Chapitre 5 : Quand on rencontre un ange...
Seto sonna à la porte des sœurs Pegasus vers 17 heures. Jade ouvrit. Elle avait l'air malade, et ressemblait à sa sœur. « Ah, tu viens pour Zelda ? Viens, entre. C'est au premier étage, deuxième porte à droite. Ne la confonds pas avec un zombie, parce que c'est flagrant. » Seto monta les marches en marbre silencieusement, et s'arrêta devant la porte, la main sur la poignée. On avait collé sur la porte un grand poster noir où il était écrit : « Ici vous entrez dans le royaume des ombres. Prenez une lampe de poche, il fait sombre. » *N'importe quoi *, pensa Kaiba. Il entra dans une chambre qui ressemblait plus à une crypte qu'à autre chose. Il y avait des crucifix partout, des crânes, des modèles de pistolets, de fusils, des portraits dessinés au crayon et qui représentaient toujours les mêmes personnes : Maximilien Pegasus, sa femme, et deux autres personnes qu'il ne connaissait pas : un homme et une femme, tous les deux avaient de longs cheveux noirs, des yeux rouges et un air mauvais. On aurait dit des démons, ou des vampires. Dans un coin, un ordinateur ronronnait doucement en affichant son écran de veille, à savoir un zombie qui poursuivait un prêtre et qui le mangeait à la fin. Rien ne traînait par terre. La pièce était carrée, assez grande. Zelda était recroquevillée sur son lit à trois places, ses bras entouraient ses genoux pliés. Elle regardait le vide avec des yeux hagards. Sa main droite avait été bandée mais le tissu était encore rouge. Seto jeta presque les livres sur le lit, et se dirigea vers la porte pour sortir de cet endroit qui avait un air de tombeau. Il allait ouvrir, mais une poigne d'acier lui enserra le poignet. Zelda murmura : « Reste. -Mais... -Je t'ai dit de rester. Alors tu restes. Assieds-toi. -D'accord, je reste, dit Seto en s'asseyant sur le couvre-lit décoré d'un pentacle. -Ils ont dû me trouver ridicule, non ? Je devais faire une de ces chochottes... -C'est compréhensible que tu réagisses comme ça après une nuit pareille. -Qu'est-ce qu'ils ont dit ? -La plupart des gars espèrent te lécher les bottes parce que tu es jolie et parce que tu n'as pas un pois-chiche dans le crâne. -Ah bon. Et toi ? -Quoi moi ? -Qu'est-ce que tu as dit ? -Ben... j'ai dit que ça changeait des pauvres connes qui font du lèche-cul au prof de gym. -Ah. Si c'est un compliment... -C'est un compliment. -Ah. -Pitié arrête de dire « Ah » c'est désespérant. -Désolée. Pourquoi c'est tombé sur moi ? -Tu es malchanceuse, c'est tout. Mais bon... tu t'en tires toujours, alors il n'y a pas de problème. -À force, ça use. -'-' c'est compréhensible. -Et j'en ai marre. Cette histoire, c'est rien qu'un jeu de massacre. En plus, je cherche les Rapaces. -Qui ça ? o___0 -Les Rapaces sont les gens que j'ai dessinés, avec les cheveux noirs. Ce sont des vampires, nous traquons la même proie. La partie de chasse s'est pimentée. Ils sont de mon côté, ils m'ont trouvée, mais je dois venir à eux. -Tu n'as jamais pris rendez-vous chez un psy ? -Qui me croirait ? -Moi. -Mais... Seto, tu n'es pas psy. -Non, mais au moins je te crois. _ Je suis assez idiot pour ça. (Zelda sourit) Ah ben voilà ! Ca va mieux ? (Elle sourit encore plus) Tu deviens presque jolie, là ! (Elle rit comme une gosse) -Oh Seto, merci ! s'écria-t-elle en lui sautant au cou. -Mais O_O mais je... hein ? -Merci de m'avoir remonté le moral ! -Ah ?? Heu... de rien. Arrête, tu m'étrangles ! -'scuse-moi. » Elle le lâcha et ils descendirent. Avant d'ouvrir la porte (auteur : décidément il y a beaucoup de portes dans ce chapitre !!), Zelda se dressa sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur la joue de Kaiba, près de la bouche, et avec un « Encore merci », elle laissa Seto dans la rue.(Auteur :aux chiooooooottes !! je haiiiiiis l'amour !!! je veux du saaaaaaaaaaaang !!!!!!!!!!!!!!!!!) Quand il fut rentré chez lui, Zelda prit Jade dans ses bras et dit : « OH JADE JE L'AIME MAIS JE L'AIME MAIS JE L'AIIIME ! (Auteur : vomit) - Doucement !! Qui ça ? »
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Au même moment, chez les Kaiba... « Seto, tu es sûr que ça va ?demanda Mokuba. -Oui pourquoi ? -Fais pas l'innocent. Je ne t'ai jamais vu lire un dictionnaire. Qu'est-ce qu'elle t'a fait, Zelda ? -Ô_Ô un tit bisou pourquoi ? -WWWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHAAAAAAAHHAAAAHAAAAAAAA !! -Quel magnifique soutien... quand on rencontre un ange, après faut s'attendre à ça... -Nan mais... hé ça ha ha ça se voiiiiihahahahahaha !!! -Mon petit frère est un psychopathe. » Il se leva et se regarda dans une glace. Effectivement : Il avait une marque rouge foncé des lèvres de Zelda près de la bouche. Il la fit rapidement disparaître. « Mokuba, je suis amoureux. Zut. Manquait plus que ça. -Tant mieux ! Au moins tu ne seras pas vissé à Internet tous les soirs. -Cte vie... » Tout à coup ils entendirent Jade hurler « WAAAAHHAAAA C EST GEEEENIAAAAAALL !!!! » « Je crois savoir ce qui s'est passé, dit Mokuba. -Moi idem. »
Seto sonna à la porte des sœurs Pegasus vers 17 heures. Jade ouvrit. Elle avait l'air malade, et ressemblait à sa sœur. « Ah, tu viens pour Zelda ? Viens, entre. C'est au premier étage, deuxième porte à droite. Ne la confonds pas avec un zombie, parce que c'est flagrant. » Seto monta les marches en marbre silencieusement, et s'arrêta devant la porte, la main sur la poignée. On avait collé sur la porte un grand poster noir où il était écrit : « Ici vous entrez dans le royaume des ombres. Prenez une lampe de poche, il fait sombre. » *N'importe quoi *, pensa Kaiba. Il entra dans une chambre qui ressemblait plus à une crypte qu'à autre chose. Il y avait des crucifix partout, des crânes, des modèles de pistolets, de fusils, des portraits dessinés au crayon et qui représentaient toujours les mêmes personnes : Maximilien Pegasus, sa femme, et deux autres personnes qu'il ne connaissait pas : un homme et une femme, tous les deux avaient de longs cheveux noirs, des yeux rouges et un air mauvais. On aurait dit des démons, ou des vampires. Dans un coin, un ordinateur ronronnait doucement en affichant son écran de veille, à savoir un zombie qui poursuivait un prêtre et qui le mangeait à la fin. Rien ne traînait par terre. La pièce était carrée, assez grande. Zelda était recroquevillée sur son lit à trois places, ses bras entouraient ses genoux pliés. Elle regardait le vide avec des yeux hagards. Sa main droite avait été bandée mais le tissu était encore rouge. Seto jeta presque les livres sur le lit, et se dirigea vers la porte pour sortir de cet endroit qui avait un air de tombeau. Il allait ouvrir, mais une poigne d'acier lui enserra le poignet. Zelda murmura : « Reste. -Mais... -Je t'ai dit de rester. Alors tu restes. Assieds-toi. -D'accord, je reste, dit Seto en s'asseyant sur le couvre-lit décoré d'un pentacle. -Ils ont dû me trouver ridicule, non ? Je devais faire une de ces chochottes... -C'est compréhensible que tu réagisses comme ça après une nuit pareille. -Qu'est-ce qu'ils ont dit ? -La plupart des gars espèrent te lécher les bottes parce que tu es jolie et parce que tu n'as pas un pois-chiche dans le crâne. -Ah bon. Et toi ? -Quoi moi ? -Qu'est-ce que tu as dit ? -Ben... j'ai dit que ça changeait des pauvres connes qui font du lèche-cul au prof de gym. -Ah. Si c'est un compliment... -C'est un compliment. -Ah. -Pitié arrête de dire « Ah » c'est désespérant. -Désolée. Pourquoi c'est tombé sur moi ? -Tu es malchanceuse, c'est tout. Mais bon... tu t'en tires toujours, alors il n'y a pas de problème. -À force, ça use. -'-' c'est compréhensible. -Et j'en ai marre. Cette histoire, c'est rien qu'un jeu de massacre. En plus, je cherche les Rapaces. -Qui ça ? o___0 -Les Rapaces sont les gens que j'ai dessinés, avec les cheveux noirs. Ce sont des vampires, nous traquons la même proie. La partie de chasse s'est pimentée. Ils sont de mon côté, ils m'ont trouvée, mais je dois venir à eux. -Tu n'as jamais pris rendez-vous chez un psy ? -Qui me croirait ? -Moi. -Mais... Seto, tu n'es pas psy. -Non, mais au moins je te crois. _ Je suis assez idiot pour ça. (Zelda sourit) Ah ben voilà ! Ca va mieux ? (Elle sourit encore plus) Tu deviens presque jolie, là ! (Elle rit comme une gosse) -Oh Seto, merci ! s'écria-t-elle en lui sautant au cou. -Mais O_O mais je... hein ? -Merci de m'avoir remonté le moral ! -Ah ?? Heu... de rien. Arrête, tu m'étrangles ! -'scuse-moi. » Elle le lâcha et ils descendirent. Avant d'ouvrir la porte (auteur : décidément il y a beaucoup de portes dans ce chapitre !!), Zelda se dressa sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur la joue de Kaiba, près de la bouche, et avec un « Encore merci », elle laissa Seto dans la rue.(Auteur :aux chiooooooottes !! je haiiiiiis l'amour !!! je veux du saaaaaaaaaaaang !!!!!!!!!!!!!!!!!) Quand il fut rentré chez lui, Zelda prit Jade dans ses bras et dit : « OH JADE JE L'AIME MAIS JE L'AIME MAIS JE L'AIIIME ! (Auteur : vomit) - Doucement !! Qui ça ? »
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX Au même moment, chez les Kaiba... « Seto, tu es sûr que ça va ?demanda Mokuba. -Oui pourquoi ? -Fais pas l'innocent. Je ne t'ai jamais vu lire un dictionnaire. Qu'est-ce qu'elle t'a fait, Zelda ? -Ô_Ô un tit bisou pourquoi ? -WWWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHAAAAAAAHHAAAAHAAAAAAAA !! -Quel magnifique soutien... quand on rencontre un ange, après faut s'attendre à ça... -Nan mais... hé ça ha ha ça se voiiiiihahahahahaha !!! -Mon petit frère est un psychopathe. » Il se leva et se regarda dans une glace. Effectivement : Il avait une marque rouge foncé des lèvres de Zelda près de la bouche. Il la fit rapidement disparaître. « Mokuba, je suis amoureux. Zut. Manquait plus que ça. -Tant mieux ! Au moins tu ne seras pas vissé à Internet tous les soirs. -Cte vie... » Tout à coup ils entendirent Jade hurler « WAAAAHHAAAA C EST GEEEENIAAAAAALL !!!! » « Je crois savoir ce qui s'est passé, dit Mokuba. -Moi idem. »
