Kikoooooo tout le monde ^^ Je serais brève cette fois-ci :p

Disclaimer : Les persos de Fruits Basket ne sont pas à moi, mais à la remarquable Natsuki Takaya * senseïiiïiiiiii * Par contre, Komi, Lan et les zotre niouz sont copirayteuh Strelli-chan !!!!

Big kisus ^^

Bonne lecture !!!

CHAPITRE 3 : Rentrée révélatrice

-Aaaaah !!! dit Tohru en inspirant un grand coup tout en s'étirant. Il est juste assez tôt !! Je vais pouvoir la réveiller et le temps qu'elle s'habille, lui préparer son petit déjeuner !! ajouta-t-elle d'une voix enthousiaste en repoussant les rideau de la fenêtre.

Cela fait trois jours que Komi habite chez Shiguré et chaque jour est fort en émotion !!! D'ailleurs, aujourd'hui c'est le premier jour de Komi à son nouveau lycée

Il est 7h00 et ça fait 2 heures qu'elle est levée.

Tohru monta les escaliers, pensant aller réveiller Komi

-Komi Komi ? Tu dors encore ? Il faut te lever maintenant

Elle s'approcha du lit et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle vit le lit vide !!

Tohru: ° Mon Dieu !! Elle est où ????°

-Tohru ? Qu'est-ce que tu fais là ??

-WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!! hurla l'onigiri, livide

Komi se tenait debout dans le cadre de la porte, déjà en tenue, le foulard de son uniforme à la main. Ses cheveux étaient mouillés, elle devait avoir pris une douche.

-Désoléee, souffla Tohru, Tu m'as fait une de ces peurs !!

Komi éclata de rire.

-Ha ha !! Je suis levée depuis deux heures !!!

-KOU-WA ??? DEUX HEURES ???

-Ha ha ha ha !!!

Elles descendirent en riant.

-BONJOUR KYÔ !!! dit joyeusement Komi. Yuki n'est pas levé?

-'Jour

-Dis Tu pourrais répondre quand même, dit-elle en croisant les bras sur sa poitrine.

-Je ne vois pas pourquoi !!!! s'énerva Kyô.

-Te fâches pas mon neko-chan !!! dit-elle en avalant une boulette de riz.

-JE NE SUIS PAS TON NEK

-Bonjour, dit Yuki à la cantonade.

Kyô se rassit et lui tourna ostensiblement le dos.

-BONJOUR YUKI !!!! s'écria Komi sur le même ton enjoué.

Yuki:° Comment elle fait pour être aussi en forme le matin ?? Kami-sama elle en fait du bruit !! Enfin... C'est toujours mieux qu' Ayamé°

Il lui sourit néanmoins et s'assit.

-Alors, en forme pour ce premier jour ?demanda Shiguré.

-Oui !!

Et Komi se mit à énumérer ses projets scolaires, ses activités sportives etc En l'observant, Tohru ne pouvait s'empêcher de se poser la question qui la turlupinait depuis quelque temps

Tohru:° Fait-elle partie des douze ?? Quand on la regarde comme ça°

Mais le cours de ses pensées fut interrompu par Yuki qui la ramena à la rélité en lui rappelant qu'il fallait partir en cours.

Sur le chemin du lycée, Tohru et Komi marchaient en avance des deux garçons en bavardant. Malgré tout, Tohru était songeuse.

-Tohru Tu vas bien ? T'as l'air bizarre !!

-C' est rien !!! C'est que je En fait je me demandai si Euh... Laisse tomber

Tohru: ° Allez !!! Ce soir, je lui demande !!°

Komi: °J'espère qu'elle a pas chopé la crève u___u°

Lorsqu'ils arrivèrent en vue de l'école, trois filles discutaient devant le portail (vert). Lorsque celles-ci entendirent les bruits de conversations du petit groupe, elles se retournèrent.

-Bonjour Yukiii .

En fait, les filles en question étaient Motoko, présidente du fan-club "Prince Yuki", Minami et Mio, ses deux acolytes préférées Elles toisèrent Tohru d'un air suffisant.

-Humpf Bonjour.

-Bonjour, dit la boulette en rougissant.

-BONJOUOUOUR !!! dit joyeusement Komi, croyant que c'étaient les amies de Tohru et Yuki. Vous êtes des amies de Tohru et Yuki ??

En entendant prononcer le nom de leur Prince adoré, de manière si familière, elles hurlèrent à l'intention de la blondinette:

-POUR QUI TU TE PRENDS ??? PERSOOONE, JE DIS BIEN, PERSOOONE N'A JAMAIS APPELÉ NOTRE PRINCE AINSI ET ENCORE MOINS UNE FIIIILLE !!!!!!

-Mais euh J'ai rien fait !! Je l'ai juste appelé par son prénom !!! Quel mal y a t il à ça ?? se défendit Komi.

-Grrrrr

-Euh.. Minami, Motoko, Mio Komi est... ma cousine éloignée, intervint Yuki, juste à temps.

Les 3 filles s'arrêtèrent net, rouges de confusion.

- (GROS SILENCE) Euh.. Nous sommes désolées hé hé

Et elles partirent en courant. Komi se mit une main sur la hanche et dit d'un ton éberlué :

-Ces filles Elles sont drôlement bizarres !!!!

La cloche retentit. Tohru, Yuki et Kyô se séparèrent de Komi, qui se dirigea seule, vers sa classe.

-Classe 1-B, murmura-t-elle, Allez, courage !!! Je vaincrai !!

Elle s'arrêta devant l'écriteau qui indiquait "1-B". Elle tourna la tête vers le couloir désert.

Komi: ° Bon allez Quand faut y aller, faut y aller !°

Elle ferma les yeux, tendit la main vers la poignée de la porte, rouvrit ses yeux et fit coulisser la porte.

-Bonjour !! lança-t-elle de son habituel ton enjoué, à la cantonade.

Les conversations cessèrent brusquement et trente-deux paires d'yeux se braquèrent vers elle.

-Qui es-tu ?? lui demanda la prof, Mme Mayuko, une jeune femme aux cheveux coiffés en queue de cheval et qui enseignait les cours de littérature.

-Euh (goutte de sueur sur le front) Je suis la nouvelle élève Komi Kojitsu !

-Ah !! Oui c'est vrai

Elle jeta un il sur le cahier de présence.

-Eh bien Tu te présentes??

Komi n'avait pas trop l'habitude de ce genre d'entrée en matière. Un peu décontenancée, elle se ressaisir et déclina son identité:

-Je m'appelle Komi Kojitsu, j'ai eu 15 a

-KOMI-CHAN !!! s'exclama une voix enfantine.

Un petit blondinet était debout derrière son pupitre et arborait un immense sourire.
-Momiji !!! Ca faisait longtemps

Il y eut un brouhaha de voix confuses. Même la prof parut surprise.

-Soma ? Tu connais Kojitsu?

-Oui !!! C'est ma cousine éloignée, et c'est aussi celle de Haru !! ^__-

-Quoi Haru est ici ?? Géniaaaaaal !!!

-Bon euh.. Kojitsu, tu vas t'asseoir Tu as de la chance, juste derrière Hatsuharu Soma.

Elle se dirigea d'un pas sautillant vers son pupitre.

Komi: ° Finalement, elle commence plutôt bien cette journée !! °

-Eh Haru

Le buf se retourna avec son habituel air nonchalant.

-C'est chouette qu'on soit dans la même classe !! En plus, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vus !!

Haru eut un petit sourire Il aimait bien Komi, elle avait toujours le sourire

-Ouais C'est cool

Le reste de la matinée se déroula normalement. Alors que Komi rangeait ses affaires dans son sac, Makoto Takei, le représentant chargé des nouveaux élèves fit irruption et se planta, les mains sur les hanches devant le pupitre de Komi qui ne remarqua rien; elle était seule dans la classe.

-Hum

Elle releva la tête.

-Bonjour !!

-Bonjour Kojitsu Komi !! Je suis Makoto Takei, représentant du code bonne conduite de cet établissement et vice-président de l'association des élèves !!!

-Oui et euh que puis-je faire pour toi ?? (goutte de sueur sur le front)

Il pointa le doigt vers le sac à dos de Komi. Il est vrai qu'il n'était pas très conforme aux normes du lycée: un sac Quickilva (je ne réfère pas à la célèbre marque, déjà assez connue, donc je ne fais pas de pub na !) prune, avec un millions de porte-clés accrochés aux fermetures éclairs de son sac, mais personne ne lui avait rien dit.
-Votre sac à dos n'est pas conforme aux règles de ce lycée !!!!!

-Hein?

-CE SAC N'EST PAS CONFORME AU RÈGLEMENT DE CE LYCÉE !!!!!

-Ben qu'est-ce qu'il a mon sac ??? demanda la fillette, l'air ahuri.

-Il n'est tout simplement pas aux normes et j'ai quelque chose d'autre à vous faire part

-Quoi??? Dit Komi qui commençai sérieusement à penser que ce garçon était violemment atteint par l'ingurgitation des règles du lycée.

-VOS CHEVEUX !!!! C'EST QUOI CETTE COULEUR ????

-MAIS ILS SONT NORMAUX MES CHEVEUX !!!! C'EST LE SOLEIL QUI FAIT CA !!!!!

-AH AH !!! COMME SI J'ALLAIS VOUS CROIRE !!!!

-Komi ??

Kyô avait fait irruption dans la pièce.

-Vous !!! Monsieur Kyô Soma de la classe 2-D !!! Vous connaissez cette "délinquante" ??

-Hein ? Elle, une délinquante ??

-Oui !!! Vous avez vu ses cheveux ??? Ils sont blonds sur les longueurs et noirs à la racine Alors ???

-Mais puisque je te dis que c'est leur couleur naturelle !!!! dit Komi en soupirant d'un ton excédé.

Momiji entra à son tour suivi des autres (Haru, Yuki, Tohru).

-YUKI !!! MON CHER COLLÈGUE !!! COMMENT ALLEZ-VOUS ?? REGARDEZ-MOI CES CHEVEUX !!! dit Makoto qui ne semblait pouvoir s'exprimer qu'en hurlant.

-Makoto La couleur est naturelle

-Mais c'est ce que je lui répète depuis le début !!! hurla Komi, complètement hystérique.

Makoto avait l'air furieux. IL désigna les cheveux de Kyô et Haru d'un doigt accusateur :

-Vous !!! VOUS NE MONTREZ PAS LE BON EXEMPLE !!!

-EH ON SE CALME !!!! hurlèrent les deux autres.

-Snif

Tout le monde se retourna. Komi avait pris son petit visage innocent : les larmes aux yeux, l'air apeuré et la voix tremblotante, elle dit d'une toute petite voix :

-S'il vous plaît Laissez mes cheveux !!! Je vous jure que je dis la vérité S'il vous plaît

Avec ses cheveux blonds ondulés qui lui entouraient le visage, elle avait vraiment l'air adorable

Tohru : ° Ooooh !! Elle est trop... KAWAII !! °

-Humpf, dit Makoto avec humeur, je vous autorise pour vos cheveux, mais pour sac à dos

Komi fit mine d'éclater en sanglots :

-Mais Mais

-D'accord !!! Je vous autorise pour votre sac !! Mais gare à vous !!!

Et il partit d'un pas lourd.

-Alors là, bravo ! dit Hatsuharu avec un petit sifflement admiratif.

-Hi hi ... Merci !!

-Ah Parce que tu faisais semblant ? demanda Tohru.

Le petit groupe sortit de la salle en riant et bavardant

Soudain Komi s'arrêta net et Momiji faillit lui rentrer dedans.

-Mon portefeuille !!! Je l'ai oublié dans la classe !!!

Et elle repartit en courant Pour revenir deux minutes plus tard.

-Ouf !! Si je l'avais oublié

Elle l'ouvrit et poussa un soupir de soulagement.

-Tu as tant d'argent que ça dedans ? demanda Kyô, intrigué.

-Nan Mais si j'avais perdu Laura et Misato

-C'est qui "Laura et Misato" ?? demandèrent les autres tous en choeur.

Elle exhiba une photo. Elle représentait trois filles en uniforme de collège, qui étaient assises sur un muret, et qui se tenaient par le cou en riant.

-Oh !! J'ai compris, dit Tohru en souriant. Ce sont tes amies et comme tu as déménagé, cette photo, c'est pour ne pas les oublier

Komi hocha vigoureusement la tête et eut un petit sourire triste :

-Ce sont mes vraies meilleures amies

Sur la photo, Komi était au milieu de ses deux amies, ses cheveux blonds retenus par un joli serre-tête et elle souriait à pleines dents. À sa gauche, une fille plus petite, aux cheveux raides et châtains retenus en chignon désordonné, la peau laiteuse et les yeux vert mousse, faisait le V de la victoire en souriant, et au bas de la photo, elle avait signé, Misato.

Et à la droite de Komi, une grande fille aux cheveux noirs dont les mèches s'envolaient au vent, la peau très pâle (genre Saki) et ses étranges yeux bleu clair, souriait avec douceur et avait signé au bas de la photo, Laura.

Komi rangea la photo et ils repartirent chez eux (aujourd'hui, ils n'avaient pas cours l'après-midi). Momiji et Haru les accompagnèrent.

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Komi s'étira.

-On a passé une super journée !! N'est-ce pas Tohru ?

Elles étendaient le linge sur la terrasse de derrière tout en bavardant. Malgré tout, Tohru restait songeuse et n'écoutait ce que disait Komi que d'une oreille distraite.

-Komi Je peux te poser une question ?

-Oui bien sûr !! dit la blondinette en s'asseyant en tailleur par terre.

Tohru s'assit à son tour.

-Je Enfin tu vois Le jour de ton arrivée Quand Kyô est arrivé Eh bien euh (goutte de sueur)

-Tu te demandes pourquoi il ne s'est pas transformé c'est ça ?

Tohru se figea.

-On peut dire que moi aussi je fais partie des douze Mais comme Kyô, j'ai été bannie, en quelque sorte

Elle s'allongea par terre, les mains croisées derrière sa nuque.

-C'est une légende plus récente que celle de la malédiction des douze On raconte qu'un jour, une vieille femme passa devant une très grande bâtisse, commandée par un puissant chef de famille Ce fut le fils de ce dernier qui lui ouvrit

-Ce garçon était-il apparenté à la famille Soma ? demanda Tohru à brûle-pourpoint.

-Pas directement Donc cette vieille femme lui demanda l'aumône, mais comme tu dois t'en douter, le jeune homme refusa

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Il a de beaux yeux bleus et des cheveux d'un noir de jais tout aussi scintillants que ses yeux. Il est habillé d'un yukata richement brodé de fils d'or et d'argent. Tout le monde fait la fête. On frappe à la porte, il va ouvrir. D'abord, il ne voit rien et s'apprête à refermer la porte, le plus vite possible, l'hiver étant particulièrement rigoureux cette année.

-Excusez-moi, jeune homme

Quelle est donc cette voix frêle et tremblotante ? Il se retourne et qu'aperçoit-il ? Une vieille femme, ridée comme un pruneau, tendant la main, seule partie de son corps décharné ayant la force de sortir de la grande cape noire sous laquelle elle est enveloppée.

-Pourriez-vous avoir l'extrême générosité de m'accueillir dans votre riche demeure?

D'un air dédaigneux, le "prince" se retourne et lui claque la porte au nez. C'est lors qu'il entend un grand bruit. Affolé, il retourne dehors, et ce qu'il voit le fait frémir.

Des centaines d'animaux sauvages ou domestiques se sont regroupés devant la porte et grondent d'un air menaçant.

-Du calme Du Du Du calme ! dit-il d'une voix soudainement rauque.

Il se penche délicatement et ramasse une pierre qu'il jette sur un loup. L'animal évite facilement l'attaque. Le jeune homme a très peur et il sait que s'il amorce un geste pour rentrer à l'intérieur ou s'enfuir, les crocs acérés des bêtes sauvages le lacèreront Il déglutit péniblement. Une voix familière s'élève.

-Jeune homme Sais-tu que comme chaque vieille femme qui se respecte, j'ai des pouvoirs magiques ?

Les animaux grognent de plus en plus fort. Le jeune homme a du mal à respirer.

-Je Hum Je ne vois pas du tout ce que vous voulez dire

-Ah bon? Pourtant

La vieille femme ne termine pas sa phrase et soudain le jeune homme est aveuglé Il ne voit plus rien, ne sent plus rien, excepté cette atroce lumière blanche qui lui transperce les paupières, le rendant quasiment aveugle. Il flotte dans cet univers blanc et oppressant, sans s'arrêter de lutter contre cet éblouissement, qui, peu à peu, lui engourdit complètement les sens.

Il tombe dans ce qu'il pense être un puits sans fond, alors qu'il vient de s'affaler par terre. Un long moment passe. Ses paupières sont engourdies, et il lui semble voir des papillons argentés danser devant lui.

Il finit par se réveiller et ce qu'il voit le subjugue. Une fabuleuse licorne se tient devant lui. Sa robe est blonde comme le miel est ses longs cris noirs effleurent le sol. Sa corne semble être taillée dans le plus pur des diamants. À son cou pend une pierre bleue, à l'intérieur de laquelle se forment des volutes, des silhouettes indécises. L'animal se penche sur le jeune homme et lui murmure d'une voix sèche et dure, contrastant avec la douceur de son apparition:

-Toi aussi tu seras maudit. Maudit Mais avec plus de regrets encore que les autres.

-Que voulez-vous dire ?

La licorne laisse tomber la pierre bleue sur le sol, près du visage du jeune homme. C'est alors qu'il se rend compte qu'on entend des cris. Des pleurs. Des souffrances. Et soudain, il a mal. Il sent les souffrances de ces gens. Mais quels gens ? Une sueur froide lui dégouline sur le front.

-Ce sont les pires souffrances de tous ces maudits. Elles sont contenues dans cette Opale. À partir de maintenant, tu seras le seul et l'unique gardien de cette opale

Le jeune homme ne peut rien faire, tellement il est triste. La tristesse de l'Opale l'envahit. La licorne redevient vieille femme.

-Et puisque tu as manqué de respect à l'un de tes confrères, moi, en l'occurrence, puisque je suis maudite, tu te transformeras toi aussi. Et pour purger ta peine, tu verras chacun de tes enfants, petits-enfants se transformer à leur tour en animal, mais en un animal de dieux qu'il te sera impossible d'approcher.

Le jeune homme accepte, bien qu'il ait du mal à comprendre toute l'histoire. Encore cette opacité blanche qui l'étouffe, l'envahit. Cette fois, il se laisse aller. Et tombe.

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-KOMI !!

La jeune fille se réveilla en sursaut. Une sueur froide lui mouille les tempes.

-Ca va ? demanda Tohru. Tu t'es évanouie d'un seul coup quand tu as commencé à me parler de cette blancheur

Komi était livide, mais elle réussit à se relever.

-Ce n'est rien Juste Un mauvais rêve.

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