hey ! une petite histoire Tony/Gibbs que j'ai écrit pour passé le temps ! j'espère qu'elle vous plaira !
l'univers NCIS ni les personnages ne m'appartiennent pas cela va sans dire !
Il fait chaud
Coller entre la portière d'une petite voiturette et un mur, Tony passa une main dans l'interstice de la portière. Doucement, alors qu'il passait ses doigts sur les crans de l'ouverture, il sentit quelque chose lui résister. Un petit clic sonore se fit retentir,
" J'ai quelque chose ici !" Dit-il un brin de victoire dans la voix.
Il passa la tête, afin de regarder se qu'il venait de toucher. Son œil brillant de malice se transforma rapidement, il devint blanc comme un linge. Il passa de nouveau sa tête en dehors du véhicule, il fit signe a sa coéquipière de s'arrêter immédiatement.
" Ne fait pas un pas de plus ziva .." dit-il doucement.
Ziva s'arrêta, les boîtes de rangement a prélèvement dans les mains.
" Que se passe-t-il ?" Demanda-t-elle inquiète.
Tony la regarda d'un œil presque malade,
" Je viens d'appuyer sur le bouton de détonation d'une bombe … et je crois que la voiture as été piégée a notre intention ziva .."
La jeune femme le regarda un air choqué sur ses traits, puis rapidement elle se mit à enjambées les quelques mètres qui la séparait de la fourgonnette et se saisissa de son téléphone portable. Elle composa les numéros de Gibbs,
" Patron on un gros problème ici.. en plus d'être partie comme un voleur ce psychopathe nous a laisser un souvenir dans sa voiture et pas des moindre Tony a mis le doigt sur une bombe."
A l'autre bout du file Leroy gromela,
" Éloignez vous immédiatement ! J'arrive."
Ziva serra les dents,
" Tony … a mit le doigt dessus Gibbs sur le bouton de détonation ce n'était pas l'un de vos jeux de mots !"
Elle ne pu entendre qu'un " bon sang" avant qu'il ne raccroche son téléphone. Tandis qu'elle parlait au téléphone, Tony se hissa dans la voiture. S'installant sur le seul et unique siège de l'habitacle. Il examina quelques minutes les alentours du véhicule.
" Euh ziva !" L'interpella Tony, " je crois qu'on a un autre problème" dit-il cette fois-ci encore plus inquiét.
" Je t'écoute Tony"
Tony était devenu pâle, très pâle,
" Il n'y a pas qu'une bombe, il y a suffisamment d'explosifs pour tuer un troupeau d'éléphants dans cette caisse" dit-il en regardant à l'intérieur du faux plafond de la voiture." Ils ont caché une cinquantaine voir plus de pain explosif à l'intérieur du faux plafond. Et j'ai bien l'impression qu'elle sont toutes reliées à mon détonateur."
Ziva s'éloigna encore de quelques pas,
" Ne t'en fait Tony, Gibbs ramène avec lui des démineurs, tout va s'arranger."
Tony ne pensait pas de la même façon qu'elle malheureusement, il n'était pas question que de petites barres d'explosifs. En regardant de plus près, la moindre étincelles menacerait l'explosion immédiate de sa cervelle ainsi que d'une partie du trottoir. Les fins fils reliés au détonateur étaient en réalité intégrés aux articulations de la voiture et quelques-uns de ses fils semblaient presque dénudés. Si ils essayaient de morceler la voiture pour arriver au câblage, tout le monde allait mourir. La seule solution viable étant qu'une personne ne désamorce a l'aveugle de là où il s'était finalement assis. Et sachant qu'il était clairement impossible de passer deux personnes dans le mince espace qu'il utilisait, c'est lui-même qui allait devoir s'en charger.
Le bruit de crissement des pneus se firent entendre jusqu'à l'arrêt complet de la voiture. Le chef d'équipe sortit de sa voiture en trombe pour venir se poster devant Tony.
" Que se passe-t-il Tony" dit-il en avisant le regard presque blanc de Tony.
" Patron.. une bombe recouvre tout le faux plafond de cette bagnole. C'est impossible de la désamorcer de l'extérieur.. les fils sont dénudés et tous bien intégrés aux circuit de la voiture… si vous essayez de découper le toit s'en sera finis Gibbs.."
Le chef d'équipe passa sa tête entre la main et le visage de son agent. Regardant par accou son visage,
" Arrête de bouger DiNozzo.." dit-il en lui mettant une claque un peu plus douce derrière la tête.
" Pardon patron." Soupira l'italien en s'affaissant sur son assise.
Une autre claque s'abattit sur sa tête au même moment.
" Aïe"
Gibbs se redressa, il s'appuya davantage sur les genoux de l'italien pour accéder à l'arrière de la voiture. Il passa ses doigts sur le faux plafond de la voiture en essayant de trouver une ouverture.
Le nez dans la veste de son patron, Tony essaya de s'en dégager, malheureusement, il était collé au dossier de la petite voiture. Il ne réussit pourtant pas à échapper aux effluves du parfum de Leroy, il ferma les yeux quelques secondes pour se concentrer.
Gibbs fini finalement par s'éloigner,
" Je vais prendre tas place DiNozzo." Lui dit-il fermement en se relevant.
Le stress commença a montré le bout du nez dans l'organisme de Tony,
" Non patron.. nous ne sommes même pas sûr qu'il n'y ai pas d'autres boutons de détonation ! Je suis peut-être même assis dessus.. la voiture est un engin explosif a elle toute seule, ils nous ont tendus un leurre.." Admit-il les yeux verts dans ceux de son patron et la voix en panique.
" Je sais DiNozzo, calme toi. Il y a très peu de chance que nous parvenions a désamorcer ces bombes alors tu vas me laisser tas place C'est un ordre."
Les yeux bleus se reprochèrent de nouveau de lui, cette fois-ci a quelques centimètres des siens.
" DiNozzo, fais ce que je te dis."
Gibbs passa sa main sur celle de son subordonné, faisant pression sur l'interrupteur à son tour. Les genoux de Gibbs contre les siens, Tony essaya de se dégager vainement. Il se retrouva bloquer contre la portière entre-ouverte et son patron. Gibbs appuya sur sa nuque pour l'aider à s'extirper,
" Je peu pas patron … aïe "
" Qu'est-ce qu'il ya Tony, il te suffit de te lever et de me laisser ta place."
Tony cligna plusieurs fois des yeux, la main libre de son supérieur essaya de le dégager. Il serra les dents, il avait su gère La proximité entre eux jusqu'à maintenant. Et la la simple sensation de ne pas pouvoir échapper à l'étreinte le rendait anxieux et exciter.
Ils en avaient passé des missions à se tenir dos à l'homme pendant une fusillade, de devoir se porter pour entrer dans diverses conduits ou encore de traverser des portions étroites de tuyauterie coller a son patron. Mais la, sentir sa main chaude sur la sienne, les yeux bleus dans les siens et la pression du corps puissant de l'homme sur lui ne le laissait tout bonnement pas indifférent.
Alors qu'il se débattait de plus bel pour se dégager, il appuya sa cuisse de l'autre côté de la portière pour s'extirper de l'habitacle, a cet instant même il entendit un second cliquetis. Une grimace naissante sur son visage aussitôt.
" Euh .. patron" murmura le plus jeune.
Il regarda sa jambe son teint redevenu blafard.
" Je crois que j'ai touché un deuxième détonateur."
Gibbs grogna, puis commença à passer son autre main sur cuisse pour chercher le point de rencontre entre le genou et le morceau de plastique. La chaleur sur sa cuisse crispa Tony,
" Ah ah patron … vous n'allez pas le croire mais installer comme cela j'ai l'impression d'être votre quatrième épouse." Dit-il nerveusement en regardant le cou de son patron se mouvoir sous son nez.
Leroy serra son genou dans sa main et leva ses yeux bleus dans sa direction. Il approcha son visage du sien, l'homme semblait réfléchir à une réponse adéquate.
" Et bien il faudra t'y habituer Tony …" dit-il en employant volontairement son prénom. " Car je n'arrive pas à atteindre le second interrupteur. Nous sommes coincés ainsi tout les deux jusqu'à se qu'on nous en sorte ou qu'elles explosent."
DiNozzo eut un petit sourire de nervosité, il était dans une situation particulièrement ambiguë, Gibbs bougea en remontant sa main pour venir s'appuyer sur son haine cela lui arracha un bruit de surprise. Il fut soulevé du fauteuil quelque seconde plus tard par une poigne de fer autour de son bassin.
" Tu fais quoi là Gibbs.. je vois rien j'ai la tête dans ton coup."
Gibbs se glissa sous lui, veillant à ne pas bougé son genou ni sa main.
" Je m'installe tony, je crois que l'on va rester ainsi un bon moment." Lui dit-il dans le creux de l'oreille.
Tony dû prendre appuis sur les genoux de son patron,
" Comment peut-on conduire une si petite voiture.. " Soupira l'italien.
" C'est une voiture sans permis Tony .. " commença Gibbs avant d'entendre retentir la voix d'abby derrière eux.
" Giiibs , Tony ! Ziva ma tout raconter, ils essaient de trouver un moyens de vous sortir de là en un seul morceau. Mais le gars expert en bombe, n'est pas présent en ce moment. Enfin oohw.." La gothique fit une pause en voyant de loin leurs positions. " Disdonc Tony, tu as un petit côté féminin assis comme sa."
Tony voulut se lever pour grogner,
" Abby c'est franchement pas le moment au cas où tu ne l'aurais pas remarqué !"
Alors qu'il gigotais une main ferme s'abattit sur sa hanche l'empêchant de bouger d'avantage.
" Arrête de gigoter Tony." Ordonna l'homme sur le quel il était finalement assis.
Abby essaya de se faufiler le plus proche d'eux un plaid décoré de têtes de mort dans les bras.
" Tiens Gibbs, c'est pour ne pas que tu es froid… "
Tonay pris le plaid dans ses main et l'etalla sur leurs genoux, soulager d'avoir quelques chose pour camoufler la gène dont-il était emproie.
" Merci Abby.. " Lui fit son supérieur.
La gothique embrassa de loin la joue de Gibbs avant de partir.
" Je dormirai à côté de la voiture ce soir … "
Les lieux devenant peu a peu calme, il se retrouvèrent seuls. Tout les membres de l'équipe s'activaient à retrouver le psychopathe en fuite ainsi qu'une solution pour eux.
Un tension dans la nuque a force de rester droit comme un piquet commença à se faire sentir dans le corps de Tony. Il ne voulait pas s'avachir sur son patron, encore moin dans cette position.
" Patron …"
Gibbs qui avait la tête en arrière fit un bruit inaudibles,
" Je peux poser ma tête ? " Demanda-t-il avec nervosité.
Une main chaude se posa sur front, venant loger la tête de Tony sur l'épaule derrière lui.
" Ne pose pas de questions, fait .." lui murmura l'homme.
Tony installer dans le creux de son oreille se perdit dans ses pensées, il y songeait depuis un moment. Ces sentiments naissant, cette envie un peu trop brutale dans sa poitrine. Il s'était déjà rendu compte que son administration pour Gibbs n'était pas liée au travail ou à leurs amitié. Il était tombé amoureux de lui et ce depuis un moment, c'est la raison pour laquelle la situation actuelle le mettait Mal à l'aise. Jamais un homme tel que lui ne pourrai éprouvé de quelqonc sentiments pour lui. Et pourtant, qu'est-ce qu'il pouvait l'aimer, sa fougue, son tempérament autoritaire, protecteur et parfois doux. Il savait toujours quoi dire à tout le monde, il avait toujours su lire en lui. Cette pensée lui arracha une sensation de vide, d'être l'unique moteur d'un amour à sens unique.
" A quoi tu pense DiNozzo ?" Murmura son patron.
Surpris, Tony s'appuya quelque seconde sur le ventre de son patron pour se redresser.
" A rien patron.."
" Tony, a qui pense tu ?" Susura la voix basse de Gibbs dans son oreille.
Tony se figea,
" A personne.. gibbs." Dit-il nerveusement.
Un petit rire dans son coup retentit accompagné du souffle chaud de l'homme.
" Je sais reconnaître quand on pense à quelque DiNozzo, surtout que tu es sur mes genoux je te rappelle…"
Un rire nerveux traversa les lèvres de l'italien, essayant de camoufler la rougeur de ses joues.
" Arf tu sais Gibbs, je pensais à mon dernier rendez-vous galant… "
Gibbs pressa la hanche de Tony contre lui et s'installa plus confortablement sous lui.
" Comment s'appelle-t-elle ?"
Tony ne chercha pas longtemps, il avait eu lieux la veille.
" Monica, un sacré morceau si tu veux mon avis."
Dit-il en rigolant.
" Encore un coup d'un soir Tony ?" Lui demanda Gibbs.
Tony se racla la gorge avant de rire,
" Bien-sûr, on ne change pas les bonnes habitudes…" dit-il.
En réalité, il s'était plutôt fait rejeter. Alors qu'il passait un rendez-vous agréable au restaurant italien la jeune femme avait loué le fait qu'il ne regardait aucunes autre femme. Puis plus tard dans la soirée, lui avait balancer caleçon tee-shirt et pantalon au nez. Tony avait des conquêtes mais jamais rien de physique. Le corps d'une femme ne l'attirait simplement pas, même si il aimait leurs parler et les draguer.
Dans un petit sursaut, il fut sorti de sa soirée sentant la main de Gibbs lâchement s'abandonner sur sa cuisse sous le petit plaid. Il glissa lui aussi une main sous le plaid, il commençait à faire froid. Leurs mains a quelques centimètres l'une de l'autre s'approchèrent doucement.
" Et toi Gibbs, toujours pas de remariage en vue ?"
Leroy grogna de mécontentement,
" C'est finis pour moi les mariages Tony."
Disant ces quelques mots, Gibbs glissa sa main dans la sienne. Tony s'y accrocha comme si la main n'était pas réelle, puis subitement, il pivota sa tête en direction des yeux bleus. Les pommettes maintenant bien plus rouges qu'avant et le regard interogateur.
" Hm.. je vois.. " Tony se racla la gorge. " Je sais pas pour toi patron, moi j'aurais été dans cette situation avec une jolie fille.. j'en aurai sûrement profité !" Lui dit-il en remontant doucement leur mains le long de sa cuisse.
Il sentit le souffle lourd s'accélérer de Gibbs dans son oreille. Il traça plusieurs fois les sillons de sa main, avant de s'aventurer sur une partie de son avant-bras, comme si sentir sa peau était un véritable soulagement. Gibbs retraça lui aussi le contour de sa cuisse avant de cartographier les quelques millimètres de peau offerte sur sous son tee-shirt. Redescendant soigneusement, il se heurta au jean de l'homme. Abby fit irruption à ce même moment les sortant tout les deux d'un silence tendancieux et une tentation indécente.
" Je vous ai apporté quelques petites collations chaudes !!! " Dit-elle joyeusement.
Gibbs et lui se lâchèrent la main, alors qu'ils les leva pour récupérer les deux cafés, il sentit une main balladeuse faire son chemin sous le plaid à l'abri du regard de la laborantine.
" Merci Abby ! " Lui dit DiNozzo. " Si on doit attendre encore longtemps sa ne fera pas de mal de la caféine."
La main chaude de Gibbs commença à dégrafer le pantalon de Tony. Son visage commença a prendre quelques couleurs.
" Mais de rien mon petit Tony ! Tiens d'ailleurs Gibbs, j'ai examiné un peu plus les tissus que ma donner Ducky. Accroche toi bien, j'ai découvert qu'il n'était pas seul lors de la pose des bombes, notre psychopathe a donc un acolyte. Mais heureusement pour nous, il fait beaucoup trop d'erreurs ! Ce n'est qu'une question de temps avant qu'on lui mette le grappin dessus. "
Leroy approuva l'avancé de l'enquête tout en passant sa main disponible en dessous du pantalon serré de DiNozzo venant ceuilir la chaleur de sa peau dans sa paume.
" C'est bien Abby… mais cela ne nous empêchera pas de mourir exploser. Trouve un moyen de nous désincarcérer au plus vite et fait passer le message." Abboya-t-il alors qu'abby se mit au garde à vous.
Tony fit semblant d'être absorber par la discussion, pourtant son esprit était totalement déconnecter de la réalité. Notamment du a la main étonnamment balladeuse sur ses cuisses, lui prodiguant des frissons de plaisir et ce par l'homme de ses fantasmes lui-même. Il fit mine de gober son café d'une traite,
" Détrompe toi Gibbs ! Nous avons trouver la piste de celui qui l'a peut-être installer et avec de une grande probabilité qu'il nous donne la solution pour la désamorcer. Enfin ziva s'en occupe actuellement. " dit-elle tout sourire. Elle trépignat soudainement d'impatience, " je vais chercher mes affaires et j'arrive ! Attendez-moi !" Dit-elle avant de s'enfuir en courant.
Une fois seuls, Tony lâcha un râle de frustration.
" Alors Tony, tu as du mal à te concentrer on dirait." Rigola jethro dans son oreille.
" Je ne savais pas que… tu .. aimait la gente masculine Gibbs." Dit-il d'une voix saccadée, les yeux clos sous les caresses adroite.
" Ce n'est sûrement pas la seule chose que tu ignore a mon sujet Tony.." disant cela, il déposa ses lèvres dans son coup parsemant celui-ci de quelques bisous puis remonta jusqu'à sa nuque. " Par contre toi le don Juan .."
Tony lâcha un gémissement de contentement, appréciant la douceur de l'homme. Les flatteries marchait si bien sur lui.
"Si tu savais Gibbs.. Et qu'est-ce que tu me cache d'autre ?" Dit-il dans un soupir.
N'ayant pas de réponse autres que de lourds soupir contre son oreille. Il décida d'éclaircir une ombre au tableau avant que les choses n'aillent trop loin.
" Gibbs .. tu… écoute.. je ne sais plus où j'en suis réellement à cause de toute cette histoire .. mais… tu dois savoir que j'ai des sentiments pour toi…" Il lâcha l'information, une main crispées sur le ventre de l'homme sachant qu'il allait se faire éconduire.
Abby réapparut au même dans la pièce, un sac de couchage et sa peluche hippopotame en main.
Gibbs se figea, non pas a cause d'abby mais plustot a cause des paroles de Tony.
" Less garrcoonns ! Je suis là je m'installe à côté de vous, vous voulez de la musique pour rester éveillés ?"
Les deux hommes en coeur répondirent, " oui" un moyen de communiquer sans qu'elle n'en découvre rien.
Abby plus qu'heureuse alluma la petite radio accompagnée de son disque. Faisant retentir une musique de hard rock très fortement.
" Je savais bien que vous alliez aimer un jour !" Dit-elle avant d'augmenter le sons.
Gibbs pressa les hanches de son agent contre lui, puis déposa sa tête dans son coup. Il cessa tout mouvements, il venait de se rendre compte qu'il s'était enflammé sans vraiment avoir pris le temps de discuter de ce genre de choses avant.
" Tony … " commença Gibbs," se que tu ne sais peut être pas à mon sujet.. c'est que .. enfin je ne vais pas te faire un dessin. " Dit-il le souffle court.
Les mots du chef d'équipe dans sa nuque eurent l'effet d'une bombe dans l'esprit de Tony. Comme si tout ses fantasmes avaient le droits d'exister. Il jeta sa tête en arrière dans un gémissement presque douloureux. Abby sembla l'entendre puisqu'elle stoppa la musique,
" Ça va la dedans ?" Demanda-t-elle.
Gibbs répondit a sa place,
" Oui, Tony c'est cogner la tête.. " dit-il en carressant avec lâcheté son ventre de Tony.
" Aah ok ! Je reviens Gibbs, ziva et McGee m'appelle !" Dit-elle dans le bruit de départ de ses chaussures plateforme.
Le chef d'équipe repris la parole,
" Tony … "
L'agent DiNozzo, réinstalla sa tête en arrière sur l'épaule de l'homme. Regardant un peu plus les rainures du plafond alors qu'il réfléchissait aux mots de son chef d'équipe.Gibbs embrassa docilement la gorge de l'homme, lui arrachant un petit rire.
Son regard captura un instant une pièce métallique pendouille le long d'une des vitres. En se concentrant d'avantage dessus ses yeux s'arrondirent.
" Gibbs …" le coupa l'agent. Il dévia son regard dans ceux bleus de son hôte. " J'ai deux mauvaises nouvelles…"
Jetro se redressa,
" Accouche …"
DiNozzo déglutit,
" Je vois le culot d'un téléphone là… et se que je vois coller au culot est une caméra.."
Tony tira son bras, essyant de chopper se qu'ils venaient de voir. Le téléphone était relier à la bombe et la caméra tomba dans ses ses main visiblement inactive.
" Il n'ont pas eu le temps de brancher la caméra, ce qui explique que les bombes n'ai toujours pas sautées. Par contre sa signifie qu'il y a une troisième bombe la dessous …"
Un rire nerveux traversa de nouveau ses lèvres,
" Coincé dans dans une voiture avec son boss, bourrée de bombes et d'explosifs.. que c'est romantique" disant cela il sentit son patron commencer à lui mordiller l'oreille. Il soupira d'aise avant qu'une claque bien sentie le sorte de sa torpeur.
Il ouvrit les yeux et se rendit compte que son patron le regardait de haut. Il était à moitié endormi à son bureau, cette idée le fit frissonner. Il avait donc encore une fois fantasmer son boss, cela devenait presque gênant.
" Au boulot Tony, on a trouvé la voiture du suspect non loin du lieu de l'explosion, dépêche toi !"
" A vos ordres patrons" dit-il en se levant au pas de course.
