Spoiler : Les quatres tomes Harry Potter, pas de spoiler du 5, g commencé à
cérie cette fic avant sa sortie !
Disclaimer : Rien ne m'appartient, du moins les personnages initiaux. Séphora par contre est ma création, ainsi qu'Assumpta Lestrange. Sinon, ce monde merveilleux est tout droit sorti de l'esprit de la talentueuse J.K Rowling et non du mien, ben ouais, c'est la vie, par conséquent je ne touche rien du tout !
Nota Bene : Pour Un Public averti, j'ai trop aimé l'écrire ce chapitre là.
2 -- Un Acte D'Amour.
Sèph ! Qu'est-ce qui ne vas pas ?
Harry !
Elle se blotti dans ses bras en pleurant malgré la promesse qu'elle s'était faite en sonnant à la porte, ne pas sangloter devant lui.
Viens, rentre et raconte moi, sèche tes larmes ma perle, elles me causent une véritable souffrance !
Elle s'assit sur le fauteuil du salon où elle aimait tant se blottir autrefois. Harry attendait impatiemment d'entendre ce qui n'allait pas en faisant les cents pas dans le salon. Il la regarda, un regard qui trahissait l'inquiétude.
Alors, ma perle, dis moi ce qui ne vas pas !
Je, je, oh Harry, je dois m'en aller, loin, très loin d'ici, pour très longtemps.
Non ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire ! Moi je ne veux pas que tu parte ! C'est tes parents qui doivent partir ? Si jamais c'est un problème de ce genre, on te gardera à la maison Sirius et moi !
Elle fut tenté de tout lui avoué, mais se retint juste à temps et dit en sanglot entrecoupés :
Non, non ce n'est pas ça ! Je, je dois partir, c'est une décision irrévocable, je, je ne peux rien contre, nous, enfin tu, va devoir t'habituer à mon absence, tu...
... où vas-tu ? Où parts-tu ? Pourquoi tu parts ?
Je, je vais assez loin je crois, je, je ne peux te dire plus mais je, je ne veux pas te perdre, gémit-elle en se jetant dans ses bras.
Arrête, arrête de pleurer, lui dit-il en lui caressant les cheveux, quand est-ce que tu pars ?
Ce, oh Harry je pars ce soir !
Quoi ? Non, c'est impossible, pas si vite !
Si, malheureusement, je viens te faire mes adieux.
Non, allons voir tes parents, ils comprendront que, que je veux que tu restes ici, ils n'ont pas le droit de nous séparer.
Non ! Ne vas pas voir mes parents ! Crois-tu qu'une imploration d'un jeune homme comme toi ébranlera une décision bien plus haut placée !
Bien plus haut placée ?
Rien, ne cherche pas, je pars ce soir, je venais donc te faire mes adieux.
Pour, pour combien de temps tu pars ?
Très longtemps Harry, je ne peux pas te dire de chiffre exact, probablement plusieurs années...
... années ! Ah non, non je ne veux pas que tu me quittes pour tant de temps ! Tu, tu reviendras pendant les vacances je suppose ?
Non, répondit-elle, la mort dans l'âme.
Non ? Comment ça non ? Tu plaisantes là ?
Non ! Je ne sais pas pour combien de temps je pars ! Je reviendrai peut- être plus tôt que prévu, cela dépendra de, de...
De qui ?
De toi peut-être, dit-elle en repensant à ses pouvoirs.
De moi ? Pourquoi de moi, si je peux faire quelque chose alors dis le moi !
Non ! tu ne peux rien faire, je ne peux te dire que cela, et, s'il te plait, je préfèrerai que l'on n'en discute pas, je veut juste me blottir dans tes bras.
Harry se calma, s'assit sur le grand canapé et lui tendit les bras. Séphora se leva en chancelant un peu puis se réfugie dedans. Il l'embrassa langoureusement, ses mains se baladant sur ses bras, ses jambes, son ventre, on cou ou son visage. Elle le regarda et demanda d'une voix suppliante :
Harry, j'ai mal aux yeux, tu ne veux pas baisser les stores s'il te plait. Il acquiesça puis sortit sa baguette en prononçant :
Lumostoris discroîtes.
Tous les stores se baissèrent et ils se retrouvèrent dans une semi- obscurité. Dans les bras de Harry, Séphora réfléchissait, sachant pertinemment que ce qu'elle allait demander à Harry, elle n'aurai jamais oser, pas comme ça, pas dans ces conditions. Mais nécessité fait loi comme disait souvent sa mère. Elle se leva doucement dans la pièce en tournant autour de la table. Elle ne savait comment s'y prendre. Elle lui tendit la main en l'invitant à se lever. Une fois debout et tout prés d'elle, elle s'adressa à Harry d'une voix timide et contenue :
Harry, je, je voulais te demander si, si, enfin voila, tu sais que cela fait un an que nous sommes ensemble toi et moi, et, et avec tout l'amour que l'on se porte réciproquement, tu sais, enfin, tu sais que je vais partir pour très longtemps ce soir, je voulais te donner quelque chose, de très précieux, en tout cas pour moi, ce, ce n'est pas le cas de tout le monde enfin, mais avant que je parte, vu que c'est toi que j'aime le plus au monde, vu que nul ne sait ce qui va se passer quand tu sera loin de moi...
... je ne tromperai jamais ma perle, jamais, je t'attendrai le temps qu'il faudra...
... s'il te plait laisse moi finir. Voilà. En un an de liaison toi et moi, on a vécu beaucoup de choses c'est vrai mais, ce n'est jamais aller plus loin que de simples baiser, ou de caresses pas très avenantes et, et je t'en prie Harry, fait moi ce cadeau avant mon départ...
Elle s'approcha de lui, colla son corps au sien en le regardant dans les yeux et demanda d'une voix sourde :
Fait moi l'amour Harry !
Pardon ? fit celui-ci en s'écartant un peu. Tu te rends compte de ce que tu me demande ?
Oui, et c'est un acte d'amour non ?
Oui mais, voyons Séphora, c'est tellement important, c'est vraiment un grand pas, et, et pour ça, il faut de l'envie, du désir.
Elle tourna autour de lui à la manière d'un vautour, elle ne pensait vraiment pas faire ça un jour, elle laissa tomber sa robe de sorcière à terre, déboutonna sa chemise en laissant apercevoir une très grande partie de son décolleté avantageux, s'approcha de lui en murmurant :
Alors désire moi Harry !
Elle voyait dans ses yeux qu'il était en proie à une lutte intérieure. L'amour et le respect qu'il lui portait pour oser répondre à ça, son ébahissement face à son comportement et son instinct d'homme, son envie irrévocable d'accepter sa requête. Voyant qu'il ne trouvait pas les mots, elle lui prit une de ses main et la posa sur un de ses seins.
Fait le pour moi Harry, fait le pour nous.
C'est, c'est vraiment ce que tu veux ? demanda-t-il en retrouvant sa voix.
Oui, c'est ce que je veux.
Alors lentement, il s'approcha d'elle, sa main glissant dans la chemise de la jeune fille, parcourant les centimètre de sa peau qu'il n'avait jamais oser caresser. Séphora sentait ses mains explorer son corps, les doigts de son amant lui glissant dans le dos, ses mains caressant ses fesses, passant par la taille et remontant sur sa poitrine. Elle éprouva un étrange plaisir, une sensation encore inconnue pour elle la prit dans le bas du ventre. Il l'embrassa dans le cou, descendant langoureusement sur son décolleté, et elle sentit ses lèvres sur sa peau. Elle frémit un instant, pendant qu'il détachait soigneusement le reste des boutons de sa chemises. Elle passa une de ses jambes autour de sa taille, l'invitant à se rapprocher d'avantage. Il le fit en la regardant dans les yeux, elle sentit contre son ventre que Harry était aussi ardent qu'elle. Il continuait à embrasser sa poitrine, quand soudain il la prit dans ses bras, en faisant passer ses deux jambes autour de sa taille, et la porta jusque dans sa chambre à l'étage. Il l'allongea sur son grand lit, ferma les volets et ils se retrouvèrent dans un noir complet. Malgré tout ce qui allait lui arriver, Séphora ne pouvait empêcher le désir de s'emparer d'elle, dans les bras de Harry, elle oubliait tout. Elle l'attendait sur le lit, et il la rejoignit en se couchant sur elle et en l'étreignant encore. Il passa ses mains derrière son dos et détacha son soutien gorge. Il ôta sa chemise puis son sous vêtement et embrassa langoureusement le bout de ses seins. Elle avait peur. Elle passa ses mains sous son T-shirt et parcourra son torse puis lui enleva son pull. Il la regarda d'un air où brillait l'envie, l'excitation, il était visiblement possédé par ce désir. Il lui demanda encore :
Tu es vraiment sur que c'est ce que tu veux ma perle ?
Oui, c'est vraiment ce que je veux, et puis, on ne va pas s'arrêter maintenant, à moins que tu ne veuilles pas.
Non, moi je veux.
Alors nous sommes d'accord.
Il l'embrassa longuement, ses mains parcourant maintenant le bas du ventre de la jeune fille, qui sentait que s'il ne descendait pas plus bas, elle allait exploser. Il effleura délicatement son sexe à travers sa jupe, elle crut qu'elle allait mourir de plaisir. Il descendit encore sur ses jambes, remonta ses mains sous a jupe et caressa encore son sexe, à chaque fois un peu plus prés. Séphora s'était courbée, la tête un peu en arrière, un souffle précipité sortant de sa bouche. Il détacha sa jupe sans la quitter des yeux, et retira doucement sa culotte, elle l'aida à l'aide de ses pieds, elle avait terriblement envie de lui. Cette fois elle sentit vraiment ses mains sur sa peau, sur cette endroit si intime. Il descendit ses doigts, ne sachant quoi faire, la caressant en lui arrachant un soupir de satisfaction. Elle sentait ses mouvements et ne pouvait empêcher des sons de plaisir sortir de sa gorge. Elle sentait son regard sur elle pendant qu'elle fermait le yeux, se laissant aller à cette délectation. Puis il descendit son visage en l'embrassant sur ses seins, son ventre, puis elle sentit ses lèvres se poser sur son intimité, explorer cette endroit inconnu. C'était divin pour elle, pendant 5 minutes, il lui fit éprouver un plaisir intense. Puis il remonta, jouant à nouveau avec ses mains, hésitant à l'embrasser. Elle le fit pour lui, posa ses lèvres sur les siennes et elle détacha son pantalon, bouton par bouton. Il l'enleva lui même avec ses jambes, et Séphora glissa ses mains sur son caleçon, découvrant pour la première fois l'intimité d'un homme. Elle les passa ensuite à l'intérieur, retournant Harry sur le dos, touchant son sexe et le caressant doucement. Elle lui ôta son caleçon, l'embrassant indolemment. Il la remis sur le dos, se coucha sur elle. Elle écarta les jambes et les mit autour des siennes. Il la regarda longuement en lui posant une dernière fois la question :
Tu es vraiment sûr ?
Je n'ai jamais été aussi sûr de ma vie.
Alors tout doucement, il pénétra en elle sans la quitter des yeux. Elle ferma les siens sous le choc, sous l'imperceptible douleur de la première fois. C'était si étrange, sentir Harry en elle, cela n'avait rien à voir avec ce que certaines de ses amies lui avaient confié. Une larme perla à ses cils, la peine de quitter Harry, et la douleur de cette expérience nouvelle. Harry murmura :
Ca va ? Tu, tu as pas trop, mal ?
Heu, un peu, mais, mais t'arrête pas, c'est normal, ne t'inquiète pas, tu vois, c'est déjà en train de passer.
Pour la première fois, elle lui mentait, elle était si tendue qu'elle avait toujours mal. Elle repensa à ce que lui avait dit sa meilleure amie Tina, lors de sa première pratique avec Ernie McMillan, il fallait être détendu, zen. Elle le regarda et lui demanda :
Harry, embrasse moi.
Il s'exécuta et elle senti ses muscles se détendre peu à peu, la douleur disparaître pour faire place à un sentiment de bien être, de plaisir. Elle poussa un soupir de soulagement et de contentement et, à travers ses yeux mis-clos, elle vit un sourire éclairait le visage de Harry. Elle avait montré son plaisir, et lui, comme n'importe quel homme était fier de lui, c'était pardonnable, c'était un homme. Cela dura encore quelques minutes où le plaisir montait crescendo, puis Harry laissa échapper un souffle rauque de sa bouche, signe que pour lui, c'était fini, elle le sentait en elle et c'était assez désagréable. Il se coucha sur le coté, passant un bras autour de sa taille et enfoui sa tête dans ses longs cheveux. Elle se leva à moitié grâce à son coude et le regarda dans les yeux, ses cheveux tombant autour de leurs visages, rideau d'intimité les coupant du monde. Elle murmura dans un souffle :
Merci Harry...
De rien, répondit-il, une lueur malicieuse dans ses yeux, merci à toi aussi, j'espère que, enfin, j'espère que tu, tu...
Oui Harry, j'ai aimé.
Il se leva soudain, comme prit d'une inspiration soudaine :
Sèph ? Tu, tu as pris au moins des précautions ?
Séphora demeura interdite, la vérité, c'est qu'elle n'avait rien fait pour se protéger d'un quelconque ennui. Elle reprit vite contenance et lui dit :
Oh oui, bien sur que oui, je, cela vient, des, des moldu !
Dans un sens c'était vrai, Tina lui avait dit qu'elle avait pris la pilule chez un médecin spécialisé moldu, un ginologue où quelque chose dans ce goût là. Elle le regarda. Un soupçon brillait à travers ses lunettes circulaires. Mais Harry ne dit rien. Elle s'endormi quelques minutes mais rêva de Voldemort, s'approchant d'elle avec son rire sonore et glacé, elle, liée sur un mur. Elle se réveilla en sursaut et en criant. Harry se leva tout de suite :
Qu'est-ce qui t'arrive ? Ma perle, ça va au moins !
Oh, rien, juste un cauchemar, je, je crois que je vais y aller, je vais préparer ma, ma valise.
Si tu veux.
Elle se leva, gênée de sa soudaine nudité, chercha a tâtons ses affaires, s'habilla en quatrième vitesse et descendit les escaliers. Harry la rejoint quelques minutes plus tard en reboutonnant sa chemise. Il arriva par derrière et la prit par la taille :
Je t'aime tant Sèph, j'ai passé une merveilleuse après midi !
Avait-il oublié qu'elle partait ? Visiblement, tous les événements l'avaient déconnecté du monde présent. Elle le regarda d'un air grave.
Harry, as-tu oublié que je pars ce soir !
Non, mais je profite du moment présent.
Harry, j'ai, j'ai quelque chose à te dire.
Tout ce que tu voudras.
D'abord, il y en a qui dise loin des yeux, loin du cœur, si, quand je suis loin, tu rencontre quelqu'un d'autre, tu pourras la, heu...
Jamais ! Jamais je ne t'oublierai et te tromperai Sèph, je t'attendrai le temps qu'il faudra, je, tu, tu comptes faire ce genre de choses loin de moi ?
Oh non ! Ja, jamais je ne cesserai de t'aimer, tu es le seul homme de ma vie, retiens le bien, je n'aime que toi et n'aimerai que toi, je...
Attend moi deux minutes s'il te plait...
Harry monta quatre à quatre les escaliers et redescendit en tenant quelques chose d'étroitement serré dans sa main. Il ouvrit la main et dans sa paume se tenait un étui, un étui de bijoux. Séphora eut soudainement très chaud et son esprit refusa d'imprimer les phrases qu'allait prononcer Harry. Il lui tendit la boite. Elle l'ouvrit et découvrit une magnifique bague en argent sertie d'un grosse pierre d'améthyste. Elle ouvrit grands les yeux sous ce bijoux d'une certaine valeur, il prit la bague, sa main et lui mit l'anneau au doigt en lui disant :
C'est la preuve de mon amour pour toi, la preuve que je ne t'oublierai jamais et que je t'attendrai même si je dois passer ma vie à ça.
Séphora en eut les larmes aux yeux. Cette déclaration était si belle. Il se mit à genou en posant sa main sur son front et en murmurant presque douloureusement :
Ma perle, promets moi que le jour où tu reviendras ici, parce que moi je ferai tout pour te retrouver, Sèph, promets moi qu'on se mariera !
Cette fois-ci elle ne put se retenir et fondit en larme. Elle sanglota :
Oh Harry, oui, je te le promets ! Mais, mais...
Mais quoi, demanda-t-il soudain soupçonneux en croisant les bras.
Toi aussi, toi aussi fais moi une promesse.
Bien sûr !
Promets moi de ne jamais m'en vouloir, jamais avoir honte de moi.
Pourquoi tu dis ça, bien sur que je ne t'en voudrai jamais !
Promets le moi !
Mais pourquoi tu veux que je te promette ce genre de chose alors que c'est l'évidence même !
Elle étouffa ses premier soupçon par un baiser langoureux auquel il répondit par des caresses et des étreintes passionnées. Une fois devant l'entrée, après un dernier baiser, elle le regarda plus gravement que jamais dans les yeux en disant :
Harry, promet-le moi ! Je te le promet Sèph, mais qu'est-ce que tu me caches ?
Moi aussi j'ai mes secrets Harry, répondit-elle en baissant les yeux et en rentrant en courant chez elle comme pour laisser sa peine derrière.
iCe moment là est gravé dans ma mémoire comme si c'était hier, en même temps, tout cela me paraît tellement loin, il a tout gâché, il a tout gâché le soir où il est arrivé, je me rappelle de cette vision de cauchemar.bAlors, quel est votre verdict ??? Rewiew please.../b
Disclaimer : Rien ne m'appartient, du moins les personnages initiaux. Séphora par contre est ma création, ainsi qu'Assumpta Lestrange. Sinon, ce monde merveilleux est tout droit sorti de l'esprit de la talentueuse J.K Rowling et non du mien, ben ouais, c'est la vie, par conséquent je ne touche rien du tout !
Nota Bene : Pour Un Public averti, j'ai trop aimé l'écrire ce chapitre là.
2 -- Un Acte D'Amour.
Sèph ! Qu'est-ce qui ne vas pas ?
Harry !
Elle se blotti dans ses bras en pleurant malgré la promesse qu'elle s'était faite en sonnant à la porte, ne pas sangloter devant lui.
Viens, rentre et raconte moi, sèche tes larmes ma perle, elles me causent une véritable souffrance !
Elle s'assit sur le fauteuil du salon où elle aimait tant se blottir autrefois. Harry attendait impatiemment d'entendre ce qui n'allait pas en faisant les cents pas dans le salon. Il la regarda, un regard qui trahissait l'inquiétude.
Alors, ma perle, dis moi ce qui ne vas pas !
Je, je, oh Harry, je dois m'en aller, loin, très loin d'ici, pour très longtemps.
Non ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire ! Moi je ne veux pas que tu parte ! C'est tes parents qui doivent partir ? Si jamais c'est un problème de ce genre, on te gardera à la maison Sirius et moi !
Elle fut tenté de tout lui avoué, mais se retint juste à temps et dit en sanglot entrecoupés :
Non, non ce n'est pas ça ! Je, je dois partir, c'est une décision irrévocable, je, je ne peux rien contre, nous, enfin tu, va devoir t'habituer à mon absence, tu...
... où vas-tu ? Où parts-tu ? Pourquoi tu parts ?
Je, je vais assez loin je crois, je, je ne peux te dire plus mais je, je ne veux pas te perdre, gémit-elle en se jetant dans ses bras.
Arrête, arrête de pleurer, lui dit-il en lui caressant les cheveux, quand est-ce que tu pars ?
Ce, oh Harry je pars ce soir !
Quoi ? Non, c'est impossible, pas si vite !
Si, malheureusement, je viens te faire mes adieux.
Non, allons voir tes parents, ils comprendront que, que je veux que tu restes ici, ils n'ont pas le droit de nous séparer.
Non ! Ne vas pas voir mes parents ! Crois-tu qu'une imploration d'un jeune homme comme toi ébranlera une décision bien plus haut placée !
Bien plus haut placée ?
Rien, ne cherche pas, je pars ce soir, je venais donc te faire mes adieux.
Pour, pour combien de temps tu pars ?
Très longtemps Harry, je ne peux pas te dire de chiffre exact, probablement plusieurs années...
... années ! Ah non, non je ne veux pas que tu me quittes pour tant de temps ! Tu, tu reviendras pendant les vacances je suppose ?
Non, répondit-elle, la mort dans l'âme.
Non ? Comment ça non ? Tu plaisantes là ?
Non ! Je ne sais pas pour combien de temps je pars ! Je reviendrai peut- être plus tôt que prévu, cela dépendra de, de...
De qui ?
De toi peut-être, dit-elle en repensant à ses pouvoirs.
De moi ? Pourquoi de moi, si je peux faire quelque chose alors dis le moi !
Non ! tu ne peux rien faire, je ne peux te dire que cela, et, s'il te plait, je préfèrerai que l'on n'en discute pas, je veut juste me blottir dans tes bras.
Harry se calma, s'assit sur le grand canapé et lui tendit les bras. Séphora se leva en chancelant un peu puis se réfugie dedans. Il l'embrassa langoureusement, ses mains se baladant sur ses bras, ses jambes, son ventre, on cou ou son visage. Elle le regarda et demanda d'une voix suppliante :
Harry, j'ai mal aux yeux, tu ne veux pas baisser les stores s'il te plait. Il acquiesça puis sortit sa baguette en prononçant :
Lumostoris discroîtes.
Tous les stores se baissèrent et ils se retrouvèrent dans une semi- obscurité. Dans les bras de Harry, Séphora réfléchissait, sachant pertinemment que ce qu'elle allait demander à Harry, elle n'aurai jamais oser, pas comme ça, pas dans ces conditions. Mais nécessité fait loi comme disait souvent sa mère. Elle se leva doucement dans la pièce en tournant autour de la table. Elle ne savait comment s'y prendre. Elle lui tendit la main en l'invitant à se lever. Une fois debout et tout prés d'elle, elle s'adressa à Harry d'une voix timide et contenue :
Harry, je, je voulais te demander si, si, enfin voila, tu sais que cela fait un an que nous sommes ensemble toi et moi, et, et avec tout l'amour que l'on se porte réciproquement, tu sais, enfin, tu sais que je vais partir pour très longtemps ce soir, je voulais te donner quelque chose, de très précieux, en tout cas pour moi, ce, ce n'est pas le cas de tout le monde enfin, mais avant que je parte, vu que c'est toi que j'aime le plus au monde, vu que nul ne sait ce qui va se passer quand tu sera loin de moi...
... je ne tromperai jamais ma perle, jamais, je t'attendrai le temps qu'il faudra...
... s'il te plait laisse moi finir. Voilà. En un an de liaison toi et moi, on a vécu beaucoup de choses c'est vrai mais, ce n'est jamais aller plus loin que de simples baiser, ou de caresses pas très avenantes et, et je t'en prie Harry, fait moi ce cadeau avant mon départ...
Elle s'approcha de lui, colla son corps au sien en le regardant dans les yeux et demanda d'une voix sourde :
Fait moi l'amour Harry !
Pardon ? fit celui-ci en s'écartant un peu. Tu te rends compte de ce que tu me demande ?
Oui, et c'est un acte d'amour non ?
Oui mais, voyons Séphora, c'est tellement important, c'est vraiment un grand pas, et, et pour ça, il faut de l'envie, du désir.
Elle tourna autour de lui à la manière d'un vautour, elle ne pensait vraiment pas faire ça un jour, elle laissa tomber sa robe de sorcière à terre, déboutonna sa chemise en laissant apercevoir une très grande partie de son décolleté avantageux, s'approcha de lui en murmurant :
Alors désire moi Harry !
Elle voyait dans ses yeux qu'il était en proie à une lutte intérieure. L'amour et le respect qu'il lui portait pour oser répondre à ça, son ébahissement face à son comportement et son instinct d'homme, son envie irrévocable d'accepter sa requête. Voyant qu'il ne trouvait pas les mots, elle lui prit une de ses main et la posa sur un de ses seins.
Fait le pour moi Harry, fait le pour nous.
C'est, c'est vraiment ce que tu veux ? demanda-t-il en retrouvant sa voix.
Oui, c'est ce que je veux.
Alors lentement, il s'approcha d'elle, sa main glissant dans la chemise de la jeune fille, parcourant les centimètre de sa peau qu'il n'avait jamais oser caresser. Séphora sentait ses mains explorer son corps, les doigts de son amant lui glissant dans le dos, ses mains caressant ses fesses, passant par la taille et remontant sur sa poitrine. Elle éprouva un étrange plaisir, une sensation encore inconnue pour elle la prit dans le bas du ventre. Il l'embrassa dans le cou, descendant langoureusement sur son décolleté, et elle sentit ses lèvres sur sa peau. Elle frémit un instant, pendant qu'il détachait soigneusement le reste des boutons de sa chemises. Elle passa une de ses jambes autour de sa taille, l'invitant à se rapprocher d'avantage. Il le fit en la regardant dans les yeux, elle sentit contre son ventre que Harry était aussi ardent qu'elle. Il continuait à embrasser sa poitrine, quand soudain il la prit dans ses bras, en faisant passer ses deux jambes autour de sa taille, et la porta jusque dans sa chambre à l'étage. Il l'allongea sur son grand lit, ferma les volets et ils se retrouvèrent dans un noir complet. Malgré tout ce qui allait lui arriver, Séphora ne pouvait empêcher le désir de s'emparer d'elle, dans les bras de Harry, elle oubliait tout. Elle l'attendait sur le lit, et il la rejoignit en se couchant sur elle et en l'étreignant encore. Il passa ses mains derrière son dos et détacha son soutien gorge. Il ôta sa chemise puis son sous vêtement et embrassa langoureusement le bout de ses seins. Elle avait peur. Elle passa ses mains sous son T-shirt et parcourra son torse puis lui enleva son pull. Il la regarda d'un air où brillait l'envie, l'excitation, il était visiblement possédé par ce désir. Il lui demanda encore :
Tu es vraiment sur que c'est ce que tu veux ma perle ?
Oui, c'est vraiment ce que je veux, et puis, on ne va pas s'arrêter maintenant, à moins que tu ne veuilles pas.
Non, moi je veux.
Alors nous sommes d'accord.
Il l'embrassa longuement, ses mains parcourant maintenant le bas du ventre de la jeune fille, qui sentait que s'il ne descendait pas plus bas, elle allait exploser. Il effleura délicatement son sexe à travers sa jupe, elle crut qu'elle allait mourir de plaisir. Il descendit encore sur ses jambes, remonta ses mains sous a jupe et caressa encore son sexe, à chaque fois un peu plus prés. Séphora s'était courbée, la tête un peu en arrière, un souffle précipité sortant de sa bouche. Il détacha sa jupe sans la quitter des yeux, et retira doucement sa culotte, elle l'aida à l'aide de ses pieds, elle avait terriblement envie de lui. Cette fois elle sentit vraiment ses mains sur sa peau, sur cette endroit si intime. Il descendit ses doigts, ne sachant quoi faire, la caressant en lui arrachant un soupir de satisfaction. Elle sentait ses mouvements et ne pouvait empêcher des sons de plaisir sortir de sa gorge. Elle sentait son regard sur elle pendant qu'elle fermait le yeux, se laissant aller à cette délectation. Puis il descendit son visage en l'embrassant sur ses seins, son ventre, puis elle sentit ses lèvres se poser sur son intimité, explorer cette endroit inconnu. C'était divin pour elle, pendant 5 minutes, il lui fit éprouver un plaisir intense. Puis il remonta, jouant à nouveau avec ses mains, hésitant à l'embrasser. Elle le fit pour lui, posa ses lèvres sur les siennes et elle détacha son pantalon, bouton par bouton. Il l'enleva lui même avec ses jambes, et Séphora glissa ses mains sur son caleçon, découvrant pour la première fois l'intimité d'un homme. Elle les passa ensuite à l'intérieur, retournant Harry sur le dos, touchant son sexe et le caressant doucement. Elle lui ôta son caleçon, l'embrassant indolemment. Il la remis sur le dos, se coucha sur elle. Elle écarta les jambes et les mit autour des siennes. Il la regarda longuement en lui posant une dernière fois la question :
Tu es vraiment sûr ?
Je n'ai jamais été aussi sûr de ma vie.
Alors tout doucement, il pénétra en elle sans la quitter des yeux. Elle ferma les siens sous le choc, sous l'imperceptible douleur de la première fois. C'était si étrange, sentir Harry en elle, cela n'avait rien à voir avec ce que certaines de ses amies lui avaient confié. Une larme perla à ses cils, la peine de quitter Harry, et la douleur de cette expérience nouvelle. Harry murmura :
Ca va ? Tu, tu as pas trop, mal ?
Heu, un peu, mais, mais t'arrête pas, c'est normal, ne t'inquiète pas, tu vois, c'est déjà en train de passer.
Pour la première fois, elle lui mentait, elle était si tendue qu'elle avait toujours mal. Elle repensa à ce que lui avait dit sa meilleure amie Tina, lors de sa première pratique avec Ernie McMillan, il fallait être détendu, zen. Elle le regarda et lui demanda :
Harry, embrasse moi.
Il s'exécuta et elle senti ses muscles se détendre peu à peu, la douleur disparaître pour faire place à un sentiment de bien être, de plaisir. Elle poussa un soupir de soulagement et de contentement et, à travers ses yeux mis-clos, elle vit un sourire éclairait le visage de Harry. Elle avait montré son plaisir, et lui, comme n'importe quel homme était fier de lui, c'était pardonnable, c'était un homme. Cela dura encore quelques minutes où le plaisir montait crescendo, puis Harry laissa échapper un souffle rauque de sa bouche, signe que pour lui, c'était fini, elle le sentait en elle et c'était assez désagréable. Il se coucha sur le coté, passant un bras autour de sa taille et enfoui sa tête dans ses longs cheveux. Elle se leva à moitié grâce à son coude et le regarda dans les yeux, ses cheveux tombant autour de leurs visages, rideau d'intimité les coupant du monde. Elle murmura dans un souffle :
Merci Harry...
De rien, répondit-il, une lueur malicieuse dans ses yeux, merci à toi aussi, j'espère que, enfin, j'espère que tu, tu...
Oui Harry, j'ai aimé.
Il se leva soudain, comme prit d'une inspiration soudaine :
Sèph ? Tu, tu as pris au moins des précautions ?
Séphora demeura interdite, la vérité, c'est qu'elle n'avait rien fait pour se protéger d'un quelconque ennui. Elle reprit vite contenance et lui dit :
Oh oui, bien sur que oui, je, cela vient, des, des moldu !
Dans un sens c'était vrai, Tina lui avait dit qu'elle avait pris la pilule chez un médecin spécialisé moldu, un ginologue où quelque chose dans ce goût là. Elle le regarda. Un soupçon brillait à travers ses lunettes circulaires. Mais Harry ne dit rien. Elle s'endormi quelques minutes mais rêva de Voldemort, s'approchant d'elle avec son rire sonore et glacé, elle, liée sur un mur. Elle se réveilla en sursaut et en criant. Harry se leva tout de suite :
Qu'est-ce qui t'arrive ? Ma perle, ça va au moins !
Oh, rien, juste un cauchemar, je, je crois que je vais y aller, je vais préparer ma, ma valise.
Si tu veux.
Elle se leva, gênée de sa soudaine nudité, chercha a tâtons ses affaires, s'habilla en quatrième vitesse et descendit les escaliers. Harry la rejoint quelques minutes plus tard en reboutonnant sa chemise. Il arriva par derrière et la prit par la taille :
Je t'aime tant Sèph, j'ai passé une merveilleuse après midi !
Avait-il oublié qu'elle partait ? Visiblement, tous les événements l'avaient déconnecté du monde présent. Elle le regarda d'un air grave.
Harry, as-tu oublié que je pars ce soir !
Non, mais je profite du moment présent.
Harry, j'ai, j'ai quelque chose à te dire.
Tout ce que tu voudras.
D'abord, il y en a qui dise loin des yeux, loin du cœur, si, quand je suis loin, tu rencontre quelqu'un d'autre, tu pourras la, heu...
Jamais ! Jamais je ne t'oublierai et te tromperai Sèph, je t'attendrai le temps qu'il faudra, je, tu, tu comptes faire ce genre de choses loin de moi ?
Oh non ! Ja, jamais je ne cesserai de t'aimer, tu es le seul homme de ma vie, retiens le bien, je n'aime que toi et n'aimerai que toi, je...
Attend moi deux minutes s'il te plait...
Harry monta quatre à quatre les escaliers et redescendit en tenant quelques chose d'étroitement serré dans sa main. Il ouvrit la main et dans sa paume se tenait un étui, un étui de bijoux. Séphora eut soudainement très chaud et son esprit refusa d'imprimer les phrases qu'allait prononcer Harry. Il lui tendit la boite. Elle l'ouvrit et découvrit une magnifique bague en argent sertie d'un grosse pierre d'améthyste. Elle ouvrit grands les yeux sous ce bijoux d'une certaine valeur, il prit la bague, sa main et lui mit l'anneau au doigt en lui disant :
C'est la preuve de mon amour pour toi, la preuve que je ne t'oublierai jamais et que je t'attendrai même si je dois passer ma vie à ça.
Séphora en eut les larmes aux yeux. Cette déclaration était si belle. Il se mit à genou en posant sa main sur son front et en murmurant presque douloureusement :
Ma perle, promets moi que le jour où tu reviendras ici, parce que moi je ferai tout pour te retrouver, Sèph, promets moi qu'on se mariera !
Cette fois-ci elle ne put se retenir et fondit en larme. Elle sanglota :
Oh Harry, oui, je te le promets ! Mais, mais...
Mais quoi, demanda-t-il soudain soupçonneux en croisant les bras.
Toi aussi, toi aussi fais moi une promesse.
Bien sûr !
Promets moi de ne jamais m'en vouloir, jamais avoir honte de moi.
Pourquoi tu dis ça, bien sur que je ne t'en voudrai jamais !
Promets le moi !
Mais pourquoi tu veux que je te promette ce genre de chose alors que c'est l'évidence même !
Elle étouffa ses premier soupçon par un baiser langoureux auquel il répondit par des caresses et des étreintes passionnées. Une fois devant l'entrée, après un dernier baiser, elle le regarda plus gravement que jamais dans les yeux en disant :
Harry, promet-le moi ! Je te le promet Sèph, mais qu'est-ce que tu me caches ?
Moi aussi j'ai mes secrets Harry, répondit-elle en baissant les yeux et en rentrant en courant chez elle comme pour laisser sa peine derrière.
iCe moment là est gravé dans ma mémoire comme si c'était hier, en même temps, tout cela me paraît tellement loin, il a tout gâché, il a tout gâché le soir où il est arrivé, je me rappelle de cette vision de cauchemar.bAlors, quel est votre verdict ??? Rewiew please.../b
