Partie 2 ( 2/2 )
Alliance Ultime : deuxième partie ( 2/2 )
Note : Salut ! Voici la seconde moitié de la deuxième partie. sinon, y aurait eu 70 pages de long ! lol Celle-ci est un peu plus courte, mais c'est la conclusion de la première moitié. Bonne lecture !
Opaline
Chapitre 7 : En terrain ennemi
Pendant ce temps, dans une pièce éclairée par des chandelles, deux garçons étaient assis et jouaient aux cartes. Ils étaient habillés de manière gothique et leurs cheveux noirs complétaient leur style. Soudain, une fille entra dans la salle, vêtue d'une robe violette et jaune.
Garçon #1 : Tiens, mais qui voilà ? Serait-ce Tiranya ?
Tiranya ( Elle s'assit et arrache le jeu de cartes des mains des autres ) : Il y a des choses que nous devons régler.
Garçon #2 : Et, quelles sont ces « choses » ?
Tiranya : Le Maître avait raison... Les ennemis approchent d'ici.
Tiranya passa la main dans ses courts cheveux bruns. Comme maquillage, elle avait les yeux ombrés de noir et les lèvres de la même couleur. ( Disons que c'est, dans cette pièce, leur couleur préférée à tous, c'est le noir ! lol ) Le deuxième garçon, prénommé Rivalen, fit mine de vouloir enlacer Tiranya. La fille le repoussa si brutalement que Rivalen se retrouva par terre.
Rivalen : Ouh la ! T'es de bien méchante humeur, Lady.
Tiranya : C'est de la faute de ces stupides élues. Je les hais. Il ne faut pas qu'elles renversent notre maître. Elles ont déjà vaincu la Nadralorez et la plus cruelle de nos Dravias.
Oléorgorn ( pose sa main sur l'épaule de Tiranya ) : Ça n'arrivera pas, Lady. Je vais envoyer Rivalen et il tentera des les éliminer.
Tiranya : Non, c'est une mauvaise idée. Rivalen est un espèce de mauviette. Il ne réussirait même pas à trouver un cheval dans une pièce rose fluo.
Rivalen : Hé ! Pour qui tu te prends ? ( Adouci ) Tu sais que t'es mignonne quand tu es enragée ?
Tiranya ( le pousse à nouveau ) : Je t'ai dit de la fermer.
Oléorgorn : Pourquoi es-tu si dure avec lui ?
Tiranya : Il m'ennuie.
Oléorgorn : Moi, je suis à ta disposition. ( Dans le creux de l'oreille ) Ce soir, ça te va ?
Tiranya et Oléorgorn se dévisagèrent avec passion. Rivalen frappa son poing sur la table mais les regards des deux autres ne se quittaient pas.
Rivalen : Il y a bien plus important que vos petits jeux.
Tiranya ( d'une voix mielleuse, endormie ) : Envoie Arrol et Misitcha. Dis- leur de repérer l'endroit où nos ennemis se cachent...Je me charge du reste.
Rivalen : Tiens, Lady Tiranya n'est plus en colère ? Je vais aller voir ces stupides hiboux et leur dire d'aller chercher ce qu'on leur demande. ( Entre ces dents ) Je vais te massacrer Oléorgorn, Tiranya sera à moi...
Oléorgorn : Qu'est-ce que tu as dit ?
Rivalen : Rien, rien du tout...
Frustré, Rivalen sortit de la salle, armé de son épée et d'un large gant de cuir. Il marcha dans les nombreux couloirs de la forteresse et se dirigea vers une tour. Rivalen monta les marches et entra en haut, dans une immense volière ronde ( comme dans Harry Potter ! ) où reposaient au moins 20 hiboux de toutes sortes sur des perchoirs. Il tendit son bras et deux volatiles quittèrent leur poste pour venir s'y percher. C'était deux chouettes ayant le don de la parole, l'une au plumage gris cendré et l'autre de couleur brun acajou.
Chouette grise : Salutations à vous, Rivalen. Quelle mission nous attend ?
Rivalen : Allez repérer les quatres combattants de la Cité des Exilés. Dès que leur position vous est connue, revenez à la forteresse.
Chouette brun acajou : C'est comme si c'était fait.
Les animaux à plumes quittèrent le bras de Rivalen et s'envolèrent par la grande fenêtre de la volière. Tandis que le jeune homme regardait partir les hiboux, Tiranya et Oléorgorn se dévoraient des yeux. Même si ils tentaient de se concentrer sur la classification de manuscrits divers, leurs regards se croisaient. Soudain Oléorgorn quitta son travail et se jeta sur Tiranya. Ils tombèrent sur le sol ensemble. Oléorgorn plaqua la jeune fille par terre.
Oléorgorn : Alors, Lady...
Tiranya ( rit ) : Que veux-tu chevalier ? Oserais-tu poser la main sur la fille de Liranya ?
Pour toute réponse, le jeune homme aux yeux bleus embrassa fougueusement Tiranya qui ne broncha pas. Leur étreinte semblait interminable. Soudain, la jeune fille renversa l'autre et c'est elle qui se retrouva sur le ventre du garçon.
Tiranya : Alors, tu oses...( Sourit méchamment ) J'aime ça.
Ils continuèrent de s'embrasser langoureusement jusqu'à l'étouffement. Pendant ce temps, sur la Route des Rosiers Noirs, le quatuor avait repris son chemin. Le soleil était doux et chaud. La forêt s'éclaircissait à mesure qu'ils progressaient.
Lingolas : On va bientôt quitter la forêt et le chemin.
Sakura : Où aboutirons-nous si il en est ainsi ?
Isilya : En terrain ennemi.
Lionel : Combien nous reste t-il de chemin à faire ?
Isilya : Plus beaucoup. Lorsque nous quitterons le boisé, nous serons arrivés dans la Plaine Ténébreuse. Là, il faudra redoubler de vigilance.
Lionel : La Forteresse d'Huorgorn...Elle se trouve là-bas ?
Lingolas : Oui. Dans moins d'une heure, on y sera.
Sakura : Quand on arrivera, on devra élaborer un plan. Si on veut trouver où il se cache, il faudra savoir quoi faire.
Isilya : Tu as raison, Sakura. Une fois dans la Plaine Ténébreuse, on se réfugiera dans un coin à l'abri des regards. Là, on pourra échafauder le plan.
Sakura : Et les esclaves ?
Lingolas : On va les libérer. Pendant ce temps, toi et Isilya agirez. L'Alliance devra s'opérer.
Lionel : A propos, pourquoi l'appelle t-on « l'Alliance Ultime » ?
Isilya : Les hommes et les elfes ont toujours vécu séparés les uns des autres. Lorsqu'ils on eu des rapports, c'était lors de guerres où l'on manquait d'alliés. Mais, maintenant, les hommes ont presque disparu d'Ilmen- Anor. Seul les armées d'Huorgorn, quelques rares seigneurs humains et des elfes habitent ce lieu. Depuis la Grande Guerre, le pays vit dans la crainte et la peur. Cette alliance est donc, une ultime retrouvaille entre les hommes et les elfes.
Sur ces mots, Sakura fouilla dans la poche de son manteau vert et en sortit une feuille de parchemin. Écrit à l'encre elfique, son contenu était un poème. Mais pas n'importe lequel...Un poème magique.
« Toi qui es venu des enfers, toi qui a semé la peur, prépares-toi à retourner dans ta demeure d'ailleurs.
Nous, élues pour te vaincre, élues pour t'éliminer
Sommes rendues à l'ultime alliance qui a pour but, te tuer
La crainte ne vivra plus en ce pays noble
Pour que plus jamais tu ne reviennes
Disparais et que l'on te ne revois plus jamais
Ainsi soit-il fait ! »
A peine eut-elle fini sa lecture qu'elle leva la tête. Le cœur rempli de désolation, elle regarda le lieu qui devait être l'hôte de l'Alliance Ultime. Le groupe avait quitté la forêt et, maintenant, c'était une immense plaine au ciel obscur qui s'étalait sous leurs yeux. On y observait trois tours noires et une immense ( quand je dis immense, c'est IMMENSE !!! lol ) forteresse qui aurait pu engloutir trois fois l'école de Sakura. Des armées de Dravios et de Dravias conduisaient et fouettaient des esclaves vêtus de haillons au loin. Sales et le visage triste, ils transportaient des pierres et construisaient, ce qui semblait être une tour. Sous les coups de fouet, ils gémissaient, et parfois de profondes égratignures sanglantes apparaissaient sur leurs dos maigres. Les yeux remplis de larmes, Sakura fixa ce désespoir et cette atmosphère macabre. Tous les autres avaient la même attitude. Ils étaient arrivés dans la partie noire d'Ilmen-Anor, là où le désastre sévissait encore.
Isilya : Quelle désolation...
Sakura : Je promets solennellement de faire arrêter tout cela, au risque d'y laisser ma vie. Je ne supporte pas cette vue de terreur et d'esclavagisme.
Lionel : Moi non plus.
Lingolas : Allons nous réfugier dans la cabane abandonnée qui se trouve près du boisé sombre, là-bas. La nuit, la Plaine n'est pas sûre. Des Dravios et des Dravias sortent de partout pour repérer des ennemis.
Le cœur en miettes, ils s'engagèrent dans un fossé poussiéreux. Après quelques minutes de marche, ils virent une vieille cabane en bois. L'endroit était presque désert. Seuls quelques canapés, une lampe à l'huile et une table complétaient l'endroit, recouverts de draps quelques peu déchirés. Ils enlevèrent les draps et la poussière. Sakura et Lionel s'assirent par terre tandis qu'Isilya allumait la lampe à l'huile grâce à ses pouvoirs magiques. Lingolas prépara le repas et donna un bol de soupe à chacun. Le silence était de rigueur. Le vent secouait par moments les planches de la cabane mais il faisait chaud et l'atmosphère était rassurante. La nuit allait être longue...
Voilà qui conclut cette deuxième partie d'Alliance Ultime. Vos commentaires sont les bienvenus à kinomoto.sakura5caramail.com J'avance très vite en matière de fan fics, comme vous le constatez, mais j'espère ne pas trop vous endormir avec mes Loooooongs textes ! lol
Bon, plus tout le monde !
Opaline
Note : Salut ! Voici la seconde moitié de la deuxième partie. sinon, y aurait eu 70 pages de long ! lol Celle-ci est un peu plus courte, mais c'est la conclusion de la première moitié. Bonne lecture !
Opaline
Chapitre 7 : En terrain ennemi
Pendant ce temps, dans une pièce éclairée par des chandelles, deux garçons étaient assis et jouaient aux cartes. Ils étaient habillés de manière gothique et leurs cheveux noirs complétaient leur style. Soudain, une fille entra dans la salle, vêtue d'une robe violette et jaune.
Garçon #1 : Tiens, mais qui voilà ? Serait-ce Tiranya ?
Tiranya ( Elle s'assit et arrache le jeu de cartes des mains des autres ) : Il y a des choses que nous devons régler.
Garçon #2 : Et, quelles sont ces « choses » ?
Tiranya : Le Maître avait raison... Les ennemis approchent d'ici.
Tiranya passa la main dans ses courts cheveux bruns. Comme maquillage, elle avait les yeux ombrés de noir et les lèvres de la même couleur. ( Disons que c'est, dans cette pièce, leur couleur préférée à tous, c'est le noir ! lol ) Le deuxième garçon, prénommé Rivalen, fit mine de vouloir enlacer Tiranya. La fille le repoussa si brutalement que Rivalen se retrouva par terre.
Rivalen : Ouh la ! T'es de bien méchante humeur, Lady.
Tiranya : C'est de la faute de ces stupides élues. Je les hais. Il ne faut pas qu'elles renversent notre maître. Elles ont déjà vaincu la Nadralorez et la plus cruelle de nos Dravias.
Oléorgorn ( pose sa main sur l'épaule de Tiranya ) : Ça n'arrivera pas, Lady. Je vais envoyer Rivalen et il tentera des les éliminer.
Tiranya : Non, c'est une mauvaise idée. Rivalen est un espèce de mauviette. Il ne réussirait même pas à trouver un cheval dans une pièce rose fluo.
Rivalen : Hé ! Pour qui tu te prends ? ( Adouci ) Tu sais que t'es mignonne quand tu es enragée ?
Tiranya ( le pousse à nouveau ) : Je t'ai dit de la fermer.
Oléorgorn : Pourquoi es-tu si dure avec lui ?
Tiranya : Il m'ennuie.
Oléorgorn : Moi, je suis à ta disposition. ( Dans le creux de l'oreille ) Ce soir, ça te va ?
Tiranya et Oléorgorn se dévisagèrent avec passion. Rivalen frappa son poing sur la table mais les regards des deux autres ne se quittaient pas.
Rivalen : Il y a bien plus important que vos petits jeux.
Tiranya ( d'une voix mielleuse, endormie ) : Envoie Arrol et Misitcha. Dis- leur de repérer l'endroit où nos ennemis se cachent...Je me charge du reste.
Rivalen : Tiens, Lady Tiranya n'est plus en colère ? Je vais aller voir ces stupides hiboux et leur dire d'aller chercher ce qu'on leur demande. ( Entre ces dents ) Je vais te massacrer Oléorgorn, Tiranya sera à moi...
Oléorgorn : Qu'est-ce que tu as dit ?
Rivalen : Rien, rien du tout...
Frustré, Rivalen sortit de la salle, armé de son épée et d'un large gant de cuir. Il marcha dans les nombreux couloirs de la forteresse et se dirigea vers une tour. Rivalen monta les marches et entra en haut, dans une immense volière ronde ( comme dans Harry Potter ! ) où reposaient au moins 20 hiboux de toutes sortes sur des perchoirs. Il tendit son bras et deux volatiles quittèrent leur poste pour venir s'y percher. C'était deux chouettes ayant le don de la parole, l'une au plumage gris cendré et l'autre de couleur brun acajou.
Chouette grise : Salutations à vous, Rivalen. Quelle mission nous attend ?
Rivalen : Allez repérer les quatres combattants de la Cité des Exilés. Dès que leur position vous est connue, revenez à la forteresse.
Chouette brun acajou : C'est comme si c'était fait.
Les animaux à plumes quittèrent le bras de Rivalen et s'envolèrent par la grande fenêtre de la volière. Tandis que le jeune homme regardait partir les hiboux, Tiranya et Oléorgorn se dévoraient des yeux. Même si ils tentaient de se concentrer sur la classification de manuscrits divers, leurs regards se croisaient. Soudain Oléorgorn quitta son travail et se jeta sur Tiranya. Ils tombèrent sur le sol ensemble. Oléorgorn plaqua la jeune fille par terre.
Oléorgorn : Alors, Lady...
Tiranya ( rit ) : Que veux-tu chevalier ? Oserais-tu poser la main sur la fille de Liranya ?
Pour toute réponse, le jeune homme aux yeux bleus embrassa fougueusement Tiranya qui ne broncha pas. Leur étreinte semblait interminable. Soudain, la jeune fille renversa l'autre et c'est elle qui se retrouva sur le ventre du garçon.
Tiranya : Alors, tu oses...( Sourit méchamment ) J'aime ça.
Ils continuèrent de s'embrasser langoureusement jusqu'à l'étouffement. Pendant ce temps, sur la Route des Rosiers Noirs, le quatuor avait repris son chemin. Le soleil était doux et chaud. La forêt s'éclaircissait à mesure qu'ils progressaient.
Lingolas : On va bientôt quitter la forêt et le chemin.
Sakura : Où aboutirons-nous si il en est ainsi ?
Isilya : En terrain ennemi.
Lionel : Combien nous reste t-il de chemin à faire ?
Isilya : Plus beaucoup. Lorsque nous quitterons le boisé, nous serons arrivés dans la Plaine Ténébreuse. Là, il faudra redoubler de vigilance.
Lionel : La Forteresse d'Huorgorn...Elle se trouve là-bas ?
Lingolas : Oui. Dans moins d'une heure, on y sera.
Sakura : Quand on arrivera, on devra élaborer un plan. Si on veut trouver où il se cache, il faudra savoir quoi faire.
Isilya : Tu as raison, Sakura. Une fois dans la Plaine Ténébreuse, on se réfugiera dans un coin à l'abri des regards. Là, on pourra échafauder le plan.
Sakura : Et les esclaves ?
Lingolas : On va les libérer. Pendant ce temps, toi et Isilya agirez. L'Alliance devra s'opérer.
Lionel : A propos, pourquoi l'appelle t-on « l'Alliance Ultime » ?
Isilya : Les hommes et les elfes ont toujours vécu séparés les uns des autres. Lorsqu'ils on eu des rapports, c'était lors de guerres où l'on manquait d'alliés. Mais, maintenant, les hommes ont presque disparu d'Ilmen- Anor. Seul les armées d'Huorgorn, quelques rares seigneurs humains et des elfes habitent ce lieu. Depuis la Grande Guerre, le pays vit dans la crainte et la peur. Cette alliance est donc, une ultime retrouvaille entre les hommes et les elfes.
Sur ces mots, Sakura fouilla dans la poche de son manteau vert et en sortit une feuille de parchemin. Écrit à l'encre elfique, son contenu était un poème. Mais pas n'importe lequel...Un poème magique.
« Toi qui es venu des enfers, toi qui a semé la peur, prépares-toi à retourner dans ta demeure d'ailleurs.
Nous, élues pour te vaincre, élues pour t'éliminer
Sommes rendues à l'ultime alliance qui a pour but, te tuer
La crainte ne vivra plus en ce pays noble
Pour que plus jamais tu ne reviennes
Disparais et que l'on te ne revois plus jamais
Ainsi soit-il fait ! »
A peine eut-elle fini sa lecture qu'elle leva la tête. Le cœur rempli de désolation, elle regarda le lieu qui devait être l'hôte de l'Alliance Ultime. Le groupe avait quitté la forêt et, maintenant, c'était une immense plaine au ciel obscur qui s'étalait sous leurs yeux. On y observait trois tours noires et une immense ( quand je dis immense, c'est IMMENSE !!! lol ) forteresse qui aurait pu engloutir trois fois l'école de Sakura. Des armées de Dravios et de Dravias conduisaient et fouettaient des esclaves vêtus de haillons au loin. Sales et le visage triste, ils transportaient des pierres et construisaient, ce qui semblait être une tour. Sous les coups de fouet, ils gémissaient, et parfois de profondes égratignures sanglantes apparaissaient sur leurs dos maigres. Les yeux remplis de larmes, Sakura fixa ce désespoir et cette atmosphère macabre. Tous les autres avaient la même attitude. Ils étaient arrivés dans la partie noire d'Ilmen-Anor, là où le désastre sévissait encore.
Isilya : Quelle désolation...
Sakura : Je promets solennellement de faire arrêter tout cela, au risque d'y laisser ma vie. Je ne supporte pas cette vue de terreur et d'esclavagisme.
Lionel : Moi non plus.
Lingolas : Allons nous réfugier dans la cabane abandonnée qui se trouve près du boisé sombre, là-bas. La nuit, la Plaine n'est pas sûre. Des Dravios et des Dravias sortent de partout pour repérer des ennemis.
Le cœur en miettes, ils s'engagèrent dans un fossé poussiéreux. Après quelques minutes de marche, ils virent une vieille cabane en bois. L'endroit était presque désert. Seuls quelques canapés, une lampe à l'huile et une table complétaient l'endroit, recouverts de draps quelques peu déchirés. Ils enlevèrent les draps et la poussière. Sakura et Lionel s'assirent par terre tandis qu'Isilya allumait la lampe à l'huile grâce à ses pouvoirs magiques. Lingolas prépara le repas et donna un bol de soupe à chacun. Le silence était de rigueur. Le vent secouait par moments les planches de la cabane mais il faisait chaud et l'atmosphère était rassurante. La nuit allait être longue...
Voilà qui conclut cette deuxième partie d'Alliance Ultime. Vos commentaires sont les bienvenus à kinomoto.sakura5caramail.com J'avance très vite en matière de fan fics, comme vous le constatez, mais j'espère ne pas trop vous endormir avec mes Loooooongs textes ! lol
Bon, plus tout le monde !
Opaline