Chapitre 6 :Bienvenu en enfer.

A leur retour dans la maison, aucun des hommes n'avait envie de faire la fête. Ils n'avaient tué personnes cette fois, mais il y en avait eu d'autre avant. Ils se rappelaient surtout de l'attaque du parc, où des terroristes avaient pris des gamins en otage. Ca n'avait pas été beau ce jour là, surtout qu'une gamine y avait laissé la vie. Puis il y avait eu l'attaque de l'hôpital, qui visait les femmes de John et Ding. C'était un piège et le groupe un avait eu des pertes, des amis à eux qui étaient mort.

Aucun des hommes n'alla dormir non plus, sachant qu'il ne trouverait pas le sommeil. Alors ils restaient là, à attendre que le temps passe.

Enfin, ça ne dura pas trop longtemps, car ni Alan ni Ian n'avaient cet état d'esprit. Ils avaient été se promener dans la cours mais ils n'étaient pas seuls et ils l'avaient vu.

Ian rentra dans la maison et cria presque : Il y a un homme qui nous espionne, dans le parc.

Les hommes de Rainbow prirent leur armes et sortirent voir cet homme. La personne dont il était question n'avait pas attendu que les hommes armés sortent pour partirent, mais hélas pour lui, ils suivirent sa trace.

L'homme couru jusqu'à sa voiture, garée sur la route à cent mètres de là. Ian avait été chercher le camion avec lequel certains étaient rentrés et il pris au passage les hommes de Rainbow resté sur la route.

John et Alan avaient pris la voiture, ce qui leur permis d'aller plus vite mais ils restèrent en liaison radio avec le reste de l'équipe.

La première voiture s'arrêta dans le petit port d'où arrivait la drogue. L'homme descendit et pour la première fois John pu le voir. Il laissa Alan dans la voiture pour guider les autres pendant qu'il essayait de stopper le fuyard, ou au moins d'en savoir plus sur lui.

Ce n'était pas l'homme que certain avait vu près de l'entrepôt, la description ne correspondait pas. Il décida donc de le surnommé quatre doigts, car un de ses pouces manquait à l'appelle.

Assez vite, il reconnu l'homme du bureau d'INGEN, celui qui avait menacé le directeur.

J : Stop.

Il avait crié ça sans vraiment d'espoir, mais cela fit douter l'homme, qui se retourna.

John vit l'homme le regarder, il avait un regard noir, il exprimait la mort, et la haine, sans rien d'autre. Ceci ne lui fit pas peur, car des regards comme ça, il en avait eu lui aussi mais maintenant il savait à quoi s'attendre de la part de cet homme. Il couru jusqu'au bateau et le fit partir avant que John n'ait pu l'atteindre.

Le reste du groupe arriva sur les lieux assez vite, avant que l'autre bateau ne se soit perdu dans l'horizon et ils embarquèrent tous sur le second bateau.

Seul Alan et Ian parurent hésiter. John leur rappela qu'ils n'étaient pas forcer de monter. Après un bref instant de réflexion, ils suivrent les hommes de Rainbow, désormais des amis.

Le second bateau suivit le premier durant sept heures et ils arrivèrent en vu de l'île alors que le carburant devenait de plus en plus rare. Quand il purent accoster, ils virent le premier bateau, vide et entendirent un bruit de moteur qui s'éloignait.

Aucun des hommes n'étaient sur d'être sur Isla Nublar, durant quelques minutes le doute persista.

Après cela, un tyrannosaure probablement en quête de son repas leur donna le bonjour en rugissant un coup (je ne sais pas trop si ça se dit). Ce crie glaça les os de tout le monde qui comprenait de mieux en mieux dans quoi ils venaient de rentrer.

Ian attendit qui le crie s'arrête pour murmure, assez fort pour être entendu cependant.

I : Bienvenu en enfer.

John commença à avancer dans l'île sans dirent un mot, et hésitant un peu quant même, les autres suivirent.

Sans être jamais venu auparavant sur cette île, ils lui trouvèrent tous l'odeur de la mort. Chacun pensa un moment à la famille qu'il laissait derrière lui et pria pour la revoir un jour.

Ding pensa à son fils, il avait promis à John qu'il verrait tout ses petits enfants une fois avant de mourir, pour rire mais il comptait tenir cette promesse tout comme il comptait tenir celle qu'il avait fait à sa femme, d'avoir encore au moins cinq enfants. Bien sur celle-ci aussi avait été faite pour rire, mais il ne voulait pas mourir sur cette île et il ferait en sorte de ramener tous ses hommes et son beau-père aussi.

Il s'enfonçaient prudemment dans l'île, ne pouvant faire autre chose. Il n'y avait aucun bruit autour d'eux, sauf le téléphone de John qui fit sursauter tout le monde.

J (prudemment) : allô. (Aux autres), c'est Ed. Oui Ed, nous sommes sur l'île, non…. Nous avons suivit l'homme du Delaware.

La conversation dura un peu et John essaya de ne pas trop élever la voix, ce que tout le monde trouva plus sage. Il convaincu Ed de les laisser faire, mais de se tenir près à les récupérer. Ce qu'il du promettre, car la conversation s'arrêta là.

Il repris sa marche sans rien dire et le silence fut de nouveau le mot d'ordre du groupe.

En débouchant sur une clairière, ils aperçurent des troupeaux d'herbivore en train de boire. La réaction des hommes de Rainbow rappela la leur à Ian et Alan, sachant ce qui devait se passer après : au secoure, aider moi, sauve qui peu…

Ils ne dire rien, que ses hommes gardent au moins un bon souvenir de l'île. Le faite de voir les dinosaures boire rappela aux hommes leur propre soif et leur faim car ils étaient partit sans provision. Mauvaise idée pensèrent tous les hommes presque en même temps.

John s'approcha tout doucement, suivit de Alan pendant que les autres surveillait les alentours. Les dinosaures ne bougèrent pas, et ils purent boire sans problème. Chacun leur tour, les autres suivirent.

Ils restèrent encore un peu à regarder ses animaux vivant en paix, puis il furent rappeler à l'ordre par un rugissement de tyrannosaure, encore loin mais pas assez à leur goût.

Ian se permis une plaisanterie, qui ne le fit même pas rire : Alors, qui va être ton dessert.

Cette phrase lui rappela aussi l'homme qui avait donné sa vie pour les sauver sur Sorna.

La nuit tomba vite, et chacun dormit à tour de rôle. John et Ding reprirent leur rôle de chef en essayant de voir avec Ian et Alan où ils pouvaient être, et où pouvais être le centre de fabrication de la sublime. 

Ils estimèrent devoir remonter vers le nord, encore un peu puis se laisser guider par les bruits.

Les bruits qui les entouraient étaient différents de ceux qui l'on peut entendre lorsqu'il y a des hommes à proximité, non, là il n'y a que la nature et son envie de destruction.

Même s'ils ne voulaient pas l'admettre, personne ne dormit bien cette nuit là, et la faim n'était qu'un problème de plus.

Après avoir marcher deux petites heures, le groupe arriva devant le centre d'accueille du parc, où ce qu'il en reste.

L'intérieur commençait à être de nouveau gagner par la flore locale mais l'électricité marchait toujours. Ils virent en arrivant le cadavre d'un vélociraptore.
A : Il nous a sauvé la vie.

Chacun avait lu un rapport dans lequel était expliqué ce qui c'était passe au premier voyage sur l'île. Mais seul Ian et Alan se rappelèrent à qu'elle point ils avaient été heureux de le voir arriver.

La nourriture n'était plu très fraîche, mais ils trouvèrent des conserves et des surgeler encore mangeable. Il y avait aussi de l'eau. Ils ne se voilaient pas la face, chacun savait que cela ne suffirait que pour quelques heures mais ils ne pouvaient rien prendre et donc certaines privations allaient être obligatoires. Cette idée leur redonna du courage et ils repartirent à la recherche des dealers.