Disclamer : tous les persos se trouvant dans le vraie seigneurs des anneaux, appartient à Tolkien. C'est bien dommage. Le reste est à moi.
La honte de ma vie chapitre 4
Sauron est de retour, c'est peut-être lui qui menace les miens. Mais pourtant, je sens que c'est autre chose. Quelqu'un d'autre, mais qui. Et pourquoi ?.
- Ce que vous me dite m'inquiète encore plus. Il faut que je me dépêche d'arriver à Mirkwood. Pouvez-vous vous occuper du Solaris pendant ce temps ?
- Solaris ?
- C'est le nom de mon navire.
- Oh ! mais bien sur, je le ferais avec plaisir.
- Merci.
- Puis-je vous demander ce que sont les étranges lumières que l'on voit vers Valinor ?
- Vous arriver à les voir ?
- Oui ! seul les elfes peuvent voir au loin des lumières de Valinor.
- Ces lumières sont celles des 2 arbres. Dis-je en montant sur Ithil emportant les cadeaux des valar avec moi dans un petit sac à dos, et Elbereth dans les bras.
- Mais les arbres ont été tués par Morgoth, ils sont morts.
- Plus maintenant. Au revoir mon ami.
Je ne lui laisse même pas le temps de répondre, que je suis déjà partie sur la route vers Mirkwood. Ithil sentant mon impatience et mon inquiétude galop comme le vent, allant plus vite que gris poil. Je passe comme un éclair à travers la comté sans m'arrêter auprès des Hobbits pour leur parler. Le temps joue contre moi, je continue mon chemin, filant vers l'Est, ne m'arrêtant que pour laisser Ithil se reposer et Elbereth se dégourdir les pattes. Elle est ravi d'être du voyage. Elle le montre en aboyant et en nous léchant Ithil et moi pour un rien. La voir si exubérante me remonte le moral, elle est tellement mignonne, je craque quand elle me regarde avec le regard d'un cocker battu abandonné sous la pluie et attaché à un poteau au bord de l'autoroute.
En tout et pour tout, il ne nous fallu qu'une semaine pour arriver devant la forêt noire. Mais je ne reconnais pas l'endroit d'où j'étais parti il y a 500 ans de cela. Tout est noir et de la fumée épaisse et opaque flotte au-dessus du palais de Thranduil. Mon inquiétude grandi encore un peu, et je demande à Ithil d'avancer mais plus lentement dans les bois, car c'est un endroit à présent inconnu et qui transpire le mal. Mais les arbres se resserrent autour de nous et je dois descendre de cheval pour continuer la route à pied suivi d'une Elbereth qui n'a plus du tout envie de gambader dans la forêt. Elle est nerveuse, inquiète et elle a peur. Il n'y a aucun bruit dans la forêt, le silence est irréel, la peur d'Elbereth contamine Ithil puis à mon tour, je commence à sentir la morsure de la peur. Ce n'est pas normal.
Qu'est-ce que c'est ? L'arbre qui bouge sans aucun vent. Je me rapproche doucement et
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! UNE ARAIGNEE ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Pris de panique, je me met à cavaler courser par une araignée aussi grosse que mon cheval qui lui est parti encore plus vite que moi suivi d'une Elbereth qui n'en menait pas large après mon hurlement. Je passe comme une fusée devant une troupe d'elfes qui se demandent qui est cette folle qui court comme un poulet dans un village d'Ethiopie. sans même ralentir, je bondis dans un arbre en face de moi.
Je prend une grande respiration pour me calmer un peu et tournant la tête, je tombe nez à nez avec 8 paires d'yeux qui me disent vient que je te bouffe. Et rebelotte, panique complète et je recommence à courir courser par une autre araignée devant les elfes qui s'esclaffent. vous me dite pourquoi ? Eh bien je vous le dis. J'ai une peur panique des araignées et dans ma terreur, je n'ai pas réalisé que les araignées faisaient à tout casser 3 cm de diamètre, mais j'ai une excuse, il fait noir. ( ouais, je sais, elle est nulle cette excuse ).
Je continue à courir dans tous les sens, jusqu'à ce que je comprenne que je suis plus que ridicule en entendant les rires des elfes. Je m'arrête net pour les regarder. Je ne les ai jamais vu de ma vie. Ils doivent être des elfes de Mirkwood. Là, j'ai vraiment honte. Mon caractère légèrement excentrique vient de me jouer un mauvais tour. Je baisse la tête rouge comme une pivoine devant leurs rires claires.
Je vais leur demander ce qu' il est arriver à Mirkwood, ils me répondront sûrement. J'allais le faire, quand j'entend un cri. Me tournant vers le son incongru, je vois une forme noire me foncer dessus. Faisant un pas en arrière, je peux voir la forme s'écraser brutalement sur l'arbre et tomber à terre plus que légèrement étourdie. M'approchant prudemment de cette chose, qu'elle n'est pas ma surprise de reconnaître :
- MEL ! Tu veux faire quoi là, blesser quelqu'un ou quoi ? Et combien de fois t'ai-je dis de ne jamais crier quand tu attaque un adversaire, c'est le meilleur moyen d'échouer.
Légèrement énervé par mon aventure avec les araignées, j'ai décidé de me venger sur Mel. Je sais c'est méchant, mais j'ai personne d'autre sous la main. Le prenant par une de ses oreille pointues, je le traîne vers la porte du royaume sous les yeux exorbité des autres elfes qui ne comprennent plus rien. De toute façon ils sont pas les seuls, parce que moi non plus je comprends que dalle.
En le questionnant, j'apprend que les elfes de Mirkwood et de phœnix sont en guerre et ce depuis bientôt 3 mois. C'est assez difficile à comprendre, car il gémis de douleur en parlant.
- Mel, articule quand tu parle…je veux dire quand tu gémis. Et puis marche droit. J'ai quand même essayé de t'élever le mieux possible en t'inculquant le respect de la vie, la tolérance, la fraternité, et l'obéissance.
Je m'arrête brusquement et je me met à lui hurler dans les oreilles qu'il a très sensible sous le regard désolé des elfes qui voudraient bien l'aider même si c'est un ennemi, car ils n'ont jamais vu une engueulade pareil et ils ne voudraient pas mais pas du tout être à sa place :
- QU'EST-CE QUE J'AI FAIT DE MAL ? TU PEUX ME LE DIRE ?
Il gémis doucement et murmure d'une voix brisée par la douleur :
- Rien, maman, tu n'as rien fait de mal.
Les larmes de douleur commencent à couler sur ses joues pâles. Il a l'air affamé, épuisé et cadavérique. J'ai vraiment peur que le mal n'ai déjà été fait. Je recommence à lui parler mais d'une voix plus douce, celle d'une mère à son enfant.
- Et puis, depuis combien de temps n'as-tu pas mangé et ne t'es-tu pas couché ?
Il ne me répondit pas tout de suite, mais sa réponse me fait trembler de peur.
- Depuis que Meredith est arrivé.
A suivre.
La suite au prochain numéro. Je vais peut-être ressuscité quelqu'un que tout le monde croyais mort. Mais ça vous le saurez plus tard. Ah, une dernière chose, pourriez-vous m'aider à trouver des noms elfiques pour mes persos. Merci. En attendant, reviewez s'il vous plaît. De toute manière, A
