Chapitre 6 : Surprise !
Il était 19 heures 30. Bakura essayait de lire une BD, mais il n'arrivait pas à se concentrer, car son Yami lui faisait un exposé sur Zelda... quand le téléphone sonna.
« Allô ? -À L'HUILE ! lui répondit une voix de fille. -o__0 qui est à l'appareil ? -Zelda. -Ah, salut. -As-tu quelque chose de prévu ce soir ? -Euh... non, pourquoi ? -Oh, pour savoir... passe-moi ton Yami. -Hein ?! Mais... comment tu sais que j'ai un Yami ? -Me prends pas pour une abrutie. Je le sais, point à la ligne. MAINTENANT JE VEUX PAS PARLER AU POSSEDE MAIS AU POSSESSEUR MERDE A LA FIN !! -Gueule paaaaaaas _ Je te le passe. » Il y eut un craquement, et Yami-Bakura dit : « Qu'est-ce que tu veux, pauvre mortelle ? -Ne me traite pas de mortelle, je te prie, Casper l'égyptien. -ÒoO gmmmblskdzkrrruuu%#£$*¤... -Parce que tu n'es pas le seul à traficoter la magie. Moi aussi, je suis un tit peu sorcière dans mes heures perdues... -Tu ne me feras jamais avaler ça. Les sorcières ont disparu depuis des lustres. -M'énerve pas. Je suis pas gentille du tout quand je m'énerve. Tiens, un exemple... (la télé s'allume toute seule et Zelda apparaît au téléphone) -O____________O -Et tu peux changer de chaîne autant que tu voudras, je suis partout !reprit Zelda. -D'aaaaccord. J'admets que tu m'as un peu surpris, pendant la demi-seconde qui précédait celle-ci. Mais bon... ce n'est sûrement pas de magie que tu veux me parler, je me trompe ? -Au contraire. Je pense qu'avec une tête pareille tu serais plutôt du genre Hard Rock, Metal... ? -Ca se peut. -Réponds-moi par oui ou non ou je fais sauter ta baraque. -...Oui. -Et ben voilàààà... Tu vois quand tu veux. Bon, très bien. Bien, bien, bien. Rendez-vous à l'entrepôt 7 sur le quai 25. 20 heures. Et pis tu viens habillé en noir. Tout en noir. -Pourquoi ? -Tu poses de ces saletés de questions... Eh bah tu verras. Ciao ! -Salut. » La tété s'éteignit. Bakura dit à son Yami après avoir raccroché : « Toi tu écoutes du Metal, maintenant ? -Non mais tu crois que quand je te contrôle je fais que tuer des gens ?? Honte à toi ! -Avoue qu'elle te plaît. -Nan. -Si. -Bon d'accord je la veux. Et je l'aurai. -Pas sûr. Bon, allons-y. » Ils ignoraient que Zelda avait passé un coup de fil du même genre à Marik et à Otogi. Zelda, de son côté, avait enfilé un longue robe en cuir noir très décolletée et un collier à pendentif en forme de crucifix renversé (auteur : méchante !! antéchrist !!) et roulait déjà à plein tube vers l'entrepôt désaffecté. Elle voulait préparer une surprise aux garçons, mais laquelle ??
Il était 19 heures 30. Bakura essayait de lire une BD, mais il n'arrivait pas à se concentrer, car son Yami lui faisait un exposé sur Zelda... quand le téléphone sonna.
« Allô ? -À L'HUILE ! lui répondit une voix de fille. -o__0 qui est à l'appareil ? -Zelda. -Ah, salut. -As-tu quelque chose de prévu ce soir ? -Euh... non, pourquoi ? -Oh, pour savoir... passe-moi ton Yami. -Hein ?! Mais... comment tu sais que j'ai un Yami ? -Me prends pas pour une abrutie. Je le sais, point à la ligne. MAINTENANT JE VEUX PAS PARLER AU POSSEDE MAIS AU POSSESSEUR MERDE A LA FIN !! -Gueule paaaaaaas _ Je te le passe. » Il y eut un craquement, et Yami-Bakura dit : « Qu'est-ce que tu veux, pauvre mortelle ? -Ne me traite pas de mortelle, je te prie, Casper l'égyptien. -ÒoO gmmmblskdzkrrruuu%#£$*¤... -Parce que tu n'es pas le seul à traficoter la magie. Moi aussi, je suis un tit peu sorcière dans mes heures perdues... -Tu ne me feras jamais avaler ça. Les sorcières ont disparu depuis des lustres. -M'énerve pas. Je suis pas gentille du tout quand je m'énerve. Tiens, un exemple... (la télé s'allume toute seule et Zelda apparaît au téléphone) -O____________O -Et tu peux changer de chaîne autant que tu voudras, je suis partout !reprit Zelda. -D'aaaaccord. J'admets que tu m'as un peu surpris, pendant la demi-seconde qui précédait celle-ci. Mais bon... ce n'est sûrement pas de magie que tu veux me parler, je me trompe ? -Au contraire. Je pense qu'avec une tête pareille tu serais plutôt du genre Hard Rock, Metal... ? -Ca se peut. -Réponds-moi par oui ou non ou je fais sauter ta baraque. -...Oui. -Et ben voilàààà... Tu vois quand tu veux. Bon, très bien. Bien, bien, bien. Rendez-vous à l'entrepôt 7 sur le quai 25. 20 heures. Et pis tu viens habillé en noir. Tout en noir. -Pourquoi ? -Tu poses de ces saletés de questions... Eh bah tu verras. Ciao ! -Salut. » La tété s'éteignit. Bakura dit à son Yami après avoir raccroché : « Toi tu écoutes du Metal, maintenant ? -Non mais tu crois que quand je te contrôle je fais que tuer des gens ?? Honte à toi ! -Avoue qu'elle te plaît. -Nan. -Si. -Bon d'accord je la veux. Et je l'aurai. -Pas sûr. Bon, allons-y. » Ils ignoraient que Zelda avait passé un coup de fil du même genre à Marik et à Otogi. Zelda, de son côté, avait enfilé un longue robe en cuir noir très décolletée et un collier à pendentif en forme de crucifix renversé (auteur : méchante !! antéchrist !!) et roulait déjà à plein tube vers l'entrepôt désaffecté. Elle voulait préparer une surprise aux garçons, mais laquelle ??
