Derrière le lubrique (episode3)
Lentement , je caressais ses cheveux désordonnés par la bataille qu'elle avait dû mener face à Akito.
- Quel monstre , pensais-je, s'en prendre à elle d'une manière aussi vile et obscène...
Timidement , Tooru se lova contre moi , pleurant un peu moins , apparemment rassurée par ma présence assez proche. Je passais ma main dans son dos de manière rassurante pour calmer ses derniers pleurs.
Reconnaissante , elle leva ses yeux embués de larmes vers mon visage. Durant quelques instant mon coeur et ma raison se battirent intensément sur la conduite à tenir. Mais mon coeur était plus fort , bouleversé par ses larmes et son expression de profonde reconnaissance , je plaçais mon autre main sur sa joue et déposait délicatement mes lèvres sur les siennes , douces et innocentes. J'en profitais pour resserer un peu l'étreinte et éviter toute évasion de ma bien-aimée.
Je mis fin au baiser , apeuré de sa réaction. Je lus dans ses yeux une certaine incompréhension , mais aucune peur , ni aucune horreur. Je m'aprochais alors une fois de plus près de son visage pour l'embrasser , au lieu de reculer , elle s'approcha timidement , me montrant qu'elle était consentante à un nouveau baiser. Celui-ci , fut un peu plus appuyé mais tout aussi innocent que le premier.
Je me détachais d'elle , continuant à lui caresser la joue.
- Tooru ? murmurais-je brisant le silence.
Elle planta ses deux grands yeux dans les miens et chuchota :
- O ... oui ?
Puis elle commença à paniquer :
- Je .. j'ai fait quelque chose qu'il ne fallait pas ?!
- Pas du tout , continuais-je de la même voix tendre , je voulais juste savoir si tu vas bien. Tu n'as pas trop mal ? Tu veux que j'apelle Hatori ?
Tooru grimaça , me faisant comprendre que ses marques étaient douloureuses et nécessitaient un traitement de la part d'un médecin.
- D'accord , je vais l'appeler.
Je l'embrassais une fois de plus , de peur qu'une fois sortis de la voiture le charme se brise. Je la pris dans mes bras , la sortit de la voiture et la montais dans sa chambre. Je la déposais sur son lit , quasi-nue , habillée de quelques lambeaux de ses vêtements déchirés par la haine d'Akito. L'homme que je suis dû résister très fort pour ne pas rester aurprès d'elle...
Je pris donc le téléphonse et appelait Hatori.
- Allo ? C'est Shigure.
- Shigure ! Que s'est-il passé ? Dis moi !
Il criait presque , totalement affolé.
- Il a frappé Tooru et il a tenté de la faire sienne ..., ma voix commençait à se briser car je commençais à accuser le coup de toute cette aventure , il faut que tu viennes Hatori elle a des grosses marques rouges qui lui font mal.
- J'arrive tout de suite ! me dit-il retrouvant un calme relatif.
Sacré Hatori , heureusement qu'il est là ...
Je retournais auprès de Tooru qui avait revêtu une simple robe de coton blanche mais qui soulignait cruellement ses blessures. Je m'assis à côté d'elle , l'attirant vers moi.
- Il va arriver. Il va te soigner , tu vas aller mieux.
Elle s'agrippa à moi , et laissa le silence s'installer. Quand le crissement d'une voiture se fit entendre je descendis accueillir Hatori, qui me regarda les yeux grands comme des soucoupes.
- Qu'est-ce que la limousine d'Akito fait ici ? s'exclama-t-il.
- Je lui ai emprunté.
- Et Akito , où est-il ?
- La dernière que je l'ai vu il était affalé dans la cour de l'école.
- Mon dieu ... soupira-t-il.
En découvrant Tooru il fut horrifié. Il nettoya et pansa chacune de ses plaies , rougissant légèrement lorsqu'elles étaient proches et certaines parties corporelles. Tooru , courageuse ne criait pas lorsqu'il appliquait une lotion piquante sur ses blessures.
Lorsqu'il eu fini , dans l'entrée il me regarda attentivement , m'ordonna de prendre bien soin d'elle , et le tout avec beaucoup de tact.
Puis , le sourcil interrogateur il me demanda à voix basse :
- Tu ne lui as rien fait , n'est-ce pas ?
- Non , je l'ai juste embrassée...
Nullement étonné , il me sourit et en partant me murmura :
- Ca ne peut que lui faire du bien que tu lui donnes de l'amour , mais fais le en douceur.
Je souris, regardant sa mince silhouette partir.
Puis , une fois sa voiture hors de vue , je rejoignais Tooru , qui assise sur le lit m'attendait. Je m'inclinais pour lui donner un baiser quand la porte de la maison s'ouvrit avec fracas , laissant la place à des pas précipités venant par là. Je me redressais et accueilli Yuki et Kyo, à la fois soulagés de voir Tooru en vie , mais surpris par tout les bandages qui se trouvaient sur elle...
- Tooru ... dirent-ils d'une même voix.
Je m'éclipsais , les laissant ensemble. Au bout d'un moment , Kyo descendit préparer le déjeuner et Yuki alla dans sa chambre. Le déjeuner se passa dans le silence , tout le monde était trop secoué par les évènements pour parler. Dans l'après-midi , Tooru se reposa dans sa chambre tandis que je ressassais les faits dans mon bureau l'oreille aux aguets...
... A suivre ...
Lentement , je caressais ses cheveux désordonnés par la bataille qu'elle avait dû mener face à Akito.
- Quel monstre , pensais-je, s'en prendre à elle d'une manière aussi vile et obscène...
Timidement , Tooru se lova contre moi , pleurant un peu moins , apparemment rassurée par ma présence assez proche. Je passais ma main dans son dos de manière rassurante pour calmer ses derniers pleurs.
Reconnaissante , elle leva ses yeux embués de larmes vers mon visage. Durant quelques instant mon coeur et ma raison se battirent intensément sur la conduite à tenir. Mais mon coeur était plus fort , bouleversé par ses larmes et son expression de profonde reconnaissance , je plaçais mon autre main sur sa joue et déposait délicatement mes lèvres sur les siennes , douces et innocentes. J'en profitais pour resserer un peu l'étreinte et éviter toute évasion de ma bien-aimée.
Je mis fin au baiser , apeuré de sa réaction. Je lus dans ses yeux une certaine incompréhension , mais aucune peur , ni aucune horreur. Je m'aprochais alors une fois de plus près de son visage pour l'embrasser , au lieu de reculer , elle s'approcha timidement , me montrant qu'elle était consentante à un nouveau baiser. Celui-ci , fut un peu plus appuyé mais tout aussi innocent que le premier.
Je me détachais d'elle , continuant à lui caresser la joue.
- Tooru ? murmurais-je brisant le silence.
Elle planta ses deux grands yeux dans les miens et chuchota :
- O ... oui ?
Puis elle commença à paniquer :
- Je .. j'ai fait quelque chose qu'il ne fallait pas ?!
- Pas du tout , continuais-je de la même voix tendre , je voulais juste savoir si tu vas bien. Tu n'as pas trop mal ? Tu veux que j'apelle Hatori ?
Tooru grimaça , me faisant comprendre que ses marques étaient douloureuses et nécessitaient un traitement de la part d'un médecin.
- D'accord , je vais l'appeler.
Je l'embrassais une fois de plus , de peur qu'une fois sortis de la voiture le charme se brise. Je la pris dans mes bras , la sortit de la voiture et la montais dans sa chambre. Je la déposais sur son lit , quasi-nue , habillée de quelques lambeaux de ses vêtements déchirés par la haine d'Akito. L'homme que je suis dû résister très fort pour ne pas rester aurprès d'elle...
Je pris donc le téléphonse et appelait Hatori.
- Allo ? C'est Shigure.
- Shigure ! Que s'est-il passé ? Dis moi !
Il criait presque , totalement affolé.
- Il a frappé Tooru et il a tenté de la faire sienne ..., ma voix commençait à se briser car je commençais à accuser le coup de toute cette aventure , il faut que tu viennes Hatori elle a des grosses marques rouges qui lui font mal.
- J'arrive tout de suite ! me dit-il retrouvant un calme relatif.
Sacré Hatori , heureusement qu'il est là ...
Je retournais auprès de Tooru qui avait revêtu une simple robe de coton blanche mais qui soulignait cruellement ses blessures. Je m'assis à côté d'elle , l'attirant vers moi.
- Il va arriver. Il va te soigner , tu vas aller mieux.
Elle s'agrippa à moi , et laissa le silence s'installer. Quand le crissement d'une voiture se fit entendre je descendis accueillir Hatori, qui me regarda les yeux grands comme des soucoupes.
- Qu'est-ce que la limousine d'Akito fait ici ? s'exclama-t-il.
- Je lui ai emprunté.
- Et Akito , où est-il ?
- La dernière que je l'ai vu il était affalé dans la cour de l'école.
- Mon dieu ... soupira-t-il.
En découvrant Tooru il fut horrifié. Il nettoya et pansa chacune de ses plaies , rougissant légèrement lorsqu'elles étaient proches et certaines parties corporelles. Tooru , courageuse ne criait pas lorsqu'il appliquait une lotion piquante sur ses blessures.
Lorsqu'il eu fini , dans l'entrée il me regarda attentivement , m'ordonna de prendre bien soin d'elle , et le tout avec beaucoup de tact.
Puis , le sourcil interrogateur il me demanda à voix basse :
- Tu ne lui as rien fait , n'est-ce pas ?
- Non , je l'ai juste embrassée...
Nullement étonné , il me sourit et en partant me murmura :
- Ca ne peut que lui faire du bien que tu lui donnes de l'amour , mais fais le en douceur.
Je souris, regardant sa mince silhouette partir.
Puis , une fois sa voiture hors de vue , je rejoignais Tooru , qui assise sur le lit m'attendait. Je m'inclinais pour lui donner un baiser quand la porte de la maison s'ouvrit avec fracas , laissant la place à des pas précipités venant par là. Je me redressais et accueilli Yuki et Kyo, à la fois soulagés de voir Tooru en vie , mais surpris par tout les bandages qui se trouvaient sur elle...
- Tooru ... dirent-ils d'une même voix.
Je m'éclipsais , les laissant ensemble. Au bout d'un moment , Kyo descendit préparer le déjeuner et Yuki alla dans sa chambre. Le déjeuner se passa dans le silence , tout le monde était trop secoué par les évènements pour parler. Dans l'après-midi , Tooru se reposa dans sa chambre tandis que je ressassais les faits dans mon bureau l'oreille aux aguets...
... A suivre ...