LA PENSINE

Disclaimer : Personnages, lieux etc… ne m'appartiennent pas. Ils sont tirés des livres merveilleux de J. K. Rowlings. Je ne touche rien pour cette histoire, juste le plaisir d'écrire et de faire plaisir aux autres.

Kikoo. Je poste aujourd'hui, exceptionnellement, le chap bien en avance parce que je n'ai rien à updater d'autre, à part Extrême Séduction peut-être et que j'aime bien vous donner un chapitre pour le week-end. Je voulais écrire Ce que veulent les hommes mais jeudi je n'ai pas écrit une seule ligne (me regardez pas comme ça… vi j'ai honte) et aujourd'hui, je n'étais pas chez moi donc po pu écrire non plus. Sauvegardez vos tomates je vous prie, vous pourrez les faire en salade. Donc voici le chap 2.

A/N CONCERNANT LA FIC : Certaines choses peuvent encore vous paraître confuses comme le temps. Je vous donne des explications plus loin dans le chap et aussi dans le chap 3 qui est déjà écrit mais je préfère éclairer un peu votre lanterne maintenant. Le temps pour Harry et pour Severus ne se passe pas du tout de la même manière donc ne vous étonnez pas de certaines paroles ou pensées venants des deux protagonistes.

Mikii : Merci Mikii. Tu sais, ça peut paraître débile mais j'ai moi-même pleuré en écrivant les scènes dont tu me parles. J'ai aussi pleuré pour le chapitre 3 et pourtant c'est moi qui écrit. Mais je ressens tout ce que ressentent les personnages dans les situations où je les place. Je suis trop grave. Lol.

Noa Black : Oui, tu as parfaitement compris. Tout le monde sorcier croit que Harry est mort mais il a été enfermé par Crabbe dans la pensine de Sev. Et pour la battue faible, nooon, ze veux pas l'être. Lol.

Onarluca : Mici miss. Moi aussi j'adore tes fics et je t'adore tout court.

Cybele Adam : Vi, tu as raison, je n'abandonnerai aucune de mes fics donc si j'en mets une de plus, c'est sûr que ce ne sera pas (ou peu j'espère) au détriment des autres. Et tu sais que ta question m'a fait réfléchir et j'ai vite conclu que non, ça ne m'est jamais arrivé de n'avoir qu'une seule histoire à la fois. Quand je suis arrivée sur fanfic, j'ai posté directement deux fics dont un slash, mon premier et qui était en Anglais. Mais c'est justement le fait d'en avoir plusieurs qui m'aident à les avancer… Je ne dois pas être comme tout le monde. Lol.

Anya et Xeres : Ah ! Je suis pivoine là. Mici, je suis très touchée par ce que tu as dit. J'écris très peu de fics tristes mais j'aime bien en faire de temps en temps. Surtout que là, le scénario met apparu très rapidement et il est complexe (malgré la courte durée de la fic : seulement 5 chapitres). Avec Sev et Harry, j'ai vraiment plein de projets en tête pour leur couple. Je suis vraiment inspirée mais je les aime bien aussi donc ça aide.

Garulfo : Je me doutais que le chapitre serait un peu dur à comprendre, surtout au début. J'ai essayé de donner des repères pour les lecteurs en alternant toujours le Harry/Sev/Harry/Sev puis les deux ensemble pour la scène finale du chapitre mais comme ils vivent dans un contexte différent ou, surtout, la notion spatio-temporelle est différente, c'était assez difficile de faire simple. Lol. En tout cas, je suis contente que mon premier chapitre t'ait plu.

Tiayel : De part nos échanges de mails, je doute que tu n'arrives pas à traumatiser tes persos comme tu dis parce qu'il y a un certain Draco qui est venu se plaindre à moi récemment. Il m'a dit que tu étais cruelle avec lui. Qui croire ? Lol.

Dega : Harry a bien été aspiré dans la pensine au château mais non, elle n'y est plus d'où l'inquiétude pour Sev. C'est vrai que pour l'instant, ce n'est pas gai mais ce sera gay plus tard.

Lola Reeds : Je suis contente d'avoir écrit cette fic mais il me reste encore les deux derniers chaps à écrire pour qu'elle soit finie et ça m'embête pour Ce que veulent les hommes. J'aimerais updater cette fic plus rapidement, d'autant plus que je suis presque à la fin. Heureusement que je sais ce qu'il va se passer. Ze vais essayer de me dépêcher et de la publier ce week-end.

Sasha Krum : Ce n'est pas grave si une review est courte et en une phrase, tu m'as dit ce que tu pensais et je suis contente que tu aimes.

Lapieuvredudésert : Un katana ? J'adore les katanas. Surtout que je reviens de la Foire de paris où j'en ai vu de magnifiques mais bien sûr, je suppose que ce n'était pas pour me le montrer que tu m'en parlais mais plus pour que je le teste. Mais quelle violence ! Lol.

Miya Black : Mici Miya. J'espère que tu aimeras la suite.

Hermichocos : Je pense que ce chapitre va tous vous surprendre et j'espère que vous aimerez tous. Comme tu vois, j'ai posté le chap 2 rapidement…Qu'est-ce qui te fait dire que j'ai écrit le 3 ? Moi qui l'est dit ? Ah oui… oups. Lol.

Crackos : Oui, je change un peu. J'aime bien écrire des histoires différentes et bien que je préfère l'humour, j'aime aussi lorsque c'est triste parce que je trouve que c'est beau… Enfin, ça dépend mais j'avais envie d'écrire autre chose donc voilà.

Je vous fais de très, très gros bisous.  

LA PENSINE Chapitre 2 : Viens dans mes rêves

« Bonjour Professeur » murmura Harry à l'homme qui venait s'asseoir dans l'herbe à côté de lui.

« Bonjour Harry » répondit Severus avec douceur.

« Je ne m'attendais pas à vous revoir si vite après… »

Le Gryffondor ne finit pas sa phrase mais il savait que son maître des potions avait parfaitement compris ce à quoi il faisait référence. Il avait pleuré la vieille, dans sa nuit et ne s'en était toujours pas remis. En ce couchant de nouveau ce soir, il avait profondément espéré revoir Harry dans ses rêves – même s'il savait que seule son imagination le créait il voulait le revoir encore et encore avant qu'il ne se donne la mort pour rejoindre son amour perdu.

Le jeune étudiant scrutait les yeux sombre de son enseignant et s'étonnait de ne pas voir de grosses cernes rouges et bouffies autour d'eux. Il avait pourtant éclaté en sanglot quelques minutes, peut-être, auparavant et aucun signe de son chagrin n'était visible sur son visage.

« Je ne peux pas rester loin de toi bien longtemps apparemment… » répondit l'homme.

Se méprenant sur le sens des paroles de son professeur, Harry interrogea « Pourquoi ? A cause du fait que je sois dans votre pensine ? »

Severus fronça les sourcils, totalement décontenancé puis un éclair de lumière passa dans ses yeux.

« Quoi ? Ma pensine ? »

« Oui » répondit le jeune homme d'un ton évident. « Comment ? Vous ne saviez pas que j'étais prisonnier de votre pensine ? »

« Prisonnier de ma pensine ?! Non, je ne le savais pas ! » rétorqua l'enseignant. « Nous croyions tous que tu étais mort ! »

« Mort ?! » répéta Harry en s'insurgeant légèrement. « Mais et mon corps ? Comment auriez-vous… ? »

« Le Seigneur des Ténèbres est bien mort sans que personne ne retrouve son corps. Nous savions qu'il était mort mais personne ne t'avait vu en sortir vivant. Nous avons donc pensé… comme nous ne te retrouvions plus que… »

« Oh mon dieu ! Non, ça ne s'est pas du tout passé comme ça. C'est Crabbe qui m'a enfermé dans votre pensine alors que j'étais malade. Je n'ai eu le temps de rien faire et l'incantation qu'il a utilisé m'était inconnue. Ensuite, je ne sais plus… Je pensais que quelqu'un pourrait me libérer… La pensine est toujours à Poudlard n'est-ce pas ? Crabbe s'est fait arrêter et la pensine a été récupéré, hein ? »

Harry était pétrifié de terreur maintenant. L'inquiétude menaçait de l'emporter et il s'était mis à trembler.

« Harry… Nous n'avons pas retrouvé Crabbe au château mais il a été retrouvé mort – apparemment un accident malheureux – à Douvres. Il n'a été fait mention d'aucune pensine dans ses affaires sinon le ministère l'aurait immédiatement perquisitionnée… »

« Oh Merlin » croassa le jeune homme d'une voix vacillante.

« Harry, je t'en prie, fais-moi confiance. Je te promets de la retrouver. Je te promets que je te ramènerai. »

Le Gryffondor leva des yeux humides vers son professeur et acquiesça. Il ne savait pas pourquoi celui-ci faisait tout cela pour lui mais il lui en était reconnaissant et avait toute confiance.

« Merci » souffla Harry en laissant libre cours à ses larmes qui furent immédiatement absorbées par le tissu de la  chemise de nuit que portait l'homme qui l'avait prit dans ses bras et le serrait en le berçant.

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Son rêve avait été plus vrai que la réalité ne lui paraissait désormais. Il s'en trouvait complètement stupéfait.

Il se souvenait de tout ce que le Harry de son rêve lui avait dit et il se désespéra de son état dégressif de sa raison. Etait-ce cela que l'on appelait dépression ? Etait-ce pour cela que son cerveau commençait à inventer des choses telles que celles qu'il avait imaginé cette nuit ?

Severus se leva de son lit et entreprit de chercher sa pensine dans le château. La tâche ne serait pas aisée due à sa nouvelle infirmité mais avec l'aide des quelques elfes de maison qui restaient encore et le fait que sa pensine ne devait sûrement pas être loin, il y arriverait et pourrait enfin mettre un terme à ses jours qui ne rimaient plus à rien depuis la mort de Harry.

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Harry était seul depuis seulement deux secondes à peine lui semblait-il que son maître des potions revint le voir.

« Re-bonjour Professeur. »

« Pourquoi re-bonjour Harry. Nous ne nous sommes pas vu depuis la veille. »

« Vous plaisantez Professeur. Vous venez de partir ! »

Severus écarquilla les yeux, réfléchit cinq secondes puis soupira.

C'est vrai ! Le monde dans une pensine était intemporel. Le gosse ne devait se rendre compte de rien du temps qui passait. Il côtoyait des souvenirs tellement disparates. Il n'y avait plus de notion de temps ni d'espace dans une pensine. En quelque sorte, tout n'était que virtuel.

« Re-bonjour alors Harry. Comment vas-tu… depuis tout à l'heure ? »

« Je vais bien. Je viens de voir un charmant souvenir de vous soignant un oiseau blessé et je dois dire que… Merlin, vous rougissez ? » s'étonna le jeune homme avant de sourire avec tendresse.

Pour ne pas l'embarrasser davantage, Harry changea de sujet « Et vous comment allez-vous ? »

« Je n'ai pas retrouvé ma pensine… »

« Ah ! » dit seulement le Gryffondor avant de baisser la tête.

« Mais je le ferai, sois-en sûr Harry. Jamais je ne te laisserai enfermé ici. »

Harry sourit et n'eût le temps de rien ajouter qu'il vit l'image de son professeur se troubler puis se faner encore une fois.

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Severus se réveilla en sursaut haletant.

Il n'avait pas rêv ?! Il en était presque certain. Il se leva brusquement, heurtant son genou dans sa table de nuit dans sa précipitation et appela un elfe de maison.

« Oui monsieur Snape, monsieur ? » demanda Dobby avec obligeance.

« Tu sais lire n'est-ce pas ? » lui demanda Severus avidement.

« Oui monsieur. »

« Bien ! Alors prend un des livres qui s'appelle 'Branches obscures de la magie noire et ses variantes' et énonce-moi tous les chapitres notés dans la table des matières. »

Il avait eu une révélation. Crabbe avait été un mangemort au service de Voldemort. Il connaissait quelques aspects de la magie noire, malgré son immense bêtise alors peut-être que… Oui, après tout…

Peut-être que ses rêves avec Harry n'en étaient pas…

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Il l'avait ! Il avait trouv !

Harry avait dit la vérité. Rien avait été imagin !

Son amour était toujours vivant et enfermé dans une pensine. Maintenant, il ne restait plus qu'à en informer les personnes de confiance et surtout à retrouver la pensine.

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De plus en plus fréquemment, Harry connaissait des vertiges lorsqu'un souvenir faisait place à un autre. Il ne savait pas pourquoi.

Haussant les épaules, il soupira et se remit debout la tête bourdonnante. Son malaise passa plus lentement que d'habitude mais il ne s'inquiéta pas. Tout allait et irait bien.

Avant qu'il puisse faire un pas dans l'herbe verte, il vit son professeur de potions se diriger vers lui en lui souriant. Harry lui rendit son attention et ils s'assirent l'un à côté de l'autre comme il le faisait souvent. Ils se parlaient toujours de tout et de rien, apprenant un peu plus l'un de l'autre à mesure que le temps passait. Ils étaient toujours heureux de se retrouver et Harry appréciait de plus en plus ces visites.

Cependant, il fût inquiet lorsqu'il vit le visage fatigué de Snape.

« Severus, tu as l'air exténué. »

L'homme sourit faiblement et murmura « Non, ce n'est rien. Cela peut arriver parfois. »

Harry lui posa une main compréhensive et compatissante sur le bras puis ils commencèrent à discuter et à plaisanter. Ils se baignèrent même dans le lac et jouèrent à s'éclabousser comme des enfants innocents qui n'avaient jamais fait l'expérience de la vie et de la mort. Insouciants.

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« A tout à l'heure Severus » sourit Harry joyeusement. « C'était génial. Il faudra recommencer plus souvent. »

L'homme sourit avec bonheur et embrassa le jeune homme qu'il aimait sur la joue en débordant légèrement sur la bouche et s'attardant plus qu'il était nécessaire.

« A tout à l'heure » répondit-il en pensant 'A demain mon amour' puis s'en fût.

Il se réveilla dans son lit vide et froid, espérant avidement retrouver bien vite le soir prochain un sommeil profond, attendant avec une hâte démente et désespérée ce que seule la nuit pouvait lui donner.

Il se leva pourtant. Il avait une mission à accomplir aujourd'hui et il fallait qu'il y aille. Peut-être alors pourrait-il avoir Harry avec lui le soir prochain, dans son lit, en chair et en os.

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Harry fût pris d'un nouveau vertige tenace et se plia en deux tout en entendant les cris de terreur et de douleurs que poussaient Severus qui se faisait encore battre par son père.

« Il te faut combien de potasse pour te laver les cheveux ? Ne comprends-tu pas que je ne trime pas toute la maudite journée pour ta sale tête !… »

Harry s'effondra à côté du corps recroquevillé et sanglant qui essayait vainement de se protéger contre des coups qui ne cessaient de tomber telle une pluie diluvienne pendant une mousson tropicale.

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Harry se réveilla près du lac et se frotta les yeux. Il ne savait pas combien de fois il s'était évanoui depuis la première fois mais il lui semblait que cela était répétitif depuis une journée tout au plus. Il espérait que cela n'engendrerait pas de troubles dans son corps une fois qu'il serait sortit de la pensine.

Il attendait impatiemment la venue de son maître des potions qu'il n'avait pas vu la veille du moins lui semblait-il. Il n'arrivait pas très bien à deviner le temps qu'il avait passé pour le moment dans les souvenirs de Snape mais il aurait dit en tout et pour tout trois jours à présent.

Il était profondément plongé dans ses pensées et ses interrogations lorsqu'il sentit que quelqu'un l'observait avec intensité. Il sortit de son questionnement intérieur pour tourner la tête vivement vers l'homme qui le regardait.

Oui, il avait bien senti que ce n'était pas Severus. Mais le jeune homme d'à peine trente ans qui le dévisageait avait l'air tout aussi avenant en le voyant que son enseignant l'était aux mêmes moments.

Il lui souriait avec bonheur et incrédulité comme s'il ne revenait pas d'être dans une pensine ou une autre pensée, Harry ne savait pas. L'homme avait de longs cheveux blonds clairs et ondulés noués en catogan souple sur la nuque. Il avait de beaux yeux d'un bleu éclatant et était plutôt agréable à regarder. Très grand, il semblait respirer la puissance et la fierté.

« Bonjour » dit-il d'une voix aimable en s'approchant de Harry.

« Bonjour » balbutia le Gryffondor avec une légère appréhension. « Qui êtes-vous ? »

« Je m'appelle Ian McGonagall… »

« McGonagall ? Vous êtes le petit-fils de Minerva McGonagall, professeur de métamorphose à Poudlard ? » s'étonna le jeune homme.

L'autre sourit et secoua la tête en répondant « Non, pas tout à fait. Disons que je suis un de ses descendants. »

« Ah ! » répondit Harry dont les yeux pétillaient de curiosité.

« Je suis très heureux en ce jour Harry Potter. Ma quête est enfin terminée. J'ai retrouvé la pensine dans laquelle vous étiez enfermé. »

Le Survivant sourit encore et lui dit « Tant mieux. Même si je ne suis resté que trois jours environ ici, j'ai hâte d'en sortir. Il y a des souvenirs qui ne sont pas très joyeux et je commençais à me poser des questions. Qu'y a-t-il ? » demanda brusquement Harry en voyant le regard stupéfait et légèrement horrifié puis inquiet et mal à l'aise de son protagoniste.

« Prenez ma main Harry. Moi seul peut vous libérer vu que je suis le premier à avoir découvert la pensine. »

Confiant, le jeune homme tendit sa main et se sentit basculer hors de sa prison argentée.

Lorsque ses pieds touchèrent le sol, il ne pût se maintenir debout et tomba sur le tapis brodé qui amortit sa chute.

« Que se passe-t-il ? » demanda-t-il d'un air interloqué en tentant de se relever. « J'ai l'impression d'avoir les jambes en coton. Ca ne m'a jamais fait ça avant même si je ne suis resté que peu de temps dans une pensine. »

Ian le releva vivement et l'assis sur une chaise puis, très mal à l'aise, se tordit les mains et répondit franchement « C'est peut-être parce que vous n'avez pas seulement passé trois jours dans cette pensine… »

Harry le regarda en fronçant les sourcils et demanda « Combien de temps y suis-je rest ? Quatre, cinq jours ? »

L'homme blond prit une profonde inspiration en regardant toujours son vis-à-vis avec compassion et répliqua « Ca va vous faire un choc ce que je vais vous dire l »

D'un regard, Ian lui demandait s'il était prêt à entendre la vérité. Harry déglutit péniblement, très inquiet et pâlit. Pourtant, il hocha la tête en signe d'affirmation et attendit.

« Il y a beaucoup d'arrière devant le nom petit-fils de votre ancien professeur de métamorphose Harry. »

Ce dernier écarquilla les yeux et en sentant ses entrailles fondre, demanda « Combien de temps ? »

L'Ecossais baissa les yeux un instant avant de les relever et de répondre avec douceur « Vous avez été enfermé dans cette pensine pendant cent cinquante ans. »

A suivre…