23 octobre 2002 :
Ce qu'il c'est passé là-bas, il a fallu que je réfléchisse longtemps pour
me souvenir de ce qu'il avait dit. Ce « il » nous avait toutes données un
mal de tête atroce que nous avons pu savourer à notre réveil un peu
brumeux, il faut le souligner.
Enfin, voilà ce qu'il a dit, semblable pour chacune, énigmatique énigme :
Le temps de la paix est révolu,
Je suis le nouvel oracle
Vous êtes les nouvelles gardiennes
Les anciens ont échoués,
Que la Lune Sombre vienne en aide
A leurs âmes tourmentées
Car elles, elles les ont perdu,
les cinq clefs ...
La crevasse des deux mondes
les a avalées et vous,
vous devrez les récupérer.
Tous ceux qui errent ne sont pas perdus
Où le passe-muraille impose ses lois
Vous devrez faire régner la foi.
Tel est le chemin imposé aux gardiennes,
Gravissez-le, n'attendez pas que l'orage vous vienne ...
Vers les deux mondes
Les racines profondes ne seront pas
atteintes par le gel ...
Encore ces phrases ! Tous ceux qui errent ne sont pas perdus, les racines profondes ne seront pas atteintes par le gel. Est-ce vraiment nous les gardiennes des cinq clefs et qui sont les anciens, les anciennes gardiennes ? Dagga ? Et l'oracle ? Il a dit que c'était nous maintenant, Mme Rudolf avait raison, l'invocation avait fonctionné : nous sommes les gardiennes. Mais il va falloir trouver des réponses à toutes mes questions où est la crevasses des deux mondes ? Qu'est-ce c'est au juste ? C'est quoi le passe- muraille ? Ou plutôt c'est qui ? La lune sombre ? L'orage ? Vraiment l'Oracle avait parlé pour ne rien dire ! C'était comme croire à la vie de la poussière, qu'un coup de vent disperse loin, loin, là où j'aurai voulu être. Loin de tout cela. Ne pas être une gardienne, ni celle du temps, ni celle d'autre chose. N'être que moi. Rien que moi, ne pas avoir à penser, ne pas à avoir peur ...
25 octobre 2002 : Le lendemain, je ne suis pas allée au collège. Je n'avais pas envie. Je n'avais plus envie, plus envie de rien ... Bien sûr la principale a téléphoné à Maman et lui a tout dit, quelle balance ! Elle n'était pas contente du tout Maman, ça non ! Elle a dit que je tournait mal, qu'il fallait que je prenne au sérieux mes études, que je ne mette pas ma vie en l'air. Et puis elle s'est mise à sangloter, de grosses larmes chaudes d'une personne désespérée. Elle était là, toute rabougrie, recourbée dans son chagrin et moi en face d'elle, debout, bien droite, je regardais fixement. Je la regardais sans la voir avec cette impression de pouvoir traverser les choses d'un simple regard. Puis mes yeux ont commencés à me piquer et à se mouiller. Me faisait-elle pleurer aussi ? Non, ce n'était pas cela puisque désormais mes pupilles me brûlaient, je voyait flou ... J'ai frotté mes yeux avec mes poings fermés, et puis comme ça, ça c'est arrêté, tout est redevenu normal. Maman était toujours là mais je ne l'entendais plus pleurer. D'ailleurs tout était étrangement silencieux ! Je me suis approchée d'elle et j'ai posé ma main sur son épaule mais elle n'a pas réagi. « Maman ? » ai-je murmuré. Toujours rien. « Maman, qu'est-ce que tu as ? » Silence. Je regardais son visage, clair et immobile. Je vis quelque chose d'anormal : ses larmes avaient arrêtées de couler ! Elles restaient bloquées sur ses joues ! Que se passait-il ? « Maman répond ! Ce n'est pas drôle ! » Rien. Toujours rien. Le silence, rien que le silence, froid et protecteur qui vous enveloppe soudainement plus un gargouillis d'oiseaux au dehors, plus de ploc-ploc du robinet à la cuisine, plus de tic-tac de la grosse pendule, rien ... « Plus de tic-tac ? ? Comment ça ? » me suis-je demandé. Et puis j'ai compris, enfin je ne voulait pas y croire, c'était impossible, et pourtant ... Le temps pour Lou ? Je me suis approchée de la pendule, j'avais vu juste et cela me glaça d'effroi : la trotteuse n'avançait plus, je l'avais donc fait, c'était donc possible, Dagga avait-elle raison ? Non. Il fallait que je sorte cette idée saugrenue de ma tête. L'aiguille était sur 10 secondes. J'ai fermé le yeux et secoué la tête. 10 secondes. Flûte, ça ne bougeait toujours pas ! Qu'est- ce que j'avais fait ? Non ! Impossible ! 10 secondes ... Il fallait que cela reparte ! Cela ne pouvait pas s'arrêter ! Non ! Impossible ! Pourtant, il fallait s'en persuader ... 10 secondes ! Il fallait réparer les dégâts, colmater la brèche ... Alors j'ai fait ce qu'il m'a semblé bon de faire dans ce cas là, c'est venu d'instinct ... Je ne suis assise sur le sol et j'ai posé mes mains devant moi comme sur un mur imaginaire, face à mon visage. J'ai fermé les yeux et tout en moi s'est remis à bouillonner. Tu commences à l'explorer ce pouvoir ... tes yeux sont là pour t'aider mais il te faut ... LA CLEF ! ! ! « Aah ! » ai-je crier, retenant mon souffle. « encore la voix ... » ai-je dit plus bas. J'ai regardé la pendule. 15 secondes. 20 secondes. 25 ... ouf La clef ... a reprit la voix de l'Oracle. « Oui ... » La clef ... « Oui, oui, j'irais la chercher ... j'irais toutes les chercher ! Je le promet ... » - Lou ? Que fais-tu par terre ? - Rien Maman ... » Il ne valait mieux pas insister, je venait déjà de réussir à faire repartir le temps ! ! C'était déjà pas si mal. Et puis maintenant, il y a cette promesse, rechercher les clefs dans l'abîme des deux mondes. L'Oracle a mit des tas de choses dans ma tête, je sais désormais. L'abîme des deux mondes est un puits glacé sans fond, perdu dans une dimension où règne le chaos et la colère mais là-bas où elles ont été perdus le moindre bruit y résonne, lugubre, à l'infini. Là-bas le silence est votre ennemi, il se terre, chasseur à l'affût, prêt à engloutir sa proie. Seule une ombre pourrait le maîtriser, c'est ce qu'il redoutait, c'est ce qu'il s'est passé ...
28 octobre 2002 : Cher journal, nos pouvoirs se développent de jours en jours. Après l'incident de l'autre jour, je ne voulais plus me risquer à faire de la magie mais se sont les filles qui m'ont aidée. En fait on a toutes testées nos pouvoirs de nôtre côté. Maintenant, Alex réussi à allumer n'importe quoi comme une bougie ou un morceau de papier rien quand le touchant du doigt. Carmin crée des crevasses et des tourbillons de sable dans le jardin de ses parents. Lamie n'éprouve plus le besoin de respirer lorsqu'elle est sous l'eau dans sa baignoire. Le plus cool, c'est tout de même celui de Paige ! Elle c'est l'air qu'elle maîtrise et grâce à cela elle fait de la lévitation ! ! Moi, j'arrête le temps. Il me faut y penser très fort et ça marche, mais pas toujours. Mais quelque chose me dit que ce n'est pas suffisant. Il faut vraiment y croire. Parfois je me dit que c'est complètement dingue ! Que c'est rien qu'un cauchemar, que je vais me réveiller ... Et puis je me rends compte que je ne dort pas ... L'Oracle, il dit que je suis la plus forte des gardiennes. Moi je ne crois pas. Pourtant, il continu à fourrer des choses dans ma tête pour que je sache ce qu'il faut faire, ce que l'on doit faire ... Il m'a dit que l'ancienne gardienne du temps c'était Dagga avec 4 autres que je ne connaissais pas. Que c'était le passe-muraille qui les avaient détruites. J'ai demandé ce que c'était le passe-muraille et il a dit que c'était une ombre. Juste une ombre, sans apparence, sans visage. Un être du mal qui ne connaissait que le froid, la cruauté. Là-bas, il faisait régner la terreur. C'était lui qui avait jeté les clés dans la crevasse des deux mondes, c'était lui qui avait tué ma sœur ... je me souvenais. Je le détruirais. Moi même ! L'Oracle a dit que ce ne serai pas la peine. Que lorsque les clefs seront retrouvées, la lumière reviendra, que tout le monde sera ébloui et que les ombres qui sont nées, disparaîtront à jamais tant que la lumière brillera. Mais pour l'instant, elle restait éteinte et là-bas le mal progressait. Enfin, il a dit que lorsque nous serions prêtes, alors il viendrait nous chercher pour nous emmener là-bas, là-bas ...
30 octobre 2002 : L'oracle m'a dit que cela se passerait demain. Que demain serait l'équinoxe des ombres et de la lumière qu'il faudra que nous franchissions les barrières et explorions l'abîme ... Avec les filles on ne se sent pas prêtes, mais il y a quelque chose qui pourtant nous pousse, comme une réminiscence passée que l'on ne peut refouler. Quelque chose que l'on est obligé de porter, car c'est écrit, depuis toujours.
31 octobre 2002 : Cher journal, aujourd'hui c'est la fête des morts. Coïncidence ou machiavélique conspiration car c'est aussi l'équinoxe ! L'oracle nous a indiqué un portail pour passer dans l'autre monde. « Marchez toujours tout droit, arrêtez-vous à la digue sombre. Prenez garde au croque-mitaine ou bien le passe-muraille vous détruira et la lumière. » a-t-il dit. Sûrement pensait-il nous aider ...
Le temps de la paix est révolu,
Je suis le nouvel oracle
Vous êtes les nouvelles gardiennes
Les anciens ont échoués,
Que la Lune Sombre vienne en aide
A leurs âmes tourmentées
Car elles, elles les ont perdu,
les cinq clefs ...
La crevasse des deux mondes
les a avalées et vous,
vous devrez les récupérer.
Tous ceux qui errent ne sont pas perdus
Où le passe-muraille impose ses lois
Vous devrez faire régner la foi.
Tel est le chemin imposé aux gardiennes,
Gravissez-le, n'attendez pas que l'orage vous vienne ...
Vers les deux mondes
Les racines profondes ne seront pas
atteintes par le gel ...
Encore ces phrases ! Tous ceux qui errent ne sont pas perdus, les racines profondes ne seront pas atteintes par le gel. Est-ce vraiment nous les gardiennes des cinq clefs et qui sont les anciens, les anciennes gardiennes ? Dagga ? Et l'oracle ? Il a dit que c'était nous maintenant, Mme Rudolf avait raison, l'invocation avait fonctionné : nous sommes les gardiennes. Mais il va falloir trouver des réponses à toutes mes questions où est la crevasses des deux mondes ? Qu'est-ce c'est au juste ? C'est quoi le passe- muraille ? Ou plutôt c'est qui ? La lune sombre ? L'orage ? Vraiment l'Oracle avait parlé pour ne rien dire ! C'était comme croire à la vie de la poussière, qu'un coup de vent disperse loin, loin, là où j'aurai voulu être. Loin de tout cela. Ne pas être une gardienne, ni celle du temps, ni celle d'autre chose. N'être que moi. Rien que moi, ne pas avoir à penser, ne pas à avoir peur ...
25 octobre 2002 : Le lendemain, je ne suis pas allée au collège. Je n'avais pas envie. Je n'avais plus envie, plus envie de rien ... Bien sûr la principale a téléphoné à Maman et lui a tout dit, quelle balance ! Elle n'était pas contente du tout Maman, ça non ! Elle a dit que je tournait mal, qu'il fallait que je prenne au sérieux mes études, que je ne mette pas ma vie en l'air. Et puis elle s'est mise à sangloter, de grosses larmes chaudes d'une personne désespérée. Elle était là, toute rabougrie, recourbée dans son chagrin et moi en face d'elle, debout, bien droite, je regardais fixement. Je la regardais sans la voir avec cette impression de pouvoir traverser les choses d'un simple regard. Puis mes yeux ont commencés à me piquer et à se mouiller. Me faisait-elle pleurer aussi ? Non, ce n'était pas cela puisque désormais mes pupilles me brûlaient, je voyait flou ... J'ai frotté mes yeux avec mes poings fermés, et puis comme ça, ça c'est arrêté, tout est redevenu normal. Maman était toujours là mais je ne l'entendais plus pleurer. D'ailleurs tout était étrangement silencieux ! Je me suis approchée d'elle et j'ai posé ma main sur son épaule mais elle n'a pas réagi. « Maman ? » ai-je murmuré. Toujours rien. « Maman, qu'est-ce que tu as ? » Silence. Je regardais son visage, clair et immobile. Je vis quelque chose d'anormal : ses larmes avaient arrêtées de couler ! Elles restaient bloquées sur ses joues ! Que se passait-il ? « Maman répond ! Ce n'est pas drôle ! » Rien. Toujours rien. Le silence, rien que le silence, froid et protecteur qui vous enveloppe soudainement plus un gargouillis d'oiseaux au dehors, plus de ploc-ploc du robinet à la cuisine, plus de tic-tac de la grosse pendule, rien ... « Plus de tic-tac ? ? Comment ça ? » me suis-je demandé. Et puis j'ai compris, enfin je ne voulait pas y croire, c'était impossible, et pourtant ... Le temps pour Lou ? Je me suis approchée de la pendule, j'avais vu juste et cela me glaça d'effroi : la trotteuse n'avançait plus, je l'avais donc fait, c'était donc possible, Dagga avait-elle raison ? Non. Il fallait que je sorte cette idée saugrenue de ma tête. L'aiguille était sur 10 secondes. J'ai fermé le yeux et secoué la tête. 10 secondes. Flûte, ça ne bougeait toujours pas ! Qu'est- ce que j'avais fait ? Non ! Impossible ! 10 secondes ... Il fallait que cela reparte ! Cela ne pouvait pas s'arrêter ! Non ! Impossible ! Pourtant, il fallait s'en persuader ... 10 secondes ! Il fallait réparer les dégâts, colmater la brèche ... Alors j'ai fait ce qu'il m'a semblé bon de faire dans ce cas là, c'est venu d'instinct ... Je ne suis assise sur le sol et j'ai posé mes mains devant moi comme sur un mur imaginaire, face à mon visage. J'ai fermé les yeux et tout en moi s'est remis à bouillonner. Tu commences à l'explorer ce pouvoir ... tes yeux sont là pour t'aider mais il te faut ... LA CLEF ! ! ! « Aah ! » ai-je crier, retenant mon souffle. « encore la voix ... » ai-je dit plus bas. J'ai regardé la pendule. 15 secondes. 20 secondes. 25 ... ouf La clef ... a reprit la voix de l'Oracle. « Oui ... » La clef ... « Oui, oui, j'irais la chercher ... j'irais toutes les chercher ! Je le promet ... » - Lou ? Que fais-tu par terre ? - Rien Maman ... » Il ne valait mieux pas insister, je venait déjà de réussir à faire repartir le temps ! ! C'était déjà pas si mal. Et puis maintenant, il y a cette promesse, rechercher les clefs dans l'abîme des deux mondes. L'Oracle a mit des tas de choses dans ma tête, je sais désormais. L'abîme des deux mondes est un puits glacé sans fond, perdu dans une dimension où règne le chaos et la colère mais là-bas où elles ont été perdus le moindre bruit y résonne, lugubre, à l'infini. Là-bas le silence est votre ennemi, il se terre, chasseur à l'affût, prêt à engloutir sa proie. Seule une ombre pourrait le maîtriser, c'est ce qu'il redoutait, c'est ce qu'il s'est passé ...
28 octobre 2002 : Cher journal, nos pouvoirs se développent de jours en jours. Après l'incident de l'autre jour, je ne voulais plus me risquer à faire de la magie mais se sont les filles qui m'ont aidée. En fait on a toutes testées nos pouvoirs de nôtre côté. Maintenant, Alex réussi à allumer n'importe quoi comme une bougie ou un morceau de papier rien quand le touchant du doigt. Carmin crée des crevasses et des tourbillons de sable dans le jardin de ses parents. Lamie n'éprouve plus le besoin de respirer lorsqu'elle est sous l'eau dans sa baignoire. Le plus cool, c'est tout de même celui de Paige ! Elle c'est l'air qu'elle maîtrise et grâce à cela elle fait de la lévitation ! ! Moi, j'arrête le temps. Il me faut y penser très fort et ça marche, mais pas toujours. Mais quelque chose me dit que ce n'est pas suffisant. Il faut vraiment y croire. Parfois je me dit que c'est complètement dingue ! Que c'est rien qu'un cauchemar, que je vais me réveiller ... Et puis je me rends compte que je ne dort pas ... L'Oracle, il dit que je suis la plus forte des gardiennes. Moi je ne crois pas. Pourtant, il continu à fourrer des choses dans ma tête pour que je sache ce qu'il faut faire, ce que l'on doit faire ... Il m'a dit que l'ancienne gardienne du temps c'était Dagga avec 4 autres que je ne connaissais pas. Que c'était le passe-muraille qui les avaient détruites. J'ai demandé ce que c'était le passe-muraille et il a dit que c'était une ombre. Juste une ombre, sans apparence, sans visage. Un être du mal qui ne connaissait que le froid, la cruauté. Là-bas, il faisait régner la terreur. C'était lui qui avait jeté les clés dans la crevasse des deux mondes, c'était lui qui avait tué ma sœur ... je me souvenais. Je le détruirais. Moi même ! L'Oracle a dit que ce ne serai pas la peine. Que lorsque les clefs seront retrouvées, la lumière reviendra, que tout le monde sera ébloui et que les ombres qui sont nées, disparaîtront à jamais tant que la lumière brillera. Mais pour l'instant, elle restait éteinte et là-bas le mal progressait. Enfin, il a dit que lorsque nous serions prêtes, alors il viendrait nous chercher pour nous emmener là-bas, là-bas ...
30 octobre 2002 : L'oracle m'a dit que cela se passerait demain. Que demain serait l'équinoxe des ombres et de la lumière qu'il faudra que nous franchissions les barrières et explorions l'abîme ... Avec les filles on ne se sent pas prêtes, mais il y a quelque chose qui pourtant nous pousse, comme une réminiscence passée que l'on ne peut refouler. Quelque chose que l'on est obligé de porter, car c'est écrit, depuis toujours.
31 octobre 2002 : Cher journal, aujourd'hui c'est la fête des morts. Coïncidence ou machiavélique conspiration car c'est aussi l'équinoxe ! L'oracle nous a indiqué un portail pour passer dans l'autre monde. « Marchez toujours tout droit, arrêtez-vous à la digue sombre. Prenez garde au croque-mitaine ou bien le passe-muraille vous détruira et la lumière. » a-t-il dit. Sûrement pensait-il nous aider ...
