Merci Miriel et tout ceux qui m'ont écrit des rewiew.
Disclamer : pourquoi l'écrire, tout le monde sais que c'est …… TOLKIEN qui a tout crée ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin snirf, le reste m'appartient, c'est au moins cela.
La fin d'un monde et le début d'un autre 14ème partie.
Je me retrouvais une nouvelle fois face à Morgoth devant les portes de Phœnix. Je ne lui laissai pas le temps de parler.
- Et d'un j'en ai marre d'être toujours devant ma cité donc on va aller devant la tienne. Et de deux, tu vas me payer tous ce que tu as fait à moi, à mon monde et à mon peuple.
Il eut un sourire pensant que par ma vengeance j'allais basculer définitivement du côté du mal. Mais ce n'étaient en aucun cas mon idée.
- Je vais faire en sorte que tu deviennes ce que tu as toujours combattu. Tu vas devenir Morgoth le seigneur de la nature, toujours entouré d'oiseau et de petit lapinous. Habillé d'un pagne en fougère, d'une couronne et d'un collier de fleurs des bois. Quant à tes mains, elles tiendront un petit panier rempli de pétales de rose, et de graines que tu lanceras sur tout le monde. Mais ma volonté est telle que cette punition ne s'arrêtera pas ni à mon réveille, ni à ma mort, et qu'elle durera tant qu'il y aura de la vie sur Arda. Et tu ne pourras jamais être délivrer de cette activité.
Durant mon petit speech, Morgoth avait pâli au point de ne plus ressemblé au démon noir mais un démon blanc. Et cette couleur alla très bien avec son nouveau costume qui était tout ce qu'il y a de plus ridicule. Il voulu me frapper, mais tout ce qu'il a pu faire, c'est mettre la main dans son panier, sortir une poignée de pétale et la lâcher en avançant en faisant des sautillements guillerets Et ils n'arrêtait pas et n'arrêterait plus. Soudain un vent violent dispersa les pétales mais épargna les graines.
- Telle est maintenant ta malédiction Morgoth. Tous les jours, un coup de vent détruira une partie de ton œuvre. Sache que tu ne verra plus jamais. J'en ai fini avec toi à tout jamais.
C'était ma dernière rencontre avec Morgoth, enfin je l'avais vaincu. Mais le mal continuait à exister en moi, je ne devais pas baisser les bras où tous ce qui aurait été fait, l'aurait été en pure perte, ainsi que les souffrances et les sacrifices que nous avons tous fait. Et surtout, je risquais de perdre tous mes amis et de les avoir comme ennemis. Ce qui serait pire que tout pour moi. En un mot comme en cent, mon voyage devait continuer.
J'ouvrais un œil et je me mis à m'étirer en ronronnant comme un chat. J'entendis à côté de moi un petit rire. En tournant la tête, je vis Gandalf assis sur une chaise près de mon lit. Je lui fit un grand sourire ensommeiller, il me rendis un doux sourire de grand-père surveillant le sommeil de sa petite fille. Je me redressai légèrement et m'adossa aux oreillers en continuant à m'étirer et à bailler.
- Vous m'avez veillé durant tout mon sommeil.
- Oui, mon enfant. Et j'ai pu voir comment vous avez vaincu Morgoth. J'ai pu observer vos émotions et la manière dont vos pouvoirs se manifestent durant votre sommeil.
- Ah oui ! Comment ? Demandais-je avec curiosité.
- Eh bien, comme la dernière fois, vous vous êtes mis en lévitation et votre corps était entouré d'une puissante lumière blanche. Mais vous aviez les yeux fermés, donc je n'ai pas pu voir leurs couleurs, mais je pense qu'ils devaient être noirs.
- Comment savez-vous tout cela ?
- Ce sont vos trois amis qui m'ont tout raconté. Ils étaient très inquiets à votre sujet, et pour votre santé. Ils vous aiment beaucoup. Mais ils ont été choqués par votre petite crise de nerf. Ils pensaient que vous n'aviez aucun défaut, aucune faiblesse. Et là vous venez de leur montrer votre humanité alors qu'ils pensaient que vous étiez parfaite.
- Moi !!!! Parfaite !!!!! Vous rigolez ??? Je ne suis pas parfaite, je suis trop petite, j'ai un caractère de cochon. En fait, je ressemble pas à une elfe. Vous quel était mon surnom à Phœnix, c'était "nain de jardin". Vous voyez que je ne suis pas parfaite. De plus un être parfait ne ressent aucune peur alors que j'ai une peur panique des araignées.
Gandalf eut une petit rire qu'il essaya de cacher en toussotant mais il avala de travers et eut réellement une quinte de toux. Le voyant cracher ses poumons je mis à éclater de rire, un véritable fou rire comme je n'en avais pas connu depuis des millénaires, depuis l'arrivée de Morgoth sur Terre. Je hoquetais, me tenant les cotes tellement je riais, j'en avais les larmes aux yeux. On faisait un vacarmes de tous les diables. La porte s'ouvris en grand et un humain à moitié endormi apparu et nous dit :
- Vous ne pourriez pas faire moins de bruits, il y en a qui voudrait dormir.
A son entré, on s'était un peu calmé, les larmes aux coins des yeux. Mais dés qu'il referma la porte, nous nous remîmes à pouffer de rire tentant vainement de contenir nos éclats de rire, jusqu'au moment où nous entendîmes une cri de colère :
- C'est pas fini c'boucan.
Et là se fut le déferlement de rire, au bout de 20 mn, nous avions enfin réussi à nous calmer, mais ce fut pour entendre derrière la porte les rires claires des 3 elfes qui eux ne se calmaient toujours pas. Je fis un clin d'œil à Gandalf et m'exclama :
- Non mais ! Ces elfes font plus de bruits qu'un troupeau d'oliphans ivres.
Ces mots, Gandalf se remit discrètement à rire. Quant aux elfes, on entendaient plus un bruit. J'avais un grand sourire quand la porte s'ouvrit avec fracas, et 3 elfes déchaînés se jetèrent sur mon lit. Il y eut une mémorables bataille de polochon. Il y avait des plumes qui volaient dans tous les sens. Gandalf se tenait les cotes de rire. Quant aux polochons, ils n'étaient plus que l'ombre d'eux-même. Ils furent abandonnés au profit de la pire torture qui puisse exister sur la terre du milieu "les chatouilles". Je me tortillais sur le lit en hurlant de rire, mes amis ne me lâchaient pas, me chatouillant sans répit. Leurs rires se calmèrent d'un coup quand une mini-tornade de plumes se jeta dans la bataille. Ils me regardèrent et virent la douce lueur qui m'auréolais, et là se furent eux qui se mirent à se tortiller sous les chatouilles de la terrible trombe de plumes. Mais cette attaque se retourna contre moi et je me mis à éternuer sans arrêt contre la charge vicieuse d'une volée de plumes, ajouté aux chatouilles de mes amis. Enfin après 3 heures de tortillement intensifs, je rendis enfin les armes. J'étais assise par terre, en sueur, en larmes et le souffle court. Je tournai légèrement la tête et vit que l'aube était proche.
- Le soleil se lève.
Tous regardèrent vers le ciel.
- Nous allons bientôt repartirent pour les havres gris. Dit Amroth avec une pointe de regret.
- Oui, nous allons bientôt repartire et nous séparer. Je trouve que se voyage aura été trop court en votre compagnie (moë)
- Merci, toi aussi, tu vas nous manquer. Tu étais comme une sœur pour nous. (Galmir)
- Et vous, vous êtes comme les frères que je n'ai jamais eu. Mais attendez ! Vous êtes les frères que je n'ai jamais eu.
Ils éclatèrent à nouveau de rire.
- Bon c'est pas tout ça, mais je dois me préparer et essayer d'éviter le dormeur qu'on a réveillé. Il doit être furieux.
- Oui, vous avez sûrement raison. Me dit Gandalf avec un sourire. Nous allons vous laisser vous préparer, et ensuite, nous vous aiderons à lacer votre robe.
- Damned, et moi qui pensais pouvoir échapper à la robe, c'est râpé. Eh bien ! A tout à l'heure. Je vous appellerais quand je serais prête.
- D'accord ! Me dirent-ils à l'unisson.
15 mn plus tard, j'étais prête, je terminais de me réveiller en me coiffant et en chantonnant une chanson de Meccano " nature morte "
- Avant le soleil
Ana et Miguel
Déjà s'enflamment.
Elle sur lui, tels quels,
Homme, femme, pêle-mêle,
Font s'embraser les draps...
Et l'océan qui est fou d'Ana
Détourne le regard
Car la jalousie n'épargne,
Ni le sel, ni les algues, ni même les vagues...
Avec le soleil,
Déjà Miguel
Est sur sa barque,
- Embrasse-moi Amour
Et attend mon retour
Tranquille sur la plage-
L'océan murmure dans son langage:
- Misérable pêcheur!
Tu peux lui faire tes adieux,
Jamais plus je ne partagerai son cœur!-
Et pleurer, et pleurer, et pleurer Miguel,
Et attendre, et attendre, et attendre fidèle
Sur le rivage qu'il revienne vers elle...
On dit au village
Que cette roche
Blanche, c'est Ana.
Recouverte de sel et de corail,
Elle l'attend sur la plage...
- Ne l'attends plus triste fille de pierre,
Miguel ne viendra pas
L'océan le tient prisonnier,
Pour pouvoir seul te prendre dans ses bras-
Et pleurer, et pleurer, et pleurer Miguel,
Et attendre, et attendre, et attendre fidèle
Sur le rivage qu'il revienne vers elle...
Il y a même des gens qui racontent
Que quand gronde la tempête,
C'est Miguel luttant à mort,
Qui fait bondir les vagues jusqu'au ciel...
Et pleurer, et pleurer, et pleurer Miguel,
Et pleurer, et pleurer, et pleurer Miguel,
Et pleurer, et pleurer, sur la mer...
J'entendis brusquement des applaudissement. Me retournant brutalement, je vis mes 3 amis au pas de la porte avec les larmes aux yeux.
- Ta chanson est tout simplement magnifique, mais elle est tellement triste. Me dit Elwë.
- Merci, c'est un groupe espagnol Meccano qui la créer dans les années 80.
- Espagnol ?
- Mon monde avant Morgoth, était divisé en centaine de pays certains riches, d'autres pauvres. Mon pays par exemple se nommait la France et son voisin du sud ouest était l'Espagne et ses habitants les espagnoles.
- Et les années 80 ? Me demanda Gandalf qui était arrivé quand Amroth m'avait posé la précédente question.
- Les années 80 est l'abréviation de l'année 1980 qui est distante de nous de 10005 ans de nous.
- Et vous êtes née en ?
- Je suis née le 24ème jour du 4ème mois de l'année 1985, ce qui donne chez nous, le 24 avril 1985, 18 ans avant l'arrivé de Morgoth.
- Donc vous avez quel âge ?
- Ce n'est pas très courtois de demander à une femme son âge, mais je vais accéder à votre requête. Je me tus quelques secondes pour les voir sourire légèrement. En fait, j'ai exactement 10 000 ans. J'ai "fêté" mon anniversaire une semaine avant d'arriver sur la terre du milieu.
- Pourquoi changez-vous de ton pour dire "fêté" ?
- Car Morgoth est arrivé le jour de mon anniversaire. Je suis la seule à connaître mon âge véritable et à être capable de repérer dans le temps, car j'ai connu la vie avant ,pendant et après Morgoth. Nous ne sommes plus nombreux à être né avant Morgoth. En fait nous ne sommes plus que 2. Meredith et moi, tous les autres sont morts durant les combats. Et quant aux autres, les plus vieux ont à peine 7000 ans, des gamins. Je suis donc la plus ancienne de mon peuple, et c'est moi qui est le plus d'expérience au combat. A la mort de Morgoth, nous avons choisi Meredith comme chef, mais certains voulaient que je devienne chef car c'était moi qui avait tué Morgoth. Mais Meredith a été élue avec le plus grand nombre de voix et comme je ne voulais pas déclencher une guerre civile, j'ai reconnu devant tous l'autorité de Meredith. Au début c'était bien, mais peu à peu, elle a été corrompu par le pouvoir. Et c'est à ce moment qu'il y eu des arrestations et des disparitions. En fait ceux qui avaient été contre sa prise de pouvoir. C'est comme cela que les parents de la petite Maeva ont été victimes de ce début de purge, c'étaient des amis très cher. Alors j'ai décidé de partir avec ceux qui voudraient me suivre, et c'est ainsi que 9000 elfes m'ont suivi pour aller dans un nouveau monde. Ils m'ont fait confiance et cela m'a fait mal de trahir cette confiance pour partir sur Valinor. J'espère qu'un jour ils me pardonneront et qu'ils m'accepteront à nouveau. Mais j'ai peur qu'ils m'en veuillent quand je reviendrais, si un jours je reviens. Car le peu que j'ai vu dans mes repos elfique me fait douter d'un retour possible sur la terre du milieu. Je ne sais pas ce que je dois faire. Mais je me dis que si je veux revenir, alors je reviendrais et si je veux rester…
- Alors tu resteras sur Valinor, c'est bien cela termina Elwë, avec la voix noué par l'émotion.
- Oui.
- Alors, tu nous manqueras énormément.
- Je le sais. Mais je sais aussi que je ne ferai ce choix que sur Valinor et je n'y suis pas encore arrivé. Il nous reste encore du temps pour tout cela. Vous ne croyez pas ?
- Oui, tu as tout - à - fait raison. Bon ce n'est pas tout cela, mais l'un d'entre nous va te lacer ta robe.
- D'accord, mais qui ??
- Moi !!!! Dirent-ils tous les 3 en même temps.
- Bon, je vais choisir. Elwë a lacé la robe la dernière fois, Galmir m'a tressé les cheveux. Donc je trouve qu'il serait plus juste que se soit le tour d'Amroth. Vous ne pensez pas tous les 3.
- Oui d'accord, pendant que visiblement Amroth jubilait.
Je lui demandais doucement pendant qu'il me fermait la robe adroitement :
- Tu n'es pas déçu que je ne sois pas parfaite.
- Oh non ! Pas du tout. J'avais un peu peur que tu ne sois qu'une sale petite chieuse comme tu dis si bien. Et tu nous as jamais déçu, bien au contraire. N'est pas mes amis demanda t il aux autres qui le regardaient avec envie.
- Oui !!! Dirent-ils tous les 2 en chœurs devant un Gandalf qui devenait de plus en plus rouge à force de retenir son rire.
Quand Amroth eut terminé de fermer ma robe, je demanda mes deux autres amis que je voulais laisser mes cheveux libres. Qu'est ce que je n'avais pas dis. Ce fut une levée de bouclier. Venant de toute part. Elwë dit rapidement :
- Tu ne peux voyager les cheveux libres, je vais te les tresser à la manière d'Imladris après celle de la Lothlórien et ensuite tu aura celle de Mirkwood. Vous êtes tous d'accord ? Parfait. Attend, tu savais comment on allais réagir non ?
- Bah oui ! Et je ne voulais pas que vous vous chamaillez pour ça. Tout simplement.
- Très intelligent Mademoiselle May.
- Gandalf, pourriez-vous cesser de m'appeler Mademoiselle May et cesser aussi de me vouvoyer ça me rappel mon âge avancé. Alors pourriez-vous me tutoyer.
- D'accord, mais si vous …. tu …. heu … tu le fais en retour.
- D'ac o dac.
- Dac…. o …. dac.
- Oui, dans ma langue maternelle cela veut dire d'accord.
- Oh !!!! Dacodac.
- Voilà, nous sommes prêt à partir. Mais il faudrait que tu mette des chaussures.
Tous acquiescèrent avec force.
- Vous vous rappelez quand j'ai essayé les chaussures, j'ai failli me casser la cheville et je préfère ne pas renouveler l'expérience.
- Bien, mais le problème vois-tu, c'est que les rues de Bree sont boueuses, poisseuses et couvertes d'immondices plus infâmes les uns que les autres. Il serait donc plus prudent que tu mettes les chaussures. M'expliqua Elwë.
- Bon d'accord. Mais je tombe, je jure sur les Valars que je vous le ferais payer cher.
- Ah oui, et tu nous fera quoi ?
- D'horribles choses, chatouilles non-stop pendant 3 jours.
Tous explosèrent de rire. C'était une terrible menace ( je rigole ) car jamais je ne leur ferai de mal. Ils m'étaient si préciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiieux.
Je mis les escarpins, et commençais la dure épreuve de marcher sans me croûter, me foutre la honte et me tordre la cheville. J'avais la démarche hésitante d'un bébé, manquant de me viander 3 fois, me retenant in extremis au bras d'un des 3 elfes. Au bout du couloir de 5 chutes, d'une flopée de jurons plus imagés les uns que les autres qui auraient fait rougir une troupe d'orcs du Mordor, ils décidèrent de me porter jusqu'en bas dans leurs beaux bras musclés. Pendant ce temps, j'essayais subrepticement de faire tomber mes chaussures, mais sans succès, car je fut surprise par l'aubergiste qui me dis, en fait plutôt cria :
- Oh ! mademoiselle, faite attention, vous allez faire tomber vos belles chaussures.
Je lui lançai un regard noir. Si j'en avais eu l' opportunité, je l'aurai trucidé sur place. Mes compagnons me jetèrent un coup d'œil en coin me faisant clairement comprendre que j'aurais droit à double ration d'humiliation si je ne me tenais pas tranquille. Je leur répondis avec un sourire éblouissant. Enfin, nous nous retrouvâmes dans la salle commune. Tout le monde nous regardait bizarrement. L'aubergiste nous demanda :
- Voulez-vous prendre votre petit déjeuné. ?
Après avoir consulté les autres du regard, je lui parla avec douceur et délicatesse :
- Vas te faire mettre gros tas !!!!!
J'ai dit avec douceur et délicatesse :
- Je vous remercie grandement de cette délicate attention. Cependant nous sommes dans l'obligation de refuser cette offre si généreuse, car notre voyage est loin d'être fini, et la route est encore longue. Donc je souhaiterai vous remercier de votre patience et de votre bonté à notre égard. Je vous souhaite une bonne et agréable journée.
J'étais particulièrement fière de ma phrase, mais lui ne compris pas un mot de ce que j'avais dit car je ne parlais pas un mot de westron, mais je le comprenais et lui ne parlait pas un mot d'elfique. ce fut Gandalf qui traduisit mes paroles à un aubergiste qui ressemblait plus à une tomate géante qu'à un homme. Nous sortîmes tous les 4 et ils me posèrent sur l'étalon qui nous attendait devant l'auberge. Le voyage pouvait continuer.
A suivre
Avant dernier paragraphe avant la fin de cette fic. Si vous appréciez dite le moi dans de beaux rewiew. A + .
