Chapter 4 – The light of sun
Drizzt marchait devant le Passeur, celui-ci lui pointant ses propres armes entre les omoplates. Il commençait à en avoir vraiment assez de cette aventure de fou, se demandant si on ne pouvait pas simplement le tuer pour abréger ses souffrances.
- On va encore marcher longtemps ? Je ne sais pas si tu le sais mais moi je me promène depuis ce matin.
- Tu as eu la randonné en bateau pour te calmer alors silence.
Le drow gronda, regardant autour un moyen de se sauver. Au loin, il vit un cratère et ça lui rappela le parchemin qu'Asthurion lui avait laissé dans la poche.
Il le saisit discrètement et le lu, lançant le sors de rapidité extrême au Passeur. Le vieux squelette détala comme un lapin, échappant les cimeterres que Drizzt rengaina, et alla droit se loger dans le trou.
Le drow en approcha, rie un bon coup puis se tourna vers la vu. Au loin, il voyait la porte des enfers, grande ouverte sur son monde. Une demi journée de marche cependant ne lui serait pas de trop pour l'atteindre et il n'avait pas de temps à perdre avant que d'autres ennemis ne le pourchassent.
Un volcan sur le point d'exploser lui donna une idée.
Telvin et Crono décidèrent, pour plus de sécurité, de passer par la porte de Fantastique, la Grande Porte de l'enfer. Telvin avait mené facilement son beau père sur la bonne route, mais décida de lui fausser compagnie de l'autre coté du temple de Cyric.
Crono tenta bien de le suivre, mais il ne connaissait pas ce monde.
Dans le temple, Telvin avança d'un pas assuré vers la porte.
Il figea d'un coup.
- Firn ! Que fais-tu ici ?
Le tavernier lui sourie de toutes ses dents, allongé sur une chaise longue. Il releva ses verres fumés en prenant une bonne bouchée de son MacMédiéval.
- Je surveille la porte pour ta mère, elle surveille celle du sous-sol de la maisonnée.
- Justement mon tonton préféré ! Elle fait dire que je te relève de tes fonctions.
- Ah c'était bien le temps !
Firn se leva et se dirigea en se dandinant vers la porte. Il se retourna d'un coup vers son neveu.
- Attends un peu toi ! C'est de toi que je dois protéger la porte !
Telvin avait déjà passé la porte, Firn bondit dans l'ouverture.
L'elfe d'argent aperçu le drow au loin. Elle couru pour le rattraper en le voyant se défaire de l'emprise du Passeur, mais à sa grande surprise le drow saisit son armure en mithril, la posa sur le cratère d'un volcan en éruption et fila à toute vitesse sur le fleuve de lave vers la porte.
Elle avait entendu parler d'un cimeterre qui le gardait du feu, mais n'en croyait quand même pas ses yeux.
Soupirant, elle se remit en route.
Pour la première fois depuis des lustres, il semblait à Drizzt qu'il passait un bon moment. Un vent chaud lui soufflait à la figure tandis qu'il surfait sur le fleuve de magma. Il sourie de contentement en se disant qu'il atteindrait bientôt Fantastique, et sans l'aide de personne.
Quelques démons tentèrent bien de l'arrêter, mais ils finirent au bout de ses lames. Plus qu'un mille, plus qu'un demi mille, il voyait d'ici la lumière du jour, il sentait d'ici le souffle de l'air pure, la brise sur l'herbe par les chaudes journées d'étés.
Arrivé sur la berge menant à la porte, il sauta de sur son armure puis la renfila, la secouant bien pour enlever la roche en fusion.
Marchant tranquillement vers la sorti, il lui sembla entendre un bruit étrange.
Drizzt marchait devant le Passeur, celui-ci lui pointant ses propres armes entre les omoplates. Il commençait à en avoir vraiment assez de cette aventure de fou, se demandant si on ne pouvait pas simplement le tuer pour abréger ses souffrances.
- On va encore marcher longtemps ? Je ne sais pas si tu le sais mais moi je me promène depuis ce matin.
- Tu as eu la randonné en bateau pour te calmer alors silence.
Le drow gronda, regardant autour un moyen de se sauver. Au loin, il vit un cratère et ça lui rappela le parchemin qu'Asthurion lui avait laissé dans la poche.
Il le saisit discrètement et le lu, lançant le sors de rapidité extrême au Passeur. Le vieux squelette détala comme un lapin, échappant les cimeterres que Drizzt rengaina, et alla droit se loger dans le trou.
Le drow en approcha, rie un bon coup puis se tourna vers la vu. Au loin, il voyait la porte des enfers, grande ouverte sur son monde. Une demi journée de marche cependant ne lui serait pas de trop pour l'atteindre et il n'avait pas de temps à perdre avant que d'autres ennemis ne le pourchassent.
Un volcan sur le point d'exploser lui donna une idée.
Telvin et Crono décidèrent, pour plus de sécurité, de passer par la porte de Fantastique, la Grande Porte de l'enfer. Telvin avait mené facilement son beau père sur la bonne route, mais décida de lui fausser compagnie de l'autre coté du temple de Cyric.
Crono tenta bien de le suivre, mais il ne connaissait pas ce monde.
Dans le temple, Telvin avança d'un pas assuré vers la porte.
Il figea d'un coup.
- Firn ! Que fais-tu ici ?
Le tavernier lui sourie de toutes ses dents, allongé sur une chaise longue. Il releva ses verres fumés en prenant une bonne bouchée de son MacMédiéval.
- Je surveille la porte pour ta mère, elle surveille celle du sous-sol de la maisonnée.
- Justement mon tonton préféré ! Elle fait dire que je te relève de tes fonctions.
- Ah c'était bien le temps !
Firn se leva et se dirigea en se dandinant vers la porte. Il se retourna d'un coup vers son neveu.
- Attends un peu toi ! C'est de toi que je dois protéger la porte !
Telvin avait déjà passé la porte, Firn bondit dans l'ouverture.
L'elfe d'argent aperçu le drow au loin. Elle couru pour le rattraper en le voyant se défaire de l'emprise du Passeur, mais à sa grande surprise le drow saisit son armure en mithril, la posa sur le cratère d'un volcan en éruption et fila à toute vitesse sur le fleuve de lave vers la porte.
Elle avait entendu parler d'un cimeterre qui le gardait du feu, mais n'en croyait quand même pas ses yeux.
Soupirant, elle se remit en route.
Pour la première fois depuis des lustres, il semblait à Drizzt qu'il passait un bon moment. Un vent chaud lui soufflait à la figure tandis qu'il surfait sur le fleuve de magma. Il sourie de contentement en se disant qu'il atteindrait bientôt Fantastique, et sans l'aide de personne.
Quelques démons tentèrent bien de l'arrêter, mais ils finirent au bout de ses lames. Plus qu'un mille, plus qu'un demi mille, il voyait d'ici la lumière du jour, il sentait d'ici le souffle de l'air pure, la brise sur l'herbe par les chaudes journées d'étés.
Arrivé sur la berge menant à la porte, il sauta de sur son armure puis la renfila, la secouant bien pour enlever la roche en fusion.
Marchant tranquillement vers la sorti, il lui sembla entendre un bruit étrange.
