Auteur : c'est toujours moi, Hiril Ithilia
Disclaimer : oui oui je sais les personnages ne m'appartiennent pas... et je dois les rendre en bons états après (ça je peux pas le garantir...)
Genre : ben c'est dans la continuité de ce que j'ai écrit précédemment, donc même genre, même style
Mise en contexte : et bien c'est la fin des pensées de Faramir lors de sa chevauchée funeste, ce nouveau passage correspondant au moment où il tombe sur le front avant de se faire « ramasser » par son parents de Dol Amroth qui l'amènera mourrant dans la citadelle (tout le monde connais la suite après )
Hum que dire sinon... j'ai écrit se texte pendant les cours et notamment les maths donc excusez-moi si il y a quelques confusion, où passage lourd, faites moi signe si vous en trouvez je corrigerais tout ça (en maths évidemment)
Voila, voila ça arrive la suite mais avant tout je remercie tout ceux qui ont poster une petite review, ça ma fait beaucoup plaisir (rougie)
...........................................................................
Terre maudite, je suis là, abandonné sur tes rives meurtrières, entouré par un amas de cadavres sanglants, mes hommes, les seules personnes qui croyaient en moi, les seuls qui me portaient en estime...
Morts, tous sont morts par ma faute, massacrés sous mes ordres pour avoir cru en moi, pour m'avoir aimé... Oui père, il existe sur cette terre injuste des hommes qui m'ont aimé mais ce n'était pas leur amour que je voulais, c'était le tien, cette chose que tu as remplacé par la froideur de tes regards, par l'âpreté de tes paroles...
Mon ultime mission, ma dernière attaque a échoué, Osgiliath est tombée, et moi aussi.
Désolé Père, de ne pas avoir failli à ma réputation fidèle à moi- même, j'ai échoué. Tu penses que je suis bon à rien, en effet je le suis, et ces pensées négatives sont le facteur de ma mort. Ton attitude envers moi, ton indifférence à mon égard ont achevé mon faible esprit...Comprends tu cela Père ? Tu m'as tué chaque coup d'épées, chaque flèche qui ont meurtri mon corps étaient habités par ta haine, par ton mépris et ton dédain, chaque ennemi qui tombés sous ma lame avaient ton regard. Je t'ai tué tu m'as tué. Et ma perte te causera de grands torts, la maison des Intendants du Gondor se meurt, ta lignée s'éteint tu pleureras la mort de Boromir et tu maudiras mon nom.
Désolé Boromir, je ne suis pas toi, je ne suis rien, je n'ai pas réussi à me faire aimé de notre père comme toi de lui et j'ai perdu lamentablement les avants postes que tu avais si bien gagné.
Frère bien aimé, je suis désolé, je n'ai pu combler ton absence et maintenant je me meurs la Cité Blanche que tu aimais tant va tomber sous le joug de l'ennemi désolé mon frère, pardonne moi, j'ai échoué.
Je me sens las, mes forces me quittent, je me sens défaillir. Mandos a entendu mon appel, et les Valars me convient dans leur demeure éternelle. Je me sens calme, tous les tourments qui laceraient mon âme de leurs aspérités aiguisées, toute l'amertume du désespoir qui emplissait mon cœur, tous cela a disparu, je me sens léger, mes maux m'ont quitté... C'est étrange mais pour la première fois mon âme est sereine.
J'ai du mal à respirer...Mn souffle devient difficile...Je n'ai plus cette sensation de douleur qui déchirait mon corps sanguinolent et mon esprit meurtri...Je me meurs, oui je me meurs...Je pars rejoindre le panthéon de mes ancêtres...vers un lieu où peut-être...je trouverai la sérénité nécessaire...pour que mon âme repose en paix...Et l'ingratitude de cet homme ne me heurtera plus, je n'en souffrirai plus...Je retourne à la terre, à la source de toute chose...Je ne serais plus que cendres un simple néant...
Mes pensées se brouillent...J'ai du mal à réfléchir...Quel est cette lumière étincelante qui éblouit mon pâle regard ? Serait ce mon frère ? Mandos t'aurait il chargé de venir me chercher ? Oui Boromir, c'est bien toi...vêtu fièrement de ton armure...notre étendard à la main...Mon frère, mon cher frère...pardonnes mes faiblesses, pardonnes mon attitudes envers notre père...
Pardonne moi et emmène moi sur ton destrier vers les Cavernes de Mandos.
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Et voila c'est fini (tien la journée aussi, oh ! ça sonne dans 10 min lol !, j'ai pas suivi le cour) j'espère que ça vous a plus, et surtout n'oubliez pas, reviewer !!!!
Disclaimer : oui oui je sais les personnages ne m'appartiennent pas... et je dois les rendre en bons états après (ça je peux pas le garantir...)
Genre : ben c'est dans la continuité de ce que j'ai écrit précédemment, donc même genre, même style
Mise en contexte : et bien c'est la fin des pensées de Faramir lors de sa chevauchée funeste, ce nouveau passage correspondant au moment où il tombe sur le front avant de se faire « ramasser » par son parents de Dol Amroth qui l'amènera mourrant dans la citadelle (tout le monde connais la suite après )
Hum que dire sinon... j'ai écrit se texte pendant les cours et notamment les maths donc excusez-moi si il y a quelques confusion, où passage lourd, faites moi signe si vous en trouvez je corrigerais tout ça (en maths évidemment)
Voila, voila ça arrive la suite mais avant tout je remercie tout ceux qui ont poster une petite review, ça ma fait beaucoup plaisir (rougie)
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Terre maudite, je suis là, abandonné sur tes rives meurtrières, entouré par un amas de cadavres sanglants, mes hommes, les seules personnes qui croyaient en moi, les seuls qui me portaient en estime...
Morts, tous sont morts par ma faute, massacrés sous mes ordres pour avoir cru en moi, pour m'avoir aimé... Oui père, il existe sur cette terre injuste des hommes qui m'ont aimé mais ce n'était pas leur amour que je voulais, c'était le tien, cette chose que tu as remplacé par la froideur de tes regards, par l'âpreté de tes paroles...
Mon ultime mission, ma dernière attaque a échoué, Osgiliath est tombée, et moi aussi.
Désolé Père, de ne pas avoir failli à ma réputation fidèle à moi- même, j'ai échoué. Tu penses que je suis bon à rien, en effet je le suis, et ces pensées négatives sont le facteur de ma mort. Ton attitude envers moi, ton indifférence à mon égard ont achevé mon faible esprit...Comprends tu cela Père ? Tu m'as tué chaque coup d'épées, chaque flèche qui ont meurtri mon corps étaient habités par ta haine, par ton mépris et ton dédain, chaque ennemi qui tombés sous ma lame avaient ton regard. Je t'ai tué tu m'as tué. Et ma perte te causera de grands torts, la maison des Intendants du Gondor se meurt, ta lignée s'éteint tu pleureras la mort de Boromir et tu maudiras mon nom.
Désolé Boromir, je ne suis pas toi, je ne suis rien, je n'ai pas réussi à me faire aimé de notre père comme toi de lui et j'ai perdu lamentablement les avants postes que tu avais si bien gagné.
Frère bien aimé, je suis désolé, je n'ai pu combler ton absence et maintenant je me meurs la Cité Blanche que tu aimais tant va tomber sous le joug de l'ennemi désolé mon frère, pardonne moi, j'ai échoué.
Je me sens las, mes forces me quittent, je me sens défaillir. Mandos a entendu mon appel, et les Valars me convient dans leur demeure éternelle. Je me sens calme, tous les tourments qui laceraient mon âme de leurs aspérités aiguisées, toute l'amertume du désespoir qui emplissait mon cœur, tous cela a disparu, je me sens léger, mes maux m'ont quitté... C'est étrange mais pour la première fois mon âme est sereine.
J'ai du mal à respirer...Mn souffle devient difficile...Je n'ai plus cette sensation de douleur qui déchirait mon corps sanguinolent et mon esprit meurtri...Je me meurs, oui je me meurs...Je pars rejoindre le panthéon de mes ancêtres...vers un lieu où peut-être...je trouverai la sérénité nécessaire...pour que mon âme repose en paix...Et l'ingratitude de cet homme ne me heurtera plus, je n'en souffrirai plus...Je retourne à la terre, à la source de toute chose...Je ne serais plus que cendres un simple néant...
Mes pensées se brouillent...J'ai du mal à réfléchir...Quel est cette lumière étincelante qui éblouit mon pâle regard ? Serait ce mon frère ? Mandos t'aurait il chargé de venir me chercher ? Oui Boromir, c'est bien toi...vêtu fièrement de ton armure...notre étendard à la main...Mon frère, mon cher frère...pardonnes mes faiblesses, pardonnes mon attitudes envers notre père...
Pardonne moi et emmène moi sur ton destrier vers les Cavernes de Mandos.
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Et voila c'est fini (tien la journée aussi, oh ! ça sonne dans 10 min lol !, j'ai pas suivi le cour) j'espère que ça vous a plus, et surtout n'oubliez pas, reviewer !!!!
