Note de l'auteur: J'ai bien vacancé et j'ai réussi à vous pondre ce tout petit chapitre. Je sais, c'est pas super, mais j'ai pas encore trop l'habitude de toute la smahla HP, donc leurs caractères ne sont pas trop respectés (vous allez vite vous en rendre compte avec Draco, vu qu'il tremble pas devant Papa Malfoy!). J'espère cependant que je ne suis pas trop hors sujet! Bon, il ne faut pas s'attendre à ce que l'action décolle vite, je ne fait que placer la situation des persos avant leur rentrée.
Je sais que dans la partie Draco c'est un peu fort ce que je sort, mais j'y tenais! J'avais pas envie de m'éterniser sur ce passage. De toute façon, Lucius est plutôt du genre direct. Non? Quand à la deuxième partie, même si je ne mensionne pas son nom, tout le monde trouvera je crois. Un indice pour ceux qui ne trouve vraiment pas: le E. signifit Enrinan. Rah! le truc qui vous aide vraiment! Non?
Zut! Flute! Et trompe de mamüth! Hum... En gros, je disais que, COMME D'HABITUDE, je vous bourre la tête! Va falloir s'habituer si vous suivez cette fic! Je baratine toujours avant et après. J'ai fait une exeption pour le prologue, mais bon...
STOP! Bon, Rafel, tu te tais et tu laisse la place aux écrits...
Allez... Bonne lecture!
° Rafel
PS: Les '' marquent les flashs-back, les '' marquent un changement "important" de l'"action" et pour finir les ' ' marquent un changement de partie (endroit, perso, etc).

Plus que trois semaines!

Le jeune blond soupira. Bientôt ce serait la fin des vacances. Vacances riches en suprises. Il s'allongea sur un grand lit tendu de brocard rouge et ferma les yeux. La chambre autour de lui s'estompa et les souvenirs lui vinrent.

- Père vous m'avez fait demander?
- Ferme cette porte et assis-toi.

Le jeune homme entra dans la pièce avec révérence et ferma la lourde porte d'if massif. Il avança prudement sur le couteux tapis de Damas, serpentant entre les tables basses supportants d'inombrables bibelots et les guéridons où s'étalaient des livres aux divers sujets. Il arriva enfin devant le bureau de son père et regarda son géniteur avec respect.

C'était un homme de haute taille qui se tenait très droit. Sa large stature était à la mesure du fauteuil dans lequel il était assi. Ses longs cheveux d'un blond presque blanc étaient noués en un élégant catogant. Son regard d'un bleu très pâle rencontre l'acier du regard de son fils.
Les deux hommes se ressemblaient par la force, la fierté et la virilité qu'ils dégageaient. Mais le plus vieu portait ses cheveux longs, alors que le jeune avait les cheveux coupés en brosse, si ce n'est une ou deux mèches qui lui retombaient sur les yeux. Les deux regards étaient clair et pur, mais d'une teinte différente.

Le jeune homme attendit que son ainé lui fasse un signe et s'assit. Il croisa les bras et se cala dans le fauteuil, montrant ainsi à son père qu'il n'avait pas peur. Tout au moins en apparence.

- Draco, te souviens-tu d'Elzabet de Montarno?
- La petite Elza, la fille d'Esmond et Frances?
- Précisément.

Le jeune blond fronça les sourcils. Comment ne pas se souvenir d'Elzabet?

Son père, Esmond de Montarno, avait vécu toute sa vie en France avec son père et n'était venu en Angleterre à l'âge de 43 ans, pour, enfin, rencontrer sa mère, une petite bourgeoise que son père n'avait même pas épousée. C'est en se rendant dans le Devonshire pour y rencontrer sa génitrice qu'il avait rencontré Frances Byshops. C'était une très jeune fille, à peine 20 printemps, d'une grande beauté. Tout de suite, Esmond tomba sous le charme et lui fit la cour. La famille de la jeune fille accepta sa demande de mariage et la cérémonie fut célébrée auprès de la mère du marié.
Le marié en question ramena sa jeune femme en France, pays dont elle portait à ravir le nom. Il l'instala dans sa propriété de la Loire et la combla de cadeau. Bien sûr, ce n'était pas vraiment un mariage d'amour, mais une tendresse réciproque unie bien vite les époux. Cette tendresse fut consolidée par la venue au monde de Guillaume, leur premier enfant. Puis vint William et pour finir Elzabet Marie.

La première rencontre entre les de Montarno et les Malfoy se firent grâce à Frances et à Narsicia, toutes les deux faisant parti de la même organisation magique. Draco rencontra Elzabet alors qu'il n'avait que 9 ans et elle 6. Déjà, ils avaient un caractère prononcé, lui étant orgueuilleux et désinvolte, elle rusée et ambitieuse. Ils s'entendirent parfaitement et firent les 400 coups pendant le peu de temps qu'ils passèrent ensemble. La séparation fut assez douloureuse,mais ils ne montrèrent rien. Draco perdit la trace d'Elzabet et cru que ses parents aussi. Mais il se trompait fort: son père entretenait une correspondance régulière avec Esmond et Frances recevait Narsicia de temps à autre, dans la propriété des de Montarno en Angleterre.

Draco sortit de ses pensées et regarda son père.

- Oui, je m'en souvien. Auriez-vous des nouvelles de sa famille?
- Oui, des nouvelles. Draco, tu va bientôt être un adulte, tu as 17 ans... Oh!, j'ai l'impression de parler comme un ancètre, mais tu connais la chanson: Je ne serais pas toujours là; et la lignée des Malfoy doit continuer.
- La lignée? Elzabet...
- Oui, tu as compri.

Draco ferma les yeux un instant. Le mariage, il n'y avait jamais vraiment pensé; surtout avec Elzabet. Leurs caractères se correspondaient, certe, mais il ne se voyait pas passer toute sa vie auprès d'Elzabet. De plus ce n'était qu'une enfant!

Comme s'il avait compri son fils, Malfoy père soupira.

- Je consois ton trouble, mais tu savait bien que l'amour n'aurait pas sa place dans ton mariage. Réfléchis, Elzabet est belle, riche, intelligente. Et surtout, elle a beaucoup de pouvoir. Vos puissances magiques alliées donneront un enfant très fort.

Draco sursauta. Les enfants... Il avait complètement zappé cet aspect du mariage. Il se souvenait d'Elzabet comme d'une toute petite fille, déjà très belle, mais il n'arrivait pas à l'imaginer au lit. Seigneur, elle n'avait que 14 ans!

- Père, je... Vous vous rendez compte de ce que vous m'annoncez? Je... Mon mariage est arreté, n'est-ce pas. On ne peut revenir dessus...
- Non, en effet.
- Mais, voyez-vous, je vais épouser une petite fille. Vous la dite belle, intelligente, riche, forte, mais elle n'en reste pas moins une gamine. Je ne sais si elle pourra tenir le rôle de maitresse de maison. Quand à lui faire un enfant, vous n'y songez pas! Elle ne doit même pas être réglée et encore penser que les bébés arrivent grâce aux cigognes.

Le père de Draco eut un sourire en coin. Son fils était vraiment son portrait craché: un esprit mordant et une langue de vipère. De quoi vous mettre un homme K.O. est cinq phrases.

- Draco, ne sous estime pas la demoiselle, je suis sûr qu'elle t'étonnera. Pour ce qui est de l'enfant, ce n'est pas tout de suite que tu vas lui faire; je suis peut-être vieux, mais pas à ce point. Tu as encore une dixaine d'années avant de te mettre à l'oeuvre.

Les images s'estompèrent de l'esprit de Draco. La discution s'était ensuite vite finie et la sentence était tombée: aux vacances de Noël, Elzabet de Montarno deviendrait Mme Malfoy.

Le soleil déclinant lança ses derniers rayons à travers les hautes fenètres et les particules volant dans l'air furent visibles, comme mille et une poussière d'or tombant jusqu'au sol en arabesques fantastiques.

La jeune femme frappait avec force dans le sac de sable. Son visage en sueur ne reflétait rien sinon une passivité dûe à un long après-midi de sport. Elle enchainait, avec grâce et adresse, directs, fouettés, crochets et chassés. Son corps fin et musclé était moulé dans une combinaison d'un gris perle et ses cheveux bruns étaient retenus en une lourde tresse qui se balançait jusqu'à ses hanches.

- Bon... Les gars! Et mademoiselle..., c'est fini pour aujourd'hui. Vous avez fait un bon boulot. Veuillez ranger les balles et les gants, les vestiaires sont ouverts et la douche est libre.

L'homme qui avait parlé était le gérant de la salle, Mike Falburguin. Un peu rond, il ne se dégageait pas moins de lui une grande force et une aura de virilité. Ses sombres cheveux commençaient à s'argenter aux temps et ses yeux étaient entourés de rides. Pourtant, il restait très jeune et gardait toujours un doux sourire aux lèvres. Dès son plus jeune âge, Mike était passioné par le sport et dès qu'il avait pu, il avait monté un club, dans une salle qu'il avait achetée avec ses quelques économies. C'était dans cette salle que venait régulièrement s'entrainer, aux différents arts du combat, une douzaine d' hommes ainsi qu'une très jeune femme.

Le gérant ne savait rien d'elle sinon, qu'elle arrivait tout les jours en premier et repartait la dernière. Elle m'était beaucoup d'application dans ce qu'elle faisait et était forte dans tout les sports de combat. En plus d'être jolie, elle semblait assez intelligente. Dans son sac, il y avait toujours un ou deux livres. Mike se demandait souvent qui elle était; il ne savait d'elle que ses initiales marquées sur son sac, elle payait en liquide et ne montrait jamais sa signature. La jeune H.E.G. restait une énigme pour le club et son gérant.

La mystérieuse H.E.G. était présentement en train de ranger ses gants de boxe dans son sac, avant de se diriger vers la douche. Elle regarda la montre mural et sourit. Il ne devait rester dans les vestiaires que deux ou trois hommes qui tenteraient de la racompagner. Comme chaque soir. Et comme chaque soir, après avoir pris sa douche, elle leur dirait gentillement que non, elle ne voulait pas les déranger, qu'elle n'habitait pas loin et qu'elle les revérait le lendemain.

La brune entra et se qu'elle vit lui donna raison: trois hommes, un blond et deux bruns, tous les trois assez grands et assez bien de leur personne, tardaient à ranger leurs affaires. Elle leur offrit un charmant sourire avant d'ouvrir la porte des douches. Elle la ferma grâce à un petit verrou et posa ses affaires sur un banc. Elle entreprit de se désabiller et sa combinaison grise vint rejoindre ses gants et ses livres. Bientôt une cascade de boucles d'un brun très doux où flottaient des reflets acajoux croula sur ses reins.

La jeune femme entra dans une des nombreuses cabines de douche et ouvrit le robinet. L'eau, prérèglée, coula chaude et apaisante sur son corps en sueur. L'effort avait peut-être fait mollit son corps, mais son esprit n'en resta pas moins en éveil. Tandis que le liquide délassant coulait entre ses seins, courrait sur son ventre plat et se perdait dans le triangle doux qu'abritaient ses cuisses tendres, son esprit vagabondait sur divers sujets. Qu'allait-elle faire lundi prochain? Ce jour là, Mike prendrait enfin un moment de congés et la salle qui restait ouverte tous les soirs pendant les vacances, fermerait jusqu'à la rentrée dans 3 semaines. Ses fournitures? Oui, pourquoi pas? Lundi soir, après avoir fini le ménage dans son apartement et fait les courses, elle irait de nouveaux faire des courses, mais d'un tout autre genre. Mais avant tout, il faudrait qu'elle retrouve la liste.

La jeune brune sortit de ses pensées et soupira. Elle allait devoir y aller, décevoir les jeunes gens qui l'attendaient et dire aurevoir à Mike. Après celà, elle rentrerait à pied, comme chaque soir, et s'écroulerait sur son lit. Son chat viendrait la voir et elle s'endormirait en le caressant et murmurant son nom: Pattenrond.

Une tête rousse sortit de sous la couette et un grand sourire naquit entre les taches de rousseur. Vengeance! Ce matin, les jumeaux payerons!

Ron se leva prestement et enfila un T-shirt délavé par dessus son boxer trop petit et vert pomme. Il attrapa son traversin recouvert d'un drap aux couleurs de Canons et sortit de sa chambre. Dans le couloir, il marcha sur la pointe des pieds et alla toquer doucement à la porte de sa soeur, ex-chambre de Percy. En pensant à Percy, Ron soupira; quel gachi... A cause de son ambition, le jeune homme avait perdu sa famille; entre eux, il y avait plus de distance qu'entre la Terre et Proxima du Centaure.

Préférant ne pas s'enfoncer dans des considérations astronomiques, Ron revint sur Terre et soupira. Ginny dormait surement encore. Il ouvrit doucement la porte et eu un sourire de tendresse. Sa soeur gisait en travers du lit, dont toutes les couvertures se trouvaient ça et là dans la chambre. Elle était, en tout et pour tout, vétue d'une petite culotte bleue ciel des plus sages et d'un soutien-gorge blanc. Ron savait depuis longtemps que sa soeur n'avait plus un corps de fillette, comme il savait que Ginny ne faisait rien pour mettre en avant ses jolies rondeurs. Même ses sous-vêtements n'étaient pas recherchés, pourtant Ron savait que, même si elle ne les montraient pas, les filles aimaient porter de jolies choses.

Le roux secoua la tête. Dessidément, ce matin, ses idées partaient dans tous les sens. Il pénétra dans la chambre et referma doucement la porte. Il posa son traversin sur une chaise et s'approcha lentement du lit de sa soeur. Il s'agenouilla à côté de sa tête et déposa un baiser léger sur le bout du nez de la rousse. Ginny fronça ses taches de rousseur avant d'ouvrire doucement ses grands yeux bleux. Elle vit Ron et sourit. Vengeance!

La jeune fille se leva prestement et fit signe à son frère qu'elle était prète. Elle frotta ses yeux encore légèrement endormit et attrappa son oreiller d'un jaune criard, qui jurait affreusement avec ses cheveux et ses sous-vêtements. Ron leva un sourcil. Puis le rebaissa, après tout Ginny pouvait très bien aller réveiller "gentillement" ses frères dans cette tenue. Il agrippa son traversin et ils sortirent. Dans le couloir, ils marchèrent avec la plus grande des précotions et arrivèrent devant la chambre de leurs ainés. Même si Fred et George avaient leur propre commerce, ils n'avaient pas encore d'habitat à eux. Ils louaient à l'année au chaudron baveur et revenaient pour les vacances au Terrier.

Ginny, espiègle, mima à Ron un petit bouc, désignant ainsi Fred, sa future victime. Pour demander confirmation, Ron mima des favoris et sa soeur asquiessa. Elle ouvrit ensuite la porte et pénétra dans la pièce, suivie de Ron.

Les deux jumeaux étaient là, endormis dans leurs lits magiquement agrandits. Fred était sur le ventre, les deux mains sous la tête. Quant à George, il était enfoui sous les draps, les mains "on ne sait o". Ginny s'approcha doucement du lit de Fred, du côté de la fenêtre, et Ron serpenta entre les vêtements pour atteindre George. Le roux compta avec ses doigts jusqu'à 3 et hurla.

- Kaïïï...! Veangeance!

Et il abbatit son traversin sur George. Pendant ce temps, Ginny avait sauté sur Fred et se tenait à califourchon sur son dos, lui assénant des coups d'oreillers sur le crane. Les jumeaux abasourdient se laissèrent un instant faire, puis George réagit et empoigna les côtes de Ron et chatouilla. Des hurlements de rires s'élevèrent et les coups de traversin se firent plus espacés. Fred réagit à son tour et se retourna vivement. Il allait prendre Ginny par les épaules et la secouer quand il se rendit compte de leurs tenues respectives, c'est-à-dire une petite culotte et un soutient-gorge et un simple boxer, et de leur position. Il rougit et laissa échapper une occasion en or. Ginny, quand à elle, nullement génée, plaqua le cousin sur le visage de son frère et pressa. Celui-ci se débatit, mais la rouquine le tenait fermemant.

A cet instant, la porte s'ouvrit sur Charlie, en peignoir mauve, et Bill, en boxer noir où s'étalaient les mots "I'm a sex machine"; tous les deux étant muni d'un oreiller. Ils avaient entendu, à l'étage inférieur, la bataille qui opposait leurs cadets. Les deux frères étaient sortient en même temps de leurs chambres respectives et étaient entré en collision. Tout de suite, ils s'étaient accordés: Charlie aiderait Ginny et Ron et Bill s'occuperait de George et Fred.

Note de l'auteur n°2: Hihihi! Me voilà de retour pour vous jouer un mauvais tour! Moi, moi, la RafRoket... Ok, j'arrette de snifer l'oxygène de mon papa (médecin) quand il a le dos tourné. Bon, pour parler plus sérieusement (ham!), si quelqu'un a été choqué (je pense que non, mais on sait jamais!) par la phrase décrivant le parcours de l'eau sur H.E.G., je tiens à m'excuser. Et je tiens à dire que je ne suis pas une madone espagnole (surtout pas comme Santa Raphaela del Sol ) donc ce n'est pas ma dernière allusion, de plus il y aura surement des scènes plus holé! Pour toute personne choquée: veuillez me le faire savoir, je signalerais dans une note (Vive les notes!!) si le chapitre contient quelque chose.
Et voilà comment on écrit 3 lignes pour ne rien dire. Enfin... Un conseil, si vous voulez baratiner, prenez un sujet quelquonque et dites des phrases au hasard, rajoutez des conjonctions diverses et des mots savants, secouez et vous obtenez un truc complètement inutile qui remplit plein de place (très utile lorsqu'on à rien à dire en français ou en histoire et que votre prof vous gonfle).
Bon, vraiment là! Stop!!! Je vous jusre! J'arrette! "Parloret, le nouveau patch anti-blabla!"
Bon, je ne vais pas dire autre chose sinon je vais y passer la semaine. Juste un dernier truc (et pas de protestation au fond de la salle!) reviewez, s'il vous plait. Même si c'est juste pour deux mot, ça fait toujours plaisir!

Note de l'auteur n°3: Petite note de dernière minute: Je trouvais ce chapitre un peu court donc j'ai mit une partie (morceau consernat les Weasley) de ce que je pensait être le deuxième chapitre. Donc vous n'avez pas toute l'action, ni le pourquoi du comment (ou la raison de cette vengeance). La raison et l'issue de ce combat vous seront données dans le prochain chapitre; une bonne raison de rester à l'affut. Bon, cette fois, je vous jure, je vous laisse!