¤La Nourrice¤
Il faisait sombre et très venteux. Nous pouvions entendre les branches taper à la fenêtre. Il est maintenant venu le temps de partir vers le tribunal, là où ma tante sera accusée de sorcellerie. Pourtant innocente, on la jugea ''coupable''. Les larmes qui effleuraient mes joues ne cessaient de tomber. On la prit donc de force, la ligota et l'emmena sur un bûcher. Et c'est par des cris étouffés qu'elle mourra brûlée.
Nous sommes maintenant en 1464, plus précisément dans un petit village de l'Europe de l'est. Mon nom est Marianne Beauchemain et j'ai 15 ans. Fille d'un marchand et d'une nourrice, mon plus grand rêve est de devenir princesse. Mais hélas, je ne peux point le réaliser à cause de mes ancêtres. Le 3 octobre de la même année, il faisait chaud et beau. Vêtu d'une robe et d'une veste grise, j'aidais ma mère à laver la maison. Et c'est à ce moment que j'entendis quelqu'un cogner à la porte. Ma mère, Lisanne, s'y précipitera rapidement. Ne me souciant point de ce qu'elles disaient, je continuai mon travail. Par la suite, elle vint me voir, l'air surexcitée. Elle m'annonça donc la bonne nouvelle :Nous avons besoin d'aide au travail. Je sus à l'instant même qu'elle me demandait de travailler avec elle et je dis ''oui'' sans hésiter. Et c'est là que tout commence...
Le lendemain matin, à l'aube du jour, ma mère vint me réveiller. Je pris donc mon petit déjeuner et me rendis au travail. À l'entrée du château, je pris une grande respiration et je fis les premiers pas. Lianne m'expliqua donc le travail à effectuer et je le fis sans l'aide de quiconque. Le soir venu, essoufflée de ma première journée de travail, je pris le bord de ma porte et me coucha sur mon lit. La fatigue prit donc le dessus et je m'endormis sur-le-champ. Plusieurs semaines passèrent et une catastrophe arriva.
Un bébé est porté disparu. Lorsque j'arriva pour me renseigner, une dame me regarda, l'air terrifiée. Essayant à tout pris de savoir pourquoi, elle poussa un cris de terreur, prit ses jambes à son cou et s'enfuie à toute vitesse. Surprise par cette réaction, je partis donc en direction de ma maison.
À l'intérieur, ma mère sanglotait dans le salon. Je pris donc place à ces côté et lui demanda ce qu'elle avait. Elle me regarda, avec un air méfiant, et m'annonça la mauvaise nouvelle. Je suis recherchée dans toute la ville à cause de la disparition du bébé. Bref, je suis accusée de sorcellerie. Au même moment, quelqu'un frappa à la porte. Je m'approche donc de celle-ci, avec un air terrifié, et j'ouvris. Des hommes, l'air menaçant, me fixaient droit dans les yeux. J'étais sûr qu'ils étaient pour m'emmener avec eux. Et j'avais raison. L'un d'eux saisit une corde, me ligota et m'enferma dans une cage. Ma mère, se débattant pour venir me chercher, criait de toute ses forces mais, sans succès. Jusqu'au moment où elle arrêta. La cage était vide. Mais où est Marianne?
Des semaines passèrent jusqu'au jour où on la retrouva. Ils décidèrent tous de la condamné, et cela sans procès. Décision prise, j'étais prête pour le bûcher. On me pris donc de force, me ligota contre un arbre et commencèrent à allumer le feu. Je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus penser. Tout ce que je ressentais c'était la douleur et la peur. Je versa donc une dernière larme, en regardant ma mère. Mon père, lui, pleurait à en faire couler toute les larmes de son corps. Et les derniers mots que j'entendit furent : « Je t'aime... »
Il faisait sombre et très venteux. Nous pouvions entendre les branches taper à la fenêtre. Il est maintenant venu le temps de partir vers le tribunal, là où ma tante sera accusée de sorcellerie. Pourtant innocente, on la jugea ''coupable''. Les larmes qui effleuraient mes joues ne cessaient de tomber. On la prit donc de force, la ligota et l'emmena sur un bûcher. Et c'est par des cris étouffés qu'elle mourra brûlée.
Nous sommes maintenant en 1464, plus précisément dans un petit village de l'Europe de l'est. Mon nom est Marianne Beauchemain et j'ai 15 ans. Fille d'un marchand et d'une nourrice, mon plus grand rêve est de devenir princesse. Mais hélas, je ne peux point le réaliser à cause de mes ancêtres. Le 3 octobre de la même année, il faisait chaud et beau. Vêtu d'une robe et d'une veste grise, j'aidais ma mère à laver la maison. Et c'est à ce moment que j'entendis quelqu'un cogner à la porte. Ma mère, Lisanne, s'y précipitera rapidement. Ne me souciant point de ce qu'elles disaient, je continuai mon travail. Par la suite, elle vint me voir, l'air surexcitée. Elle m'annonça donc la bonne nouvelle :Nous avons besoin d'aide au travail. Je sus à l'instant même qu'elle me demandait de travailler avec elle et je dis ''oui'' sans hésiter. Et c'est là que tout commence...
Le lendemain matin, à l'aube du jour, ma mère vint me réveiller. Je pris donc mon petit déjeuner et me rendis au travail. À l'entrée du château, je pris une grande respiration et je fis les premiers pas. Lianne m'expliqua donc le travail à effectuer et je le fis sans l'aide de quiconque. Le soir venu, essoufflée de ma première journée de travail, je pris le bord de ma porte et me coucha sur mon lit. La fatigue prit donc le dessus et je m'endormis sur-le-champ. Plusieurs semaines passèrent et une catastrophe arriva.
Un bébé est porté disparu. Lorsque j'arriva pour me renseigner, une dame me regarda, l'air terrifiée. Essayant à tout pris de savoir pourquoi, elle poussa un cris de terreur, prit ses jambes à son cou et s'enfuie à toute vitesse. Surprise par cette réaction, je partis donc en direction de ma maison.
À l'intérieur, ma mère sanglotait dans le salon. Je pris donc place à ces côté et lui demanda ce qu'elle avait. Elle me regarda, avec un air méfiant, et m'annonça la mauvaise nouvelle. Je suis recherchée dans toute la ville à cause de la disparition du bébé. Bref, je suis accusée de sorcellerie. Au même moment, quelqu'un frappa à la porte. Je m'approche donc de celle-ci, avec un air terrifié, et j'ouvris. Des hommes, l'air menaçant, me fixaient droit dans les yeux. J'étais sûr qu'ils étaient pour m'emmener avec eux. Et j'avais raison. L'un d'eux saisit une corde, me ligota et m'enferma dans une cage. Ma mère, se débattant pour venir me chercher, criait de toute ses forces mais, sans succès. Jusqu'au moment où elle arrêta. La cage était vide. Mais où est Marianne?
Des semaines passèrent jusqu'au jour où on la retrouva. Ils décidèrent tous de la condamné, et cela sans procès. Décision prise, j'étais prête pour le bûcher. On me pris donc de force, me ligota contre un arbre et commencèrent à allumer le feu. Je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus penser. Tout ce que je ressentais c'était la douleur et la peur. Je versa donc une dernière larme, en regardant ma mère. Mon père, lui, pleurait à en faire couler toute les larmes de son corps. Et les derniers mots que j'entendit furent : « Je t'aime... »
