Bijour !
Je suis vraiment désolée ! Cela va faire quasi trois mois que j'ai pas mis
de nouveau chapitre ! Mais maintenant ça y est, je l'ai fini ! J'espère
qu'il vous plaira ! Bon, bah... je n'ai plus qu'une chose à dire : bonne
lecture !
chapitre 8 : Effets secondaires
Quand ils franchirent la porte, la première chose qu'Hermione remarqua n'était autre que les tableaux. Tous les sorciers qui s'y trouvaient se mettaient à déjeuner. Qu'ils soient anciens ministres ou simples fonctionnaires, le menu était le même. Sanglier aux pommes golden et en dessert...tiramisu ! Le tout accompagné de vin ou de jus de citrouille. Ce qui fit envier la jeune femme !
_Alors, Hermione. Vous vouliez me parler ?
_Euh...oui, professeur.
_Racontez-moi donc, voulez-vous.
Hermione fixa le choixpeau magique. Cette attitude lui fit penser qu'une Gryffondor n'avait rien à faire avec un serpentard dans les couloirs de l'école vers une heure du matin.
_C'est à propos de vous-savez-qui.
_Voldemort ?
Dumbledore la regarda d'un oeil perplexe.
_Oui. Vers 21 heure hier soir, mentit-elle. Je retournais à la salle commune de Gryffondor , vers mon dortoir respectif quand...
Et elle se mit à raconter la fin de l'histoire, sans mentir cette fois- ci.
_Rappellez-moi, s'il vous plaît, demanda le directeur, la formule que prononça Voldemort ?
_Contrôlosia impertecus, c'est ce dont je me souviens le mieux.
_Bien.
Le sorcier s'avança vers un tableau où étaient inscrits les noms des professeurs de Poudlard. Dumbledore tapa à l'aide de sa baguette magique, sur les noms des professeurs Flitwik et Wonspe (le nouveau professeur de défense contre les forces du mal).
Quelques secondes après, ils sortirent de la cheminée qui se trouvait là.
_Qui y-a t'il professeur ? dirent-lis en choeur.
Ils regardèrent Hermione d'un air interrogé.
_Miss Granger ? s'exclaffa Flitwik.
_Professeurs, intervint Dumbledore, si je vous dis "Contrôlosia Impertecus", que me répondez-vous ?
_Oh ! Professeur, ne nous dîtes pas que...
_Quand une personne est touchée par ce sortilège, intervint Mrs Wonspe, elle est immédiatement sous le contrôle, bien heureusement non permanent, du sorcier qu'il l'a jeté. C'est-à-dire que Miss Granger est sous le contrôle de...
_Voldemort. ajouta sombrement Dumbledore d'une voix grave et pesante.
Un grand silence se fit. Aussi pesant sue les paroles du directeur. Hermione, ayant du mal à réaliser ce qui lui arrivait, attendait désespérément la sentence finale. Mais pourquoi le Seigneur des Ténèbres lui avait-il lancé ce sort ? En quel but ? Cette question lui revenait sans- cesse en mémoire... pourquoi ?... Mais, à moins que...
_Harry ! lança-t-elle dans le vide.
Tous se retournèrent vers elle. La jeune femme s'expliqua.
_Voldemort a du me jeter ce sortilège pour que je tue Harry. C'est évident ; et maintenant que je suis sous son contrôle...
Elle se tut. Attendant ce que en pensaient Dumbledore et les deux autres professeurs.
_Je pense qu'il serait prudent, dit le directeur à Hermione, que vous restiez à l'écart de M. Potter. Il n'y a aucun contre-sort je suppose ?
_Non, en effet, répondit Mrs Wonspe.
_Donc, se sera ainsi. Miss Granger, vous devrez rester à l'écart de Harry, jusqu'à nouvel ordre. Ne lui dites rien de cela. Je compte sur votre parole.
_Oui, professeur, vous en avez ma parole.
Dumbledore remercia Flitwik et Wonspe, puis ces derniers retournèrent à leurs cours. Le directeur se retourna, fixa Hermione dans les yeux, et ajouta :
_Vous pouvez vous retirer.
Hermione obéit. Elle trouvait Dumbledore livide, inquiet sur la sécurité de Harry et de la sienne. Mais cette dernière était inquiète pour autre chose.
« Comment je vais faire pour que Harry boive cette maudite potion quand elle sera en ma possession ? »
Elle restait pensive, traversant un couloir où se trouvait un tableau de sa connaissance...
_Noble dame...
_Oh, bonjour.
C'était le chevalier du Catogan. Avec les années, son comportement s'était adoucit et moins fougueux qu'auparavant.
_Comment allez-vous ?
_Parbleu, fort bien. Mais vous, vous ne devriez pas être en cours ?
_Oui, mais j'ai déjà ratée le déjeuner, et les cours ont commencés il y a environ 45 minutes. Je les rattraperais plus tard, rien ne presse pour le moment.
_Alors, suivez-moi ! Hier, j'ai fait la découverte d'une pièce fort agréable. Ce pendard de Rusard ne sait-il pas où elle se trouve lui-même !
_Je viens avec vous ! dit-elle intéressée.
_Puisqu'il en est ainsi, sus ! sus donc !
Le chevalier cavalait si vite sur son poney qu'Hermione avait du mal à le suivre.
A un certain moment, essoufflée, ne sachant plus où elle était, l'homme s'arrêta.
« Enfin ! »
Il descendit de sa monture. La jeune femme avait hâte de voir la découverte du chevalier...
_Alors ? demanda-t-elle.
Le chevalier ne répondit pas. Alors, il sortit du tableau, comme un relief... Ce qui étonna Hermione.
_Comment faites-vous cela ?
_Mais, noble dame, toutes les personnes peintes le font !
Hermione, surprise, le laissa faire. Quand, ce dernier enfonça son épée dans la fissure d'un mur.
Celui-ci s'ouvrit, faisant apparaître un salon, ou plutôt une chambre, recouverte de velours rouge. Des chandeliers étaient fixés aux murs, un lits baldaquin aussi rouge que les murs avec des coussins en or faisait rêver Hermione. En fait, tous les meubles étaient recouverts de rouge et d'or, sauf une table en chêne magnifiquement bien cirée.
_C'était la demeure de Godric Gryffondor. ajouta l'homme.
_C'est magnifique ! Mais, qui connaît l'existence de cette pièce ?
_Personne, à part vous et moi très chère.
_Parfait. Alors c'est un secret entre vous et moi.
_Soit, mais...oh ! s'esclaffa-t-il, j'avais promis à Madame de Winston de prendre un thé avec elle ! Vous m'excuserez si je dois m'en aller.
_Et bien, au revoir, monsieur du Catogan.
Ce dernier se baissa et retira son chapeau. Il remonta sur son poney et le mur se referma. Tout du moins , dans la pièce, ce n'était pas un mur mais une porte.
Elle s'installa sur le lit et sautilla un peu, comme pour tester son moelleux.
_Je sens que je vais aimer cet endroit.
La jeune femme avait une idée en tête. Ce salon serait parfait pour elle et Drago ; même plus tard, peut-être, avec Parvati...
Soudain, elle fixa une horloge, qui lui indiqua l'heure...
_Sept heure ? Mais c'est l'heure du dîné ! Il faut absolument que je quitte cette chambre !
Elle franchit la porte, et essaya de revenir sur ses pas, quand elle se trouva enfin devant la statue qui indiquait le bureau de Dumbledore.
_Je n'ai plus qu'à aller à la grande salle !
Elle rejoignit les escaliers déserts, quand elle tomba sur...
_Drago ?
_ça y est, Hermione, t'a potion est prête.
Il donna un flacon à cette dernière.
_La potion ?
_Que veux-tu que ce soit d'autre ? Au fait, tu n'oublies pas notre marché j'espère?
_Bien sur que non.
_Tu as intérêt, sinon tu le regretteras. Dis, tu vas pouvoir essayer cette petite merveille sur Harry.
_C'est ce dont je pensait. Bon, nous y allons ?
Ils s'échangèrent un regard et se dirigèrent vers la grande salle.
A l'entrée de cette dernière, elle vit Ron et Harry.
Tiens, te voilà, dit Harry en s'adressant à Hermione. Tu te rappelles que demain après-midi nous jouons un match de Quidditch contre les Serpentards ?
_Demain ? ah...oui, c'est vrai ! Et bien je serais de tout coeur avec vous ! Et...
Elle s'interrompit. A ce moment même, elle se rappela qu'elle devait rester à l'écart de Harry. Il fallait qu'elle s'éloigne...
_Oui ? dirent-t-ils en choeur.
_Et il faut que je vous quittes, car cette fois-ci je vais m'installer auprès de Clara, il faut que je lui parle de quelque chose qui ne vous regarde pas, dit-elle avec une vitesse éblouissante.
Elle rejoignit cette dernière, s'installa et dégusta. Mais elle prêtait toujours attention à la conversation de Harry et Ron. Quand celui à la cicatrice légendaire s'esclaffa :
J'en ai ras le bol de cette acnée ! Regarde-moi, je suis complètement défiguré !
Hermione eut alors une idée. Elle l'interpella, lui lança le flacon (elle se trouvait à environ 4 mètres de distance l'un de l'autre) et lui cria que c'était une potion anti-boutons très efficace. Personne ne fit attention à l'instant où la jeune femme lui lança la potion, ni même quand elle lui indiqua les effets.
Harry l'ouvrit, et bu la potion. Il relança le flacon qu'Hermione rattrapa de justesse.
La sorcière reprit tranquillement son repas, ne s'attendant pas à des effets visuels, mais des effets psychologiques qu'elle testerait le lendemain...
Quand elle entendit des cris. Elle se retourna vers la direction de ses deux amis, et ne voyait plus Harry. Elle remarqua cependant que Ron avait dans sa main un crapaud avec une cicatrice en forme d'éclair sur le front...
_Harry ! dit le rouquin effaré.
Hermione se rendit alors compte des faits. La potion avait eue des effets secondaires sur Harry qui le changèrent en crapaud ! Elle regarda alors Drago avec des yeux noirs. Ce derniers lui sourait. Elle le vit écire un mot, plier le même papier en forme d'étoile, et l'envoyer à la jeune femme en soufflant dessus. Malgré l'agitation, elle réussit à l'attraper discrètement et à le déplier. Elle regarda encore Drago qui lui souriait et le lu...
«J'ai pas pu m'en empêcher. »
A suivre...
Voilà, ouf ! J'espère que vous l'avez apprécier ! Je vous donne maintenant rendez-vous pour le prochain chapitre qui mettra moins de temps à venir j'espère ! Allez,
@++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
jo@nnegr@nger
PS : I love reviews!
chapitre 8 : Effets secondaires
Quand ils franchirent la porte, la première chose qu'Hermione remarqua n'était autre que les tableaux. Tous les sorciers qui s'y trouvaient se mettaient à déjeuner. Qu'ils soient anciens ministres ou simples fonctionnaires, le menu était le même. Sanglier aux pommes golden et en dessert...tiramisu ! Le tout accompagné de vin ou de jus de citrouille. Ce qui fit envier la jeune femme !
_Alors, Hermione. Vous vouliez me parler ?
_Euh...oui, professeur.
_Racontez-moi donc, voulez-vous.
Hermione fixa le choixpeau magique. Cette attitude lui fit penser qu'une Gryffondor n'avait rien à faire avec un serpentard dans les couloirs de l'école vers une heure du matin.
_C'est à propos de vous-savez-qui.
_Voldemort ?
Dumbledore la regarda d'un oeil perplexe.
_Oui. Vers 21 heure hier soir, mentit-elle. Je retournais à la salle commune de Gryffondor , vers mon dortoir respectif quand...
Et elle se mit à raconter la fin de l'histoire, sans mentir cette fois- ci.
_Rappellez-moi, s'il vous plaît, demanda le directeur, la formule que prononça Voldemort ?
_Contrôlosia impertecus, c'est ce dont je me souviens le mieux.
_Bien.
Le sorcier s'avança vers un tableau où étaient inscrits les noms des professeurs de Poudlard. Dumbledore tapa à l'aide de sa baguette magique, sur les noms des professeurs Flitwik et Wonspe (le nouveau professeur de défense contre les forces du mal).
Quelques secondes après, ils sortirent de la cheminée qui se trouvait là.
_Qui y-a t'il professeur ? dirent-lis en choeur.
Ils regardèrent Hermione d'un air interrogé.
_Miss Granger ? s'exclaffa Flitwik.
_Professeurs, intervint Dumbledore, si je vous dis "Contrôlosia Impertecus", que me répondez-vous ?
_Oh ! Professeur, ne nous dîtes pas que...
_Quand une personne est touchée par ce sortilège, intervint Mrs Wonspe, elle est immédiatement sous le contrôle, bien heureusement non permanent, du sorcier qu'il l'a jeté. C'est-à-dire que Miss Granger est sous le contrôle de...
_Voldemort. ajouta sombrement Dumbledore d'une voix grave et pesante.
Un grand silence se fit. Aussi pesant sue les paroles du directeur. Hermione, ayant du mal à réaliser ce qui lui arrivait, attendait désespérément la sentence finale. Mais pourquoi le Seigneur des Ténèbres lui avait-il lancé ce sort ? En quel but ? Cette question lui revenait sans- cesse en mémoire... pourquoi ?... Mais, à moins que...
_Harry ! lança-t-elle dans le vide.
Tous se retournèrent vers elle. La jeune femme s'expliqua.
_Voldemort a du me jeter ce sortilège pour que je tue Harry. C'est évident ; et maintenant que je suis sous son contrôle...
Elle se tut. Attendant ce que en pensaient Dumbledore et les deux autres professeurs.
_Je pense qu'il serait prudent, dit le directeur à Hermione, que vous restiez à l'écart de M. Potter. Il n'y a aucun contre-sort je suppose ?
_Non, en effet, répondit Mrs Wonspe.
_Donc, se sera ainsi. Miss Granger, vous devrez rester à l'écart de Harry, jusqu'à nouvel ordre. Ne lui dites rien de cela. Je compte sur votre parole.
_Oui, professeur, vous en avez ma parole.
Dumbledore remercia Flitwik et Wonspe, puis ces derniers retournèrent à leurs cours. Le directeur se retourna, fixa Hermione dans les yeux, et ajouta :
_Vous pouvez vous retirer.
Hermione obéit. Elle trouvait Dumbledore livide, inquiet sur la sécurité de Harry et de la sienne. Mais cette dernière était inquiète pour autre chose.
« Comment je vais faire pour que Harry boive cette maudite potion quand elle sera en ma possession ? »
Elle restait pensive, traversant un couloir où se trouvait un tableau de sa connaissance...
_Noble dame...
_Oh, bonjour.
C'était le chevalier du Catogan. Avec les années, son comportement s'était adoucit et moins fougueux qu'auparavant.
_Comment allez-vous ?
_Parbleu, fort bien. Mais vous, vous ne devriez pas être en cours ?
_Oui, mais j'ai déjà ratée le déjeuner, et les cours ont commencés il y a environ 45 minutes. Je les rattraperais plus tard, rien ne presse pour le moment.
_Alors, suivez-moi ! Hier, j'ai fait la découverte d'une pièce fort agréable. Ce pendard de Rusard ne sait-il pas où elle se trouve lui-même !
_Je viens avec vous ! dit-elle intéressée.
_Puisqu'il en est ainsi, sus ! sus donc !
Le chevalier cavalait si vite sur son poney qu'Hermione avait du mal à le suivre.
A un certain moment, essoufflée, ne sachant plus où elle était, l'homme s'arrêta.
« Enfin ! »
Il descendit de sa monture. La jeune femme avait hâte de voir la découverte du chevalier...
_Alors ? demanda-t-elle.
Le chevalier ne répondit pas. Alors, il sortit du tableau, comme un relief... Ce qui étonna Hermione.
_Comment faites-vous cela ?
_Mais, noble dame, toutes les personnes peintes le font !
Hermione, surprise, le laissa faire. Quand, ce dernier enfonça son épée dans la fissure d'un mur.
Celui-ci s'ouvrit, faisant apparaître un salon, ou plutôt une chambre, recouverte de velours rouge. Des chandeliers étaient fixés aux murs, un lits baldaquin aussi rouge que les murs avec des coussins en or faisait rêver Hermione. En fait, tous les meubles étaient recouverts de rouge et d'or, sauf une table en chêne magnifiquement bien cirée.
_C'était la demeure de Godric Gryffondor. ajouta l'homme.
_C'est magnifique ! Mais, qui connaît l'existence de cette pièce ?
_Personne, à part vous et moi très chère.
_Parfait. Alors c'est un secret entre vous et moi.
_Soit, mais...oh ! s'esclaffa-t-il, j'avais promis à Madame de Winston de prendre un thé avec elle ! Vous m'excuserez si je dois m'en aller.
_Et bien, au revoir, monsieur du Catogan.
Ce dernier se baissa et retira son chapeau. Il remonta sur son poney et le mur se referma. Tout du moins , dans la pièce, ce n'était pas un mur mais une porte.
Elle s'installa sur le lit et sautilla un peu, comme pour tester son moelleux.
_Je sens que je vais aimer cet endroit.
La jeune femme avait une idée en tête. Ce salon serait parfait pour elle et Drago ; même plus tard, peut-être, avec Parvati...
Soudain, elle fixa une horloge, qui lui indiqua l'heure...
_Sept heure ? Mais c'est l'heure du dîné ! Il faut absolument que je quitte cette chambre !
Elle franchit la porte, et essaya de revenir sur ses pas, quand elle se trouva enfin devant la statue qui indiquait le bureau de Dumbledore.
_Je n'ai plus qu'à aller à la grande salle !
Elle rejoignit les escaliers déserts, quand elle tomba sur...
_Drago ?
_ça y est, Hermione, t'a potion est prête.
Il donna un flacon à cette dernière.
_La potion ?
_Que veux-tu que ce soit d'autre ? Au fait, tu n'oublies pas notre marché j'espère?
_Bien sur que non.
_Tu as intérêt, sinon tu le regretteras. Dis, tu vas pouvoir essayer cette petite merveille sur Harry.
_C'est ce dont je pensait. Bon, nous y allons ?
Ils s'échangèrent un regard et se dirigèrent vers la grande salle.
A l'entrée de cette dernière, elle vit Ron et Harry.
Tiens, te voilà, dit Harry en s'adressant à Hermione. Tu te rappelles que demain après-midi nous jouons un match de Quidditch contre les Serpentards ?
_Demain ? ah...oui, c'est vrai ! Et bien je serais de tout coeur avec vous ! Et...
Elle s'interrompit. A ce moment même, elle se rappela qu'elle devait rester à l'écart de Harry. Il fallait qu'elle s'éloigne...
_Oui ? dirent-t-ils en choeur.
_Et il faut que je vous quittes, car cette fois-ci je vais m'installer auprès de Clara, il faut que je lui parle de quelque chose qui ne vous regarde pas, dit-elle avec une vitesse éblouissante.
Elle rejoignit cette dernière, s'installa et dégusta. Mais elle prêtait toujours attention à la conversation de Harry et Ron. Quand celui à la cicatrice légendaire s'esclaffa :
J'en ai ras le bol de cette acnée ! Regarde-moi, je suis complètement défiguré !
Hermione eut alors une idée. Elle l'interpella, lui lança le flacon (elle se trouvait à environ 4 mètres de distance l'un de l'autre) et lui cria que c'était une potion anti-boutons très efficace. Personne ne fit attention à l'instant où la jeune femme lui lança la potion, ni même quand elle lui indiqua les effets.
Harry l'ouvrit, et bu la potion. Il relança le flacon qu'Hermione rattrapa de justesse.
La sorcière reprit tranquillement son repas, ne s'attendant pas à des effets visuels, mais des effets psychologiques qu'elle testerait le lendemain...
Quand elle entendit des cris. Elle se retourna vers la direction de ses deux amis, et ne voyait plus Harry. Elle remarqua cependant que Ron avait dans sa main un crapaud avec une cicatrice en forme d'éclair sur le front...
_Harry ! dit le rouquin effaré.
Hermione se rendit alors compte des faits. La potion avait eue des effets secondaires sur Harry qui le changèrent en crapaud ! Elle regarda alors Drago avec des yeux noirs. Ce derniers lui sourait. Elle le vit écire un mot, plier le même papier en forme d'étoile, et l'envoyer à la jeune femme en soufflant dessus. Malgré l'agitation, elle réussit à l'attraper discrètement et à le déplier. Elle regarda encore Drago qui lui souriait et le lu...
«J'ai pas pu m'en empêcher. »
A suivre...
Voilà, ouf ! J'espère que vous l'avez apprécier ! Je vous donne maintenant rendez-vous pour le prochain chapitre qui mettra moins de temps à venir j'espère ! Allez,
@++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
jo@nnegr@nger
PS : I love reviews!
