Disclamer: tous les personnages appartiennent à Tolkien sauf les miens.

Si j'ai mis John connor, c'est parce que je venait de revoir T2 et qu'en plus je ne savais fichtrement pas comment l'appeler voili voilou.

Merci pour vos message, ça m'a bien fait plaisir, et quand 4 premiers chapitres, mon anglais étant ce qu'il est et que c'est la première fois que j'édite une fic sur ce site, j'ai eu quelque difficulté à comprendre. Mais, c'est bien fini.

La fin d'un monde et le début d'un autre. 6ème partie

Moë

Après 2 heures d'un âpre combat en fait, il était pas si âpre que ça. Ils étaient nombreux ça c'est sûr mais par rapport à ceux de notre monde, ce n'étaient que des mauviettes et on les a tout bonnement écrasé comme les insectes qu'ils étaient. Bon revenons à nos moutons (bèèèèèèèèèèèè… très drôle) Donc après le combat, nous avons détruits les orques, brûler les carcasses et leurs habitations. Nous sommes rentrés à la clairière et je n'avais perdu aucun guerriers ( I'm the best) et il n'y avait aucun blessé. J'ai vu le regard de l'elfe, il était sidéré par le fait que l'on rentrait sans aucune victime.

Les enfants étaient tous descendus par terre et couraient vers leurs parents en criant de joie. Seul la petite Maeva restait dans l'arbre, elle n'avait plus de famille, ses parents ayant été exécuté par Meredith surnommé depuis peu "la sanguinaire". Elle restait sur sa branche à pleurer doucement. De grosses larmes coulaient de ses beaux yeux gris. Cela me faisait mal de la voir comme ça. Un enfant ça doit rire, s'amuser avec d'autres de son âge, ça ne devrait jamais rester dans son coin et pleurer la mort de ses parents. Devant l'elfe médusé, je fléchis les genoux et d'un bond, je me retrouva sur la branche de Maeva. Je la serrai dans mes bras en lui murmurant de douces paroles. Ma mère me disait que quand j'aurais des enfants, je serais une mère formidable.

- Voilà, c'est fini Maeva, ne pleur plus. Tu vois nous sommes tous revenus sains et sauf. On n'a perdu personne.

- Personne ? me demanda-t-elle d'une petite voix brisée par les larmes.

- Oui, personne. Et je crois même qu'on a trouvé quelqu'un. Tu ne pense pas ? Lui demandais-je en jetant un coup d'œil vers l'elfe.

- Si, je crois aussi.

- Bon, on va aller se présenter à lui car il doit être un peu perdu.

- D'accord répondit-elle toute tristesse disparue.

Nous allâmes en face de l'elfe et tentâmes de discuter avec lui mais sans trop de résultats. Alors je priais pour que l'elfique de Tolkien soit sa langue et qu'il la comprenne.

- Suilad mellon nin.

Son regard s'illumina et il répéta les paroles et commença à parler. Je remerciais silencieusement Sab de nous avoir appris l'elfique. (pour une meilleur compréhension, tous les dialogues seront traduit de l'elfique en français. Ce sera plus simple. Vous ne trouvez pas?).

- Bonjours, je me nomme Lindo. J'habite la Forêt Noire, appeler avant…

A ce moment Maeva le coupa

- Eryn Lasgalen, le bois des vertes feuilles.

- Mais comment sais-tu cela ? demanda-t-il interloqué.

Sa surprise était trop comique. Je riais aux éclats et des larmes perlaient de mes yeux.

- C'est parce que mon papa et ma maman m'ont souvent raconté les histoires du prince Légolas, de Sauron et de la Q….

- Maeva, tais-toi ,maintenant.

Ma voix la fit taire instantanément sentant qu'elle avait failli faire une GROSSE boulette.

- Pardon, je suis désolé. Dit-elle toute refroidie et toute triste.

Lindo nous regardait alternativement ne comprenant pas tout, sauf que la petite allait dire quelque chose d'important. Il plongea son regard dans le mien comme pour lire mes pensées. Cela me mis mal à l'aise et bizarrement lui aussi.

Elfe

Je la regardais, sondant son esprit. J'eus des vision de son monde, un monde en ruine, sans forêt ni animaux, mais jonché de cadavres et de cendres. Soudain une image plus puissante que les autres frappa ma mémoire et mon esprit. Un immense cavalier noir, les yeux rouge sang, portant une couronne noire. Cette vision de cauchemar me ramena à la réalité. Je vis la peur, la tristesse et la colère dans ses yeux embués de larmes. C'était elle qui m'avait envoyé ces images que je comprenne pourquoi ils étaient venu jusqu'ici. Il fallait les amener tous devant le roi Thranduil et ce le plus vite possible.

- Pouvez-vous venir avec moi, je vous pris ? Je vais vous amener devant mon roi.

- Et mon peuple, il vient avec nous j'espère. répliqua-t-elle avec méfiance.

- Mais bien sur qu'ils viennent tous avec nous.

- Parfait.

Elle dit quelque chose dans sa langue si particulière mais pourtant si belle et tous les elfes se levèrent et se mirent derrière nous près à nous suivre. J'étais fasciné par ces être si proche et pourtant si différents de nous. Ce n'était pas des humains, car je sentais le fluide de l'immortalité couler dans leur veine et pourtant ils se conduisaient comme des mortels. A part leur chef May qui marchait tête basse, les épaules voûtés comme si elle portait tout le poids du monde sur les épaules. Je sentais en elle un pouvoir défiant l'imagination. Elle devait être plus puissante que Dame Galadriel et Elrond réunis. Nous nous arrêtâmes bientôt devant la porte du royaume sylvestre et quand je me retournais vers elle, elle avait disparu.

A suivre