La suite déjà !

Tout appartient à Madame Rowling, faut il encore le répéter ?

Merci aux reviewers ! Encore plus à ceux qui m'ont envoyé DEUX ! reviews !

Alors voici déjà la suite, chapitre II.

Je ralentis un peu le rythme de mes autres fics pour me consacrer davantage à celle là !

Bonne lecture les gens, et bonne année ! (il est encore temps^^)

Petite précision :la fic sera assez courte, pas plus de 10 chapitres. Je ne veux surtout pas trop « épuiser » le propos.

Peut être une suite plus tard. En tout cas, je passe en 2 POV par chapitres à partir de maintenant, je verrais bien ce que ça donne !

Chapitre II : Lumière céleste.

- Harry ! Tu te dépêche un peu !

Un matin ordinaire, exactement semblable aux précédents.

- J'arrive ! Je vous rejoins !

Ils vont encore m'attendre, comme tous les matins.

- On t'attend devant la grande salle ! Dépêche !

Ca fait deux semaines, 15 jours déjà.

Cours de Hagrid.

Je l'aime bien, Hagrid. Il est si prévenant.

- Bonjour mes premières années ! Alors les Serdaigles, prêt à replonger dans l'univers passionnant des chiensailes ?

J'adore ces bêtes ; des chiens de toutes les races, toutes les formes. Et leurs ailes. . . Si longues. . .

- Harry, tu te met avec Adonis je suppose ? Pete avec Kaili. Cho et . . .

Les chiensailes sont attachés à des petits piquets de bois, et leurs laisses en cuir sont nouées autour. Je suis monté sur un d'eux, la semaine dernière. Ce n'est pas aussi bien que lorsque je vole, moi même.

Je me suis trouvé un moment, à quatre heure, le matin, quand Poudlard dort. Et puis je vais me recoucher, une heure après, et je dort tard, jusqu'a ce qu'ils me réveillent, mes amis.

- Les Serpentards, vous allez de l'autre côté, les Serdaigles vont passer premier. Allez, allez, on se dépêche jeune gens !

Il y a un Serpentard qui me regarde bizarre, encore plus que les autres. Je crois qu'il s'appelle Draco, en tout cas, je ne sais pas ce que je lui a fait.

Les Serpentards ne sont pas vraiment . . . sympathiques. Très prétentieux, très très prétentieux. Enfin, ils ont sûrement leurs raisons, de détester tout le monde, mais moi je ne comprend pas pourquoi.

- Harry, tu vas remonter sur Gropo, il est au bout ! Pete, tu ne monte pas cette fois ci ! Je préfère que ce soit Kaili, dit Hagrid, un regard entendu en sa direction. Le pauvre, ce n'est pas sa faute s'il est trop lourd pour le chiensaile.

Mes ailes me chatouillent, je les sent remuer , pointer le bout de leur nez (pas trouvé d'autre expression ^^) sous mes omoplates.

- Harry ! Tu te dépêche un peu !

Un matin ordinaire, exactement semblable aux précédents.

- J'arrive ! Je vous rejoins !

Ils vont encore m'attendre, comme tous les matins.

- On t'attend devant la grande salle ! Dépêche !

Ca fait deux semaines et un jour, 16 jours déjà.

Adonis m'attend devant la porte, cette fois ci. Je crois qu'il est avec Cho, ils s'entendent bien ces deux là. Je n'aimerais pas qu'elle me le pique, je crois que c'est un ami, et je ne sais pas comment on les partage, les amis.

Tiens ! Pete dort encore. C'est rare, il se dépêche toujours le matin, pour être le premier à déjeuner. Il faudrait que quelqu'un lui explique un jour que la nourriture est inépuisable à Poudlard.

Je me lève rapidement, enfile ma robe dépliée quelques heures plus tôt, la lisse rapidement.

J'essaye de réveiller Pete , mais quand il dort. c'est difficile. Il ronfle, surtout le matin, et rares sont les matinées ou je suis réveillé davantage par les oiseaux qui chante que par les ronflements de Pete.

- Monsieur Potter, quelles raisons pour votre retard ? Encore oublié de vous réveiller.

La vois de Rogue est cinglante, elle siffle à mes oreilles. Il me déteste, je crois.

- Oui monsieur, je me suis. . .

- Bien Potter, vous irez à côté de monsieur Malefoy aujourd'hui.

Je déteste le cours de Potion. . .

J'ai jeté un rapide coup d'?il à Draco, il ma lancé un regard assassin et prétentieux, alors j'ai abandonné. C'est un Serpentard, après tout.

Le cours s'est déroulé normalement, pas de compliments de Rogue, mais pas d'insultes non plus. Je ne comprend vraiment pas ce qu'il a contre moi, j'essaye pourtant d'être toujours . . . souriant ?

Il n'arrête pas de me fixer, Rogue, avec un regard léchant, un peu craintif aussi. Non, je dois me faire des idées, il est sûrement uniquement méchant, son regard.

J'ai quitté Malefoy pour rejoindre Adonis qui discutait avec . . . Cho. Je ne l'aime pas trop, cette fille, elle est trop « prévisible », trop Cho en fait.

Et puis, Adonis. . .

La nuit est belle à Poudlard. Je crois que je ne me lasserais jamais des étoiles bleues qui scintillent, à l'est. Elles sont si belles, si froides. Les autres sont orangées, jaunes, blanches, mais n'ont pas le même mystère.

Je me suis réveillé en sursaut, j'étais en sueur, le corps trempé par la transpiration. Je sentais mes ailes battre dans mon dos, en tout cas, s'ouvrir peu à peu.

Je suis sorti rapidement, sans prévenir personne, il était trop tôt, 3 heure du matin.

Alors je suis venu près du lac, près de cette étendue d' eau «énigmatique, si calme. Je me suis assis dans l'herbe, le sol était humidifié par la rosée de la nuit. J'étais en caleçon, et je crois que le professeur Flitwick n'aurait pas aimé me voir comme ça dans le parc en pleine nuit.

Ma peau s'est raffermie brusquement, j'ai eu la chair de poule, en fait, j'avais vraiment froid. Mes ailes se sont ouvertes dans mon dos, lentement, et se sont complètement détendues quelques secondes après.

J'ai donné une courte impulsion de pieds, deux ou trois battements, et je me suis envolé. Je crois que ce soir là, j'ai été plus haut que jamais auparavant, plus haut que les nuages violets et verdâtres dans l'obscurité, plus haut que les tours de Poudlard minuscules maintenant ; je crois que je voulais atteindre les étoiles.

C'était un soir de pleine lune, comme il en est souvent, dans ma vie d'ange.

- Un jour il faudra que tu m'expliques comment tu fais ça.

La voix est survenue de l'obscurité, de l'ombre du château, et je ne lai pas reconnue tout de suite. C'est bizarre, mais je n'ai pas eu peur, je ne me suis même pas demandé ce qui allait se passer maintenant.

(qui parle ? Draco ? Dumbledore ? Adonis. encore un peu de suspens ^^)

- Tu peux redescendre, je t'ai vu.

Une vois d'enfant, de garçon. Je n'avais jamais vu personne pourtant, la nuit ou à l'aube. Je croyais être seul.

- Allez, j'ai envie de voire qui tu es, je ne connais que tes ailes, pour l'instant.

Je l'ai reconnu. C'est ce blond, avec qui j'étais en potion. . . Draco ! Je me suis demandé qu'est ce qu'il faisait là. Je me demande comment il va réagir, quand il va voir qui je suis. Quand il va voir que je suis Harry Potter, le garçon dont les Serpentards ne-doivent- pas-prononcer-le-nom.

POV DRACO.

Comme les journées sont longues, à Poudlard ! Je m'ennuie ferme, et la compagnie des deux « amis » qui m'a été imposé n'est pas vraiment très « excitante ».

Je suis un Serpentard de première année, tout comme l'a été mon père avant moi, et son père avant lui . . .

Vous connaissez déjà toute l'histoire non ? Les rumeurs sur les Malefoy sont toujours très appréciées.

J'aime me lever tôt, le matin. Ca me permet de récupérer un peu, d'être seul, sans les deux colosses de graisses pour m'étouffer.

La salle commune des Serpentard est horrible, surtout au niveau de la décoration. Tous ces serpents, ces marbres et cette pierre laide. . .

C'est peut être difficile à croire, mais en lus, je ne supporte pas le vert, je trouve cette couleur laide et répugnante.

Tous les matins je le voie, mais je ne sais toujours pas qui il est. Je sais que c'est un ange, qu'il a dos magnifique, et qui a de longs cheveux bruns / noirs foncé.

J'espère que ce n'est pas un Gryffondor, ça me ferait mal.

Il est là plus tôt ce matin ; je ne dors jamais les soirs de pleine lune, j'ai trop peur. . . depuis que je suis petit, je n'ai jamais réussi à m'endormir ces nuits là, je me sens vraiment très mal, j'ai une envie oppressante de courir sans m'arrêter, pour échapper aux regards incessants de la lune.

Je me suis posé sur la rive gauche du lac, un peu plus loin du château. C'est un coin tranquille, on voit bien les étoiles, les rouges surtout, flamboyantes. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrive jamais à distinguer les étoiles bleuâtres la nuit.

J'ai aperçu ces ailes, c'est un spectacle magnifique. Je me demande si le vieux fou est au courant. Sûrement que non, personne n'a le droit de regarder les anges, dans le monde sorcier. Personne sauf moi.

Je crois que je suis un sacré chanceux ; il reste à peine une dizaine d'ange - les livres de mon père sont une source d'informations inépuisables - sur cette terre, et moi, Draco Malefoy, première année de Poudlard, j'ai la chance d'apercevoir le plus beau d'entre eux.

Je m'arrête là, je dois travailler ce soir ! Promis, le prochain sera plus long ! (Si quelqu'un en veut . . . )

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