Paradise1 : Merci. Lol.

Lola Reeds : Oui, j'ai toujours été doué pour les poèmes subtiles et romantiques.^^

Olivus : Mici. Extrême Séduction est la fic que j'essaye d'updater réellement souvent (2 fois par semaine théoriquement) mais je crois que je vais être obligée de ralentir le rythme parce que j'ai un peu de mal quand même. Donc la suite est là et j'espère qu'elle te plaira mais j'ai un peu peur que le chapitre suivant soit plus long à venir.

Arlein de Lioncourt : Vi ça devient plus chaud et ça le sera beaucoup plus dans le chapitre suivant.^^ Lyly : Mici. Artemis : Kikoo toi. Mici pour ta review. Celui-ci aussi à plus ou moins une fin sadique mais je ne pouvais pas rallonger celui-ci avec le suivant. Le chapitre aurait été trop long. J'espère ne pas trop mettre de temps pour poster les autres mais bon, c'est dur quand même de tenir le rythme. En plus, j'ai pas mal rattrapé ma version Anglaise maintenant. Il y a 9 chapitres de différence. Lululle : Hé hé la maligne. ^^

Altea : Moi aussi j'aime bien les ch'tites voix enthousiastes… surtout lorsqu'elles sont en accord.^^

Gally_Chan : Bah, j'aime bien imaginer Crabbe dans son bain (Non pas de hurlement, je n'ai pas fini !^^) avec un canard en plastique avec qui il fait mumuse. Ca correspond bien au personnage je trouve et puis ma soeur me dit que je dois avoir un blocage avec les canard parce que dans une autre de mes fics, complètement cinglée, Voldie ne peut pas s'endormir sans son caneton en peluche prénommé Ducky. ^^

Clau : Vi, j'ai reçu ta review.^^ Pour le 'kidnapping', je crois que tu seras contente. ^^

Saael : Tient ! PTDRise, je n'avais encore jamais entendu.^^ Tu viens de créer un nouveau mot. Sois en fière. ^^ Moi, je le fais souvent aussi. Lol.

Rowan : C'est drôle dans ce chapitre, tout le monde ne voulait à Dumbledore. ^^

Orlina : Bien deviné miss.^^

Dega : Mais z'enfin mamzelle, c'est ti po méchante de vouloir voir 'clamser Rusard'. Et même si tu fais partie du CFLM. Nan là tu me déçois. S'il meurt, comment pourrais-je le torturer dans mes fics alors ?^^ Non, il faut faire durer le plaisir. Lol. Bah oui, moi aussi, je fais partie du CFLM.^^

Gaeriel Jedusor : Lol. Non, ze ne suis pas bilingue de naissance. Et fait, je n'ai pas beaucoup de mérite pour la traduction vu que c'est moi qui l'écrit déjà à la base donc je sais ce que je veux dire. Il n'y a pas de confusion dans ma tête. Le plus dur, c'est de l'écrire en Anglais mais sinon ça va. On s'habitue à force et je n'ai plus que deux chapitres à écrire et la fic est finie.

Luwelin : Quelque soit la personne qui a dit « Attrapez-le », ne sois pas déçue. N'oublies pas que c'est une fic SSHP et que chacun a un rôle à jouer.

Circe : Mici beaucoup. J'espère que ce chapitre te plaira même s'il n'a pas été écrit pour faire rire, celui-ci.

Voilà le nouveau chapitre, j'espère qu'il vous plaira. Bisous à toutes et à tous.

Chapitre 11 : Le plan de Malfoy

« Silencio » cria une voix.

Harry sentit deux corps lourds se jeter sur lui et le plaquer contre le sol en l'immobilisant. Il pût reconnaître Grégory Goyle et Graham Pritchard. Il réalisa soudain qu'il ne pouvait pas crier ou appeler à l'aide à cause du sort de silence qui lui avait été lancé. Il sentit une main se glisser dans sa poche et en sortir sa baguette. La main s'attarda sur la cuisse de Harry, sa hanche, le côté de son abdomen, partout où elle pouvait toucher. Le jeune homme aux cheveux noirs corbeau frissonna de peur à ce contact.

« Arrête ça Draco » murmura une voix irritée. « Nous pourrons le caresser autant que nous le voudrons dans notre dortoir. Mais pas ici, c'est trop risqué. »

Le blond grogna et éloigna sa main de Harry à regret.

Le sang de Harry se gela dans ses veines. Ils allaient le toucher, peut-être même le violer et ils ne pourrait pas bouger, ni hurler. Il avait vu ses amis être pétrifiés et savait qu'ils pouvaient toujours entendre ce qui était dit. Il savait aussi qu'ils devaient se sentir aussi impuissants que lui. C'était un sentiment horrible. Comme d'être prisonnier dans son propre corps et dans sa propre tête.

Le poids qui pesait sur lui devint rapidement trop lourd pour Harry qui se mit à haleter. Lorsque Draco s'en rendit compte, il siffla à ses camarades de se pousser. Sans laisser à Harry la moindre seconde pour se défendre, Draco pointa sa baguette vers lui et le pétrifia également.

« Prends-le » dit Malfoy à Goyle. « Il faut que nous partions d'ici rapidement avant que quelqu'un… Mais qu'est-ce que tu fais Greg ? »

« Je fais ce que tu m'as demandé de faire. »

Le blond leva les yeux au ciel et grogna, « Remonte ton pantalon et porte Harry. »

Pritchard et Goyle s'exécutèrent vivement.

« Et Weasel et Granger, Drake ? » demanda Blaise Zabini.

« C'est vrai, » répondit Draco. « Greg, cache-les dans les toilettes. Ce n'est pas très loin d'ici et reviens vite. »

Goyle agrippa un des bras de Hermione et un de ceux de Ron et les traîna sans prêter la moindre attention aux éventuels blessures ou coups qu'il pouvait leur infliger.

« Maintenant, il faut y aller » dit Zabini. « Graham. Pren… Porte Harry. » Le garçon acquiesça et suivit ses compagnons qui descendaient les escaliers en direction de Maison Serpentard.

« Plus vite » ordonna Malfoy. « Nous n'avons pas besoin de témoins. Il faut être discret. Heureusement que le dîner n'est pas encore terminé mais le plus vite sera le mieux… et nous pourrons avoir Harry toute la nuit. »

'Et j'aurais Harry toute la nuit' rectifia-t-il pour lui-même, très excité.

Mais soudain, il fronça les sourcils. Harry lui avait été volé. A cause de ce philtre d'amour, le Gryffondor avait été amoureux de lui et le baiser qu'ils avaient échangé… ce baiser. Draco pouvait encore en sentir le goût sur ses lèvres. Il avait rêvé si souvent depuis de lui capturer sa bouche encore et encore qu'il n'en dormait plus. Harry avait été à lui. Totalement et magnifiquement sien. Pour une trop courte période. Il en voulait plus. Et il en aurait davantage, exclusivement.

Goyle revint.

« Alors, est-ce fait ? » demanda Zabini. « Ils sont bien cachés dans les toilettes ? »

« Qui ? » interrogea Grégory.

« Mimi Geignarde » répliqua Draco sarcastiquement.

« N-Non, je ne l'ai pas vu… »

« Weasel et Granger » soupira Blaise, exaspéré.

« Oui » répliqua Goyle, après une minute et vingt-neuf secondes. Il était vraiment lent.

Ils poursuivirent leur chemin vers les cachots, inconscient d'avoir été entendu par un petit garçon blond qui commença à courir vers la Grande Salle.

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« Mettez-le sur le canapé » ordonna Malfoy tandis qu'il refermait la porte. Un coup brutal porté au panneau de bois l'empêcha cependant de le faire. « Qu'est-ce que… »

« 'Jour Malfoy. Croyais-tu que vous pouviez voler notre Harry ainsi ? » dit Seamus Finnegan dont les yeux brûlaient de colère.

« Comment avez-vous… » demanda Draco, complètement stupéfait de cette intervention pour le moins inattendue.

« Nous vous avons vu » répliqua Dean, furieux également. « Nous étions de l'autre côté du couloir quand nous avons vu Goyle sortir des toilettes des filles avec une expression triomphante sur le visage. Nous avons tout de suite compris qu'il était en train de faire quelque chose… Et nous savions aussi ce qu'il désirait le plus. »

« Harry ! » continua Seamus. « Nous l'avons suivi discrètement et devinez ce que l'on a trouvé ? »

« Harry est à nous. Il est à Gryffondor. Donc il n'appartient aucunement à cette Maison » dit Dean d'un ton possessif.

« Tout comme vous » répliqua Draco sarcastiquement. « Pas à Serpentard, ni à… Gryffondor, me semble-t-il. Vous aviez bien été renvoyé de votre propre maison, n'est-ce pas ? »

« ESPECE DE SALE… » rugit Seamus en bondissant sur le Serpentard. Draco évita le premier coup mais pas le deuxième. Il cria de douleur et commença à répondre.

Goyle se joignit à la bataille tout comme le fit Dean, puis Blaise Zabini et enfin Graham Pritchard.

« Impedimenta ! » cria une voix furieuse et ils se retrouvèrent tous pétrifiés, suspendus dans leurs mouvements.

« QU'ETES-VOUS EN TRAIN DE FAIRE ? » hurla le Professeur McGonagall en tenant toujours sa baguette pointée sur eux. « VOUS DEVRIEZ AVOIR HONTE DE VOUS. STUPEFIXER TROIS ETUDIANTS, CACHER DEUX D'ENTRE EUX DANS LES TOILETTES ET EN ENLEVER UN POUR LE HARCELER… OU POUR… VOUS DEVRIEZ AVOIR HONTE… »

Dès qu'il était entré dans la pièce, le professeur Snape avait tout de suite rejoint Harry et avait murmurer, « Enervatum. »

Harry ouvrit les yeux et se retrouva dans les bras de son professeur, pressé contre son torse ferme.

« Oh mon amour. Mon amour. T'ont-ils fait quelque chose ? » demanda l'homme gentiment alors qu'il tremblait presque violemment.

« Non professeur, je vais bien mais Ron et Hermione… »

« Vont bien également » répliqua-t-il en embrassant vivement mais tendrement les lèvres de son élève.

« Comment le savez-vous ? » demanda Harry.

Severus se déplaça légèrement laissant Harry apercevoir Denis Creevey qui regardait tous les garçons qui étaient sur le sol et à qui leur professeur de métamorphose adressait un sermon bien senti.

Snape refit un pas de côté bloquant la vue du jeune Gryffondor à cette scène qui leva la tête pour jeter un coup d'œil à son maître des potions. Celui-ci était visiblement inquiet et… jaloux.

« Personne ne te fera de mal Harry. Personne. Je ne le permettrais pas » murmura-t-il en caressant la joue du jeune homme doucement. Sa voix tremblait et il captura ses lèvres pleines une fois encore mais avec plus d'impatience et de fermeté. Plus profondément.

Severus ne se permit pas de gémir à la douceur velouté de ce baiser. Il ne voulait pas que quelqu'un les découvre lui et Harry dans cette position. Il mit donc un terme au baiser à regret. Il avait été si inquiet. Il avait envie de casser tout ce qui était autour de lui – Malfoy et compagnie y compris – et prendre Harry dans ses bras, l'éloignant d'ici pour toujours. L'emmener dans ses appartements et dans la chaleur accueillante de ses draps.

Harry entendit Snape prendre une profonde inspiration, les yeux fermés et la voix de McGonagall appeler Snape pour qu'il se joigne à elle.

« Le professeur Snape va vous punir correctement. Monsieur Potter, je vais vous raccompagner à la tour de Gryffondor. »

Harry se mit debout et rejoignit sa directrice de Maison.

« Denis » appela la sorcière. « Venez avec nous. »

« Oui professeur » répliqua-t-il.

« Professeur ? » demanda Harry. « Où sont Ron et Hermione s'il vous plaît ? »

« A l'infirmerie Potter. Ils vont dormir là-bas cette nuit. Ils vont bien mais Madame Pomfresh préfère les garder un peu plus. Vous pourrez voir vos amis demain. »

Dans un silence total, ils poursuivirent le reste de leur chemin et aucun événement particulier ne vint troubler ce moment.

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« Mmmmmmmmmm… Oui… Là, oui, touche-moi là » haletait Harry, terriblement excité.

Severus léchait son torse puis s'attaqua sensuellement à ses mamelons durcis de désir.

« En veux-tu encore Harry ? »

« Oui, oui. J'en veux plus Sev » gémit-il en sentant son membre érigé vibré furieusement.

« Supplie-moi » ordonna l'homme.

« Quoi ? »

« Supplie-moi. Dis-moi ce que tu veux. Dis-moi que tu me veux » soupira son amant.

« Je te veux… Je te veux tellement… prends-moi… empale-moi profondément… Fais-moi l'amour… touche mon sexe et fais-moi jouir… Je suis si près de l'extase… Je te veux maintenant… Je t'aime. »

Souriant, Severus lubrifia sa brûlante érection, se plaça à l'entrée charnelle de Harry et à ce moment, le jeune homme se réveilla.

« Je t'aime, je t'aime » répétait-il, haletant et humide de transpiration.

Avec horreur, le jeune homme réalisa ce qu'il venait juste de dire.

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Il était seul ce matin-là dans la salle de bain. Neville avait déjà rejoint la Grande salle pour prendre son petit déjeuner.

L'eau chaude détendait ses muscles en caressant sa peau. Harry pouvait sentir le jet puissant de l'eau fouetter délicieusement son corps entier. La mousse douce du shampooing glissait sur son visage et le long de son corps. De la vapeur s'étendait en un épais brouillard tout autour de lui.

Ses doigts pincèrent ses tendres mamelons jusqu'à ce qu'ils deviennent durs. Il se mordit les lèvres d'anticipation. Ses mains errèrent sur son ventre puis descendirent jusqu'à l'intérieur de ses cuisses. Elles remontèrent et touchèrent ses testicules soigneusement, lentement. Sa respiration devint difficile et il gémit.

Il enveloppa son membre durci de sa main et en caressa sa tête de son pouce. Quelques gouttes chaudes s'en échappaient déjà et il gémit de nouveau, « Sev » en savourant le son de ce diminutif sur ses lèvres.

Sa main touchait sa chair gonflée sur toute sa longueur et il commença à se caresser en un rythme lent tandis qu'il imaginait que c'était la main de Severus qui l'enveloppait.

Les joues rouges, les yeux clos et la bouche entrouverte de plaisir, Harry ondula des hanches un peu plus vite.

« Sev. »

Il accrût le rythme, en massant ses testicules en même temps. Il sentit qu'il était au bord de l'extase… si proche maintenant… si proche… si…

« SEV ! »

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Ron et Hermione étaient tous les deux étendus – complètement réveillés et mobiles- sur un lit, installés côté à côté dans l'infirmerie. Lorsqu'ils virent Harry, ils commencèrent à parler en même temps.

« Désolé… »

« Nous ne pouvions rien… »

« C'était horrible… »

« … voulions t'aider… »

« … ce misérable, cette fouine diabolique… »

« … les avons entendu… »

« Comment vas-tu ? » firent écho les trois amis. Ils sourirent.

« Je vais bien » répondit Harry. « Et vous deux ? »

« Juste quelques bleus » répliqua Hermione en faisant la grimace. « Goyle a été, pour ne pas changer, une brute épaisse. Il nous a traîné dans les escaliers. »

Harry et Ron lancèrent des regards noirs de fureur et de ressentiment à ce souvenir.

« Il a eût deux semaines de retenue » lui dit Ron en souriant. « Il a à récurer les escaliers avec une brosse à dent. Maintenant, c'est lui qui va avoir mal aux reins. »

Harry sourit également et demanda, « Comment le sais-tu ? »

« Denis est venu tôt ce matin et nous l'a dit. Il a entendu les rumeurs à propos des punitions que leur a infligé Snape » répondit Hermione qui avait un large sourire aux lèvres elle aussi.

« Parfois, je dois bien admettre que j'ai presque du respect pour lui » dit Ron. « Après tout, maintenant, Malfoy, lui, a à récurer tous les toilettes de Poudlard pendant tout le mois qui vient. »

Ils éclatèrent tous de rire.

"Monsieur Potter" l'appela soudain Madame Pomfresh. « Je voudrais vous voir. J'ai reçu une lettre de l'hôpital Sainte Mangouste cet après-midi. »

Le cœur battant la chamade, Harry regarda la femme avec un mélange d'anxiété, de peur, d'espoir et de joie.

« Pour maintenant, les chercheurs ne savent pas ce que vous avez mais, apparemment, ils sont sur une piste éventuelle. Ils ont promis de me dire toutes les conclusions qu'ils en tireraient et les trouvailles, peut-être, qu'ils auront. A présent, ils ont un réel espoir de trouver quelque chose d'utile et de concluant ? »

La médico-mage lui sourit et Harry lui sourit également. Au moins, il y avait une vraie lueur d'espoir.

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Lorsque Harry sortit de l'infirmerie, il entendit une voix empressée l'appeler et il rougit légèrement.

« Oui professeur ? »

« Votre baguette Potter » dit Snape, en la lui tendant.

« Oh ! Merci Monsieur. »

Harry fit à pas de côté comme s'il voulait contourner l'homme pour reprendre son chemin lorsque la main de Snape lui agrippa le bras.

« Je vais vous accompagner. »

Harry avala difficilement sa salive et dit faiblement, « Bien Monsieur. »

« Potter, je voulais vous mettre en garde encore une fois. Je ne veux pas que vous sortiez seul quelque part. Est-ce clair ? »

« Parfaitement clair Professeur. »

« Je ne veux pas non plus que vous provoquiez les situations dans lesquelles… »

« Je n'ai rien provoqué du tout Monsieur. »

« Bien et, » continua-t-il en faisant face à Harry, lui agrippant les épaules et plongeant ses prunelles noires dans les siennes. « Je ne veux pas vous trouver dans les bras de quelqu'un d'autre, autre que les miens. Je ne veux pas vous voir flirter avec qui que ce soit d'autre que moi. Je ne veux pas vous voir sortir avec un autre homme. Est-ce clair également ? »

Il ne laissa pas le temps au jeune Gryffondor de répondre et lui captura avidement ses lèvres, marquant Harry comme sien.

« Maintenant, venez, » ordonna Snape en reprenant son chemin et en poussant le jeune homme pour qu'il fasse de même.

« Mais… Professeur, ce n'est pas le chemin qui mène à la tour de Gryffondor » dit Harry avec stupéfaction.

« Bien observé Monsieur Potter, » répliqua Snape sarcastiquement. « C'est peut-être parce que vous n'allait pas rejoindre votre Maison aujourd'hui. Peut-être parce que vous serez mien en ce jour et en cette nuit. Peut-être est-ce parce que je 'veux te faire crier de pure extase.'

Harry eût, une fois de plus, du mal à avaler sa salive.

« Professeur, ces… ce n'était pas… ce n'était pas mes mots, vous savez, ils étaient de Malfoy. »

« Malfoy ? » s'écria le maître des potions furieusement, ses yeux brûlants de jalousie.

« O-Oui. Il m'avait lancé le morceau de parchemin où il avait écrit ces mots et quand j'ai voulu le lancer moi-même dans la corbeille, je l'ai manqué et la boule de papier a atterrit sur votre bureau donc… donc ce n'était pas mes mots. »

Harry n'eût pas à attendre longtemps pour avoir une réponse.

« Je vois. Bien, ce n'est pas important. Vous aurez juste à me dire vos propres mots ou plutôt à me les gémir. »

Dès qu'il eût fini de parler, il prit Harry dans ses bras, le souleva et le hissa pour qu'il soit en travers de son épaule droite et poursuivit son chemin, descendant les marches qui menaient aux cachots.