Chapitre 1 : Que se passe-t-il ?
Harry Potter était assis dans le parc du quartier, les yeux levés vers le ciel. Depuis qu'il était rentré chez les Dursley, il y venait tous les soirs, s'asseoir à cet endroit, pour contempler les étoiles. Maintenant il ne sortait plus que la nuit, y cherchant le réconfort qu'il ne trouvait pas le jour, auprès de sa famille. Harry était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux verts. Il avait l'air normal à première vue, mais pour ceux qui le connaissaient bien, il ne l'était pas, il était un sorcier. Pas n'importe quel sorcier, il était le survivant, celui qui avait vaincu Voldemort à l'âge de un an, le mage noir le plus crains du monde des sorciers. Mais voilà, il n'était pas totalement partit. Au cour de sa scolarité à Poudlard, à l'école de sorcellerie de Grande Bretagne, Harry l'avait affronter de différentes façons. En première année, il était dans la peau du professeur de défense contre les forces du mal, en deuxième, il l'avait vu dans un journal de souvenirs, et en quatrième année, le cauchemar avait réellement commencé. Après avoir tuer Cédric Digory, Voldemort était revenu à l'état corporelle. Pourtant l'année qui fut la plus mauvaise, fut sa cinquième année, c'est là qu'il perdit son parrain, Sirius Black. Il avait rencontré Sirius en troisième année. C'était un fugitif de la prison d'Azkanban, la prison des sorciers. Le seul sorcier qui jusqu'à ce jour avait su s'enfuir. Sirius Black avait été condamné pour le meurtre de douze moldu (personne sans pouvoir magique), ainsi que celui d'un de ses amis qui étaient en réalité à l'origine du meurtre.
Dès qu'il fermait les yeux, Harry revoyait le voile où Sirius avait basculer. Il ne le reverrait jamais, lui qui croyait avoir trouvé une famille l'avait perdue à nouveau. C'était pour cela qu'il venait tous les soirs regarder le ciel. En fait il ne voyait qu'une seule étoile, et elle appartenait à la constellation d'Orion : Sirius. Tous les soirs, il venait, la regarder et lui parler. Il savait que Sirius ne l'entendrait plus, mais c'était la seule chose à laquelle il se raccrochait. Il ne savait plus pourquoi il était là, parfois il voulait mourir ou n'avoir jamais existé. « Pourquoi moi ? », se disait-il. Il connaissait la réponse, la prophétie. Pour une prophétie, il avait perdu sa famille. Celle-ci annonçait l'arrivée d'un garçon qui aurait le pouvoir de détruire Voldemort. Il était ce garçon, lui seul pouvait défère ce sorcier noir.
Plus rien n'allait, Harry se sentait hors de ce monde. La douleur l'avait marqué à jamais. Un enfant qui avait du grandir trop vite, il n'avait jamais eut vraiment une famille pour le soutenir, comme il n'avait jamais vraiment eut d'enfance. Il n'avait jamais eut quelqu'un pour lui dire :
« Alors Harry, ta journée c'est elle bien passée ? Qu'as tu fais de beau à l'école ? », ses paroles accompagnées d'un sourire doux que seul une mère peut donner à son fils.
Personne n'avait jamais été là pour le lui dire. Il se sentait seul, il n'avait personne vers qui se tourner. Il devait choisir entre mourir et être la victime ou vivre et être un assassin. Comment pouvait-il choisir ? Qui est ce qui avait dit qu'un humain ou une prophétie avait le droit de dire qui devait mourir ou vivre ?
Harry décida finalement de se lever, il devait retourner chez les Dursley, la famille qui appartenait à sa mère, si on pouvait appelé ça une famille. Un endroit où il était traiter comme un anomalie de la nature, et où tout lui était interdit. Il ne pouvait plus rien faire, surtout depuis que Dudley avait été attaqué l'année d'avant. Il n'avait pas le droit d'approcher son cousin, la seule chose qu'il pouvait faire était de monter dans sa chambre et de s'y enfermer.
Pourtant tout cela lui était indifférent, quoique les gens pensent de lui, il n'en avait rien à faire, plus rien n'avait d'importance. Qu'importe ce qui pouvait se passer : il avait l'épée de Damoclès suspendue au dessus de lui. Choisir, mais quoi ? Il ne savait que faire, ni à qui demander conseil. Il y avait pourtant songer, retourner le problème dans tous les sens, il n'arrivait pas à se décider. Il ne voyait aucune issue, il ne voyait qu'un tunnel noir, vide, sans lumière, sans chaleur. Il n'avait personne. Ce sentiment de solitude, il l'avait traîner partout avec lui cette semaine. Il s'enfermait en lui même. Les lettres de ses amis ne l'aidaient pas, il ne pouvait pas leur parler de son fardeau. Pourraient- ils comprendre ?
Harry retourna vers le 4 Privet Drive, avant d'entrer chez lui, il se tourna dans la rue pour saluer le membre de l'ordre du phénix, qui depuis un an, était derrière lui dès qu'il sortait. Il rentra à l'intérieur et se dirigea vers le frigo pour prendre quelques choses à manger, depuis que Fol oeil avait parler avec les Dursley il pouvait au moins mangé à sa faim. Un sourire désabusé naquit sur ses lèvres, les Dursley ne réagissaient qu'à la peur, peur que quelqu'un apprenne le terrible secret que renferme leur neveu Harry. Peur de ces sorciers aux terribles pouvoir.
Ce jour là pourtant, un invité surprise allait le secouer, alors qu'il entrait dans sa chambre, il la trouva en ordre. Bizarre, il ne l'avait pas ranger pourtant. C'est alors qu'il le vit : Dobby, l'elfe de maison qui l'avait aidé à plusieurs reprises, était là.
« Dobby, que fais tu là ? »
« Bonjour Harry Potter, monsieur. Dobby est content de vous voir, Dobby voudrait vous parler. »
Harry s'assit sur son lit intrigué, il invita Dobby à faire de même.
« Je t'écoute Dobby. »
« Monsieur, Dobby est venu vous trouver, il devait venir monsieur. C'est important, monsieur. Dobby a vu des hommes en noirs s'approcher d'amis à Dobby monsieur. Ses amis ont été menacé monsieur. Il est venu chercher de l'aide au près de celui qu'il savait bon, monsieur. »
Harry resta silencieux, il écoutait ce que l'elfe lui disait. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que s'était extrêmement grave, Dobby semblait à la fois totalement calme et maître de lui, mais ne l'était pas à d'autre moment. Harry voyait qu'il était important de le calmer.
« Que puis je faire pour t'aider Dobby ? »
« Pouvez vous venir avec moi ? », demanda l'elfe.
« Mais Dobby, je ne peux pas faire de magie et je ne sais pas transplaner non plus, je suis surveiller. »
« Je peux vous prendre avec moi Monsieur, c'est important s'il vous plait, j'ai promis de revenir avec l'aide, s'il vous plait. »
Voyant l'air de l'elfe, Harry soupira, il n'avait pas le choix, Dobby semblait au bord de la crise.
« Très bien Dobby, je te suis, mais je dois d'abord écrire un mot pour dire que je part. »
Dobby hocha la tête, et Harry prit un parchemin avant d'écrire :
Ron,
Je sais que je ne suis pas sensé partir de chez les Dursley, pourtant Dobby est venu me trouver, et me demande de le suivre. Vu l'état dans lequel il est, je crois qu'il est préférable que je le suive. Peux tu prévenir qui de droit ?
Harry Potter.
Harry posa sa plume, et prit Hedwige dans sa cage, lui demandant d'aller porter la lettre chez Ron. Une fois qu'il eut fini, il se tourna vers Dobby et lui dit :
« Très bien je te suis »
Dans un claquement de doigt, Dobby et Harry disparurent.
*****
Note de l'auteur :
Le chapitre un est fini, je sais qu'il est un peu cours, pour les suivants, et bien on verra. Je fais un sondage pour voir si je vais continuer ou pas. Suivant l'avis des lecteurs. Alors ceux qui veulent une suite: review. Si je n'en ai pas au minimum trois, je ne sais pas si je ferais une suite. Alors s'il vous plait review.
Paru le 11 février 2004. Sur TWWO.
Paru le 25 janvier 2004
Correction : le 04 février 2004.
Harry Potter était assis dans le parc du quartier, les yeux levés vers le ciel. Depuis qu'il était rentré chez les Dursley, il y venait tous les soirs, s'asseoir à cet endroit, pour contempler les étoiles. Maintenant il ne sortait plus que la nuit, y cherchant le réconfort qu'il ne trouvait pas le jour, auprès de sa famille. Harry était un garçon aux cheveux noirs et aux yeux verts. Il avait l'air normal à première vue, mais pour ceux qui le connaissaient bien, il ne l'était pas, il était un sorcier. Pas n'importe quel sorcier, il était le survivant, celui qui avait vaincu Voldemort à l'âge de un an, le mage noir le plus crains du monde des sorciers. Mais voilà, il n'était pas totalement partit. Au cour de sa scolarité à Poudlard, à l'école de sorcellerie de Grande Bretagne, Harry l'avait affronter de différentes façons. En première année, il était dans la peau du professeur de défense contre les forces du mal, en deuxième, il l'avait vu dans un journal de souvenirs, et en quatrième année, le cauchemar avait réellement commencé. Après avoir tuer Cédric Digory, Voldemort était revenu à l'état corporelle. Pourtant l'année qui fut la plus mauvaise, fut sa cinquième année, c'est là qu'il perdit son parrain, Sirius Black. Il avait rencontré Sirius en troisième année. C'était un fugitif de la prison d'Azkanban, la prison des sorciers. Le seul sorcier qui jusqu'à ce jour avait su s'enfuir. Sirius Black avait été condamné pour le meurtre de douze moldu (personne sans pouvoir magique), ainsi que celui d'un de ses amis qui étaient en réalité à l'origine du meurtre.
Dès qu'il fermait les yeux, Harry revoyait le voile où Sirius avait basculer. Il ne le reverrait jamais, lui qui croyait avoir trouvé une famille l'avait perdue à nouveau. C'était pour cela qu'il venait tous les soirs regarder le ciel. En fait il ne voyait qu'une seule étoile, et elle appartenait à la constellation d'Orion : Sirius. Tous les soirs, il venait, la regarder et lui parler. Il savait que Sirius ne l'entendrait plus, mais c'était la seule chose à laquelle il se raccrochait. Il ne savait plus pourquoi il était là, parfois il voulait mourir ou n'avoir jamais existé. « Pourquoi moi ? », se disait-il. Il connaissait la réponse, la prophétie. Pour une prophétie, il avait perdu sa famille. Celle-ci annonçait l'arrivée d'un garçon qui aurait le pouvoir de détruire Voldemort. Il était ce garçon, lui seul pouvait défère ce sorcier noir.
Plus rien n'allait, Harry se sentait hors de ce monde. La douleur l'avait marqué à jamais. Un enfant qui avait du grandir trop vite, il n'avait jamais eut vraiment une famille pour le soutenir, comme il n'avait jamais vraiment eut d'enfance. Il n'avait jamais eut quelqu'un pour lui dire :
« Alors Harry, ta journée c'est elle bien passée ? Qu'as tu fais de beau à l'école ? », ses paroles accompagnées d'un sourire doux que seul une mère peut donner à son fils.
Personne n'avait jamais été là pour le lui dire. Il se sentait seul, il n'avait personne vers qui se tourner. Il devait choisir entre mourir et être la victime ou vivre et être un assassin. Comment pouvait-il choisir ? Qui est ce qui avait dit qu'un humain ou une prophétie avait le droit de dire qui devait mourir ou vivre ?
Harry décida finalement de se lever, il devait retourner chez les Dursley, la famille qui appartenait à sa mère, si on pouvait appelé ça une famille. Un endroit où il était traiter comme un anomalie de la nature, et où tout lui était interdit. Il ne pouvait plus rien faire, surtout depuis que Dudley avait été attaqué l'année d'avant. Il n'avait pas le droit d'approcher son cousin, la seule chose qu'il pouvait faire était de monter dans sa chambre et de s'y enfermer.
Pourtant tout cela lui était indifférent, quoique les gens pensent de lui, il n'en avait rien à faire, plus rien n'avait d'importance. Qu'importe ce qui pouvait se passer : il avait l'épée de Damoclès suspendue au dessus de lui. Choisir, mais quoi ? Il ne savait que faire, ni à qui demander conseil. Il y avait pourtant songer, retourner le problème dans tous les sens, il n'arrivait pas à se décider. Il ne voyait aucune issue, il ne voyait qu'un tunnel noir, vide, sans lumière, sans chaleur. Il n'avait personne. Ce sentiment de solitude, il l'avait traîner partout avec lui cette semaine. Il s'enfermait en lui même. Les lettres de ses amis ne l'aidaient pas, il ne pouvait pas leur parler de son fardeau. Pourraient- ils comprendre ?
Harry retourna vers le 4 Privet Drive, avant d'entrer chez lui, il se tourna dans la rue pour saluer le membre de l'ordre du phénix, qui depuis un an, était derrière lui dès qu'il sortait. Il rentra à l'intérieur et se dirigea vers le frigo pour prendre quelques choses à manger, depuis que Fol oeil avait parler avec les Dursley il pouvait au moins mangé à sa faim. Un sourire désabusé naquit sur ses lèvres, les Dursley ne réagissaient qu'à la peur, peur que quelqu'un apprenne le terrible secret que renferme leur neveu Harry. Peur de ces sorciers aux terribles pouvoir.
Ce jour là pourtant, un invité surprise allait le secouer, alors qu'il entrait dans sa chambre, il la trouva en ordre. Bizarre, il ne l'avait pas ranger pourtant. C'est alors qu'il le vit : Dobby, l'elfe de maison qui l'avait aidé à plusieurs reprises, était là.
« Dobby, que fais tu là ? »
« Bonjour Harry Potter, monsieur. Dobby est content de vous voir, Dobby voudrait vous parler. »
Harry s'assit sur son lit intrigué, il invita Dobby à faire de même.
« Je t'écoute Dobby. »
« Monsieur, Dobby est venu vous trouver, il devait venir monsieur. C'est important, monsieur. Dobby a vu des hommes en noirs s'approcher d'amis à Dobby monsieur. Ses amis ont été menacé monsieur. Il est venu chercher de l'aide au près de celui qu'il savait bon, monsieur. »
Harry resta silencieux, il écoutait ce que l'elfe lui disait. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que s'était extrêmement grave, Dobby semblait à la fois totalement calme et maître de lui, mais ne l'était pas à d'autre moment. Harry voyait qu'il était important de le calmer.
« Que puis je faire pour t'aider Dobby ? »
« Pouvez vous venir avec moi ? », demanda l'elfe.
« Mais Dobby, je ne peux pas faire de magie et je ne sais pas transplaner non plus, je suis surveiller. »
« Je peux vous prendre avec moi Monsieur, c'est important s'il vous plait, j'ai promis de revenir avec l'aide, s'il vous plait. »
Voyant l'air de l'elfe, Harry soupira, il n'avait pas le choix, Dobby semblait au bord de la crise.
« Très bien Dobby, je te suis, mais je dois d'abord écrire un mot pour dire que je part. »
Dobby hocha la tête, et Harry prit un parchemin avant d'écrire :
Ron,
Je sais que je ne suis pas sensé partir de chez les Dursley, pourtant Dobby est venu me trouver, et me demande de le suivre. Vu l'état dans lequel il est, je crois qu'il est préférable que je le suive. Peux tu prévenir qui de droit ?
Harry Potter.
Harry posa sa plume, et prit Hedwige dans sa cage, lui demandant d'aller porter la lettre chez Ron. Une fois qu'il eut fini, il se tourna vers Dobby et lui dit :
« Très bien je te suis »
Dans un claquement de doigt, Dobby et Harry disparurent.
*****
Note de l'auteur :
Le chapitre un est fini, je sais qu'il est un peu cours, pour les suivants, et bien on verra. Je fais un sondage pour voir si je vais continuer ou pas. Suivant l'avis des lecteurs. Alors ceux qui veulent une suite: review. Si je n'en ai pas au minimum trois, je ne sais pas si je ferais une suite. Alors s'il vous plait review.
Paru le 11 février 2004. Sur TWWO.
Paru le 25 janvier 2004
Correction : le 04 février 2004.
