descendit alors en trombe mais malheureusement pour elle, manqua une marche et descendit les six autres en positions plutôt acrobatiques mais non voulues…

Ginny : Mmmn!! Mmmn! Ai vu Rn! Yer sor! Pati dans chminé aec poud!

Molly, Arthur, Fred, George, Percy : Quoi?

Ginny avait en effet perdu quelques dents en prenant sa belle débarque dans la cage d'escaliers et tout le monde présent dans la cuisine au moment même où elle avait parlé… et bien, la prenait pour une folle échappée de l'asile. Elle décida de faire comme dans les cartoons. Elle remonta, et redescendit, soigneusement cette fois, et ses dents étaient réapparues. Et elle put recommencer.

Ginny : Maman!! Maman! J'ai vu Ron! Hier soir! Parti dans la cheminée avec la poudre!

Molly semblait n'avoir pas compris –elle n'était pas en train de se fâcher!- mais soudain elle partit en courant dans les escaliers, Ginny derrière elle. Arrivée dans la chambre de Ron, elle ne put s'empêcher de pousser un cri. Elle avait fait la même chose que Ginny, qui, en se levant, et, en se rappelant d'hier soir, s'était dite que peut-être il serait revenu le matin… Elle était allée le vérifier et dès qu'elle n'eut pas vu Ron elle se précipita en bas, il faut croire, un peu trop vite. Mais non. Molly était tout à fait dans son état normal.

Molly : RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et, presque assurément…

Ron : Je rêve moi, où j'ai cru entendre ma mère m'appeler? C'est vrai! Je suis revenu chez moi!!!

Et il se mit à courir comme une carotte… (Comment autre diable aurait-il pu courir puisque c'est ce qu'il est?) Mais une carotte plutôt dingo. Il nous faut tous se l'avouer. Mais en effet Molly avait une voix plutôt puissante et peut importe où Ron aurait bien pu se trouver, il l'aurait entendue pour sûr. Même Harry l'avait entendue. Et Ptykon qui croyait virer fou. Bref… ce cri fut assez portant.

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Comme moi! Ça s'en vient, ça s'en vient, je vous le jure! Bon c'est nul, j'avoue, mais que voulez vous, « On ne peut pas fesser dedans à tous les coups »* Continuez quand même à me lire… Sinon je désespère! Rewiews PLEAZZZ!! C'est pas parce que c'était poche cette fois ci que ça va toujours l'être… O.K., je suis une auteure pathétique mais je vais essayer de me forcer… Pis à part ça, ben on est dans le coin humour facke si c'est con ben c'est tant mieux! –Le vrai problème, c'est que c'est pas assez con… J'arrête de me lamenter sur mon sort! Ciao! En passant ça me prend au moins 5-6-7-8 rewiews pour mettre la suite!

*Will*

*Lij*

*Neo*

Faudrait pas en mettre trop mais moi j'en mets trop!!! Yahoo!!!                                                                                         *!*! NEA !*!*

*Ma philosophie.