Coucou tout le monde ! J'attendais plus de reviews pour le chapitre
précédent, d'autant qu'il était plus long. . .
Pas grave, je continue quand même.
Tiens, dédicacé à Céline.s, comme ça, parce que j'ai envie tout à coup. . .
Bonne lecture à tous, j'espère que ça vous plaira, car ça a été difficile à écrire.
Titre : S'envoler, enfin, et ne jamais revenir.
Harry Potter. Quatre syllabe.
Ange. Un seule syllabe.
Moi.
. . .
J'ai compris enfin, ce qu'il me fallait faire, pour m'envoler.
C'es assez étrange, quand on cherche tout le temps quelque chose, qu'on vit chaque jour qu'il nous est donné de vivre en ayant à l'esprit un seule et unique chose.
Partir. Deux syllabe.
. . .
Oui, j'en suis sur maintenant.
Je m'appelle Harry Potter, et je ne suis pas humain, ne le serais jamais, et passerai toute ma vie à attendre, attendre d'être libéré.
Mais c'est fini maintenant. Les oiseaux partent dé jà vers le sud ; l'hiver approche, et l'automne de Poudlard flétri mon c?ur, sans que je puisse y échapper.
. . .
Je marche dans le parc, les feuilles mortes s'entassent dé jà au pied des arbres. Dumbledore pourrait faire un effort.
J'aime me promener seul dans ce parc, à l'abri de touts les bruits, de tous ce sons, ces paroles qu m'envahissent à chaque moment la tête, qui installent entre moi et le ciel un brouillard opaque.
Et puis venir face au la c, faire le tour, rentrer dans la roseraie, et respirer le parfum doux des roses qui se fanent.
. . .
Oui. Tout est clair ; en fait, une seule chose m'était imposée : ne pas attendre qu'un jour on vienne me délivrer, et comprendre que seul moi, et en aucun cas une autre personne, pouvait trouver la solution, accepter enfin ce qu'il m'était donné de vivre.
. . .
Oui. Je suis le seul à pouvoir décider, et l'unique pensée qui m'était interdite, c'était d'attendre sans prendre conscience qu'il m'était imparti une tâche : voler, sans vouloir m'en aller.
Tout est confus, je sais ; mais je crois que mon esprit s'est éclairci, que je suis seul maître.
Attendre est interdit, et pour m'en aller, il me suffisait de rêver, pour de vrai, et de profiter des heures que l 'on m'avait autorisé en cette terre.
. . .
J'arrive face au lac ; le vent souffle doucement, paisiblement, sur l'onde, et de minuscules vaguelettes naissent aux extrémités. Le soleil est haut, et de petits et timides cirrus viennent décorer la voûte céleste, parsemée d'étoiles pâles et presque invisibles maintenant.
Le ciel est bleu, bleu pâle, presque blanc. C'est le jour que j'attendais tant.
Comment en suis-je arrivé là ? Comment ai-je réussi à me retrouver enfin face à ce rêve, sans qu'il s'enfuie dès que mon bras se tend vers lui ?
Je ne sais pas, et je crois que tous les événement précédents n'ont plus d'importance.
. . .
J'enlève ma robe noire et propre. Le froid ne m'atteint pas, et ma peau reste ferme, lisse.
Mes ailes se déploient, tranquillement, absolument pas pressé exceptionnellement.
Je m'envole.
. . .
Adieu Draco.
Adieu Adonis.
Adieu tous.
Adieu Harry.
. . .
Les nuages sont accueillants, et je crois qu'ils me sourient. Je vole toujours plus haut, sans m'épuiser ni même craindre une quelconque fatigue.
Le soleil me brûle les ailes, et je crois qu'enfin, elle prenne une teinte dorée, ambrée, et dès ce moment, tout est plus beau ; les étoiles apparaissent dans la lumière.
Je ne prend même pas la peine de regarder Poudlard, de regarder ce lieu que je quitte enfin, car le soleil es t tout près maintenant, et je crois, que finalement, quand je volais si haut auparavant, l'unique chose qui me retenait, qui m'empêcher de m'élever, c'était la peur qu'à l'arrivée, je n'ai plus assez de force, plus assez d'énergie, pour redescendre.
C'est le dernier envol, l'envol de l'ange.
Et s'il est dit que les anges eurent, on dit rarement par contre dans tous les livres pleins de poussières, qu'une fois en haut, il reste vivant, et heureux.
. . .
. . .
. . .
. . .
FIN.
. . .
. . .
. . .
. . .
. . .
Vous y avez cru ? Et bine vous avez bien fait, j'arrête cette fic, sauf si vous me demandez une suite, que j'aie déjà en tête. Donc, c'est du chantage, amis je veux au moins 13 reviews, sinon j'arrête !
Je suis méchant ?
Pardon. . .
Pas grave, je continue quand même.
Tiens, dédicacé à Céline.s, comme ça, parce que j'ai envie tout à coup. . .
Bonne lecture à tous, j'espère que ça vous plaira, car ça a été difficile à écrire.
Titre : S'envoler, enfin, et ne jamais revenir.
Harry Potter. Quatre syllabe.
Ange. Un seule syllabe.
Moi.
. . .
J'ai compris enfin, ce qu'il me fallait faire, pour m'envoler.
C'es assez étrange, quand on cherche tout le temps quelque chose, qu'on vit chaque jour qu'il nous est donné de vivre en ayant à l'esprit un seule et unique chose.
Partir. Deux syllabe.
. . .
Oui, j'en suis sur maintenant.
Je m'appelle Harry Potter, et je ne suis pas humain, ne le serais jamais, et passerai toute ma vie à attendre, attendre d'être libéré.
Mais c'est fini maintenant. Les oiseaux partent dé jà vers le sud ; l'hiver approche, et l'automne de Poudlard flétri mon c?ur, sans que je puisse y échapper.
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Je marche dans le parc, les feuilles mortes s'entassent dé jà au pied des arbres. Dumbledore pourrait faire un effort.
J'aime me promener seul dans ce parc, à l'abri de touts les bruits, de tous ce sons, ces paroles qu m'envahissent à chaque moment la tête, qui installent entre moi et le ciel un brouillard opaque.
Et puis venir face au la c, faire le tour, rentrer dans la roseraie, et respirer le parfum doux des roses qui se fanent.
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Oui. Tout est clair ; en fait, une seule chose m'était imposée : ne pas attendre qu'un jour on vienne me délivrer, et comprendre que seul moi, et en aucun cas une autre personne, pouvait trouver la solution, accepter enfin ce qu'il m'était donné de vivre.
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Oui. Je suis le seul à pouvoir décider, et l'unique pensée qui m'était interdite, c'était d'attendre sans prendre conscience qu'il m'était imparti une tâche : voler, sans vouloir m'en aller.
Tout est confus, je sais ; mais je crois que mon esprit s'est éclairci, que je suis seul maître.
Attendre est interdit, et pour m'en aller, il me suffisait de rêver, pour de vrai, et de profiter des heures que l 'on m'avait autorisé en cette terre.
. . .
J'arrive face au lac ; le vent souffle doucement, paisiblement, sur l'onde, et de minuscules vaguelettes naissent aux extrémités. Le soleil est haut, et de petits et timides cirrus viennent décorer la voûte céleste, parsemée d'étoiles pâles et presque invisibles maintenant.
Le ciel est bleu, bleu pâle, presque blanc. C'est le jour que j'attendais tant.
Comment en suis-je arrivé là ? Comment ai-je réussi à me retrouver enfin face à ce rêve, sans qu'il s'enfuie dès que mon bras se tend vers lui ?
Je ne sais pas, et je crois que tous les événement précédents n'ont plus d'importance.
. . .
J'enlève ma robe noire et propre. Le froid ne m'atteint pas, et ma peau reste ferme, lisse.
Mes ailes se déploient, tranquillement, absolument pas pressé exceptionnellement.
Je m'envole.
. . .
Adieu Draco.
Adieu Adonis.
Adieu tous.
Adieu Harry.
. . .
Les nuages sont accueillants, et je crois qu'ils me sourient. Je vole toujours plus haut, sans m'épuiser ni même craindre une quelconque fatigue.
Le soleil me brûle les ailes, et je crois qu'enfin, elle prenne une teinte dorée, ambrée, et dès ce moment, tout est plus beau ; les étoiles apparaissent dans la lumière.
Je ne prend même pas la peine de regarder Poudlard, de regarder ce lieu que je quitte enfin, car le soleil es t tout près maintenant, et je crois, que finalement, quand je volais si haut auparavant, l'unique chose qui me retenait, qui m'empêcher de m'élever, c'était la peur qu'à l'arrivée, je n'ai plus assez de force, plus assez d'énergie, pour redescendre.
C'est le dernier envol, l'envol de l'ange.
Et s'il est dit que les anges eurent, on dit rarement par contre dans tous les livres pleins de poussières, qu'une fois en haut, il reste vivant, et heureux.
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FIN.
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Vous y avez cru ? Et bine vous avez bien fait, j'arrête cette fic, sauf si vous me demandez une suite, que j'aie déjà en tête. Donc, c'est du chantage, amis je veux au moins 13 reviews, sinon j'arrête !
Je suis méchant ?
Pardon. . .
