Derrière le lubrique (episode2)
Heureusement que dans ma jeunesse j'avais été plutôt sportif , sinon je me serais écroulé en plein milieu de la route , terrassé par un effort trop important. J'arrivais à l'école tout essouflé , les pieds en feu.
Je regrettais amèrement de ne pas être venu récemment à leurs réunions de parents d'élèves et tout ce tintouin qui se tient chaque année. Je ne savais absolument pas où les trouver parmi ces immenses bâtiments. Je réfléchissais rapidement lorsque je vis avec horreur la limousine d'Akito garée en retrait dans la cour.
- Mon dieu ... murmurrais-je horrifié.
Je courrais dans tous les sens , sans direction précise , totalement affolé quand par la fenêtre d'une classe j'aperçus Momiji. Jeme précipitais sans préambule dans la salle , m'exposant à une trentaine d'yeux surpris de voir surgir une espèce de grand ours rouge fluo qui soufflait comme un boeuf.
- Momiji , haletais-je , où est la classe de Tooru ?
Décontenancé , il me répondit qu'elle était un peu plus loin sur la gauche. Je repartais prestement dans la direction indiqué et je m'arrêtais devant la bonne salle , surpris d'être acueilli par le silence studieux des élèves travaillant.
Le bruit de l'ouverture de leur porte de classe fit lever les yeux de Yuki et kyo de leurs cahiers.
- Où est Tooru ? criais-je exténué.
Ils me regardèrent ébahis, puis Kyo qui soudain saisis par l'inquiétude souffla :
- On l'a appelée , apparement quelqu'un l'attend à l'accueil. On pensait que c'était peut-être son grand-père ...
Je pris juste le temps de rugir avant de repartir de plus belle comme un fou :
- Espèces d'imbéciles !
Par chance , je savais au moment où était l'accueil , en effet à une certaine époque il y avait une charmante secrétaire en cet endroit ...
J'arrivais en trombe , et demandait à la secrétaire quelque peu étonnée :
- Quelqu'un attendait Melle Honda , savez-vous où ils sont ?
Elle me regarda pendant un peu petit moment , réfléchissant certainement si oui ou non elle me délivrait l'information. Apparement je lui plut assez pour qu'elle me révèle tout.
- Ils sont sortis dans la cour.
- Merci !
Je sortis prestement , balayant du regard la cour déserte.
- Mais où sont-ils ? murmurais-je pour moi-même.
Je commençais à marcher dans la cour inspectant les moindres recoins , tendant l'oreille quand je repensais à la limousine ! Bien sur !
Je m'élançais dans sa direction , cette voiture pouvait contenir une vingtaine de personne et on pouvait y faire beaucoup de choses une fois à l'intérieur, cachés par les vitres fumées.
Je ne pris pas le temps d'observer , d'écouter ou quoique ce soit , j'ouvris à la volée la portière...
C'est alors que l'horreur se manifesta devant mes yeux. Akito avait dénudé Tooru et s'aprêtait à lui prendre son rempart de jeune fille innocente. Il tenait dans sa main un fouet et au vu des marques rouges sur le corps de la jeune fille en larmes , il s'en était servi.
- Akitoooo ! hurlais-je.
J'entrais dans la voiture , et ce dernier , surpris de mon arrivée inopinée eu un moment de stupeur. J'en profitais pour lui faire gouter la force de mon coup de poing.
Akito fut catapulté en arrière , se cognant à la vitre. Il était un peu assomé mais avait encore la force de se ruer sur Tooru qu'il fustigea de coups de fouet et essaya de venir en elle, totalement pétrifié par une telle scène, je repris conscience rapidement. J'attrapais Akito par les cheveux et le secouais violemment , une fois bien assomé , je le jettais hors de la voiture comme un sac de linge sale.Je fermais les portières et démarrais au quart de tour.
A l'arrière , Tooru pleurait autant de honte et de peur que de douleur.
Au détour du chemin , j'aperçus la maison, notre maison. Je soupirais , soulagé. Mais un bruyant reniflement de Tooru me rappela à la triste réalité.
Je garais la voiture devant la maison , et allais à l'arrière pour consoler Tooru.
J'étais près d'elle , près de cette douce âme torturée par des évènements trop soudains et violents pour elle. Je n'avais qu'une envie la prendre dans mes bras. Une envie trop forte pour y résister ...
Alors doucement je l'entourais de mes bras et l'aprochais de moi , en lui murmurant de ma voix la plus rassurante :
- Ma petite Tooru , calme-toi ... ca va aller. Tu es hors de danger. Ma petite Tooru , ca va aller...
J'étais si bien , là , avec elle au creux de mes bras ...
... A suivre...
PS : merci pour ta review Anne-Laure ^_^ et comme tu le demandes avec empressement voici la suite ;)
Heureusement que dans ma jeunesse j'avais été plutôt sportif , sinon je me serais écroulé en plein milieu de la route , terrassé par un effort trop important. J'arrivais à l'école tout essouflé , les pieds en feu.
Je regrettais amèrement de ne pas être venu récemment à leurs réunions de parents d'élèves et tout ce tintouin qui se tient chaque année. Je ne savais absolument pas où les trouver parmi ces immenses bâtiments. Je réfléchissais rapidement lorsque je vis avec horreur la limousine d'Akito garée en retrait dans la cour.
- Mon dieu ... murmurrais-je horrifié.
Je courrais dans tous les sens , sans direction précise , totalement affolé quand par la fenêtre d'une classe j'aperçus Momiji. Jeme précipitais sans préambule dans la salle , m'exposant à une trentaine d'yeux surpris de voir surgir une espèce de grand ours rouge fluo qui soufflait comme un boeuf.
- Momiji , haletais-je , où est la classe de Tooru ?
Décontenancé , il me répondit qu'elle était un peu plus loin sur la gauche. Je repartais prestement dans la direction indiqué et je m'arrêtais devant la bonne salle , surpris d'être acueilli par le silence studieux des élèves travaillant.
Le bruit de l'ouverture de leur porte de classe fit lever les yeux de Yuki et kyo de leurs cahiers.
- Où est Tooru ? criais-je exténué.
Ils me regardèrent ébahis, puis Kyo qui soudain saisis par l'inquiétude souffla :
- On l'a appelée , apparement quelqu'un l'attend à l'accueil. On pensait que c'était peut-être son grand-père ...
Je pris juste le temps de rugir avant de repartir de plus belle comme un fou :
- Espèces d'imbéciles !
Par chance , je savais au moment où était l'accueil , en effet à une certaine époque il y avait une charmante secrétaire en cet endroit ...
J'arrivais en trombe , et demandait à la secrétaire quelque peu étonnée :
- Quelqu'un attendait Melle Honda , savez-vous où ils sont ?
Elle me regarda pendant un peu petit moment , réfléchissant certainement si oui ou non elle me délivrait l'information. Apparement je lui plut assez pour qu'elle me révèle tout.
- Ils sont sortis dans la cour.
- Merci !
Je sortis prestement , balayant du regard la cour déserte.
- Mais où sont-ils ? murmurais-je pour moi-même.
Je commençais à marcher dans la cour inspectant les moindres recoins , tendant l'oreille quand je repensais à la limousine ! Bien sur !
Je m'élançais dans sa direction , cette voiture pouvait contenir une vingtaine de personne et on pouvait y faire beaucoup de choses une fois à l'intérieur, cachés par les vitres fumées.
Je ne pris pas le temps d'observer , d'écouter ou quoique ce soit , j'ouvris à la volée la portière...
C'est alors que l'horreur se manifesta devant mes yeux. Akito avait dénudé Tooru et s'aprêtait à lui prendre son rempart de jeune fille innocente. Il tenait dans sa main un fouet et au vu des marques rouges sur le corps de la jeune fille en larmes , il s'en était servi.
- Akitoooo ! hurlais-je.
J'entrais dans la voiture , et ce dernier , surpris de mon arrivée inopinée eu un moment de stupeur. J'en profitais pour lui faire gouter la force de mon coup de poing.
Akito fut catapulté en arrière , se cognant à la vitre. Il était un peu assomé mais avait encore la force de se ruer sur Tooru qu'il fustigea de coups de fouet et essaya de venir en elle, totalement pétrifié par une telle scène, je repris conscience rapidement. J'attrapais Akito par les cheveux et le secouais violemment , une fois bien assomé , je le jettais hors de la voiture comme un sac de linge sale.Je fermais les portières et démarrais au quart de tour.
A l'arrière , Tooru pleurait autant de honte et de peur que de douleur.
Au détour du chemin , j'aperçus la maison, notre maison. Je soupirais , soulagé. Mais un bruyant reniflement de Tooru me rappela à la triste réalité.
Je garais la voiture devant la maison , et allais à l'arrière pour consoler Tooru.
J'étais près d'elle , près de cette douce âme torturée par des évènements trop soudains et violents pour elle. Je n'avais qu'une envie la prendre dans mes bras. Une envie trop forte pour y résister ...
Alors doucement je l'entourais de mes bras et l'aprochais de moi , en lui murmurant de ma voix la plus rassurante :
- Ma petite Tooru , calme-toi ... ca va aller. Tu es hors de danger. Ma petite Tooru , ca va aller...
J'étais si bien , là , avec elle au creux de mes bras ...
... A suivre...
PS : merci pour ta review Anne-Laure ^_^ et comme tu le demandes avec empressement voici la suite ;)
