Chapitre 7 : A Washington.

Le président Jack Ryan essayait de comprendre ce que lui disait l'homme en face de lui.

J : Ed, tu veux me faire croire qu'une société du Delaware que personne ne connaît pourrait être seule responsable de tout ceci. Mais comment ?

E : Grâce à beaucoup d'argent. On ne sait pas d'où il vient mais ses gars là en possède. C'est grâce à eu que INGEN, Pharmatech et Seatransport n'ont pas coulé. Mais maintenant ils ne peuvent rien refuser à leur nouveau patron. L'homme s'appelle Parker, et il sait qui payer pour que certaines choses ne soit pas rendu public. L'homme que Clark et Chavez ont vu est son fils, et un homme dont il faut éviter de fouiller le passé.

Il donne à Jack le dossier de Robert Bowman, qui le regarde attentivement.

J : Il faudra remercier John et Chavez. Ses deux là son vraiment irremplaçable.

E : Oui, il nous manque à l'agence.

J : Bon, très bien. Mais nous n'avons rien contre ce Centre pour le faire arrêter ses activités ?

E : Non, rien d'officielle. Dès le retour des hommes de Rainbow, il fermera.

J : Tu as carte blanche. Mais fait attention, certaines personnes qui travaille là-bas n'y sont peut-être pour rien dans cette histoire. Il faudrait aussi pouvoir arrêter la production, et tout de suite.

E : Je connais quelqu'un, enfin son dossier surtout. Le nouveau directeur du groupe W, il a une idée bien à lui de la justice (il lui donne le dossier de Largo), mais il a de bonnes causes.

J : Je vais lui demander un rendez-vous. J'avais enquêté sur Nério, il y a longtemps.

Ed fait mine de partir mais son téléphone sonne. Après une courte conversation, il dit à Jack.

E : John et ses hommes sont sur l'île !

J : Merde ! Il devait nous appeler avant. Essaie de les avoir, qu'ils rentrent.

E : Jack, calme-toi, on ne peut plus rien pour eux.

J : Prévient moi dès que tu as des nouvelles. J'aime bien Sandy et sa fille, je n'aimerais leur dirent que papa et son beau-fils ne rentreront plus à la maison.

E : Personne ne le voudrait Jack. Tu appelles Winch quand même ?

J : Oui.

Ed le laissa pour de bon cette fois si. Jack resta quelques instant sans rien faire, espérant qu'il n'arriverait rien aux hommes qui son sur l'île. Puis, prenant son courage à deux mains, il appela sa secrétaire pour connaître son emploi du temps.

Largo viendra dans l'après midi, sa secrétaire avait encore fait du bon boulot. Des fois, il se demandait ce que serait un président sans tout le personnel anonyme qui l'aide et l'accompagne tout au long de sa carrière.

Ce midi, ses enfants mangent à la cantine de leur école, et sa femme, avec le plus petit, à l'hôpital. Il décida d'appeler son vice-président et meilleur ami pour manger ensemble, histoire de se sentir moins seul. En tant que président, il est rarement  seul mais ses gardes du corps ne pouvait pas tous être aussi gentils qu'Andréa, partit en congé maternité. En y pensant, il se rappela qu'il voulait l'appeler, ce qu'il fit en attendant Robby.

Largo Winch fut assez étonné de l'appelle venant de la maison blanche. Il descendit immédiatement au bunker pour en parler avec ses amis. Seul Simon était absent, en vacances pour encore une semaine.

Kerensky ne trouva pas l'idée très joyeuse, et surtout de mauvaise augure.

Joy restait sans avis, puis se dit qu'elle pourrait appeler une amie à elle de la CIA pour en savoir plus.

L : Ce ne sera pas la peine. J'ai rendez-vous là-bas cette après-midi, et je pars bientôt.

J : Je viens avec toi.

K : Ils ne te laisseront pas approcher  le président armée.

J : Alors je leur laisserais mon arme, tant que je suis libre, je peux intervenir.

L : Du calme. Je ne crois pas qu'il me veut du mal. J'irais, et seul.

Sur ce, il sortit. Joy, et finalement Kerensky le suivirent. Ils expliquèrent à Largo qu'ils en profiteraient pour visiter la capitale.

Même s'il avait visité le monde et beaucoup d'endroit plus ou moins important, Largo fut impressionné en mettant les pieds à la Maison Blanche. Après avoir été fouillé, il se fit conduire dans le bureau du président. Les deux hommes qui étaient là sortirent, ils avaient le visage d'homme qui ne voulant pas assister à une exécution préférait désobéir à leur maître.

J : Monsieur Winch, entrez.

Il fit un signe de la tête et ses gardes du corps sortirent.

L : Bonjour monsieur le président.

J : Je me doute que vous vous demandez ce que vous faites ici ?

L : Effectivement.

J : Je vais être rapide. Nous avons un dossier sur vous, constitué par la CIA. Je déduis de votre manque de réaction que vous le savez.

L : On m'avait prévenu.

J : Sachez que quoi qu'il se passe le contenu de ce dossier ne sortira pas d'ici. Vous êtes un homme bien et le groupe a des ambitions plus raisonnable depuis que vous le diriger, si on peut appeler ça diriger.

L : Je sais que mes choix peuvent ne pas toujours être en accord avec ma position, mais je fais avec ce que l'on m'a donné.

Comme moi pensa Jack, en fait ils n'était pas différent l'un de l'autre. Il ne se laissa pas distraire pour autant, il y avait trop en jeux pour ça.

J : Je voudrait que vous me rendiez un service.

L : Je vous écoutes.

J : (il lui tend les dossier de trois entreprises). Votre groupe a de l'argent et ses entreprises sont en difficulté financière. Elles ne se maintiennent qu'avec le soutient d'une autre, qui n'a pas les même but que votre groupe.

L : Et que doit-je faire ?

J : Les rachetez, toutes les trois !

L : Vous rigolez ?

J : Pas du tout. Vous aurez des aides de l'état en contre partit mais je ne peux pas agir, alors que vous si.

L : Et si je refuse.

J : Nous pensons que la quatrième entreprise se sert de ses trois là pour produire la drogue connu sous le nom de la sublime.

L : Je comprend mieux. Je verrais avec mon conseil d'administration ce que je peu faire.

Tous deux savaient que la décision était déjà prise, et qu'elle serait plutôt favorable au attente de chacun.