Chapitre 9 : une victoire de Lyle.

Après avoir compris ce que trafiquait Lyle, monsieur Parker et INGEN, Jarod se dit que le mieux pour lui maintenant était de remonter la filière, pour être sur de la démanteler entièrement et ainsi ne voir personne reprendre ce marcher devenu libre.

Comme point de départ, à par INGEN, il avait un entrepôt au Costa Rica, lieu où il décida d'aller. 

Ce procurer des papiers pour ce rendre sur place ne fut pas très difficile, mais pour la première fois de sa vie, il quittait les Etats-Unis, et ceci lui fit bizarre. Pour lui, cela signifiait fuir, mais il ne fuyait pas, il cherchait à mettre en péril un autre projet du Centre.

Une fois sur place, il alla sur le site où était l'entrepôt, et commença sa surveillance. Le premier jour, il ne vit pas grand chose, juste des camions qui arrivaient et repartaient. Comme il savait déjà d'où il venait, il ne lui restait plus qu'à savoir où les autres allaient. Suivant un des véhicule avec son tout-terrain privé, il arriva vite au site de déchargement d'où les avions s'envolaient pour le monde entier (cf chapitre 5).

Ce décidant à creuser cette piste plus tard, il repartit à l'entrepôt. Mais il remarqua qu'il n'était plus seul, un des homme qu'il avait vu chez INGEN, et qui avait prétendu bosser avec Lyle était là et trois autres personnes avec lui. Un d'entre eux le vit, et il du s'enfuir.

Sachant qu'il ne pourrait rien savoir de plus sur les trafiquants en restant ici, il essaya de se renseigner sur ses hommes avant de savoir ce qu'il ferait ensuite.

Il ne trouva rien sur eux au service des douanes, et il eu du mal, caméléon  ou pas, à devenir ce qu'il voulait dans cet environnement qu'il ne connaissait pas.

Ne se laissant pas démoraliser, il fit des recherches dans les dossiers des agences gouvernementales, sans beaucoup plus de succès. Mais il tomba sur un point qui éveilla son attention, l'agence du nom de Rainbow apparu plusieurs fois. Sans perdre espoir, il lança une recherche sur Rainbow, toujours dans les dossiers gouvernementaux. Ce fut la CIA qui lui donna le plus d'information, sur John Clark et Domingo Chavez d'abord puis sur Rainbow lui-même. En lisant ses dossiers, il se rappela d'une histoire qui avait éveillé sa curiosité plus d'une fois : les hommes en noir. C'était donc eux.

Satisfait de ses recherches, il laissa ses hommes tranquille espérant ne pas les revoir. Quoique s'ils enquêtaient sur la même histoire ceci risquait d'être dure. Ces gars étaient compétant d'apprêt ce qu'il avait pu voir.

Le problème était pour l'instant que pour continuer, il avait le choix entre prendre un des avion et évaluer toute l'organisation local pour écouler la marchandise, et dans ce cas, choisir un des avions, ou remonter à la source du trafique pour l'arrêter du début. Il savait que s'il faisait ça, les fédéraux sauraient faire parler tout le monde et ainsi arrêter chaque responsable.

Mais aller à la source signifiait aller sur l'île aux dinosaure et même s'il voulait presque à tout prix arrêter ce trafic, la mort était un prix trop élever.

Une bonne nuit de sommeille lui remis les idées en place, et il décida d'aller sur l'île, mais avec une couverture et non clandestinement comme il avait pensé le faire la veille.

Il alla dans l'un des « port » de contrebande, et comme pour chez INGEN décida de voir ce que le sort lui réservait. En approchant plusieurs hommes armé vinrent le voir, lui demandant ce qu'il venait faire ici.

J : C'est le groupe qui m'envois, pour remplacer l'autre gars, je ne me souviens plus de son nom.

H : Rilonez ?

J : Oui, c'est ça.

H : Ok, ton bateau est celui du fond. Tu vas sur l'île et tu reviens quand ton bateau est plein. En général, ça dure quatre jours pour le remplir.

J : Ok, il lui est arrivé quoi à Rilonez ?

H : A ton avis, bouffer par un dino.

Il jura, puis laissa Jarod aller à son bateau. A l'intérieur de celui-ci, il trouva des cartes lui indiquant l'endroit où l'île se trouvait et quelques armes. Il alla jusqu'à l'île ce qui représentait déjà un parcourt assez long, puis il regarda mieux la carte pour trouver le point d'arrêt des bateaux. Il du naviguer encore une heure pour l'atteindre.

Là, un bateau était en train de se faire charger, et son propriétaire après s'être assurer de son identité, le conduisit au camp.

Le trajet fut assez rapide, mais Jarod pu sentir l'odeur qui se dégageait de l'endroit.

H : Ca donne envie de se barrer vite fait, hein ?

J : C'est sur. Dès que j'ai fini, je me barre et pas question de revenir.

H : Moi j'ai pas le choix. C'est le seul boulot que j'ai et ma famille à besoin de cet argent.

Ayant été paléontologue une fois, Jarod en savait assez sur les dinosaures pour reconnaître les « gentils » des « méchants » mais sa bonne étoile veillait sur lui et il n'en croisa aucun.

Le camp était assez sommaire mais il y avait un endroit sur pour dormir et à manger, plus qu'il ne lui en fallait.

Son boulot au camp était de faire des navettes entre le port et le camp, en fait aller chercher les livraisons tous les jours. Le reste du temps, il était libre et comme la plus part des personnes dans son cas, il jouait aux cartes. Un des avantage c'est que les hommes parlaient beaucoup lors de ses parties et il en apprit beaucoup assez vite sur les moyen de transport, qui livre qui, le rôle des différentes entreprises que contrôlait monsieur Parker…

Il était dans le camps depuis trois jour quand un homme débarqua. Au début, Jarod n'avait pas vraiment vu de qui il s'agissait, mais Lyle n'était pas du genre à passa inaperçu.

Jarod lui garda la tête basse pour éviter de se faire repérer, et ça marchait plutôt bien jusqu'à ce que son bateau soit près à repartir et que Lyle vienne le voir pour qu'il le ramène sur la terre ferme.

Le temps c'était comme arrêter entre le temps où Lyle prononça son nom, et le moment où il appela les gardes du camp pour le mettre dans une des prison. Durant ce temps, Jarod cru voir un doute dans les yeux de Lyle, pas à cause du fait qu'il ne voulait pas arrêter Jarod, mais plutôt à cause du fait que Jarod était la seule personne à pouvoir le sortir de cette île.

La mise en prison de Jarod signifiait que pour quitter l'île il devait attendre encore trois jours le prochain bateau, mais cette idée fut finalement mise de côté par la haine qu'il avait envers le caméléon.

Cette décision surpris Jarod dans le sens où il savait que Lyle avait une envie de vivre, ou plutôt de ne pas mourir plus élevée que chez la plus part des gens, plus élevée que ne l'était la sienne. Mais en même temps, il la trouva normal au sens où il détestait Jarod plus que n'importe qui d'autre sur cette Terre, et que sa mise en prison et la torture qui suivie ne pouvait que faire aimer cet endroit à Lyle, déjà chez lui au milieu des prédateurs présent dans la faune locale.

Jarod ne savait pas depuis combien de temps il était captif, mais il savait que son corps ne supporterait plus longtemps les souffrances infligées par son ennemi. Il perdit peu à peu tout espoir de pouvoir rentrer chez lui vivant, jusqu'à ce que la dernière personne à qui il aurait pu penser entra dans sa cabane : John Clark.