Alithwen et la communauté de libération
Note de l'auteur : Merci pour les reviews mais j'en reçois de moins en moins alors je me demande si vous trouvez que ma fan fiction devient de plus en plus monotone. Je sais que c'est long mais soyez indulgents. Ce n'est que ma deuxième fic et l'école est recommencé et j'ai deux fois moins de temps pour écrire. En tout cas...je vous laisse lire se sixième chapitre...
Chapitre6 : Sacrifice et voix.
-Vite tout le monde à l'abris, cria Gandalf.
Tout le monde sauta sous un buisson ou contre un rocher. Alithwen était entre Legolas et un rocher. Les Nazguls passèrent tout près d'eux et Alithwen arrêta presque de respirer. Lorsque enfin ils finirent par s'en aller ils sortirent de leur cachette. Tout le monde se regarda avec la même question dans les yeux.
-C'était quoi ça, demanda Elanore brisant le silence.
-C'était des Nazguls, les spectres de l'anneau Unique, lui répondit son père.
-Et qu'est ce qu'ils nous veulent, continua-t-elle avec le visage pâle.
-Sûrement rien de bon, répondit Gimli.
-Je crois que c'est un signe, dit Gandalf.
-Un signe de quoi, demanda Alithwen légèrement tremblante.
-Un signe qui nous indique que nous prenons trop de temps...Je crois que le seigneur des ténèbres commencera à envoyer encore plus d'orques dans la Terre du Milieu pour anéantir les peuples de ces terres.
Personne ne parla.
-Les anneaux commenceront à nous peser de plus en plus, continua Gandalf. Tout comme l'anneau Unique l'a déjà fait à son porteur.
Aragorn regarda Alithwen à cette remarque. Une fois de plus elle était en danger. Tout comme Legolas et Gandalf. Aragorn s'inquiétait moins pour Gandalf que pour sa fille et Legolas. En plus il y avait la Terre du Milieu qui était en périple. Sa cité était maintenant en danger et Arwen également. Ils devaient se dépêcher encore plus. Ils partirent donc à chevaux avec un pas plus vite de façon à arriver plus vite au Gondor pour aller ensuite vers la Baie de Beffalos. Ils marchaient à travers les champs du Rohan, lorsqu'Alithwen et Legolas entendirent de leurs oreilles fines des bruits de sabots.
-Des personnes viennent par ici, hurla Legolas à Aragorn.
Ils se cachèrent près de rocher avec les chevaux et attendirent. Lorsqu'ils virent les cavaliers passé ils reconnurent aussitôt les cavaliers du Rohan. Aragorn siffla et Eomer qui dirigeait encore le
groupe arrêta son cortège et se dirigea vers eux. Il les reconnue aussitôt et ne les encerclèrent pas comme la première fois qu'il les avaient vus. Eomer descendit de son cheval.
-Aragorn, mon ami, s'exclama-t-il.
-Bonjour Eomer, répondit-il un peu gêner. Quelle nouvelle pouvez-vous nous donner en ce qui concerne les frontières du Rohan.
Son visage s'assombrit.
-Hélas rien de bon Oh roi du Gondor, mes cavaliers et moi avons vu plusieurs troupes d'Orques se dirigeant vers le sud que nous avons massacrés.
-Vers le sud dis-tu, demanda Aragorn, mais c'est vers le Gondor!
Aragorn jeta un rapide coup d'?il vers Alithwen qui était en arrière de lui et qui avait l'air assommée par l'information du cavalier.Aragorn était un peu bouleversé par les événements. Il s'avait que sa cité était en danger et il n'était pas là pour les protéger.
-Je ne peux pas rester avec vous, annonça Aragorn après quelques minutes de silence. Je dois prendre de l'avance pendant la nuit qui arrive pour pouvoir arriver plus vite au Gondor pour aider mon peuple à se défendre.
Alithwen ouvra grands ses yeux. Maintenant s'en était trop. D'abords elle apprend que sa cité et sa mère sont en danger et en plus son père veux les quitter pour aller les sauver.
-Quoi?!, Vous voulez partir vers le Gondor seul pendant que les plaines grouillent d'orques! Mais vous courrez à votre perte!
-Alithwen je n'irai pas seul. Gimli et Legolas vont m'accompagner si ils le veulent. Mais toi tu dois continuer vers la Baie de Beffalos avec Gandalf, Sam, Elanore et Rosi. C'est notre seul chance de réussir à vaincre Sauron et délivrer les hobbits.
Le ton qu'avait pris Aragorn pour dirent tous cela se voyait triste mais en même temps autoritaire pour sa fille. Eomer qui avait tout entendu dit :
-Hélas Dame du Gondor je ne peux vous envoyer un de mes cavaliers.
-Eomer une alliance s'est créer entre le Gondor et le Rohan. Maintenant nous avons besoin de cette alliance, dit Aragorn.
-Nous allons vous accompagner Aragorn, continua Eomer.
-Legolas, Gimli je vous donne la nuit pour réfléchir à si vous venez ou non, nous partons demain matin à l'aube, dit Aragorn à l'adresse de l'elfe et le nain.
-Aragorn vous savez très bien que je vais vous suivre partout où que vous alliez, dit Gimli, mais Legolas lui...
Il ne finit jamais sa phrase en voyant le visage de son ami. Legolas avait un choix difficile à faire. Il devait choisir entre aller aidé ses amis à sauver le Gondor ou bien rester avec celle qu'il aimait.
-Nous allons installer le campement ici annonça Aragorn.
Alithwen entraîna Legolas en dehors du groupe et se tourna vers lui les yeux rempli de larmes.
-Vous devez y aller, commença-t-elle. Vous devez aidé mon père à sauver le Gondor.
-Mais vous...je ne veux pas vous quitter, murmura-t-il.
-Legolas vous devez y aller, répéta-t-elle.
Ses yeux s'embrumèrent d'eau à nouveau. Legolas essuya avec ses pouces les larmes qui commençaient à couler le long de son visage. Puis il l'embrassa comme jamais il ne l'avait fait auparavant désirant lui montrer tout son amour. Les larmes d'Alithwen se mêlèrent à ses baisers. C'était peut-être leur dernière nuit qu'il partagerait. Il s'arrêta puis en la regardant dans les yeux lui dit :
-Je vous aime...
-Allez vous partir, demanda-t-elle.
-Si cela est mon destin je partirai.
-Donc vous devez partir demain à l'aube avec mon père, finit-elle par dire.
Ils retournèrent vers le campement et s'assirent l'un à côté de l'autre et se murmurèrent quelques paroles avant qu'Alithwen s'endorme dans les bras de Legolas. Après deux heures elle se réveilla encore dans les bras de celui qu'elle aimait. En la voyant ouvrir les yeux Legolas l'embrassa doucement sur les lèvres.
-Et dire qu'il se peut que je ne sente plus ses lèvres si douces sur les miennes, murmura-t-elle.
Legolas ne répondit pas et l'embrassa de plus belle. Il ne restait maintenant que quelques heures avant l'aube. Legolas murmura quelques paroles en elfique à Alithwen. En gros ses paroles voulait dire :
-....Alithwen...je vous aime tant...comment puis-je vous abandonner ici seule....
-...Vous ne m'abandonnez pas...vous resterez dans mon c?ur...à jamais.
Legolas l'embrassa en pensant qu'il ne la reverrait peut-être jamais. En même temps Alithwen laissa échapper quelques larmes se mêlant aux baisers de Legolas. C'est ainsi qu'ils s'endormirent l'un contre l'autre. Aragorn faisait sont tour de garde lorsqu'il vit les deux amoureux endormi sûrement rêvant l'un de l'autre il compris que s'il avait essayer de les séparer dès le début de leur relation ils se serait fait haïr de sa propre fille et de son meilleur ami. Il ne pouvait s'empêcher de penser à lui et Arwen qui avait vécu la même chose à quelques détails près. Et en pensant à cela il pensa qu'elle était en danger...et également son royaume. Il se dit qu'il devait partir le plus tôt possible. Quatre heures plus tard Alithwen se réveilla. Elle avait senti quelques choses sur ses lèvres. Et lorsqu'elle ouvrit les yeux elle vit que c'était Legolas qui était pencher sur elle mais il ne souriait pas comme à son habitude.
-Il est l'heure de se lever...l'aube se lève, murmura-t-il sans aucune trace e gaieté dans la voix.
En entendant le mot « aube » Alithwen se redressa vivement et se leva debout. Legolas la suivit et mit ses baguages sur le dos du cheval de Gimli. Celui-ci était déjà assis sur le dos de la bête.
-Aurevoir Alithwen, dit Gimli j'espère vous revoir bientôt.
-Moi de même Gimli, lui dit-elle.
Puis ce fut le tour d'Aragorn :
-Je te promets de sauver Arwen et notre cité, lui dit-il en la serrant dans ses bras.
-Je vous croit père, avait-elle murmurer avec les larmes aux yeux.
Et se fut le tour de Legolas. Elle se jeta dans ses bras et ne pouvant plus se retenir elle versa quelques larmes. Legolas ne faisait que la serrer très fort contre lui pour pouvoir sentir son corps une dernière fois contre le sien. Tout le monde les regardaient mais cela ne leur dérangeaient pas.
-Je vous promet de revenir, murmura-t-il.
Elle ne répondit rien mais le serra encore plus dans ses bras. Legolas l'embrassa une dernière fois avec tout l'amour qu'il pouvait donner. Puis, il monta derrière Gimli et ils partirent dans le soleil levant sans se retourner accompagner des trois cents cavaliers du Rohan.
***************************************
Legolas ne se retourna pas mais prononça ces paroles en elfique :
-...Je reviendrai...je vous le promet...
Puis, il avait suivit Aragorn.
***************************************
Alithwen se retourna vers les autres et vit la même tristesse qui envahissais leur visage. Gandalf prit la paroles en premier :
-Ne vous en faîtes pas Alithwen ils reviendront.
-Je l'espère Gandalf je l'espère...
Ils restèrent encore quelques temps au même endroit et Alithwen en profita pour montrer à Elanore comment se défendre à l'épée. Après lui avoir remémorer les techniques de base elles firent un mini-combat. Elanore devenait de plus en plus bonne mais pour Alithwen se n'était qu'un petit combat. Alithwen pensa qu'elle c'était pratiquer à Edoras. Mais après une heure elles arrêtèrent pour pouvoir reprendre la route vers la Baie de Beffalos. Gandalf était en tête suivit de près par Sam, Rosi et Elanore et puis à la toute fin se trouvais Alithwen. Elle ne le laissait pas paraître mais au fond d'elle même elle était triste. Triste de ne pas pouvoir défendre son propre peuple et laissé son père, Gimli et Legolas y aller au risque de se faire tuer. Elle avait peur de ne jamais les revoir. Gandalf l'appela en avant ce qui la sortit de sa rêverie. Lorsqu'elle arriva à sa hauteur il lui dit :
-Alithwen je sais que vous êtes triste à cause de Legolas, de Gimli et d'Aragorn mais si vous ne reprenez pas de force Sauron sera capable de diriger votre esprit trop faible grâce à l'anneau. Il pourrait vous forcer à commettre l'irréparable sans que vous vous en rendiez contre.
Alithwen acquiesça. Elle le savait déjà mais n'y faisait pas attention. Elle lui promis de faire des efforts et retourna en arrière de la file replonger dans ses rêverie. La journée passa. Lentement..., trop lentement. Alithwen avait l'impression que le temps s'était arrêter de tourner. Mais le soleil se coucha et ils arrêtèrent pour la nuit. Alithwen et Gandalf prirent le premier tour de garde pour discuter du trajet mais Alithwen avait la tête ailleurs.
-...et nous allons prendre à l'ouest pour pouvoir contourner le Gondor, qu'en dites-vous.
Alithwen sursauta en attendant qu'on s'adressait à elle.
-Euh...oui, oui c'est parfait, balbutia-t-elle.
-Alithwen je vous sens très distante, qu'y a-t-il? Est-ce le départ d'Aragorn et de Legolas qui vous chagrine tant?
Alithwen ne répondit pas mais sentait déjà les larmes lui monter aux yeux. Là elle révéla tout. Toutes ses craintes pour son père et Legolas. À quelle point elle les aimait et qu'elle avait peur de les perdre et de ne jamais plus les revoir. Ensuite, vint le tour de sa mère. Arwen qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps et qui s'inquiétait sûrement mais qui ne pouvait rien faire tout comme elle. Puis le tour de son peuple. La peur qu'il perdre la bataille et qu'il meurt tous dans de terribles souffrances et de peine. Et finalement, la peur d'échouer dans la quête. Une quête presque désespérer. Elle lui confia aussi qu'elle avait senti l'anneau s'alourdir de plus en plus et particulièrement depuis que Legolas et Aragorn était partis avec les cavaliers du Rohan. Elle avait dit tout cela d'un seul trait et accompagner de quelques larmes. Gandalf l'avait écouter jusqu'au bout sans rien dire et même dans un silence compatissant.
-Alithwen vous devez vous ressaisir. Aragorn, Legolas et Gimli ne vont pas à leurs première guerre et ils savent très bien se défendre. Arwen aussi et je suis sur que les orques n'ont pas
encore attaquer le Gondor. Je pense même qu'Aragorn, Legolas et Gimli vont arriver avant eux pour sauver votre royaume. Et si votre anneau s'alourdit cela veut dire que vous perdez des forces à cause du départ de Aragorn, Legolas et Gimli parce que vous avez peur. Mais il ne faut pas laisser cette peur vous dominez. Maintenant allez dormir vous devez reprendre des forces.
Il avait dit tout cela sur un ton qui se vouait presque paternelle.
-Merci Gandalf, répondit Alithwen en allant se coucher vers ses couvertures.
Elle se coucha dedans et s'endormit avec un léger bourdonnement à la tête.
**********************************
Ils avait chevauché toute la nuit vers le Gondor. Maintenant ils faisais un petit arrêt pour reposer les chevaux. Pendant la nuit Legolas avait déprimé un peu. Mais Gimli avait vite fait de redonner le sourire au jeune archer. Legolas avait un drôle de pressentiment comme si il ne reverrait plus jamais Alithwen. Mais Gimli lui avait dit de ne pas sans faire et de penser à autre chose. Alors il avait laisser vagabonder son esprit. Il sursauta quand Aragorn l'appela en avant du groupe.
-Legolas que voyez-vous, demanda Aragorn.
Legolas scruta les plaines et dit :
-Je vois un gros point blanc cela doit être Minas Tirith et... oh non il y a un énorme nuage de poussière qui se dirige droit sur votre cité. C'est sûrement des orques du Mordor.
-Nous devons nous dépêcher nous sommes au moins à une journée de Minas Tirith et les orques à trois jours. Cela nous laisse deux jours pour préparer la guerre.
À ces mots Aragorn partit en trombe suivit par les cavaliers et Legolas et Gimli. Après trois heures de chevaucher ils firent une brève halte. Legolas sentait comme une sorte de bourdonnement à l'intérieur de sa tête. Il n'en parla pas mais il était inquiet. Jamais il n'avait eu cette sensation. Ils installèrent un campement pour la nuit. Legolas pensait qu'il devenait fou. Maintenant, il entendait des murmures mais il n'arrivait pas à dire à qui appartenait les voix. Enfin il finit par plongé dans un « sommeil ».
*****************************
Alithwen se réveilla après trois heures de sommeil tourmenté de rêve étrange. Elle avait rêver de Legolas qui entendait des voix et qui devenait fou...Pour l'instant elle ne s'en occupa pas et se leva. Elle vit Gandalf plongé dans les documents que Galadriel lui avait donné avant de partir pour la Lolthlorien. Elle s'approcha et s'assit à côté de lui. C'est là qu'elle lui parla de ses bourdonnement.
-Gandalf, je ne sais pas si cela a rapport avec l'anneau mais j'entends des bourdonnements.
-Je sais, répondit-il avec un grand sourire.
Alithwen se demanda pourquoi il le savait après tout elle ne lui en n'avait pas parler.
-Comment ça vous savez, demanda-t-elle maintenant un peu inquiète.
-J'ai lu dans les parchemins que la Dame Blanche m'a donné que les anneaux pouvait communiquer entre eux seulement si leur porteur était lier très fort l'un à l'autre.
-Vous voulez dire que je peux communiquer avec vous et Legolas.
-Non pas tout à fait, répondit-il. Vous ne pouvez pas communiquer avec moi puisque je n'entends pas de bourdonnements, mais avec Legolas je crois que si mes calculs sont justes vous pourrez communiquer par la pensée.
Alithwen ,après cette déclaration, était inquiète, puis elle posa cette question :
-Mais lui est-ce qu'il entends des voix en ce moment en ce demandant s'il est en train de devenir fou!!!!!
-Peut être et c'est pour cette raison que nous devons trouver le plus vite possible comment entrez en contact avec Legolas, répondit Gandalf.
-Mais comment Gandalf, comment, cria Alithwen paniquée.
-Je crois que vous devez méditer pendant quelques temps et après un certain temps vous pourrez le voir et lui parler.
Alithwen commença alors à méditer. Elle s'assit par terre, les jambes croisés et les yeux fermés. Gandalf s'assit sur un rocher et commença à réfléchir(et non à méditer). Cela pris une heure avant qu'Alithwen entende plus que des bourdonnements. Pendant ce temps Sam, Rosi et Elanore se réveillèrent. Gandalf les averti de la situation et ils se taisent pendant qu'ils prenaient leurs petit déjeuner laissant ainsi Alithwen dans sa concentration. Ensuite, ils allèrent un peu plus loin pour que Sam finissent l'entraînement d'Elanore à l'épée et en même temps celle de Rosi. Alithwen entendit enfin des voix : celle de son père qui parlait mais elle n'arrivait pas à savoir de quoi. Enfin elle compris elle entendit Aragorn dire à Legolas d'aller se reposer quelques instants puisqu'ils avaient chevauché toute la nuit. Alithwen entendit Legolas dire qu'il avait mal à la tête et qu'il n'arriverait pas à dormir. Aragorn s'en inquiéta. Legolas lui dit qu'il entendait des bourdonnements à l'intérieur de sa tête et même des fois des voix. Il sentait aussi l'anneau lui brûler en ce moment. Alithwen se risqua. Elle pensa très fort à :
-Legolas!
***********************
Legolas ouvrit grands les yeux.
Et voilà! J'ai fini...enfin... Tk je sais que je vais me répéter mais je reçois de moins en moins de reviews pis je me demande si je devrais arrêter parce que écrire cette fan fiction prends beaucoup de mon temps. En plus l'école est recommencée pis les travaux et les devoirs aussi alors j'ai de moins en moins de temps pour écrire...Tk c'est juste pour vous dire d'être patient(très patient)pour les prochains chapitres...
Tk bye bye
Bisous.
Note de l'auteur : Merci pour les reviews mais j'en reçois de moins en moins alors je me demande si vous trouvez que ma fan fiction devient de plus en plus monotone. Je sais que c'est long mais soyez indulgents. Ce n'est que ma deuxième fic et l'école est recommencé et j'ai deux fois moins de temps pour écrire. En tout cas...je vous laisse lire se sixième chapitre...
Chapitre6 : Sacrifice et voix.
-Vite tout le monde à l'abris, cria Gandalf.
Tout le monde sauta sous un buisson ou contre un rocher. Alithwen était entre Legolas et un rocher. Les Nazguls passèrent tout près d'eux et Alithwen arrêta presque de respirer. Lorsque enfin ils finirent par s'en aller ils sortirent de leur cachette. Tout le monde se regarda avec la même question dans les yeux.
-C'était quoi ça, demanda Elanore brisant le silence.
-C'était des Nazguls, les spectres de l'anneau Unique, lui répondit son père.
-Et qu'est ce qu'ils nous veulent, continua-t-elle avec le visage pâle.
-Sûrement rien de bon, répondit Gimli.
-Je crois que c'est un signe, dit Gandalf.
-Un signe de quoi, demanda Alithwen légèrement tremblante.
-Un signe qui nous indique que nous prenons trop de temps...Je crois que le seigneur des ténèbres commencera à envoyer encore plus d'orques dans la Terre du Milieu pour anéantir les peuples de ces terres.
Personne ne parla.
-Les anneaux commenceront à nous peser de plus en plus, continua Gandalf. Tout comme l'anneau Unique l'a déjà fait à son porteur.
Aragorn regarda Alithwen à cette remarque. Une fois de plus elle était en danger. Tout comme Legolas et Gandalf. Aragorn s'inquiétait moins pour Gandalf que pour sa fille et Legolas. En plus il y avait la Terre du Milieu qui était en périple. Sa cité était maintenant en danger et Arwen également. Ils devaient se dépêcher encore plus. Ils partirent donc à chevaux avec un pas plus vite de façon à arriver plus vite au Gondor pour aller ensuite vers la Baie de Beffalos. Ils marchaient à travers les champs du Rohan, lorsqu'Alithwen et Legolas entendirent de leurs oreilles fines des bruits de sabots.
-Des personnes viennent par ici, hurla Legolas à Aragorn.
Ils se cachèrent près de rocher avec les chevaux et attendirent. Lorsqu'ils virent les cavaliers passé ils reconnurent aussitôt les cavaliers du Rohan. Aragorn siffla et Eomer qui dirigeait encore le
groupe arrêta son cortège et se dirigea vers eux. Il les reconnue aussitôt et ne les encerclèrent pas comme la première fois qu'il les avaient vus. Eomer descendit de son cheval.
-Aragorn, mon ami, s'exclama-t-il.
-Bonjour Eomer, répondit-il un peu gêner. Quelle nouvelle pouvez-vous nous donner en ce qui concerne les frontières du Rohan.
Son visage s'assombrit.
-Hélas rien de bon Oh roi du Gondor, mes cavaliers et moi avons vu plusieurs troupes d'Orques se dirigeant vers le sud que nous avons massacrés.
-Vers le sud dis-tu, demanda Aragorn, mais c'est vers le Gondor!
Aragorn jeta un rapide coup d'?il vers Alithwen qui était en arrière de lui et qui avait l'air assommée par l'information du cavalier.Aragorn était un peu bouleversé par les événements. Il s'avait que sa cité était en danger et il n'était pas là pour les protéger.
-Je ne peux pas rester avec vous, annonça Aragorn après quelques minutes de silence. Je dois prendre de l'avance pendant la nuit qui arrive pour pouvoir arriver plus vite au Gondor pour aider mon peuple à se défendre.
Alithwen ouvra grands ses yeux. Maintenant s'en était trop. D'abords elle apprend que sa cité et sa mère sont en danger et en plus son père veux les quitter pour aller les sauver.
-Quoi?!, Vous voulez partir vers le Gondor seul pendant que les plaines grouillent d'orques! Mais vous courrez à votre perte!
-Alithwen je n'irai pas seul. Gimli et Legolas vont m'accompagner si ils le veulent. Mais toi tu dois continuer vers la Baie de Beffalos avec Gandalf, Sam, Elanore et Rosi. C'est notre seul chance de réussir à vaincre Sauron et délivrer les hobbits.
Le ton qu'avait pris Aragorn pour dirent tous cela se voyait triste mais en même temps autoritaire pour sa fille. Eomer qui avait tout entendu dit :
-Hélas Dame du Gondor je ne peux vous envoyer un de mes cavaliers.
-Eomer une alliance s'est créer entre le Gondor et le Rohan. Maintenant nous avons besoin de cette alliance, dit Aragorn.
-Nous allons vous accompagner Aragorn, continua Eomer.
-Legolas, Gimli je vous donne la nuit pour réfléchir à si vous venez ou non, nous partons demain matin à l'aube, dit Aragorn à l'adresse de l'elfe et le nain.
-Aragorn vous savez très bien que je vais vous suivre partout où que vous alliez, dit Gimli, mais Legolas lui...
Il ne finit jamais sa phrase en voyant le visage de son ami. Legolas avait un choix difficile à faire. Il devait choisir entre aller aidé ses amis à sauver le Gondor ou bien rester avec celle qu'il aimait.
-Nous allons installer le campement ici annonça Aragorn.
Alithwen entraîna Legolas en dehors du groupe et se tourna vers lui les yeux rempli de larmes.
-Vous devez y aller, commença-t-elle. Vous devez aidé mon père à sauver le Gondor.
-Mais vous...je ne veux pas vous quitter, murmura-t-il.
-Legolas vous devez y aller, répéta-t-elle.
Ses yeux s'embrumèrent d'eau à nouveau. Legolas essuya avec ses pouces les larmes qui commençaient à couler le long de son visage. Puis il l'embrassa comme jamais il ne l'avait fait auparavant désirant lui montrer tout son amour. Les larmes d'Alithwen se mêlèrent à ses baisers. C'était peut-être leur dernière nuit qu'il partagerait. Il s'arrêta puis en la regardant dans les yeux lui dit :
-Je vous aime...
-Allez vous partir, demanda-t-elle.
-Si cela est mon destin je partirai.
-Donc vous devez partir demain à l'aube avec mon père, finit-elle par dire.
Ils retournèrent vers le campement et s'assirent l'un à côté de l'autre et se murmurèrent quelques paroles avant qu'Alithwen s'endorme dans les bras de Legolas. Après deux heures elle se réveilla encore dans les bras de celui qu'elle aimait. En la voyant ouvrir les yeux Legolas l'embrassa doucement sur les lèvres.
-Et dire qu'il se peut que je ne sente plus ses lèvres si douces sur les miennes, murmura-t-elle.
Legolas ne répondit pas et l'embrassa de plus belle. Il ne restait maintenant que quelques heures avant l'aube. Legolas murmura quelques paroles en elfique à Alithwen. En gros ses paroles voulait dire :
-....Alithwen...je vous aime tant...comment puis-je vous abandonner ici seule....
-...Vous ne m'abandonnez pas...vous resterez dans mon c?ur...à jamais.
Legolas l'embrassa en pensant qu'il ne la reverrait peut-être jamais. En même temps Alithwen laissa échapper quelques larmes se mêlant aux baisers de Legolas. C'est ainsi qu'ils s'endormirent l'un contre l'autre. Aragorn faisait sont tour de garde lorsqu'il vit les deux amoureux endormi sûrement rêvant l'un de l'autre il compris que s'il avait essayer de les séparer dès le début de leur relation ils se serait fait haïr de sa propre fille et de son meilleur ami. Il ne pouvait s'empêcher de penser à lui et Arwen qui avait vécu la même chose à quelques détails près. Et en pensant à cela il pensa qu'elle était en danger...et également son royaume. Il se dit qu'il devait partir le plus tôt possible. Quatre heures plus tard Alithwen se réveilla. Elle avait senti quelques choses sur ses lèvres. Et lorsqu'elle ouvrit les yeux elle vit que c'était Legolas qui était pencher sur elle mais il ne souriait pas comme à son habitude.
-Il est l'heure de se lever...l'aube se lève, murmura-t-il sans aucune trace e gaieté dans la voix.
En entendant le mot « aube » Alithwen se redressa vivement et se leva debout. Legolas la suivit et mit ses baguages sur le dos du cheval de Gimli. Celui-ci était déjà assis sur le dos de la bête.
-Aurevoir Alithwen, dit Gimli j'espère vous revoir bientôt.
-Moi de même Gimli, lui dit-elle.
Puis ce fut le tour d'Aragorn :
-Je te promets de sauver Arwen et notre cité, lui dit-il en la serrant dans ses bras.
-Je vous croit père, avait-elle murmurer avec les larmes aux yeux.
Et se fut le tour de Legolas. Elle se jeta dans ses bras et ne pouvant plus se retenir elle versa quelques larmes. Legolas ne faisait que la serrer très fort contre lui pour pouvoir sentir son corps une dernière fois contre le sien. Tout le monde les regardaient mais cela ne leur dérangeaient pas.
-Je vous promet de revenir, murmura-t-il.
Elle ne répondit rien mais le serra encore plus dans ses bras. Legolas l'embrassa une dernière fois avec tout l'amour qu'il pouvait donner. Puis, il monta derrière Gimli et ils partirent dans le soleil levant sans se retourner accompagner des trois cents cavaliers du Rohan.
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Legolas ne se retourna pas mais prononça ces paroles en elfique :
-...Je reviendrai...je vous le promet...
Puis, il avait suivit Aragorn.
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Alithwen se retourna vers les autres et vit la même tristesse qui envahissais leur visage. Gandalf prit la paroles en premier :
-Ne vous en faîtes pas Alithwen ils reviendront.
-Je l'espère Gandalf je l'espère...
Ils restèrent encore quelques temps au même endroit et Alithwen en profita pour montrer à Elanore comment se défendre à l'épée. Après lui avoir remémorer les techniques de base elles firent un mini-combat. Elanore devenait de plus en plus bonne mais pour Alithwen se n'était qu'un petit combat. Alithwen pensa qu'elle c'était pratiquer à Edoras. Mais après une heure elles arrêtèrent pour pouvoir reprendre la route vers la Baie de Beffalos. Gandalf était en tête suivit de près par Sam, Rosi et Elanore et puis à la toute fin se trouvais Alithwen. Elle ne le laissait pas paraître mais au fond d'elle même elle était triste. Triste de ne pas pouvoir défendre son propre peuple et laissé son père, Gimli et Legolas y aller au risque de se faire tuer. Elle avait peur de ne jamais les revoir. Gandalf l'appela en avant ce qui la sortit de sa rêverie. Lorsqu'elle arriva à sa hauteur il lui dit :
-Alithwen je sais que vous êtes triste à cause de Legolas, de Gimli et d'Aragorn mais si vous ne reprenez pas de force Sauron sera capable de diriger votre esprit trop faible grâce à l'anneau. Il pourrait vous forcer à commettre l'irréparable sans que vous vous en rendiez contre.
Alithwen acquiesça. Elle le savait déjà mais n'y faisait pas attention. Elle lui promis de faire des efforts et retourna en arrière de la file replonger dans ses rêverie. La journée passa. Lentement..., trop lentement. Alithwen avait l'impression que le temps s'était arrêter de tourner. Mais le soleil se coucha et ils arrêtèrent pour la nuit. Alithwen et Gandalf prirent le premier tour de garde pour discuter du trajet mais Alithwen avait la tête ailleurs.
-...et nous allons prendre à l'ouest pour pouvoir contourner le Gondor, qu'en dites-vous.
Alithwen sursauta en attendant qu'on s'adressait à elle.
-Euh...oui, oui c'est parfait, balbutia-t-elle.
-Alithwen je vous sens très distante, qu'y a-t-il? Est-ce le départ d'Aragorn et de Legolas qui vous chagrine tant?
Alithwen ne répondit pas mais sentait déjà les larmes lui monter aux yeux. Là elle révéla tout. Toutes ses craintes pour son père et Legolas. À quelle point elle les aimait et qu'elle avait peur de les perdre et de ne jamais plus les revoir. Ensuite, vint le tour de sa mère. Arwen qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps et qui s'inquiétait sûrement mais qui ne pouvait rien faire tout comme elle. Puis le tour de son peuple. La peur qu'il perdre la bataille et qu'il meurt tous dans de terribles souffrances et de peine. Et finalement, la peur d'échouer dans la quête. Une quête presque désespérer. Elle lui confia aussi qu'elle avait senti l'anneau s'alourdir de plus en plus et particulièrement depuis que Legolas et Aragorn était partis avec les cavaliers du Rohan. Elle avait dit tout cela d'un seul trait et accompagner de quelques larmes. Gandalf l'avait écouter jusqu'au bout sans rien dire et même dans un silence compatissant.
-Alithwen vous devez vous ressaisir. Aragorn, Legolas et Gimli ne vont pas à leurs première guerre et ils savent très bien se défendre. Arwen aussi et je suis sur que les orques n'ont pas
encore attaquer le Gondor. Je pense même qu'Aragorn, Legolas et Gimli vont arriver avant eux pour sauver votre royaume. Et si votre anneau s'alourdit cela veut dire que vous perdez des forces à cause du départ de Aragorn, Legolas et Gimli parce que vous avez peur. Mais il ne faut pas laisser cette peur vous dominez. Maintenant allez dormir vous devez reprendre des forces.
Il avait dit tout cela sur un ton qui se vouait presque paternelle.
-Merci Gandalf, répondit Alithwen en allant se coucher vers ses couvertures.
Elle se coucha dedans et s'endormit avec un léger bourdonnement à la tête.
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Ils avait chevauché toute la nuit vers le Gondor. Maintenant ils faisais un petit arrêt pour reposer les chevaux. Pendant la nuit Legolas avait déprimé un peu. Mais Gimli avait vite fait de redonner le sourire au jeune archer. Legolas avait un drôle de pressentiment comme si il ne reverrait plus jamais Alithwen. Mais Gimli lui avait dit de ne pas sans faire et de penser à autre chose. Alors il avait laisser vagabonder son esprit. Il sursauta quand Aragorn l'appela en avant du groupe.
-Legolas que voyez-vous, demanda Aragorn.
Legolas scruta les plaines et dit :
-Je vois un gros point blanc cela doit être Minas Tirith et... oh non il y a un énorme nuage de poussière qui se dirige droit sur votre cité. C'est sûrement des orques du Mordor.
-Nous devons nous dépêcher nous sommes au moins à une journée de Minas Tirith et les orques à trois jours. Cela nous laisse deux jours pour préparer la guerre.
À ces mots Aragorn partit en trombe suivit par les cavaliers et Legolas et Gimli. Après trois heures de chevaucher ils firent une brève halte. Legolas sentait comme une sorte de bourdonnement à l'intérieur de sa tête. Il n'en parla pas mais il était inquiet. Jamais il n'avait eu cette sensation. Ils installèrent un campement pour la nuit. Legolas pensait qu'il devenait fou. Maintenant, il entendait des murmures mais il n'arrivait pas à dire à qui appartenait les voix. Enfin il finit par plongé dans un « sommeil ».
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Alithwen se réveilla après trois heures de sommeil tourmenté de rêve étrange. Elle avait rêver de Legolas qui entendait des voix et qui devenait fou...Pour l'instant elle ne s'en occupa pas et se leva. Elle vit Gandalf plongé dans les documents que Galadriel lui avait donné avant de partir pour la Lolthlorien. Elle s'approcha et s'assit à côté de lui. C'est là qu'elle lui parla de ses bourdonnement.
-Gandalf, je ne sais pas si cela a rapport avec l'anneau mais j'entends des bourdonnements.
-Je sais, répondit-il avec un grand sourire.
Alithwen se demanda pourquoi il le savait après tout elle ne lui en n'avait pas parler.
-Comment ça vous savez, demanda-t-elle maintenant un peu inquiète.
-J'ai lu dans les parchemins que la Dame Blanche m'a donné que les anneaux pouvait communiquer entre eux seulement si leur porteur était lier très fort l'un à l'autre.
-Vous voulez dire que je peux communiquer avec vous et Legolas.
-Non pas tout à fait, répondit-il. Vous ne pouvez pas communiquer avec moi puisque je n'entends pas de bourdonnements, mais avec Legolas je crois que si mes calculs sont justes vous pourrez communiquer par la pensée.
Alithwen ,après cette déclaration, était inquiète, puis elle posa cette question :
-Mais lui est-ce qu'il entends des voix en ce moment en ce demandant s'il est en train de devenir fou!!!!!
-Peut être et c'est pour cette raison que nous devons trouver le plus vite possible comment entrez en contact avec Legolas, répondit Gandalf.
-Mais comment Gandalf, comment, cria Alithwen paniquée.
-Je crois que vous devez méditer pendant quelques temps et après un certain temps vous pourrez le voir et lui parler.
Alithwen commença alors à méditer. Elle s'assit par terre, les jambes croisés et les yeux fermés. Gandalf s'assit sur un rocher et commença à réfléchir(et non à méditer). Cela pris une heure avant qu'Alithwen entende plus que des bourdonnements. Pendant ce temps Sam, Rosi et Elanore se réveillèrent. Gandalf les averti de la situation et ils se taisent pendant qu'ils prenaient leurs petit déjeuner laissant ainsi Alithwen dans sa concentration. Ensuite, ils allèrent un peu plus loin pour que Sam finissent l'entraînement d'Elanore à l'épée et en même temps celle de Rosi. Alithwen entendit enfin des voix : celle de son père qui parlait mais elle n'arrivait pas à savoir de quoi. Enfin elle compris elle entendit Aragorn dire à Legolas d'aller se reposer quelques instants puisqu'ils avaient chevauché toute la nuit. Alithwen entendit Legolas dire qu'il avait mal à la tête et qu'il n'arriverait pas à dormir. Aragorn s'en inquiéta. Legolas lui dit qu'il entendait des bourdonnements à l'intérieur de sa tête et même des fois des voix. Il sentait aussi l'anneau lui brûler en ce moment. Alithwen se risqua. Elle pensa très fort à :
-Legolas!
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Legolas ouvrit grands les yeux.
Et voilà! J'ai fini...enfin... Tk je sais que je vais me répéter mais je reçois de moins en moins de reviews pis je me demande si je devrais arrêter parce que écrire cette fan fiction prends beaucoup de mon temps. En plus l'école est recommencée pis les travaux et les devoirs aussi alors j'ai de moins en moins de temps pour écrire...Tk c'est juste pour vous dire d'être patient(très patient)pour les prochains chapitres...
Tk bye bye
Bisous.