Voici la suite de ma première fic la fin d'un monde et le début d'un autre.

Disclamer : comme d'hab tous les perso et les lieux sont à tolkien, les farces mon perso et ce qui n'appartient pas à tolkien est à moë. Bonne lecture.

Ma vie, mon oeuvre chapitre 1

Salut, c'est remoë. C'est dingue comme le temps passe vite quand on s'amuse. Pour moi, c'est comme si c'était hier que je suis arrivé ici en Valinor à bord du Vingilot. Tout le monde est très gentil avec moi. Les Valars ont purifié mes pouvoirs le jour ou je suis arrivée. Je pensais que se serais long et ennuyeux. Mais en fait, ça a été très long et très ennuyeux. Pas bouger, pas rire, pas manger, pas parler presque pas respirer. Pfffffffffffffuuuuuuuu. Trop dure. Et ça a duré, oh ! Bien, 4 longues heures. Puis après m'avoir pris le chou pendant 4 heures, ils m'ont dit d'aller me reposer alors que je voulais gambader dans les jardins de Lórien mais ils me l'ont interdit, parce qu'il fallait que je reprenne des forces ( imaginer avec une voix de sale gosse hypocrite ). Quel bande de rabat joie ! Mais quand j'ai posé la tête sur l'oreiller, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, je me suis réveillé 3 jours plus tard. Et là j'ai eu le droit de me promener dans Valinor.

La première fois que j'ai marché seule sur le continent d'Aman, j'ai eu un choc en me retournant et en voyant un chemin plein de petites fleurs blanches et odorantes, les même que dans mon rêve quand j'avais expédié des númenoréens noirs dans les cavernes de Mandos. Un jour j'ai voulu y aller pour voir comment c'était à l'intérieur, mais Mandos m'a envoyé paître, il m'a dis que je ne pouvais pas y aller car ce n'était pas aimable de se moquer des morts. J'aurai du me rappeler qu'il pouvait lire dans les pensées et moi qui me faisais une joie de me foutre de la gueule de ces péquenauds, puants, pouilleux et surtout morts. Hihihihih je suis mauvaise. Bah, je pense qu'il devait avoir raison comme d'habitude. Ils sont quand même énervant les Valars, parce qu'ils ont toujours raisons, c'est chiant. Bon j'ai donc du abandonner l'idée des cavernes. Qu'à cela ne tienne, il y a pleins d'autres trucs à faire, il faut simplement que je trouve quoi ?

Je m'ennuie, enfin je me suis ennuyé 2 mn, parce qu'après, y a Tulkas qui m'a coursé en beuglant que c'est moi qui lui avais piqué son épée. Il est fort, mais pour ce qui est de la cervelle y a pas grand chose. Ça faisait quand même 3 semaines que je lui avais fauché et en plus devant son nez et il n'a même pas compris pourquoi tous les autres étaient esclaffés, il croyait que c'était pour son histoire totalement stupide. Mais sinon il est très gentil. Je lui ai rendu son épée mais à une seule condition, que je puisse m'entraîner aux sports de combat. Car c'est pas parce que je suis à l'abri sur Valinor que je dois me reposer sur mes lauriers et plus rien faire. Il peut toujours y avoir un ennemi à combattre.

Alors je me suis entraînée, seule. Car tout le monde pense que parce que je suis une femme, petite, douce avec les enfants, je suis quelqu'un d'inoffensif. Quand Oromë m'a dit ça devant tout le monde, je me suis mis en colère mais, je n'ai pas utilisé mes pouvoirs, car cela aurait prouvé qu'ils avaient raison et que je suis inoffensive. Non, je me suis jetée sur lui sous les regards éberlués de toute la communauté elfique de Valinor et des Valars, et je l'ai mis au tapis en 3 minutes top chrono. Il n'a rien pu faire. Mais là, j'avais l'effet de surprise pour moi. Alors, j'ai accepté la revanche. Il m'a foncée dessus de toute sa force et j'ai utilisé sa force et sa vitesse contre lui. Il a fait un vol plané magnifique et s'est écrasé avec...heu, je veux dire sans aucune délicatesse sur une belle petite table qui, après l'atterrissage d'Oromë, ne ressemblait plus à une table. Avant qu'il puisse se relever, j'étais sur lui et je le menaçai de le transformer en fille s'il n'enlevait pas ce qu'il avait dit de moi. Il a été obligé de le faire chuis la meilleure. Mais au moins j'ai prouvé à tout le monde que je ne suis pas une petite fille que l'on doit protéger. Je sais me battre, et je le fait bien. Maintenant, c'est Tulkas qui m'entraîne, 2 heures par jours, parce que je fais d'autres choses la journée.

Aulë m'apprend l'art de la forge, je sais maintenant forger mes propres épées. Mais aucune de celles que je fais n'égalera French Kiss et Mort Subite. Mais au moins, je pourrais reforger Mort Subite si un jour je remet les pied sur Arda. Les Noldors eux m'apprennent à créer des choses plus artistiques, c'est vachement long et ce que je fais c'est vachement laid. Tout le monde me dit mais non c'est beau, mais je sais qu'ils n'en pensent pas un mot. De toute façon, un jour, j'y arriverai je ferai enfin quelque chose de beau. Mais plus tard.

Les Teleris m'apprennent l'art de la navigation, et la construction de navires, c'est dure, mais moins que l'art des Noldors. Quand aux Vanyars, ils essaient de m'apprendre le chant, mais j'ai une voix de casserole, mais j'essaie. Quand aux Valars, eux, ils m'apprennent à contrôler mes pouvoirs et mes émotions.

Une fois, les Noldors m'ont raconté l'histoire de Beren et Lúthien, il faisait beau, pas un nuage dans le ciel, mais quand ils ont finis de raconté l'histoire, je me suis mise à pleurer, parce que l'histoire finissait mal. D'un coup, il a plu sans discontinuer pendant 3 jours. J'étais inconsolable, je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer. Jusqu'au moment ou Tulkas est arrivé trempé comme un rat et qu'il s'est fait jeté du palais. J'ai éclaté de rire et le soleil est réapparu. C'est bizarre mais plus personne ne veut me raconter des histoire triste. Le peu de temps qu'il me reste, je le passe à visiter le pays. Je me promène traçant des routes de fleurs dans tout le pays, on ne risque pas de me perdre, car on a qu'à suivre le chemin. Mais un jour, j'ai fait un sale coup aux autres, j'ai couru dans tous les sens ce qui fait qu'ils ne savaient plus où j'étais passé. Heureusement que Eönwë passait par là, parce que je m'étais perdu dans les jardins de Lórien et je ne savais plus d'où je venais. J'ai toujours eu un sens de l'orientation pourri. J'ai promis que je ne recommencerai pas cette petite blague.

Ça fait…..heu…..1,2 (je compte sur mes doigts), 3 oui, 300 ans que je suis arrivée à Valinor , et ils m'ont fêté mon anniversaire, un véritable anniversaire. J'ai jamais été aussi heureuse de ma vie, j'en ai pleuré, et tout le monde s'est caché sous les arbres craignant une pluie qui n'est pas arrivé, car ce n'était pas des larmes de tristesse mais de joie. J'ai eu une tonne de cadeau plus beaux les uns que les autres. Je ne vais tous les énumérer, mais je peux dire que j'ai reçu une bague en mithril ornée d'une aigue-marine, trop belle, très fine. On m'a offert aussi un habit masculin, mais coupé pour une femme, je suis trop contente. On m'a offert aussi une belle robe bleu très claire, quand je me promène, je porte cette robe, car elle est légère et je m'y sens à l'aise. Ce qui est bien, c'est que personne ne m'offre de petits escarpins qui vont avec les robes. Je dis " les " parce que je n'en ai pas une mais plusieurs. Et ils ont été très choqués quand ils ont entendu mon vocabulaire légèrement déraillé quand, pour faire plaisir à Varda, j'ai porté des chaussures à talons. Je suis tombé 3 fois et j'ai lancé des jurons qui ferai rougir un charretier. Ils n'ont pas recommencé l'expérience.

Je voudrais tellement les remercier, mais, je ne sais pas quoi faire. Oh, je vais bien trouver. Je vais me coucher et puis demain j'aurai une idée et si c'est pas demain, ce sera un autre jour.

A suivre

Alors avez-vous appréciez cette suite si c'est le cas dites le moi et sinon……dites le moi quand même. A