Chapitre 9 : Une merveilleuse soirée.

Zelda enfila une robe décolletée avec un crucifix renversé (Auteur : nomdidiou mais c'est une manie !!!!) autour du cou, le tout en noir, elle se mit du rouge à lèvres noir, du vernis à ongles noir, un bracelet clouté au poignet (et devinez quoi : il était NOIR !!!!!) et descendit. « Alors petite sœur, qu'en dis-tu ? demanda-t-elle. -O.O Waaaaaa tu es... magnifique. Papa serait fier de toi. -Oui... sûrement. -Si Kaiba ne craque pas avec ça, c'est qu'il n'est pas humain. -Tu y vas un peu fort, non ? -Non, vraiment. Tu es plus que jolie, n'importe quel garçon tomberait amoureux de toi. Au fait, qu'est-ce que tu vas voir ? -Massacre à la tronçonneuse. -Super ! Voilà un mec qui sait faire des choix !! -Ca c'est sûr. Tu sais, Jade... -Oui ? -Papa me manque. J'aurais voulu le voir encore une fois, avant de... (une ombre de tristesse passa dans son regard) -Oui, bien sûr. On le reverra bientôt, hein ? -J'espère. » Soudain, elles entendirent la sonnette. Zelda prit 20 $, ouvrit la porte... et BLAM le choc pour Kaiba ! *Bon Dieu de zut... elle est... trop... trop... oh bon dieu... * pensa-t-il. « Bonsoir. -Bonsoir cher voisin. -... -... -On y va ? -Puisque tu le dis. » Ils montèrent dans la voiture du PDG qui n'était pas du tout dans son assiette (Auteur : il est timide !!! Hahahahahaharf !!!). Zelda regardait par la fenêtre et comptait mentalement les lampadaires, et Kaiba lorgnait sa montre. Au 168ème lampadaire et au 9ème tour de la trotteuse, la Limousine noire s'arrêta devant le cinéma. Leatherhead (le psychopathe qui a massacré tous ces gens, pour ceux qui ne connaissent pas) regardait les gens d'un air sournois sur une grande affiche. Une femme à l'accueil leur demanda s'ils voulaient se restaurer : « Voulez-vous dîner avant de regarder le film ? -Avez-vous de la viande crue, bien saignante ? répliqua Zelda. -Euh... c'est-à-dire que... non... -Tant pis. Kaiba, t'as faim ? -Non. » Ils entrèrent dans la salle, s'assirent au dernier rang. Kaiba avait les mains moites et Zelda se rongeait les ongles (Auteur : Bêêêêrk ! Avec le vernis dessus, bêêêêrk !! ). Le film commença. Une bande de copains avait eu une panne de voiture, ils étaient perdus en forêt... soudain, une cabane... suspense après un quart d'heure... et SWASH une giclée de sang : le carnage avait commencé. À ce moment-là, Zelda se dit *Bon, il n'avance pas, j'avance. On va voir si môssieur Kaiba est si insensible... * Et elle posa sa tête sur l'épaule droite de Seto. (Et bah voui il était à sa gauche !). *Merde ! Mais elle fait quoi, là !? * s'écria mentalement Seto. * Oh ! et puis zut. Je crève de chaud, c'est pas possible ! Ou alors ce sont les nerfs... ou elle... * Il avait une vue panoramique sur son décolleté. (Auteur : et quand Marilyn Manson chantait « Be Obscene », il savait ce qu'il disait !) *Ca marche ! * se dit Zelda. * C'est génial, il se laisse faire ! Holà... cette actrice est vraiment idiote, elle devrait envoyer un coup de clef anglaise à ce type, au lieu de le regarder. Loupé, trop tard, elle est morte dommage, je commençais à l'apprécier, avec son air niais, elle faisait presque pitié... et je suis bien pour la première fois depuis six mois... * « Zelda ? -Oui Seto ? -Tu comptes rester longtemps comme ça ? -Au moins jusqu'au générique. -Ah. -Bé. -Eh! Y'a que moi qui ai le droit de dire ça!! -Nyark nyark nyark... -... -_-; -^_^ J'adore voir des gens qui crèvent. -... -Allô Seto ici la Terre ! -... » Le film se termina, Zelda se leva et suivit Kaiba vers la sortie. Il ne disait rien. Il ne la regardait pas. *Ca y est, je l'ai vexé *, se dit Zelda. * Mais bon dieu quelle idiote ! J'aurais dû rester assise tranquille... mais non, je ne pouvais pas... je le veux, je l'aurai... * Dans la Limo (Auteur : gaaaaaa Volkswagen ! ( ) Zelda ressentit un petit coup de jus : ce n'était pas la route qui était censée la mener chez elle. « Kaiba, où est-ce que tu m'emmènes ? -Quelque part. -Ca m'avance. -Sur terre. -Ca m'avance encore plus ! ( -Mais tu verras, enfin ! T'as jamais eu de surprises ? -Toutes mauvaises... -_ Holà... tes problèmes de vie sociale... -C'est de naissance. » Kaiba marmonna quelque chose d'incompréhensible au chauffeur, qui arrêta la Limousine (Auteur : awww Volks... Zelda & Kaiba : ON CONNAÎT VOLKSWAGEN!!!) « Amène-toi. -Mais Seto... -Dépêche-toi de sortir de cette bagnole. -Déjà fait. Et maintenant ? -Suis-moi. -Mais... -Juin. -[CENSURE] de [censure] de [censure] de [censure] ! _ (Auteur : supeeer ! Supeeer ! Génial !!!) -... » Le chauffeur ferma la porte de la limo (Auteur : gaaa... *SCHBLENG * - bruit d'une casserole que Zelda abat sur la tête d'une Auteuse) Kaiba la mena dans un parc. Après une centaine de mètres de silence, ils s'assirent sur un banc en fer forgé (Auteur : yes ils vont se geler le Q !! ). Kaiba regardait droit devant lui. Sa voix fit sursauter la gothique (en clair Zelda). « Zelda, je... j'ai quelque chose d'assez idiot à te dire. -Moi aussi. Mais commence. -OK. Zeldajet'aimeveux-tusortiravecmoi ? -O_O... O.O ... ^_^ Oui. ( et elle vira au rouge vif) Je... je t'aime aussi. (Auteur : dégueule toutes ses tripes * ne regarde plus et s'installe aux toilettes) -( » Seto lui prit la main, la serra. Elle se tourna vers lui et l'embrassa (Auteur : arf... arf... saloperie de patin !!! *retourne dégueuler ses tripes). « Tu sais, tu es vraiment jolie quand tu souris. -Si tu le dis... j'essaierai de sourire plus souvent. Tu sais, j'ai eu une trouille bleue quand tu m'as invitée au cinéma. -Pourquoi ? -J'aime pas les gars qui me mènent en bateau. Ca m'est arrivé trop souvent en Russie. -Je te rappelle qu'on est au Japon. -Bien observé. -Il faut que je rentre, Mokuba va s'inquiéter... -Alors, embrasse-moi encore une fois. » Et re belote le patin. (Auteur : s'arrête de dégueuler et écrit une lettre de réclamation aux tourtereaux : « Ras le q de vos conneries !! Y a des gens qui regardent ! » ils captent et rentrent dans la limo.) Zelda embrassa une dernière fois Seto, lui murmura « Bonne nuit mon amour » et le laissa complètement hébété sur le perron. Le PDG rentra chez lui et s'effondra tout habillé sur son lit. Il sentit qu'il allait bien dormir, cette nuit-là.

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

Auteur : RDV au chapitre suivant ! C'était horrible, à mon avis. Je me déteste. Comment ai-je pu écrire une horreur pareille ?? Zelda : Oh non... j'adore embrasser Kaiba ! Auteur : CREEEEEEEEEVEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Kaiba : Ne la touche pas !! Auteur : Ah ! Et despote en plus !!!