SOUVENIR DE PARIS
Fudge est attablé à son bureau, il a l'air très absorbé, et plutôt hmmm... en colère.
Apparemment, il planche dur, en effet, il écrit d'arrache pied :
24 Juin 1995
Mauvaise journée, surtout maintenant que Dumbledore va s'acharner sur moi, c'est qu'il y tient
à ses 20 Bièraubeurre ! Et tout ça à cause d'un pari stupide, enfin, pas si stupide,
il y a quand même 61 galions à gagner...
Je n'aurais jamais dû me laisser emporter comme ça, et dire que c'est moi qui ai lancé ce pari :
"Je vous parie tout ce que vous voulez que Vous-savez-qui ne reviendra jamais, et qu'il a
disparu pour toujours" ... Non mais quel idiot j'ai fait, de toute façon, il ne les aura jamais,
ses 61 galions, il ne pourra jamais avoir de preuves... Ce n'est pas un fou frappant au hasard,
et les paroles d'un gamin qui vont me faire changer d'avis, non mais, et puis, pour qui se
prend t-il, celui-là, je suis quand même ministre de la magie !
Après cette scène, vous comprendrez peut-être mieux l'attitude et la politique menée par
Cornélius Fudge à la fin de l'année scolaire 1995.
----------
UNE BIEN TRISTE VICTOIRE.
Harry Potter était là, assis dans mon bureau à côté de son parrain Sirius Black et nous racontait
ce qui s'était passé après qu'il ait pris la coupe avec Cédric, coupe qui s'était finalement
révélée être un portoloin. Encore une initiative de Voldemort pour le tuer.
Soudain je suis de nouveau très attentif, Harry raconte que Voldemort a utilisé une très ancienne
magie pour retrouver son corps! Le sang de son ennemi! Je me levai brusquement. Il fallait que
je m'assure que c'était bien la vérité.
_Tends-moi ton bras, Harry, s'il te plaît.
Il obéit, me montrant la coupure que lui avait fait Queudver, Peter Pettigrow.
Harry continuait à parler mais je ne l'écoutais déjà plus. Alors c'était vrai. Voldemort avait
retrouvé son corps.
J'AVAIS GAGNE !! Je le savais! Je l'avais bien dit!
Hélas, Cornelius Fudge est un mauvais perdant. Il ne voudra jamais accepter sa défaite.
Je ne pense pas que 20 bièraubeurres et 61 gallions soient un prix trop exorbitants pourtant.
C'est sa terrible fierté qui le fera refuser la vérité.
Hélas, quelles vont être les conséquences pour le monde des sorciers, si le Ministre de la Magie
refuse de voir une vérité de telle conséquence!
Je retournai m'asseoir à mon bureau, avant de dire à Harry de continuer.
...
Harry se trouvait maintenant à l'infirmerie, tout à coup un violent vacarme de cris me rappela à
l'intérieur.
Il s'avéra que Cornelius Fudge avait fait embrasser Barty Croupton par un détraqueur.
_Et alors, ce n'est pas une grosse perte! répliqua Cornelius à Minerva.
_Mais maintenant, il ne peut plus témoigner, Cornelius. Dis-je alors.
Et ainsi, je ne peux pas prouver que Voldemort a bien retrouvé son corps: il n'y a plus que la
parole de Harry.
Mauvais perdant juqu'à tuer un homme, pire, pour ne pas avouer sa défaite. Je ne l'en aurais pas
cru capable.
_ Il ne pourra plus expliquer pourquoi il a tué tous ces gens.
Et Cornelius nie encore la vérité, dit que c'était parce que Croupton était un fou furieux.
_Lord Voldemort lui a bel et bien donné des ordres, Cornelius. La mort de ces gens n'a été
qu'un effet secondaire du plan qui visait à redonner à Voldemort toute sa force...
Jusque là, il semblait m'écouter et me croire.
_...Et ce plan a réussi. Voldemort a retrouvé son corps.
Cornelius donna l'impression d'avoir reçu un coup de poing en pleine figure.
Eh oui, Cornelius, j'ai gagné notre pari.
Il ne semblait pas vouloir le croire.
_ Vous-Savez-Qui...est revenu? balbutia-t-il, les yeux écarquillés. Ridicule. Allons, Dumbledore,
reprenez-vous...
Eh voilà. Jusqu'à la fin, il continua a nier. Et maintenant le camp des adversaires de Voldemort
est divisé en deux. A cause d'un fichu pari que j'avais fait il y a quelques années avec Cornelius
Fudge. Pari que je viens de gagner.
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SOUVENIRS, SOUVENIRS: LE PLUS JEUNE JOUEUR DU SIECLE (PRECEDENT)
Août 95 : Les temps sont durs, surtout pour Albus Dumbledore, assis, soucieux, à son bureau...
Le voilà qui se lève brusquement, se dirigeant résolument vers son armoire :
-J'ai besoin de me changer les idées.
Il sort sa baguette et fait léviter un récipient en pierre jusqu'à son bureau.
-Hhmmm, alors, voyons voyons... Je garde toujours un bon souvenir quelque part.
Le voila qui regarde dans sa pensine :
Voilà ce qu'on peut y voir : Dans les débuts du vingtième siècle :
un jeune sorcier arrive à Poudlard, dès les premiers jours, il s'était apparemment trouvé
très à l'aise dans le château : Mais l'équipe de Quidditch de sa maison à besoin d'un
nouveau gardien. Bon, d'accord, il a le physique parfait... mais il est trop jeune, pourtant
il ne rêve que de ça.
Le jour du choix arrive, bien sûr il se lève tôt pour y assister, il ne voudrait manquer ça
pour rien au monde.
Arrivé dans les gradins, il voit que pour l'instant, il n'y à qu'un élève : il est trop tôt.
Cependant, le professeur de vol s'avance vers lui :
-Dis-moi, ça te dirait de participer ?
-Oh oui, qu'est-ce que je peux faire ?
-Mais voyons, faire de ton mieux !
-Vous voulez dire, heu... vraiment participer ?
-Bien sûr ! Tu as l'air d'en avoir tellement envie.
-Ben oui, mais... je ne suis qu'en première année, et...
-Tut tut, ça ne veut rien dire, et bien, je crois avoir entendu dire que tu ne te débrouillais
pas mal dans l'équipe benjamine de Pré au lard, n'est-ce pas, Albus?
Le garçon rougit :
-Euh, je veux bien essayer...
-Non, fais-le ! Ou ne le fais pas, mais essayer ne veut rien dire.
-Très bien.
Et il attrapa le balais que lui tendait le professeur.
Deux heures plus tard, il était le plus jeune joueur de Poudlard...
-Ahh, c'était le bon temps, dit le directeur en se relevant, un sourire aux lèvres.
Fudge est attablé à son bureau, il a l'air très absorbé, et plutôt hmmm... en colère.
Apparemment, il planche dur, en effet, il écrit d'arrache pied :
24 Juin 1995
Mauvaise journée, surtout maintenant que Dumbledore va s'acharner sur moi, c'est qu'il y tient
à ses 20 Bièraubeurre ! Et tout ça à cause d'un pari stupide, enfin, pas si stupide,
il y a quand même 61 galions à gagner...
Je n'aurais jamais dû me laisser emporter comme ça, et dire que c'est moi qui ai lancé ce pari :
"Je vous parie tout ce que vous voulez que Vous-savez-qui ne reviendra jamais, et qu'il a
disparu pour toujours" ... Non mais quel idiot j'ai fait, de toute façon, il ne les aura jamais,
ses 61 galions, il ne pourra jamais avoir de preuves... Ce n'est pas un fou frappant au hasard,
et les paroles d'un gamin qui vont me faire changer d'avis, non mais, et puis, pour qui se
prend t-il, celui-là, je suis quand même ministre de la magie !
Après cette scène, vous comprendrez peut-être mieux l'attitude et la politique menée par
Cornélius Fudge à la fin de l'année scolaire 1995.
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UNE BIEN TRISTE VICTOIRE.
Harry Potter était là, assis dans mon bureau à côté de son parrain Sirius Black et nous racontait
ce qui s'était passé après qu'il ait pris la coupe avec Cédric, coupe qui s'était finalement
révélée être un portoloin. Encore une initiative de Voldemort pour le tuer.
Soudain je suis de nouveau très attentif, Harry raconte que Voldemort a utilisé une très ancienne
magie pour retrouver son corps! Le sang de son ennemi! Je me levai brusquement. Il fallait que
je m'assure que c'était bien la vérité.
_Tends-moi ton bras, Harry, s'il te plaît.
Il obéit, me montrant la coupure que lui avait fait Queudver, Peter Pettigrow.
Harry continuait à parler mais je ne l'écoutais déjà plus. Alors c'était vrai. Voldemort avait
retrouvé son corps.
J'AVAIS GAGNE !! Je le savais! Je l'avais bien dit!
Hélas, Cornelius Fudge est un mauvais perdant. Il ne voudra jamais accepter sa défaite.
Je ne pense pas que 20 bièraubeurres et 61 gallions soient un prix trop exorbitants pourtant.
C'est sa terrible fierté qui le fera refuser la vérité.
Hélas, quelles vont être les conséquences pour le monde des sorciers, si le Ministre de la Magie
refuse de voir une vérité de telle conséquence!
Je retournai m'asseoir à mon bureau, avant de dire à Harry de continuer.
...
Harry se trouvait maintenant à l'infirmerie, tout à coup un violent vacarme de cris me rappela à
l'intérieur.
Il s'avéra que Cornelius Fudge avait fait embrasser Barty Croupton par un détraqueur.
_Et alors, ce n'est pas une grosse perte! répliqua Cornelius à Minerva.
_Mais maintenant, il ne peut plus témoigner, Cornelius. Dis-je alors.
Et ainsi, je ne peux pas prouver que Voldemort a bien retrouvé son corps: il n'y a plus que la
parole de Harry.
Mauvais perdant juqu'à tuer un homme, pire, pour ne pas avouer sa défaite. Je ne l'en aurais pas
cru capable.
_ Il ne pourra plus expliquer pourquoi il a tué tous ces gens.
Et Cornelius nie encore la vérité, dit que c'était parce que Croupton était un fou furieux.
_Lord Voldemort lui a bel et bien donné des ordres, Cornelius. La mort de ces gens n'a été
qu'un effet secondaire du plan qui visait à redonner à Voldemort toute sa force...
Jusque là, il semblait m'écouter et me croire.
_...Et ce plan a réussi. Voldemort a retrouvé son corps.
Cornelius donna l'impression d'avoir reçu un coup de poing en pleine figure.
Eh oui, Cornelius, j'ai gagné notre pari.
Il ne semblait pas vouloir le croire.
_ Vous-Savez-Qui...est revenu? balbutia-t-il, les yeux écarquillés. Ridicule. Allons, Dumbledore,
reprenez-vous...
Eh voilà. Jusqu'à la fin, il continua a nier. Et maintenant le camp des adversaires de Voldemort
est divisé en deux. A cause d'un fichu pari que j'avais fait il y a quelques années avec Cornelius
Fudge. Pari que je viens de gagner.
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SOUVENIRS, SOUVENIRS: LE PLUS JEUNE JOUEUR DU SIECLE (PRECEDENT)
Août 95 : Les temps sont durs, surtout pour Albus Dumbledore, assis, soucieux, à son bureau...
Le voilà qui se lève brusquement, se dirigeant résolument vers son armoire :
-J'ai besoin de me changer les idées.
Il sort sa baguette et fait léviter un récipient en pierre jusqu'à son bureau.
-Hhmmm, alors, voyons voyons... Je garde toujours un bon souvenir quelque part.
Le voila qui regarde dans sa pensine :
Voilà ce qu'on peut y voir : Dans les débuts du vingtième siècle :
un jeune sorcier arrive à Poudlard, dès les premiers jours, il s'était apparemment trouvé
très à l'aise dans le château : Mais l'équipe de Quidditch de sa maison à besoin d'un
nouveau gardien. Bon, d'accord, il a le physique parfait... mais il est trop jeune, pourtant
il ne rêve que de ça.
Le jour du choix arrive, bien sûr il se lève tôt pour y assister, il ne voudrait manquer ça
pour rien au monde.
Arrivé dans les gradins, il voit que pour l'instant, il n'y à qu'un élève : il est trop tôt.
Cependant, le professeur de vol s'avance vers lui :
-Dis-moi, ça te dirait de participer ?
-Oh oui, qu'est-ce que je peux faire ?
-Mais voyons, faire de ton mieux !
-Vous voulez dire, heu... vraiment participer ?
-Bien sûr ! Tu as l'air d'en avoir tellement envie.
-Ben oui, mais... je ne suis qu'en première année, et...
-Tut tut, ça ne veut rien dire, et bien, je crois avoir entendu dire que tu ne te débrouillais
pas mal dans l'équipe benjamine de Pré au lard, n'est-ce pas, Albus?
Le garçon rougit :
-Euh, je veux bien essayer...
-Non, fais-le ! Ou ne le fais pas, mais essayer ne veut rien dire.
-Très bien.
Et il attrapa le balais que lui tendait le professeur.
Deux heures plus tard, il était le plus jeune joueur de Poudlard...
-Ahh, c'était le bon temps, dit le directeur en se relevant, un sourire aux lèvres.
