La rereresuite de l'histoire la plus conne au monde!
La rereresuite d'au moins une des plus connes!
Disclaimer : Aucun personnage ni expression ni lieu ne m'appartient. Jusqu'à présent! À part Rarris et Ptykon et maintenant le lieu de Hurmslay! Ils appartiennent à J.K. Rowling. Je ne possède personne. Sauf ceux que je manipule. Un tantinet!
Voici la rereresuite de l'histoire en question!
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Ron était arrivé devant une pancarte disant « Hurmslay » C'est alors qu'il comprit. Ce fut très étonnant. (J'avais manqué tomber de ma chaise ^^) En prononçant le nom des Dursley avec une « certaine » hésitation, cela l'avait conduit ici. À Hurmslay. Il n'avait aucune idée d'où c'était en vérité mais il avait un nom, c'était mieux que rien.
Rarris, durant ce temps, s'ayant rendu compte depuis le jour d'avant que Ptykon s'était sauvé, malmenait vraiment son armée qui commençait à être fuyante. Toutes les souris et tous les rats étaient prêts à l'attaque mais leurs capacités faiblissaient vu la mauvaise humeur de Rarris qui ordonnait tout par-ci par-là. L'attaque ne devait pas être très loin aux yeux de Rarris… Et durant ce temps, l'entraînement continuait!
Harry, lui, était enfermé dans sa chambre quand il reçut plusieurs hiboux par la fenêtre, qu'il espérait que son débile d'oncle n'ait pas aperçus. Un d'entre eux était Hedwige, un autre, Coq, le petit hibou tout chou mais néanmoins hyperactif de Ron, deux hiboux de l'école et un autre oiseau dont il ne connaissait pas la provenance. Ils lui apportaient ses cadeaux de fête, laquelle était aujourd'hui! Il avait maintenant 16 ans! Vieux!!! Mais dans son excitement peu contenu d'aller retrouver Ron chez lui, il avait oublié sa fête!!! Incroyable (je ne ferais JAMAIS ça) !!! Hedwige, comme à l'habitude, était allée chercher le cadeau d'Hermione, qui, n'ayant pas de hibou, devait trouver un moyen d'envoyer son présent à Harry. Hedwige ne l'oubliait jamais. Elle ne voulait pas que Harry n'ait pas de cadeau et, tous les ans, elle allait chercher le paquet de sa meilleure amie. Harry ouvrit aussitôt la boîte que lui tendait sa chouette. Une lettre l'accompagnait.
Cher Harry,
Ici, c'est Hermione! Je ne sais pas si tu as eu des nouvelles de Ron dernièrement mais pas moi et je m'inquiète un peu, il m'avait pourtant dit qu'il m'écrirait cet été…On s'est bien vus une fois mais… Enfin, tout ça n'est pas vraiment important et je ne veux pas t'importuner avec mes histoires alors voici ton cadeau d'anniversaire. J'espère qu'il va te plaire…
Bon anniversaire du fond du cœur, Hermione
Harry remit la lettre dans l'enveloppe puis prit la boîte. Ce qu'il y découvrait était contre toute attente. C'était un disque compact de… Evanescence!?!? (J'adooooooore Evanescence! ^^ ) Mais Harry regarda ce disque avec une expression dans le visage qui valait au moins un million de gallions pièce. De la musique? O.K. De la musique. Mais venant d'Hermione? Quelque chose n'allait pas chez elle et sans même l'avoir vue, il jugea qu'elle devait avoir énormément changé durant l'été pour lui offrir un disque. Un livre aurait bien entendu été son habitude mais un disque??? Ça n'allait dé-fi-ni-ti-ve-ment pas. Enfin, il devait s'y faire et Harry décida d'ouvrir l'autre paquet, celui de Ron (ou qu'il pensait provenir de Ron). Il y avait aussi une lettre de jointe après.
Salut Harry,
C'est Molly et Arthur qui t'écrivent, les parents de Ron. Sans vouloir t'alarmer, nous avons un problème. Il se trouve que nous avons… perdu Ron. Je crois qu'il voulait venir te chercher chez toi et malheureusement, selon les dires de Ginny, il serait parti hier soir à l'abri des yeux curieux des membres de notre famille, par usage de la poudre de cheminette. Il est chez toi? S'il ne l'est pas, nous n'avons aucune idée d'où il pourrait être. Nous avons quand même trouvé sur son bureau ton cadeau de fête. Nous espérons tous que tu vas l'aimer, même sans savoir exactement ce qu'il y a à l'intérieur (il était déjà emballé).
Nous avons hâte de te revoir, bonne fête, la famille Weasley
La lettre avait été écrite d'une main… semi-tremblante et Harry avait presque peur d'ouvrir le paquet emballé de rouge de Ron et de sa famille. Après la surprise d'Hermione, qui sait ce qu'il aurait pu trouver dans cette boîte… Il prit néanmoins son courage à deux mains et décida de l'ouvrir. Au moment ou Harry ouvrit le tout, les actions déboulèrent littéralement : Dudley fit éruption dans la chambre, il cria, les chouettes et hiboux et oiseaux s'envolèrent dans tous les sens et Harry tenait dans ses mains un string noir avec une chauve-souris dessus.
Dudley : Ah!!!!!!!!!!!!!!!! Qu'est-ce qui te prend!!!!!!!!! Qu'est-ce que c'est que cette blague!!!!!!!!!!!!! Ah!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Maman!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Harry : Mais… Mais… Mais…
Mais il eut quand même assez de présence d'esprit pour aller cacher immédiatement ce truc dans sa taie d'oreiller. Avant que sa soupe aux nouilles favorite éruptionne dans sa chambre, alarmée. Dudley tenta de leur expliquer sa situation.
Dudley : Papa! Maman! Harry porte des strings! Harry porte des strings!
Mais il avait arrêté de crier et était en train maintenant de s'étouffer tellement il riait.
Dudley : Whhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!
Vernon : Dudley arrête ces blagues de mauvais goût!
Il était mauve.
Dudley : Mais c'est vrai papa!
Vernon : Dudley, vas-t'en! S'il y a un problème, je m'en occuperai (regard mauvais vers Harry), toi, Pétunia, vas finir de préparer le dîner, je m'occupe de tout (nouveau regard meurtrier vers son neveu à l'air totalement fou sur le lit devant lui).
Ils descendirent, Dudley riant encore et Pétunia, verte, rouge et mauve (Couleur écœurante ^^). Vernon, par la suite, eut beau fouiller dans toutes les armoires et gardes-robes de Harry, qu'il ne trouva rien. Alors il redescendit en se disant que Dudley voulait leur faire tous une bonne blague et que si Harry avait l'air totalement défait, c'était uniquement parce que lui non plus n'avait pas trouvé très drôle la farce de Dudley.
Ptykon avait essayé de parler à Harry un peu avant la cata mais, ça n'avait pas été tellement fructueux.
Harry, dès que son légume d'oncle fut parti de sa chambre, essaya de trouver le courage encore et encore d'aller ouvrir les deux autres paquets mais ne le trouva vraiment pas. Il avait peur. Très peur. Aaaaffreusement peur. Bon, il y avait peu de chances pour que ce soit un autre string mais malgré cela il n'arrêtait pas de se demander pourquoi exactement Ron lui avait envoyé ça. C'était une blague et il allait lui envoyer autre chose bientôt. Oui, c'était ça! Ça devait être ça. Sinon ça devenait fou. Rien à faire. Aussi le fait qu'il était perdu. Bien sûr, puisqu'il n'était pas chez lui et que tout le monde s'inquiétait à savoir où diable était Ron.
Lui-même, pendant ce temps, arriva à une ville qui s'adonna être la ville d'Indaris. Une ville! Il doit bien y avoir une cheminée dans cette ville! C'est certain! Alors il entra dans la ville. Mais les êtres l'habitant étaient plutôt mauvais. C'étaient des Nymphées. Un mélange de nymphe et de fée. Les fées, c'est bien connu, ont plutôt mauvais caractère et les nymphes ont une beauté sans égale. Alors d'un premier coup d'œil, Ron pensa qu'ils étaient gentils. Mais lorsqu'il eut apprit un tantinet à les connaître, il sut que ce peuple n'était pas si accueillant qu'il l'avait cru au départ. Mais quand on savait s'y prendre, on pouvait les apprivoiser. Et comme Ron connaissait la musique, ils se laissèrent faire facilement. La musique était le seul moyen de leur faire entendre raison. Une fois que Ron s'eut mis à chanter le plus faux qu'il le pouvait, et qu'eux trouvaient cela très charmant, Ron put discuter avec eux et leur demander si leur village comportait quelques cheminés. Comme c'était le cas, il put partir de ce monde inconnu. Mais il n'avait pas de poudre de cheminette. Il demanda ensuite aux Nymphées si un d'entre eux voulait bien l'accompagner puisqu'il n'avait pas fait de cadeau à Harry pour son anniversaire. Tout bêta qu'il était, il n'avait pourtant pas oublié ce détail. Et, heureusement pour lui, une jolie Nymphée du nom d'Akima voulut bien l'accompagner, à condition qu'elle puisse entendre de la jolie musique. Et Ron, chanceux, trouva que quand on émiettait du gazon, au pays d'Hurmslay, ça se transformait en un genre de poudre bizarroïde qui pouvait très bien prendre la place de la traditionnelle poudre de cheminette et que les Nymphées eux-même se servaient de leur gazon pour se transporter un peu partout. Alors il retourna chez lui, avec toutefois la crainte de ce que pourrait bien dire sa mère…
Harry était étendu sur son lit pensant encore qu'il devrait aller ouvrir ses autres cadeaux quand un rat lui sauta dans la face. Se retenant très fort de crier comme il l'aurait voulu, pour ne pas que quelqu'un l'entende, il se fourra la tête dans l'oreiller et décida de crier ainsi. Ptykon lui avait littéralement sauté dessus.
Ptykon : IIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkkkkkkkkkk IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkkkkkkkkkkkkk IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkkkkkkkkkkkkkkk!
Harry : Non mais je vais te tuer sale rat d'égoût! Tu es trop dégoûtant! Pas question que tu ne me touches encore!
Et Ptykon retomba par terre, craintif au maximum de devoir se rapprocher de Harry, qui lui avait pourtant dit de s'éloigner.
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Alors maintenant je crois que je peux répondre à certains rewiews, j'en ai reçu assez…
MMMMMMMEEEEEEERRRRRRRRRRCCCCCCCCCCCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!! Jusqu'ici je n'ai reçu que des bons commentaires et je suis très contente de tout ça!
Katarina : Pour le lien avec l'autre, Rarris, et l'autre, je n'y avais pas pensé mais merci beaucoup, je vais trouver quelque chose à glisser de ce côté-là!!! ^^
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Nul, mais pas encore fini!!! Rewiews PLEAZZZ!!!
*C'est tout* !*!* NEA *!*!