Petit affrontement et très grosse engueulade !
McGonagall ouvrit la bouche pour répliquer, mais Harry se releva et partit dans la direction opposé à l'école en courant. Il ne jeta pas un regard au professeur, il espérait qu'elle lui obéirait pour protéger Drago et pour se protéger elle-même. Il n'avait pas fait 100 mètres qu'un homme vêtu d'une grande cape, dont le capuchon lui cachait le visage, sortit d'une ruelle et se dressa devant lui. Harry n'eut pas besoin de voir les yeux rouges de l'homme pour connaître son identité, sa cicatrice l'avait déjà prévenue. Harry murmura une formule, et son mal de crâne disparu. D'un ton sarcastique il salua son ennemi :
« Salut Tommy ! »
Les yeux rouges lancèrent des éclairs, d'une voix chargée de colère l'homme répondit :
« Je t'ai déjà dit...
De ne pas m'appelez comme ca, et gna gna gna. T'es lourd Tommy ! Bon tu veut te battre ? Tu veut encore sortir tes grandes phrases du style « je vais te tuer ! ». quoi que ce soit bouge toi le cul j'ai pas que ca à faire ! »
Voldemort se calma et répondit d'un ton faussement désolé :
« Les jeunes n'ont plus aucuns respect de nos jours. J'espère que tu élèveras ton fils mieux que ca Harry, du moins si je le laisse en vie. »
L'attitude désinvolte que Harry avait adoptée sachant très bien que cela énervais Voldemort et qu'un homme en colère fait des erreurs stupides, se mua en glace. Le ton que le survivant utilisa aurait fait geler un volcan :
« Touche à un seul de ses cheveux Tom et je te jure que tout les doloris que tu as pus lancés ne seront qu'une plaisanterie comparé à ce que je te ferrais. »
Inconsciemment le seigneur des ténèbres fit un pas en arrière, il n'avait jamais vu le garçon aussi froid, aussi sur de lui, aussi impressionnant, il prit note d'assurer ses arrières si jamais il décidais de s'en prendre à Drago. Il aurait bien voulu en finir avec lui immédiatement, mais d'une il ne savait pas s'il en était capable, de deux ce serais vraiment stupide de faire ca à deux pas de Poudlard qui était rempli de sorciers dont la majorité ne le portait pas dans leur c?urs. Il leva une main en signe de paix et dit :
« Harry je en suis pas venu me battre, je viens te faire une proposition, prends la place de Lucius à mes cotés, Drago sera en sécurité je te donne ma parole que je ne ferrais rien contre lui. »
Harry lui jeta un regard méprisant et cracha :
« Ta parole ? Si ce n'était pas aussi abjecte ce serais à pleurer de rire, pour ce qui est de ta proposition tu peut te la mettre où je pense Tommy comme ca ton cher Nagini sera moins fatigué. »
Voldemort faillit s'étrangler de rage, personne n'avait jamais osé lui parler de la sorte, il leva vivement sa baguette et murmura :
« Petit imbécile tu vous condamne ! Avada Kedrava ! »
Harry regarda la bien trop familière lueur verte sortir de la baguette magique, Voldemort fut sidéré de le voir sourire, il se demanda s'il n'était pas devenu fou. Mais Harry avait toute ses facultés, il leva sa baguette à son tour et murmura :
« Mortis protecto »
Une brume argenté, assez semblable à ce qui composait un patronus, apparu devant le survivant, mais au lieu de prendre la forme d'un animal, elle forma une sorte de mur. Le sort de mort s'écrasa dessus, faisant naître une vague d'étincelles vertes. Harry fit un grand sourire à son ennemi, qui criait de rage, le regard du survivant ce fit plus dur. Son sourire ce fit carnassier, il tendit sa baguette vers Voldemort et murmura :
« Endoloris »
Avec une certaine jubilation il vit le seigneur des ténèbres poussé un long cri de douleur, et disparaître. Harry désactiva le sort qui lui servait à contenir la douleur de sa cicatrice, et constata que le monstre était bien parti. Le mur d'argent disparu à son tour, et Harry parti en courant vers Poudlard, mort d'inquiétude pour Drago et le professeur McGonagall. Il ne les vit pas à l'endroit où il les avaient laissés et espéra que la directrice adjointe était retourné au château. Il entra en courant dans l'école, ignorant superbement les réflexions de Rusard, sans perdre de temps il se dirigea vers le bureau du directeur. Si McGonagall avait deux sous de jugeote c'est le premier endroit où elle serait aller. Sans prendre la peine de frapper le survivant entra dans le bureau, il soupira immédiatement de soulagement en voyant Drago sur les genoux du directeur, le petit garçon descendit bien vite pour se jeter au cou de Harry qui c'était agenouillé. Pleurant, Drago lui fit plein de bisous en disant :
« J'ai eu si peur quand tu es parti papa. »
Harry sourit en l'entendant utilisé aussi naturellement ce mot, il l'embrassa aussi en murmurant :
« Moi aussi j'ai eu très peur pour toi mon grand. »
Harry croisa alors le regard de McGonagall et son sourire s'effaça, elle était furieuse, et Harry savait qu'il allait en prendre pour son grade. Il lui lança un regard suppliant en désignant Drago, l'austère professeur opina et Harry ramena Drago dans leur appartement non sans avoir demander à ses amis de s'en occuper pendant un moment. Drago pleura, refusant de le laisser repartir, mais Harry lui promit qu'il allait seulement voir le directeur, le petit garçon lui fit encore plusieurs bisous et le laissa partir sans pouvoir retenir ses larmes.
Harry retourna au bureau du directeur, à peine était-il rentré qu'il reçut une gifle monumentale de la part de sa directrice de maison, d'un ton sec elle dit :
« Mr Potter jamais je n'ai vu pareil stupidité chez un de mes élèves, avez vous bien conscience de vos actes ? Vous vous rendez compte que vous auriez pu mourir en agissant ainsi ? A défaut de penser à votre propre sauvegarde pensé donc à la vie qu'aurait eu votre fils si vous étiez mort ! »
Harry la regarda choqué autant par le geste que par les paroles, jamais il n'avait vu McGonagall lever la main sur un élève, et le ton qu'elle avait employé l'avait réellement blesser. Il la dévisagea sans pour autant prendre un air hautain et répondit d'une voix calme :
« Sauf votre respect professeur c'est justement parce que j'ai pensé à Drago que j'ai fait cela, à Drago et à vous, je ne remet pas en cause vos capacités, mais vous n'avez pas la puissance nécessaire pour affronter Voldemort, moi si. Ce n'est pas plus compliqué que cela. »
Il n'y avait aucune trace de vanité que ce soit dans sa posture ou sa voix, c'était un fait et ils le savaient tout les deux. Malgré elle McGonagall du reconnaître intérieurement qu'il avait raison et fut touchée qu'il ai voulu la protéger, mais elle ne pouvais faire taire son inquiétude et dit :
« Mr Potter, ce que je vais vous dire va vous faire du mal mais je veut que vous preniez conscience de la folie que avez commise. Il y a eu un autre sorcier qui c'est cru assez puissant pour vaincre celui-dont-on-ne-dois-pas- prononcer-le-nom, et certes il était puissant. Extrêmement puissant, mais cela n'a rien changé, il est mort tout de même, vous savez qui c'était ?
Votre père ! J'ai perdu plus d'un de mes élèves de la main de ce monstre et je refuse que vous soyez le prochain. J'ai déjà enterré vos parents et je refuse de revivre cela.»
Harry refoula ses larmes tout en jetant un regard au directeur, qui jugea préférable d'intervenir :
« Ma chère Minerva, vous avez raison, mais Harry n'a pas tort non plus. Reconnaissez que vous ne pouvez affronter Voldemort, et que Harry à certainement prit la meilleur décision qui soit dans un cas comme celui là. Cela ne veut pas dire que tu doit te croire invincible Harry, tu as eu de la chance, beaucoup de chance. »
Harry et McGonagall hochèrent la tête, et le professeur de métamorphose s'excusa de l'avoir frappé, Harry lui sourit en disant que c'était oublié. Dumbledore sourit à son tour et dit :
« Bien Harry j'aimerais que tu nous raconte ton combat, si mes sens ne me trompe j'ai senti deux sorts impardonnables et un sort que je ne connais pas. »
Harry s'exécuta :
« Je vous passe les détails, les piques habituelles et les propositions ridicules. Il n'y a eu que trois sort, quatre si on compte sa fuite. Il m'a lancé un Avada Kedrava que j'ai contrer avec un sortilège de mon invention, je vous l'expliquerais à l'occasion, et ensuite je lui ai jeté un doloris, et il à fuit. »
Les deux professeurs se regardèrent bouche bée, mais Dumbledore reprit vite une contenance et demanda :
« Comment sait tu lancé un doloris Harry ? »
Harry afficha un sourire ironique et répondit :
« Sans doute à force de le subir. En fait je n'y ai pas réfléchi, mais maintenant que vous me le dite il est vrai que je ne l'ai jamais appris. »
McGonagall était toujours choquée mais pu tout de même articuler :
« Vous avez crée un sort capable de résister à un Avada Kedrava ? »
Harry sourit, tentant de dissimulé sa fierté, et répondit :
« Oui mais il faut une très grande puissance magique pour le lancer, dans le principe c'est assez simple : un mur de protection, dans la pratique c'est autre chose. »
Les deux professeurs hochèrent la tête pensivement, les deux se posaient la même question :
Comment ce jeune homme à peine sorti de l'enfance avait put résoudre un des plus grand problèmes de la magie ?
Aucun ne trouva la réponse et Harry fut libéré, non sans avoir eu l'assurance de Dumbledore que l'utilisation d'un sortilège impardonnable sur Voldemort ne lui apporterait aucun problème avec le ministère.
McGonagall ouvrit la bouche pour répliquer, mais Harry se releva et partit dans la direction opposé à l'école en courant. Il ne jeta pas un regard au professeur, il espérait qu'elle lui obéirait pour protéger Drago et pour se protéger elle-même. Il n'avait pas fait 100 mètres qu'un homme vêtu d'une grande cape, dont le capuchon lui cachait le visage, sortit d'une ruelle et se dressa devant lui. Harry n'eut pas besoin de voir les yeux rouges de l'homme pour connaître son identité, sa cicatrice l'avait déjà prévenue. Harry murmura une formule, et son mal de crâne disparu. D'un ton sarcastique il salua son ennemi :
« Salut Tommy ! »
Les yeux rouges lancèrent des éclairs, d'une voix chargée de colère l'homme répondit :
« Je t'ai déjà dit...
De ne pas m'appelez comme ca, et gna gna gna. T'es lourd Tommy ! Bon tu veut te battre ? Tu veut encore sortir tes grandes phrases du style « je vais te tuer ! ». quoi que ce soit bouge toi le cul j'ai pas que ca à faire ! »
Voldemort se calma et répondit d'un ton faussement désolé :
« Les jeunes n'ont plus aucuns respect de nos jours. J'espère que tu élèveras ton fils mieux que ca Harry, du moins si je le laisse en vie. »
L'attitude désinvolte que Harry avait adoptée sachant très bien que cela énervais Voldemort et qu'un homme en colère fait des erreurs stupides, se mua en glace. Le ton que le survivant utilisa aurait fait geler un volcan :
« Touche à un seul de ses cheveux Tom et je te jure que tout les doloris que tu as pus lancés ne seront qu'une plaisanterie comparé à ce que je te ferrais. »
Inconsciemment le seigneur des ténèbres fit un pas en arrière, il n'avait jamais vu le garçon aussi froid, aussi sur de lui, aussi impressionnant, il prit note d'assurer ses arrières si jamais il décidais de s'en prendre à Drago. Il aurait bien voulu en finir avec lui immédiatement, mais d'une il ne savait pas s'il en était capable, de deux ce serais vraiment stupide de faire ca à deux pas de Poudlard qui était rempli de sorciers dont la majorité ne le portait pas dans leur c?urs. Il leva une main en signe de paix et dit :
« Harry je en suis pas venu me battre, je viens te faire une proposition, prends la place de Lucius à mes cotés, Drago sera en sécurité je te donne ma parole que je ne ferrais rien contre lui. »
Harry lui jeta un regard méprisant et cracha :
« Ta parole ? Si ce n'était pas aussi abjecte ce serais à pleurer de rire, pour ce qui est de ta proposition tu peut te la mettre où je pense Tommy comme ca ton cher Nagini sera moins fatigué. »
Voldemort faillit s'étrangler de rage, personne n'avait jamais osé lui parler de la sorte, il leva vivement sa baguette et murmura :
« Petit imbécile tu vous condamne ! Avada Kedrava ! »
Harry regarda la bien trop familière lueur verte sortir de la baguette magique, Voldemort fut sidéré de le voir sourire, il se demanda s'il n'était pas devenu fou. Mais Harry avait toute ses facultés, il leva sa baguette à son tour et murmura :
« Mortis protecto »
Une brume argenté, assez semblable à ce qui composait un patronus, apparu devant le survivant, mais au lieu de prendre la forme d'un animal, elle forma une sorte de mur. Le sort de mort s'écrasa dessus, faisant naître une vague d'étincelles vertes. Harry fit un grand sourire à son ennemi, qui criait de rage, le regard du survivant ce fit plus dur. Son sourire ce fit carnassier, il tendit sa baguette vers Voldemort et murmura :
« Endoloris »
Avec une certaine jubilation il vit le seigneur des ténèbres poussé un long cri de douleur, et disparaître. Harry désactiva le sort qui lui servait à contenir la douleur de sa cicatrice, et constata que le monstre était bien parti. Le mur d'argent disparu à son tour, et Harry parti en courant vers Poudlard, mort d'inquiétude pour Drago et le professeur McGonagall. Il ne les vit pas à l'endroit où il les avaient laissés et espéra que la directrice adjointe était retourné au château. Il entra en courant dans l'école, ignorant superbement les réflexions de Rusard, sans perdre de temps il se dirigea vers le bureau du directeur. Si McGonagall avait deux sous de jugeote c'est le premier endroit où elle serait aller. Sans prendre la peine de frapper le survivant entra dans le bureau, il soupira immédiatement de soulagement en voyant Drago sur les genoux du directeur, le petit garçon descendit bien vite pour se jeter au cou de Harry qui c'était agenouillé. Pleurant, Drago lui fit plein de bisous en disant :
« J'ai eu si peur quand tu es parti papa. »
Harry sourit en l'entendant utilisé aussi naturellement ce mot, il l'embrassa aussi en murmurant :
« Moi aussi j'ai eu très peur pour toi mon grand. »
Harry croisa alors le regard de McGonagall et son sourire s'effaça, elle était furieuse, et Harry savait qu'il allait en prendre pour son grade. Il lui lança un regard suppliant en désignant Drago, l'austère professeur opina et Harry ramena Drago dans leur appartement non sans avoir demander à ses amis de s'en occuper pendant un moment. Drago pleura, refusant de le laisser repartir, mais Harry lui promit qu'il allait seulement voir le directeur, le petit garçon lui fit encore plusieurs bisous et le laissa partir sans pouvoir retenir ses larmes.
Harry retourna au bureau du directeur, à peine était-il rentré qu'il reçut une gifle monumentale de la part de sa directrice de maison, d'un ton sec elle dit :
« Mr Potter jamais je n'ai vu pareil stupidité chez un de mes élèves, avez vous bien conscience de vos actes ? Vous vous rendez compte que vous auriez pu mourir en agissant ainsi ? A défaut de penser à votre propre sauvegarde pensé donc à la vie qu'aurait eu votre fils si vous étiez mort ! »
Harry la regarda choqué autant par le geste que par les paroles, jamais il n'avait vu McGonagall lever la main sur un élève, et le ton qu'elle avait employé l'avait réellement blesser. Il la dévisagea sans pour autant prendre un air hautain et répondit d'une voix calme :
« Sauf votre respect professeur c'est justement parce que j'ai pensé à Drago que j'ai fait cela, à Drago et à vous, je ne remet pas en cause vos capacités, mais vous n'avez pas la puissance nécessaire pour affronter Voldemort, moi si. Ce n'est pas plus compliqué que cela. »
Il n'y avait aucune trace de vanité que ce soit dans sa posture ou sa voix, c'était un fait et ils le savaient tout les deux. Malgré elle McGonagall du reconnaître intérieurement qu'il avait raison et fut touchée qu'il ai voulu la protéger, mais elle ne pouvais faire taire son inquiétude et dit :
« Mr Potter, ce que je vais vous dire va vous faire du mal mais je veut que vous preniez conscience de la folie que avez commise. Il y a eu un autre sorcier qui c'est cru assez puissant pour vaincre celui-dont-on-ne-dois-pas- prononcer-le-nom, et certes il était puissant. Extrêmement puissant, mais cela n'a rien changé, il est mort tout de même, vous savez qui c'était ?
Votre père ! J'ai perdu plus d'un de mes élèves de la main de ce monstre et je refuse que vous soyez le prochain. J'ai déjà enterré vos parents et je refuse de revivre cela.»
Harry refoula ses larmes tout en jetant un regard au directeur, qui jugea préférable d'intervenir :
« Ma chère Minerva, vous avez raison, mais Harry n'a pas tort non plus. Reconnaissez que vous ne pouvez affronter Voldemort, et que Harry à certainement prit la meilleur décision qui soit dans un cas comme celui là. Cela ne veut pas dire que tu doit te croire invincible Harry, tu as eu de la chance, beaucoup de chance. »
Harry et McGonagall hochèrent la tête, et le professeur de métamorphose s'excusa de l'avoir frappé, Harry lui sourit en disant que c'était oublié. Dumbledore sourit à son tour et dit :
« Bien Harry j'aimerais que tu nous raconte ton combat, si mes sens ne me trompe j'ai senti deux sorts impardonnables et un sort que je ne connais pas. »
Harry s'exécuta :
« Je vous passe les détails, les piques habituelles et les propositions ridicules. Il n'y a eu que trois sort, quatre si on compte sa fuite. Il m'a lancé un Avada Kedrava que j'ai contrer avec un sortilège de mon invention, je vous l'expliquerais à l'occasion, et ensuite je lui ai jeté un doloris, et il à fuit. »
Les deux professeurs se regardèrent bouche bée, mais Dumbledore reprit vite une contenance et demanda :
« Comment sait tu lancé un doloris Harry ? »
Harry afficha un sourire ironique et répondit :
« Sans doute à force de le subir. En fait je n'y ai pas réfléchi, mais maintenant que vous me le dite il est vrai que je ne l'ai jamais appris. »
McGonagall était toujours choquée mais pu tout de même articuler :
« Vous avez crée un sort capable de résister à un Avada Kedrava ? »
Harry sourit, tentant de dissimulé sa fierté, et répondit :
« Oui mais il faut une très grande puissance magique pour le lancer, dans le principe c'est assez simple : un mur de protection, dans la pratique c'est autre chose. »
Les deux professeurs hochèrent la tête pensivement, les deux se posaient la même question :
Comment ce jeune homme à peine sorti de l'enfance avait put résoudre un des plus grand problèmes de la magie ?
Aucun ne trouva la réponse et Harry fut libéré, non sans avoir eu l'assurance de Dumbledore que l'utilisation d'un sortilège impardonnable sur Voldemort ne lui apporterait aucun problème avec le ministère.
