Harry se réveilla dans les bras de son professeur et sourit paresseusement. Cette première fois avait été merveilleuse. Il avait délicieusement mal et se demanda brièvement et légèrement amusé s'il serait capable de monter son éclair de feu pour le prochain match qui aurait lieu dans trois jours.
« Bonjour » entendit Harry.
Le jeune homme redressa la tête qu'il avait posé sur le torse de son amant et rencontra une pair d'yeux noirs, brillants de bonheur. Il sourit plus largement et rectifia, « Bonne après-midi. »
Puis, il se remonta doucement le long du corps de l'homme et approcha son visage du sien pour capturer ses lèvres tendrement. Severus gémit et ouvrit la bouche pour laisser entrer la langue de son amour. Ils s'embrassèrent doucement, se révélant l'étendu de leur joie et de leur amour qu'ils éprouvés tous les deux l'un envers l'autre.
« T'aime » dit Harry lorsqu'ils se séparèrent.
« Je t'aime aussi » dit Severus avant de reprendre les lèvres de son étudiant.
« As-tu faim mon amour ? » demanda Severus. « Nous avons manqué le déjeuner. »
« Je sais. Heureusement que nous sommes samedi. Personne ne va remarquez que nous n'étions pas là. Mais pour répondre, oui, je meurs de faim. Par contre, avant d'aller manger, je veux prendre une douche. »
« Tout ce que tu voudras mon amour. »
« Sev, » dit Harry d'une voix traînante. « Je ne pense pas que j'arriverais à me laver tout seul. »
« Vraiment ? » demanda Severus, amusé.
« Oui. Tu vois, j'ai été attaqué par un maniaque du sexe ce matin et je n'arriverais donc jamais à me pencher pour me laver les pieds. »
Severus éclata de rire. « Oh je vois. C'es un cas d'extrême urgence, n'est-ce pas ? »
Harry acquiesça d'un signe de tête en le regardant avec des yeux de chien battu.
Severus rit encore, prit Harry dans ses bras, se leva et se dirigea, munie de son précieux fardeau, dans la salle de bain.
« Je ne peux pas refuser d'aider quelqu'un lorsque c'est si important, » sourit-il sarcastiquement. Puis, il ajouta, « C'est simplement dommage que tu ne puisses plus te pencher. J'avais pensé à un éventuel retour du maniaque du sexe. »
Harry gémit. « Oh je pense que j'arriverais à m'occuper du maniaque mais je ne crois pas que j'aurais suffisamment d'énergie pour me laver après ça, Sevy. »
« Je vois. Peut-être devrais-je te préparer une potion énergisante. »
Harry éclata de rire et ajouta, « Oui, ce soir… et tu en prendras toi aussi. »
Severus déposa Harry dans le bac de douche et y entra à son tour en refermant la porte de verre. Il tourna le bouton d'eau chaude puis celui d'eau froide et la régla à bonne température.
« Pour ce soir et à partir de maintenant Harry, nous devons être discrets. Nous ne l'avons pas été ce matin (Severus rougit légèrement) et quelqu'un – Dumbledore ou tes amis peut-être – pourrait savoir ou comprendre. Il faut donc que nous montions un plan pour pouvoir nous voir le plus discrètement possible. »
« Ron et Hermione sont encore à l'infirmerie. Ils vont la quitter plus tard dans l'après-midi et vont passer leur soirée à Pré-au-lard ensemble. Ensuite, ils vont sûrement être encore tous les deux dans les bras l'un de l'autres donc ce n'est pas un problème pour nous. Si je ferme les tentures de mon lit, Ron va me croire endormi et ne verra pas que le lit est vide. Mais je ne pourrais pas dormir ici toute la nuit. Je devrais retourner dans ma Maison tôt dans la matinée. Et pour demain, il n'y a pas de problème non plus. Quant à lundi, comme nous avons cours de potions, je peux gagner une petite retenue. »
Severus sourit. « Brave garçon ».
Harry retint son souffle lorsqu'il sentit les mains élégantes et savonneuses de son amant glisser le long de sa peau imberbe et hâlée. Puis, il entendit l'homme murmurer, « J'ai toujours eu envie de te donner une douche… ou un bain. »
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Le week-end passa affreusement vite et Harry avait profiter de chaque instant qu'il avait de libre pour rejoindre Severus. Ils faisaient l'amour, discutaient de tout et de rien ou écoutaient simplement de la musique douce en étaient tendrement enlacés dans les bras l'un de l'autre.
A présent, ils étaient lundi et Harry, Ron, Hermione et Neville se hâtaient vers une des serres pour leur cours de Herbologie.
« Oh, Harry, » dit Ron soudainement très excité. « J'ai oublié de te dire. Nous avons tous reçu nos nouveaux balais pour le match de demain. Toi avec ton éclair de feu et nous avec nos Nimbus 2006, les Serpentards n'ont aucune chance de gagner contre nous. »
« C'est bizarre que tu n'ais pas pensé à me le dire avant » répliqua un Harry très stupéfait.
Ron rougit jusqu'à la racine des cheveux et jeta de petits coups d'oeil à Hermione qui était aussi rouge que son petit ami. Ron bégaya en chuchotant, « Je – Je – Tu vois, j'étais – occupé. Hermione et moi… »
Harry éclata de rire. « Oui, j'ai compris. Tu n'as pas besoin de te justifier. »
Ron et Hermione, encore écarlates, sourirent également, l'air penaud.
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Harry pouvait sentir des yeux sur lui, le fixer avec désir. Il commençait à s'y habituer peu à peu mais détestait toujours cette sensation, sauf lorsqu'il s'agissait des yeux de Severus.
Le jeune homme était toujours très étonné et perplexe de la puissance de cet amour qu'il ressentait pour son professeur mais cela lui semblait naturel, normal. C'était le destin et quelle merveilleuse destinée il pouvait entrevoir en compagnie de son amant ! Severus était l'homme dont Harry avait toujours rêvé, sans s'en rendre compte. Il sourit.
La matinée était presque terminée et le jeune Gryffondor n'avait pratiquement fait que fantasmer sur son maître des potions. Il secoua la tête et essaya de se concentrer sur son cours de métamorphose.
« Messieurs Finnegan et Thomas s'il vous plaît, » siffla le professeur McGonagall. « Si ce n'est pas trop vous demander, j'aimerais que vous arrêtiez de regarder Monsieur Potter et que vous écoutiez le cours. »
Harry soupira, rougit légèrement tandis que les deux garçons tournaient leur tête pour regarder leur professeur.
« Désolés professeur, » répliquèrent-ils. Cependant, deux minutes plus tard, leurs regards brûlants étaient de nouveau rivés sur le corps de leur ami aux cheveux noirs corbeau.
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A midi, le trio marchait vers la Grande Salle pour aller déjeuner lorsqu'un hibou laissa tomber un petit paquet plat dans les mains de Harry.
Le jeune homme avala sa salive en fixant le cadeau anonyme, sans tenter de l'ouvrir. Il resta immobile. Il se souvenait trop bien de son dernier présent. Il avait feuilleté Le Kama Sutra Sorcier et avait lu quelques passages. C'était un livre vraiment intéressant et lorsqu'il regardait les pages, il ne pensait pas du tout à Draco, mais à Sev… dans certaines positions.
Mais à présent, il savait que ce n'était pas un livre et il était terrifié d'en ôter l'emballage. Il avait appris à être méfiant. Cependant, il déchira tout de même le papier et se retrouva en train de fixer quelques photos.
« Ooooooohhhhhh, mon dieuuuuuuuuuuuuuu. C'est horrible ! » s'écria Ron, brusquement très pâle et horrifié.
« Je ne veux pas voir ça Harry ! » cria Hermione, dégoûtée.
« Moi non plus » répliqua le jeune brun dont les pauvres yeux étaient désormais traumatisés.
« Aaaaaaaaaaahhhhh, brûle-les » dit le Gryffondor aux cheveux roux.
« Incendio ! » cria Harry qui venait de jeter les clichés sur le sol de pierre.
Les flammes commencèrent à lécher les visages de Crabbe et de Goyle tandis que leurs corps nus et en particulier leurs fesses se mouvaient frénétiquement pour Harry. Ils avaient été photographiés dans différentes positions qu'ils pensaient être excitantes comme debout en train de mordre leur majeur, cachant leur sexe derrière une peluche (un cochon de couleur violette pour Crabbe et une limace rose pour Goyle) ou à genoux, habillés d'un pyjama entrouvert qu'il pensait être des plus sexy, et chaussons en forme de lapin aux pieds. Ou encore un Goyle vêtu d'un string rouge à pompon or et un Crabbe portant des porte-jarretelles vert, un boa en plume drapé autour du cou.
Quand il n'y eût plus aucune trace de ces clichés flambants sur le sol, Harry secoua sa tête violemment pour essayer de faire fuir pour toujours les horribles images qu'il venait de voir. Ensuite, ils reprirent leur marche, se dirigeant de nouveau vers la Grande Salle mais ils avaient perdu leur appétit. Même Ron.
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'Cours de potion, Cours de potion' Harry n'arrêtait pas de se répéter avec excitation alors que ses amis et lui marchaient dans le couloir des cachots en se dirigeant vers la classe.
La cloche sonna et la porte de la classe s'ouvrit. Lorsque Harry entra dans la pièce et passa devant son professeur, ils se regardèrent intensément dans les yeux pendant une fraction de seconde. Ils pensaient tous deux à la même chose. Harry se dirigea vers sa place habituelle et s'y assit. Il pourrait enfin être en compagnie de son amant pendant deux heures et le regarder.
La préparation du jour était la potion énergisante. Harry sourit lorsqu'il vit la recette inscrite au tableau. Il était le seul à savoir pourquoi cette potion et pas une autre. Il préparait sa potion avec beaucoup de soin et arrivait à se concentrer sur ses gestes sauf lorsque Severus s'approchait de trop.
« Oups ! » s'exclama Harry lorsqu'il fit tomber son petit flacon rempli d'essence d'Iris et que celui-ci se brisa sur le sol. Il arriva à contrôler le sourire qui commençait à naître sur ses lèvres. Immédiatement après l'incident, son corps se mit à battre à tout rompre lorsqu'il entendit la voix glacée de son maître des potions résonner dans la pièce comme il s'y était attendu.
« Potter, » siffla l'homme. « Votre maladresse justifie une retenue. Ce soir à huit heures. »
Severus ne pût empêcher un rire diabolique débordant d'anticipation de franchir ses lèvres pendant quelques secondes.
Harry pencha sa tête vers sa potion en faisant semblant de se concentrer dessus tandis qu'il souriait. Il voulait une retenue avec Snape. C'était la première fois, pensa-t-il joyeusement.
« Ce sadique pauvre type, le sale bâtard, » insulta Ron dans un souffle. « Tout ce qu'il veut, c'est te coincer dans un coin sombre et te violer. »
Oh oui, Harry en avait aussi envie mais il savait qu'il devait rassurer son ami.
« Ne t'inquiètes pas Ron… Snape a peur de perdre son travail. J'arrive donc à le garder à distance. »
Le rouquin acquiesça d'un signe de tête et Harry ajouta dans sa tête. 'Juste pendant une seconde et après il me fait l'amour comme un affamé.' Il sourit avec bonheur.
Severus faisait le tour de la classe pour inspecter les préparations de ses élèves. Et chaque fois qu'il passait derrière Harry – ce qui était beaucoup plus fréquent qu'auparavant – le jeune homme sentait son cœur battre plus vite et entendait son amant inspirer profondément pour, il le savait, essayer de capter son parfum.
Lorsque la cloche sonna pour la fin du cours, Severus siffla, « Potter, restez ici. Je dois vous expliquer les conditions de votre retenue. »
« Sale bâtard » murmura Ron. « On t'attend dehors Harry. »
« Non » répliqua Harry. « Sinon, vous allez être en retard aussi au cours de Flitwick et il va nous prendre encore plus de points. Snape ne va pas m'attaquer, ne t'inquiètes pas. Allez-y. »
Hermione et Ron le regardèrent avec une hésitation angoissée puis acquiescèrent et sortirent de la pièce.
Lorsque la salle fût enfin vidée de tous les autres élèves, Harry sourit joyeusement en se tournant vers son amant et couru pour se jeter dans ses bras. Ils s'embrassèrent passionnément.
« J'ai eu envie de faire cela toute la journée et j'ai rêvé de toi fantasmant sur moi pendant ces deux heures que tu viens de passer ici. »
Harry éclata d'un rire séducteur et taquina son amour, « Une retenue Professeur Snape ? Mais je pensais c'était moi qui vous en avais donné deux pour insolence et non respect de votre enseignant la nuit dernière ! »
Severus sourit et, pour toute réponse, embrassa le front de son jeune amant. Ses yeux sombres plongèrent dans ceux de jade du jeune homme et mémorisa chacun de ses traits qu'il trouvait d'une beauté sans pareille, les gravant à jamais dans sa mémoire. Sa respiration se fit brusquement des plus pénibles.
« Mmmmmm. Fais-le encore » gémit Severus.
« Quoi ? » demanda Harry, perplexe et stupéfait.
« Lécher tes lèvres comme tu viens de le faire. Ca me donne une érection à chaque fois que je te vois le faire. »
Harry fixait son amant avec des yeux ronds. C'était un geste naturel pour lui, sans intention de provoquer le désir.
« Comme cela ? » La langue du jeune homme pointa entre ses lèvres et il la fit lentement glisser sur celle inférieure.
« Mmmm, oui. J'adore ça. C'est comme si tu étais en train d'essayer de te goûter toi-même, voulant capter ta saveur onctueuse. Tes lèvres sont si naturellement pleines, comme si quelqu'un – moi – les avaient dévoré fiévreusement de baisers, laissant cette chair tendre gonflée et humide. C'est tellement excitant. Et tu es tellement doué avec ta langue Harry. Cette pensée seule suffit à m'enflammer et à me rendre si dur… Harry… A chaque fois. »
Harry sourit malicieusement. Il renversa légèrement sa tête en arrière et, en laissant ses yeux simplement entrouverts, il fit très lentement glisser sa langue sur sa lèvre supérieure d'un coin à l'autre. Puis, tout en gémissant faiblement, il la laissa caresser sa lèvre inférieure plus charnue jusqu'à la laisser rouge et humide.
Severus haletait maintenant si fort qu'il n'arrivait plus à contrôler sa respiration qui se faisait de plus en plus irrégulière. Hypnotisés, ses yeux noirs brillaient d'une intensité insoutenable et fixaient cette bouche saillante et appétissante avec voracité.
« Harry » grogna l'homme d'une voix rauque.
« Oui Severus ? » demanda Harry tout en élevant un de ses doigts à sa bouche pour le lécher. Il n'avait pas détaché un seul instant son regard de celui de son amant et pouvait voir toutes les émotions qui passaient sur le visage de l'homme qu'il aimait. Il lécha son index de sa base jusqu'à son bout très lentement puis le replongea, le faisant glisser entièrement entre ses lèvres brûlantes et sensuelles.
« Harry » murmura de nouveau son professeur. L'expression qui marquait son visage empourpré était presque désespérée. Il avait agrippé son érection trop vibrante qu'il pressait en essayant vainement de la rendre mon douloureuse. « Arrête de m'exciter. Nous ne pouvons pas le faire ici. Surtout maintenant. »
Mais Harry ne s'arrêta pas là. En gémissant encore, il glissait son doigt dans sa bouche puis le retirait. Allait et venait. Allait et venait tandis que ses yeux luisant le désir étaient fixés sur le membre visiblement gonflé de son professeur.
« Harry, nous ne pouvons pas. »
« Nous pouvons si nous le voulons et je le veux. »
« Je le veux aussi, » grogna Severus en poussant le jeune homme contre la porte. Il souleva sa propre robe, déboutonna son pantalon et fit de même pour Harry. Muni du flacon d'huile qu'il gardait toujours dans sa poche depuis quelques jours, il graissa son membre tendu et suréleva le corps de son amant. Il arqua correctement les hanches du jeune homme et d'une brusque poussée, l'empala avidement. Harry cria. Severus se figea.
« Harry ? » questionna l'homme avec inquiétude. « T'ai-je fait mal ? »
« Juste un tout petit peu, » répondit le Gryffondor. « Mais ça va maintenant. J'ai tellement envie de toi Sev. Prends-moi. Je t'en prie. Bouge en moi. »
Le jeune homme commença à mouvoir ses hanches de désir et Severus répondit instantanément à cet appel silencieux.
Pressé entre la porte de bois froide et le corps chaud de son amant, Harry ondulait du bassin aussi rapidement qu'il le pouvait. Ses gémissements de pur plaisir étaient étouffés par la bouche de l'homme qui l'a lui dévorait.
Comme ils ne pouvaient pas prendre tout leur temps, leur rythme était rapide, brusque, animal, délicieux.
Le sexe de Harry frottait contre le tissu rêche de la robe de Severus et contre son ventre dénudé. Cette caresse le rendait fou.
La porte vibrait avec violence, tressautant dans ses gonds à chaque assaut. Ils devraient remercier le charme de silence lancé, plus tard.
Des gouttelettes de sueur salées glissèrent le long de leur visage tandis qu'ils se tendaient sous la soudaine vague de plaisir brûlant qui les submergeait.
Haletants bruyamment, ils se laissèrent glisser le long de la porte jusqu'à terre. Harry lança un rapide sort de nettoyage pour sur eux et sourit à Severus qui lui retourna son sourire avec bonheur.
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Harry frappa à la porte du bureau de Snape et entra.
Il eût juste le temps de refermer la porte avant d'être ravi par deux bras musclés et sentir une bouche voler la sienne.
« Tu m'as manqu » grogna l'homme, entre deux baisers.
« Et tu m'as manqué aussi mon amour » répliqua le jeune homme tandis qu'il mordillait amoureusement les lèvres de son amant.
Severus était en train de déboutonner la robe de son étudiant lorsque celui-ci l'arrêta, « Attend Sev. Regarde-moi avant de continuer. »
L'homme aux cheveux noirs de jais releva la tête pour regarder son amant et vit que Harry souriait. Il le vit également lécher ses lèvres sensuellement.
La réaction de son professeur fût prompte. Il gémit de désir et sentit son érection vibrer de plus belle. Prisonnière de son pantalon, elle suppliait sa libération.
« Je n'aurais jamais dû te parler de ça. Maintenant, tu connais ma faiblesse. Tu es diabolique » souriait Severus.
Harry frotta son membre tendu contre celle de son amant et l'alluma un peu plus, « Dis-moi quelles sont tes autres faiblesses Sev. Aimes-tu les strip-teases ? »
Des flammes incendiaient de désir intense les yeux de l'homme tandis que Harry commençait à se déshabiller très lentement, en se caressant à chaque fois qu'une autre petite étendue de peau était révélée.
« Harry, tu as été créé pour l'amour, » dit Severus. « Et pour être aimé seulement par moi. Tu n'es pas ma faiblesse, tu es ma force. Je t'aime tellement. »
Harry rougit d'émotion et de bonheur. « Alors dis-moi ce que ta force peut faire pour t'exciter davantage. »
« Très bien Harry, je vais te dire ce que j'aime mais je peux te dire d'ores et déjà que ta présence seule arrive à m'exciter. »
Harry sourit. « Dis-moi tout ce que tu veux, tout ce que tu aimes et je les ferais pour toi »
Severus embrassa son amour et lui répondit, « Je vais te montrer. »
