Sinon, comme j'ai écrit d'abord la fic en Anglais, parfois je suis obligée de laisser les jeux de mots en Anglais (impossibles à traduire en Français). Donc, là, je fais référence au 'Golden Snitch' qui est le 'vif d'or' et le 'Golden boy' qui est un des surnoms donné à Harry.
Merci pour vos reviews. Elles m'ont fait très plaisir. Désolée de ne pas vous mettre un petit mot à chacun mais là, je suis vraiment claquée. Ca fait trop jours que j'écris énormément et je n'en peux plus. Je vais me retirer pour 3 semaines de vacances.^^ Gally_Chan : Ma fic où Voldie à un caneton en peluche prénommé Ducky, qu'il a peur du noir et dort avec une veilleuse, où il a de fréquents lumbagos et ment sur son âge est « Harry Potter à la recherche de la laitue perdue ». Elle est complète donc il n'y a pas d'attente sadique.^^ Gros poutouxes à tous et bonne lecture. Chapitre 12 : Dans tes brasLa porte de la chambre de Snape se referma en claquant et fût verrouillée derrière eux.
Le professeur laissa son précieux fardeau glisser à terre jusqu'à ce qu'il soit à nouveau debout, bien ferme sur ses pieds.
Avant que Harry puisse dire la moindre chose, Severus captura sa bouche en lui caressant tendrement le dos. Puis, il libéra ses lèvres sans reculer, pour lui murmurer doucement, « Je te désire Harry. J'ai tellement envie de toi. Laisse-moi te faire l'amour. Laisse-moi te montrer comme cela peut être magnifique. »
« Je ne suis pas vierge professeur, je sais... »
« QUOI ??? Mon Harry n'est pas vierge ! » rugit l'homme aux cheveux noirs. « Et qui donc était le premier ? Qui donc a osé te toucher ? Qui s'est permis d'avoir cet honneur ? Qui m'a volé ce précieux cadeau ? Réponds-moi Harry ! »
Le jeune Gryffondor se dit qu'il était plus sage de dire la vérité à son professeur même si ce n'était absolument pas ses affaires.
« C'était Roger Davies... » murmura-t-il doucement.
« Davies ? » le coupa Snape. « Mais... Mais... Il n'est pas gay. Je l'avais vu baver devant cette Française de Beauxbâtons, Fleur Delacour. »
« En réalité, il est bi. »
« Et quand est-ce que ça s'est pass ? Ce n'était pas à Poudlard. Il n'est plus élève depuis plusieurs années. Quand Harry ? Quand ? »
« L'année dernière. »
« L'année dernière ! L'année dernière ! Où ça ? »
« A Pré-au-lard. Je les rencontrais là-bas. »
« Les ? LES ? Que veux-tu dire par 'Les' ?
Harry rougit et s'insulta de tous les noms pour avoir laissé échapper cette information supplémentaire.
« Roger n'était pas le seul pour ma première fois. »
La mâchoire de Snape tomba à terre, ses joues étaient rouges et ses yeux brillaient de jalousie et de possessivité.
« Qui d'autre ? »
« Il y avait aussi... hum... Olivier Dubois. »
« Il s'agissait d'un foutu match de Quidditch ou quoi ? Allez l'équipe ! Un match où la question était de savoir qui allait pouvoir attraper en premier non pas le golden snitch mais le golden boy ! » hurlait Snape, furieux. Il faisait les cent pas dans la pièce rageusement en essayant de se calmer, se murmurant des mots.
Harry arriva à en percevoir quelques uns comme, 'Innocent mon cul', 'qui aurait pu deviner', 'un Gryffondor', 'pur', 'mien'.
Snape s'immobilisa soudain et demanda en grognant, les dents serrés, « Et après eux ? »
« Personne. »
Cette réponse sembla le satisfaire beaucoup plus que la première. Il ajouta, « Donc, depuis eux, personne ? Snape sourit, « Juste... ta main ? »
Harry rougit violemment et Snape éclata de rire.
« Je ne suis pas vierge non plus donc je peux te pardonner mais sache que dès à présent ce ne sera plus ta main mais la mienne... Et seulement la mienne. »
Harry avala sa salive avec difficulté comme il voyait, totalement hypnotisé, son professeur s'approcher lentement de lui tel un prédateur immobilisant sa proie de son regard. Totalement captif.
Severus murmura, « Un Gryffondor ! Avec toute sa bravoure ! Je me dois donc d'agir en accord avec cela. » Il sortit alors sa baguette. Harry recula, étonné et légèrement inquiet.
« Ai confiance Harry, » lui dit-il tandis qu'il transformait une plume en une fine épée semblable à un katana. Harry avala de nouveau péniblement mais n'avait plus peur à présent. Il avait confiance en son professeur. Il attendit donc.
Snape murmura une incantation et se retrouva aussitôt nu en face de son étudiant. Haletant, Harry lécha ses lèvres d'anticipation et de désir. Le corps qu'il était en train de dévorer du regard était beau et sexy en diable. Il sentit son sang bouillir et venir gorger son membre viril. Il vit Severus s'approcher ainsi de lui de plus en plus près, l'épée tenue dans sa main droite.
L'homme éleva son arme et fixa sa pointe aiguisée contre le torse ferme du jeune homme. Celui-ci maintint son regard rivé à celui de son professeur et arrêta sa respiration lorsqu'il sentit la pointe froide du métal glisser en descendant tout doucement, ouvrant sa robe en la coupant d'une fente nette et précise sans abîmer la peau. Harry se mourrait d'envie pour l'homme qui lui faisait face et dont il pouvait également attester de la puissance de son désir. Harry relâcha sa respiration et soupira de soulagement tout en admirant son professeur. Bien qu'il tremblait de désir, l'homme ne l'avait aucunement blessé avec la pointe acérée du katana qu'il tenait toujours fermement dans sa main pâle.
Snape exécuta d'autres mouvements gracieux, d'une fluidité remarquable et Harry sentit le tissu soyeux qui le recouvrait encore, se détacher doucement de son corps, glisser sur sa peau et mourir sur le sol. Il se dressait, désormais nu, dans toute la splendeur de sa beauté glorieuse.
Severus abaissa son épée et permit enfin à ses muscles de relâcher leur contrôle et se mit à trembler plus fortement.
Harry était si beau.
Il métamorphosa de nouveau son arme, en sa plume originelle et la jeta nonchalamment sur sa table de nuit - imitant le geste qu'il avait fait précédemment avec sa baguette– venant rejoindre une petite bouteille de lubrifiant.
Puis, il regarda enfin Harry en s'immobilisant. C'est alors que le jeune homme, ne pouvant se maîtriser davantage, bondit sur lui et l'embrassa désespérément. Ils s'embrassaient toujours lorsque, très doucement, Severus guida son amant vers son immense lit. Ils s'y laissèrent tomber, se dévorant toujours l'un l'autre passionnément. D'un coup de rein, Harry fit rouler l'homme qui se retrouva sous lui, brisant leur baiser.
« Ainsi, tu veux jouer ? » dit-il en souriant, ses yeux brûlant d'un feu intense et brillant de joie et d'excitation. « Alors nous allons jouer. »
Harry prit sa baguette qui était à proximité et murmura quelques mots que Severus n'entendit pas. Soudain, un énorme bouquet de roses rouges apparu dans la main du jeune homme. Harry murmura une autre incantation et elles se délestèrent de leurs épines en volant dans les airs pour retomber sur le lit tout autour du corps de son nouvel amant.
Le jeune Gryffondor sourit en ôtant les pétales écarlates de deux fleurs et en les laissant tomber sur la tête, le cou et le torse de l'homme. Soutenant le regard de son amant, Harry souffla sur les pétales qui volèrent, aériens et légers et Severus frissonna délicieusement sous cette douce caresse due aux pétales eux-mêmes ainsi qu'au souffle chaud de son amour.
Harry embrassa chaque parcelle de peau blanche que les pétales avaient touchés et laissa ses lèvres errer toujours plus loin. Il prit ensuite une des roses et fit glisser le bout des doux pétales tout le long du front de Severus, son nez et sa bouche fine – qui ne pouvait s'empêcher de laisser échapper de faibles gémissements tentateurs.
« Aimes-tu Severus ? » murmura le jeune homme taquin avant de l'embrasser d'un baiser profond.
« Tu le sais bien » haleta-t-il, très excité.
« Oui, je le sais » sourit Harry, ses yeux brillant d'un intense désir. « As-tu envie que cette rose innocente te caresse le corps – entièrement – Severus ? »
« Ouiiiiiiiiii. »
Le sourire excité de Harry s'élargit et il recommença à caresser sensuellement son amant avec la corolle rouge de la rose. D'abord sur le menton puis le cou. Harry fit glisser ensuite doucement la douceur velouté des pétales sur la peau pâle et lisse des épaules musclées de l'homme.
'Son corps est si beau' pensait Harry, agréablement surpris. 'C'est un véritable sacrilège que de le cacher sous ses robes. Quoique, comme cela, il n'y a que moi qui peut le voir.' Harry sourit encore plus largement.
Après avoir parcouru ses deux bras et mains, la fleur à la douceur soyeuse retourna sur les épaules de son amant, sur son torse puis sur ses mamelons qui se durcissaient de désir. Après chaque caresse de la corolle écarlate, Harry remplaçait la rose par sa propre langue, avide de toucher, de goûter. Severus savait donc que son jeune amour allait lécher et mordiller ses mamelons sensibles ce qui le fit gémir plus bruyamment. Severus retint sa respiration lorsqu'il vit son amant pencher la tête, la rose temporairement abandonnée.
Severus ne pût s'empêcher de crier au contact des lèvres chaudes et de la langue de Harry qui lui torturaient talentueusement les mamelons. C'était si bon. Cela le rendait complètement fou, le faisant haleter toujours plus bruyamment de désir. Il l'avait attendu si longtemps.
Harry redressa sa tête légèrement et plongea ses yeux verts intensément sombres, profondément dans les prunelles d'ébène de son amant. Il lui sourit avec séduction. Severus lui rendit son sourire et murmura, « Cette fois, c'est à ton tour d'être le professeur alors enseigne-moi tout ce que tu sais. Je serais un élève très appliqué qui a besoin de beaucoup de pratique. »
Harry éclata de rire et lui répondit très lentement, « D'accord. Mais souvenez-vous que vous devez réviser vos leçons encore et encore pour être bien préparé à l'examen final et que les retenues ne seront pas exclues monsieur Sexy Snape. »
« J'essayerais d'apprendre autant que je pourrais pour votre plus grande satisfaction Professeur Dieu du Sexe Potter. »
« Oh mais je l'espère bien, » répliqua Harry avant de lécher les lèvres de Severus, lui demandant asile. Ils s'embrassèrent passionnément, amoureusement. Ils se dévoraient littéralement de baisers avec une violence mais une tendresse paradoxales.
Harry brisa le contact de leur bouche pour aller mordiller le cou de Severus puis un de ses lobes. Il lui murmura, « La rose commence à être jalouse. Elle n'a pas exploré ton corps voluptueux entièrement. Ton ventre et ton nombril par exemple. »
« Mmmm, je préfère lorsque c'est ta langue qui m'explore Harry. »
« Non, non, Sexy Sev, tu en avais envie alors tu l'as. N'oublies pas que c'est moi le professeur, » lui dit Harry, faussement réprobateur. Puis, il ajouta en souriant. « Et tu as le droit à une retenue pour ton insolence. »
Severus éclata de rire et lui donna une gentille tape sur les fesses.
« Et une autre pour ne pas respecter votre enseignant. Ai-je à vous rappeler encore une fois que ma position ici est plus en hauteur que la vôtre. »
Severus éclata à nouveau d'un rire qui s'évanouit bien vite lorsqu'il sentit la caresse légère mais ardente d'une rose glisser lentement sur ses testicules. Il gémit et entendit son compagnon murmurer, « Comme cela oui… Oh quel studieux garçon. »
La corolle rouge erra tout le long de son sexe érigé et en taquina sa tête humide.
« Harry, » l'appela Severus en un souffle. Ses poings étaient serrés sur les draps de soie bleus nuit et ses hanches s'élevaient et s'abaissaient dans un rythme érotiquement lent qui s'accrût lorsqu'il se rappela qu'après la caresse de la rose, il avait droit à la caresse des lèvres. Les lèvres de Harry, la langue de Harry, la chaleur de Harry enveloppant sa chair intime. Des petits cris étouffés s'échappaient de sa bouche et il releva la tête pour voir que son amant abaissait déjà la sienne.
Harry laissa sa langue courir sur chaque millimètre de cette chair brûlante et gonflée. De son bout, coulait déjà quelques gouttes d'un blanc nacré qu'il s'empressa de venir goûter. Il plaça ensuite ses lèvres autour de cette tête pourpre et onctueuse pour la sucer et la lécher très lentement.
Le plaisir était si intense que Severus en avait les larmes aux yeux. Il regardait son membre tendu et douloureux disparaître profondément dans la bouche de son amant et les sensations que cela lui procurait ajouté à cette image sensuelle étaient terriblement excitantes.
« Harry, Harry, s'il te plaît, je veux te prendre... maintenant... Je ne peux plus attendre plus longtemps... Je ne peux plus. »
Le jeune sorcier libéra le sexe de son amant et revint à la hauteur des lèvres de l'homme pour les lui prendre. Ce dernier roula sur lui-même de façon à être au-dessus de Harry, s'arracha à son baiser et prit la petite bouteille d'huile dont il s'enduisit impatiemment les doigts.
« C'est moi le professeur maintenant » sourit Severus diaboliquement.
« N'oubliez tout de même pas vos deux retenues, monsieur Sexy Snape » le taquina Harry avec un sourire.
« Je ne vais pas oublier et tu vas en avoir une aussi si tu continues de parler tandis que je te caresse de mes doigts. »
« Mais tu n'as pas encore… oooooooohhhh…mmmmmm. »
Severus taquina doucement l'entrée de chair tendre qui l'attendait et glissa un doigt délicieusement chaud en lui, détendant les muscles de Harry. Il en ajouta un autre avec hardiesse, entamant un rythme légèrement plus soutenu et en amorçant un mouvement en ciseau. Harry était si impatient et répondait à ses attouchements avec tant de passion que Severus en ajouta un troisième promptement.
Tout en gémissant bruyamment, le jeune homme le supplia pour avoir davantage, « Je t'en prie Severus. Te veux, te veux, te veux maintenant ! Prend-moi, aime-moi. Je suis tien. »
Nageant dans un océan de pur bonheur, Severus ôta ses doigts du fourreau de chair chaude et humide qui l'avait accueilli et, d'une douce poussée, il les remplaça par son sexe dur et enflé. Il stoppa nette ses mouvements lorsqu'il fût totalement enfouit en Harry qui se tordait sous lui, lui enflammant le sang. Ils haletaient lourdement tous les deux et les yeux émeraudes du jeune homme suppliait son amant de le prendre encore et encore. Il le fit donc. Ses premiers mouvements furent lents et langoureux et ils ne pouvaient s'empêcher de gémir, soupirer et crier leur plaisir.
« Je t'aime Harry » murmura l'homme.
« Je t'aime aussi Sev… Mon Severus… » haleta le jeune Gryffondor tout en léchant ses lèvres sèches. Il ondula des hanches plus rapidement et Severus suivit son rythme, les mains crispées sur le bassin de son amant.
Ils se regardaient, chacun détaillant les moindres signes du plaisir de l'autre, de leur amour, de leur bonheur, voyant encore la réflexion de leur propre désir dans leurs yeux. C'était magnifique.
Harry n'avait jamais ressenti ces sentiments ou émotions auparavant. Pas plus que Severus et ils savaient maintenant qu'ils étaient chacun une partie l'un de l'autre. Cela avait toujours été et cela le serait toujours et à jamais.
« Plus vite Sev, plus fort… mmmm. »
Severus donnait des coups de rien de plus en plus ardents, faisant sauter et s'arquer le corps de son amant qui ondulait frénétiquement du bassin.
« Oh oui… oui… mon amour, plus fort. Je t'en prie, plus fort. »
Leur rythme s'accrût de nouveau et ils se mirent à crier leur passion plus violemment. Severus allait et venait, se retirait un peu pour reprendre plus profondément. Encore et encore. Toujours plus vite, toujours plus loin.
« Ne t'arrêtes pas, ne t'arrêtes pas… Jamais. »
L'homme n'avait pas la moindre intention de s'arrêter, au contraire, il bougeait encore plus vite. Il arriva rapidement à un point où il ne pouvait pas bouger plus ardemment et le corps de Harry faisait de violents bonds sur les draps de soies.
« Oh oui… Oui ! » cria Harry en sentant une main s'envelopper autour de son membre dur et vibrant, le caressant passionnément.
Harry ne pût tenir plus longtemps et il sentit une vague de plaisir brûlant l'envahir tout entier et lui dévaster les sens.
Severus sentit son amant se raidir et contempla la vision délicieuse des yeux de Harry s'obscurcirent d'extase et qui s'offrait devant lui. Il sourit tandis que des larmes coulaient le long de ses joues. Son corps se tendit à son tour et il jouit. Son esprit s'éleva alors vers les sommets divins tandis que son corps retombait sur le matelas aux côtés de Harry.
Toujours haletants, ils se sourirent et s'embrassèrent rapidement.
« Tu es mien Harry. »
« Et tu es mien Sevy. »
Souriant encore, ils se serrèrent davantage l'un contre l'autre, se tenant dans leurs bras aimants et se laissèrent aller dans ceux de Morphée.