Chapitre 5 : surveillance et action.
Le second groupe à prendre place fut le groupe Weber/Loiselle. Il faisait nuit quand ils arrivèrent mais ils avaient des lunettes infra-rouges que Ding regretta de ne pas avoir pris.
Weber était tireur d'élite dans l'unité de Rainbow et ses yeux étaient habitués à chercher tout autour de lui, c'est ainsi qu'il vit un homme qui surveillait aussi l'entrepôt et il donna sa position à Ding et Oso. Son chef n'avait pas fait la moitier du chemin que l'homme partait. Etant sur de ne pas s'être fait voir, les hommes en déduire qu'il avait fini son repérage.
Le reste de la surveillance des hommes ne fut pas très intéressante jusqu'à ce qu'un camion amène des caisses qui furent stockées dans l'entrepôt puis un autre camion trois heures après qui pris tout le contenu du bâtiment.
Ils furent ensuite relever à leur tour par John et Connely, qui ne notèrent ni camion, ni observateur mystérieux.
Mais pendant ce temps, la situations bougeait aussi du coté de la maison.
John voulait aller en ville, et il y emmena Ian et Alan. La maison avait dans son garage une voiture au couleur locale, décapotable. Enfin, elle aurait été au couleur local sans le téléphone par satellite qu'il cacha. Ian ne pu s'empêché de dire quelque chose.
I : De toute façon ses truc ça marche jamais quand on en a besoin.
A : C'est un de ses truc qui m'a sauvé la vie.
I : Parce que tu sais t'en servir ?
Il n'avait pas dit ça méchamment mais Alan le pris comme tel car il n'avait jamais vraiment eu d'affinité avec l'électronique.
John pour couper cours leur demanda de s'installer dans la voiture, dont il avait pris le volant. Le trajet jusqu'à la ville durant vingt minutes , dont les dix première furent silencieuse.
I : Vous êtes pas très bavard vous deux.
J : Je réfléchissais.
A : Pas à la possibilité d'aller sur l'île j'espère ?
J : Non, ça s'est déjà fais. Je me demandais quelle couverture on pourrait prendre pour visiter certain locaux.
I : Euh, je ne sais pas si je vous l'ai dit mais je ne parle pas espagnol.
A : Moi non plus d'ailleurs.
Ian avait dit ça car il avait vu la voiture de police les suivre. John qui la guettait leur conseilla de se taire, mais elle passa sans leur prêter attention.
En analysant la situation, il se dit que ça pourrait être pire, mais il se demanda comment.
INGEN avait ses installations à San Jose, capital du petit pays. C'est par-là que John voulait commencer ses recherches.
Le centre d'affaire n'était pas très grand et le bâtiment d'INGEN était un des plus imposant, et des plus haut.
I : Je me demande ce qu'ils font de tous ses étages.
A : Ils y travaillent.
J : Attendez-moi l !
Il s'éloigna de la voiture avant que les deux hommes n'aient pu dire quoi que se soit et entra dans le bâtiment.
La première sensation de John fut qu'il y faisait plus frai, donc le bâtiment était climatisé, puis ce fut cette impression de richesse. Cet endroit était tout à fait typique des Etats-Unis.
Il s'approcha de la secrétaire et lui demanda en espagnol.
J : Excusez-moi, je suis charger par les services d'hygiène de la ville d'une inspection, rien de très grave mais il faut que je voie votre chef.
S : Très bien monsieur. Il est au troisième étage, je le préviens.
J : Merci.
Le nom du responsable du troisième était Hammond, une personne de la famille pensa John, mais ceci ne le surpris pas.
Il lui posa des questions qui n'avait pas vraiment d'importance, puis vint celle qui l'intéressait vraiment.
J : Avez vous des dépendances, entrepôts ou garage appartenant à l'entreprise ?
H : A San Jose, non. Nous n'avons rien en dehors des deux îles. Vous voulez y aller ?
Il avait dire ça ironiquement et John rit un coups. Profitant de ceci, il enchaîna sur les îles, alors qu'il n'en avait pas l'intention en entrant.
J : Vous îles sont bien gardée au moins ?
H : Les dinosaures empêchent qui conque de rentrer, je peux vous l'assurer. Nous n'avons personnes sur place.
J : Très bien monsieur, je vous remercie.
En sortant, il s'étonna que tout est été aussi facile. D'accord il parlait espagnol couramment, avec une pointe d'accent latino grâce à Ding, mais à ce point.
A la voiture, il vit que Ian et Alan étaient partit se promener, pas très loin mais chacun de leur côté.
I : Alors, comment c'est passée votre visite ?
J : Mieux que je l'aurai imaginée. Ce gars ment comme il respire.
A : C'est de famille.
I : Je ne pense pas. Lex et Tim sont très gentils.
A : Même les traits les plus fort peuvent sauter une génération.
La remarque fit sourire John, qui se dit qu'il n'allait pas devoir passer trop de temps avec ses deux gars s'il ne voulait pas s'abrutir les idées.
La surveillance de l'entrepôts avait duré ses trois jours, et les hommes avaient réussi à trouver un roulement des gardes, et des camions.
Un camion apportait des caisses toutes les douze heures environ, et un les emmenait autre part toutes les vingt quatre heures. Mais les deux cycle était décalé ce qui fait qu'il n'y avait jamais deux camions en même temps.
Avant d'investire l'entrepôt, les hommes de Rainbow voulaient savoir où allait le deuxième camion, et d'où arrivait les premiers.
Ding et Connely était charger de suivre le premier camion, Loiselle et Oso le deuxième. John et Weber devaient voir où le troisième se déchargeait. Personne ne le fit remarquer, mais John avait mis une personne qui parlait couramment espagnol dans chaque équipe.
En arrivant sur les lieux, Ding vit que son camion était déjà là. Il échangea un regard avec Connely, puis ils coururent sans se faire voir jusqu'au camion. Ils montèrent à l'intérieur, en espérant qu'il ne serait pas rejoint pendant le voyage, souhait qui se réalisa.
Le camion partit à vide, vers la mer comme Ding le fit remarquer.
Ils attendirent pendant que les conducteurs allèrent se reposer dans une cabane construite près d'un mini port. D'après ce qu'il avait pu entendre Ding, les hommes en avaient marre de ce boulot et il ne souhaitait qu'une chose, être payer et rentrer chez eux.
Ils furent bientôt rejoint par le second camion et leur collègue.
Le dernier camion fut celui de John et Weber. Comme ce camion ci était chargé, il y avait un homme à l'arrière. Il ne posa pas de problème car malgré son arme, ce n'était pas un soldat et il se fit avoir par John qui l'endormit pour un bout de temps.
Ce chargement s'éloignait de bord de mer pour aller vers un aéroport de campagne. Là les caisses furent charger sur des avions privés d'IGEN à destinations de l'Europe pour trois d'entre eux, du Japon et de l'Asie pour cinq autres. Sept devait arriver pour se rendre au Etats-Unis.
Belle organisation pensa John, et tout ça pour de la poudre. Mais il ne voyait toujours pas qu'elle rôle pouvait avoir cette entreprise de Delaware.
Les quatre premiers ayant décidé que leur mission était finie, empruntèrent un camion, espérant ne pas se faire repérer mais il y en avait une dizaine sur les lieux et rentrèrent dans leur maison de campagne où les attendaient Alan et Ian. Ces deux derniers avaient décidé de faire semblent de s'entendre pour passer le temps ensemble.
John et Weber ne revinrent que six heures après eux, quand le camion les avaient déposés près de l'entrepôt.
J : D'après ce que je sais, il marche par étapes. Des hommes vont sur l'île et fabrique la drogue, ça durent environ trois mois. Puis, il y a deux semaines de transport, où il charge les camions…
D : Il y a un petit port ici (il montre sur une carte) où ils chargent la drogue, mais les gars qui font ça n'ont qu'une envie, que tout se finisse.
J : C'est une bonne chose, ils poseront moins de problème. Le dernier camion va dans un petit aéroport ici (il montre l'endroit) et la poudre s'envole dans des avions d'IGEN aux quatre coins du monde. Le prochain camion arrive dans cinq heures, on agira à ce moment là.
Comme tous les hommes étaient assez reposé, ils commençairent à l'aide de photo et de leur souvenir à établir un plan pour l'attaque de l'entrepôt.
John téléphona à Langley, le quartier général de la CIA pour leur transmettre les infos qu'ils avaient.
A l'heure prévue, les hommes de Rainbow étaient en poste devant l'entrepôt. Le camion arriva, et les hommes commençaient à parler entre eux, pendant qu'ils embarquaient la drogue.
On entendit une petite explosion, visant à distraire les hommes armer, mais donnant aussi l'ordre à Rainbow d'entrer en jeu.
Oso arrosa la zone avec son arme lourde, juste pour effrayer les hommes. Ding, Loiselle et Connelly passèrent à l'action, ordonnant aux hommes de déposer les armes et de s'allonger en espagnol bien sur, pendant que Weber de son poste d'observation avait pour mission de ne laisser personnes sortirent de la zone.
L'attaque se passa plutôt bien, et aucun des hommes ne posa de problème, comme prévu.
Quelques hommes de la CIA qui travaillait à l'ambassade vinrent pour s'occuper des prisonniers. Personnes ne voulaient savoir ce qu'on leur ferait, mais John savait une chose, si s'était lui qui les avait interrogé, ils ne seraient pas ressortit vivant de l'interrogatoire alors qu'avec ses gars là ils avaient une chance
