Saoirise avait un collier duquel pendait une améthyste. Elle ne l'enlevait jamais et dans sa belle robe blanche, la légère touche violette qui se balançait dans le décolleté du vêtement, donnait à Florian le tournis.
Il allait lui promettre de l'aimer le temps qu'il le pourrait.
En la regardant remonter l'allée, avec ses taches de rousseurs semblables à des pépites de chocolat sur les pommettes, il se sentit minuscule.
Lorsqu'elle arriva à sa hauteur, il avait un nouveau parfum en tête.
– Cookiriquiqui.
Saoirise sourit.
Elle l'aimait pour son art si loufoque qui l'habitait.
