Disclamer : comme d'hab ce qui ne m'appartient pas donc tout appartient à Tolkien.

Attention certaines information contenu dans le présent paragraphe peuvent choqué les âmes sensible.

Distribution de présents chapitre 17

Après plusieurs heures de marche, nous sommes arrivés enfin dans la cité elfique de Caras Caradhon. La tristesse était encore maîtresse de notre âme et même la beauté de la cité ne pouvait la faire disparaître. On nous demanda de monter un grand escalier qui tournait autour d'un gigantesque mallorn, Elbereth courait devant, arrivait en haut puis redescendait pour recommencer son numéro sous le regard rieur des elfes de la Lothlórien. Nous avons atteint enfin la demeure de Galadriel et de Celeborn. Quand elle vit les deux souverains, elle leur sauta dessus sous le regard choqué des gardes qui ne purent rien faire.

Celeborn eut un mouvement de recul quand la petite louve qui devenait quand même lourde lui tomba dans les bras, elle se mit à lui lécher le visage sous le rire discret de la dame de Lórien qui n'échappa elle non plus aux embrassades passionnées d'Elbereth. Enfin après avoir dit bonjours à sa manière aux deux roi elfes, elle resta dans les bras de Celeborn trouvant qu'il sentait très bon et qu'elle était très bien dans ses bras, et elle s'endormit. Le roi la regarda avec un sourire aimable et la posa délicatement sur un coussin qui se trouva près de lui.

Libéré de se fardeau très léchant, il se tourna vers nous, prit Galadriel par la main et ils descendirent avec grâce le petit escalier qui les séparait de nous. Nous étions tous côtes à côtes. Aragorn devant puis Boromir, Merry et Pippin derrière de gondorien, Sam et Frodon derrière le rôdeur, Gimli près de Frodon, Legolas derrière tout le monde et près de moi. Côte à côte de la sorte, nous ressentions encore plus la perte de Gandalf. Ils s'approchèrent de nous avec grâce et Celeborn nous dis doucement :

-L'ennemi sait que vous êtes entrés ici. Tout espoir de passer inaperçu a désormais disparu. 9 sont ici alors qu'ils étaient 10 en quittant Foncombe. Dites moi où est Gandalf ? Car j'aimerais vivement m'entretenir avec lui et je ne puis le voir de loin.

Galadriel se tourna vers Aragorn et lu dans son regard la terrible nouvelle.

-Gandalf le gris n'a pas passé les frontières de ce pays. Il a basculé dans l'ombre.

Aragorn avait l'air d'être prêt à montrer ses sentiments les plus profond et Celeborn était choqué par ce que venait de dire son épouse. Legolas baissa les yeux et répondit :

-En effet, il a été pris par l'ombre et la flamme. Un balrog de Morgoth. Là Celeborn fut vraiment choqué car il pensait qu'il n'y avait plus de balrog depuis la chute de Morgoth. Legolas ajouta : car nous nous rendions sans nécessité dans les rais de la Moria.

Gimli s'en voulu pour ce qui était arrivé, il se disait que s'il n'avait pas insisté, Gandalf serait encore parmis nous. Il soupira bruyamment ravalant un sanglot. Galadriel dit doucement :

-Aucun des actes de Gandalf ne fut jamais inutile. Nous ignorons encore quel était son dessein. Surtout ne laisser pas le vide de Khazad - Dum remplir votre cœur Gimli fils de Gloïn. Car le danger a totalement envahi le monde et sur toute terre l'amour est désormais mêlée de souffrance.

J'eus un nouveau un flash, je voyais Celeborn lier mon poignet à celui de l'elfe à la couronne. Je fis un pas en arrière en secouant légèrement la tête pour reprendre mes esprits. Personne ne fit attention à moi, car ils étaient tous fascinés par Galadriel et son discours. Boromir avait l'air désespéré, Frodon et les autres hobbits étaient sous le charme de la dame de la Lórien comme tous les autres. Aragorn cachait ses sentiments, mais je ressentais sa peine. Je ne fis pas attention à ce que disait Galadriel ni qu'elle m'avait posé une question et qu'elle attendait une réponse. Je rêvassais à ma vie sur Valinor, mes longues promenades sur le continent d'Aman, mes farces envers les valar et les elfes, les farces des valar et des elfes envers moi, des moments de paix et de joie loin des aléas du temps et de la guerre. Une douce lueur commença à m'auréoler et la délicate fragrance des amdirs se répandit dans la pièce.

Soudain Galadriel me réveilla brutalement en me touchant l'épaule. Tout s'arrêta d'un coup, pour le malheur des autres qui puisaient dans cette douce odeur le courage de continuer la quête. Elle me regarda dans les yeux et me dit doucement :

-Tu ne pouvais pas le sauver.

-Je sais, son destin était tracé. C'est pour cela que je ne voulais pas entrer dans la Moria. Il m'a sauvé la vie, et je n'ai même pas été capable de lui rendre la pareille.

Les larmes recommençaient à couler le long de mes joues et se brisaient par terre avec un bruit de cristal brisé. Tous regardaient ces larmes liquides qui tombaient solides sur le sol.

Galadriel me murmura :

-Calmez-vous.

Trop tard, les premières gouttes d'un déluge commençaient à tomber sur les feuilles et les toits des maisons elfiques. Galadriel tenta de me consoler mais en vain. Je tombai à genoux et me mis à sangloter sans retenu, aucune. Je sentis à nouveau une langue douce me lécher le visage, et Elbereth me lécha le visage et gémit doucement me calmant par sa simple présence. Je séchais mes larmes, et la pluie cessa comme par magie. Galadriel m'aida à me relever et demanda à Haldir de me conduire à ma chambre pendant que les autres dormaient à même le sol je me demandais pourquoi j'avais droit à ce traitement de faveur. Haldir ne répondit pas encore vexé par le coup de la dague. Alors je pris la décision de ne plus lui parler enfin pour l'instant.

La chambre était belle, lumineuse mais il manquait un petit quelque chose qui faisait toute la différence. Mais je n'y restai pas longtemps, car la douleur de la perte de Gandalf même temporaire me faisait très mal. Je partis me promener dans le royaume de Lórien, suivi par le chemin de fleur. Les amdirs embaumaient l'air de Caras Caradhon par leurs délicates fragrances qui chatouillaient les narines des habitants de la cité elfique et leur retiraient toute lassitude. Notre séjour à Caras Caradhon dura un mois. Pendant ce temps, Frodon et les autres avaient vu les uns après les autres la dame blanche et avaient regardé dans le miroir. J'aurais souhaité rester ici encore longtemps protéger des regards indiscrets par Nenya l'anneau de diamant. Une semaine avant notre départ, Galadriel me convoqua devant son miroir. Elle me demanda :

-Voulez-vous regarder dans le miroir ?

-Non, car je sais ce qui va se passer pour la communauté de l'anneau. Elle va se dissoudre et l'anneau va prendre de l'importance dans le cœur de 2 mortels.

-La communauté, oui. Mais et vous ?

-Quoi moi ?

-Vous ne voulez pas voir votre vie ?

Elle piquait ma curiosité en me parlant de la sorte. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas pensé à mon futur.

-D'accord.

Elle versa de l'eau dans une vasque en métal argentée posée sur un socle de pierre sculpté de branches, de lianes et de feuilles, et le miroir ainsi crée se mit à montrer des choses qui furent, des choses qui sont et certaines choses qui ne se sont pas encore passées. Je vis tout d'abord Morgoth dans toute son horreur, Galadriel eut un hoquet de terreur, elle vit les différents combat que nous avions eut contre les armées de Morgoth. Elle vit le dernier et le plus long combat contre ce démon elle comprit avec horreur que cette bataille n'avait pas durée un mois où une semaine comme tout son peuple le croyait, mais une longue année. Elle fut la seule elfe d'Arda à pouvoir voir la destruction de mon monde et elle versa des larmes amer, car elle comprit que si ils n'avaient pas eut l'aide des valar, c'est ainsi que serait devenu Arda. Les images changèrent brusquement et je vis un royaume prospère. Et l'elfe qui hantait mes rêves était assis sur le trône. Ensuite, il tenait une lance et se battait comme un tigre. Une autre image apparu, je me vis prendre un enfant dans les bras et l'embrasser tendrement mais ce n'était pas Mel car l'enfant avait des yeux bleus. Puis il y en eut une autre, je chargeais une immense armée composé d'orques, d'hommes et d'ourouk. Il y avait près de moi Aragorn, Legolas et Gimli. Je fonçais dans la bataille. Enfin la dernière et la pire, je vis Sauron au bras de Meredith, le monde détruit à leur pied et foulant des monceaux de cadavres, et en arrière plan, Minas Tirith en ruine.

-C'est ce qui se passera si vous échouez. Frodon est le porteur et son rôle est de détruire l'anneau et par la même Sauron. Mais vous devez détruire votre ancienne amie, car même si Sauron est détruit, elle pourra le ramener du monde des ombres. Et vous savez comment.

-Oui, je le sais. Elle a sacrifié son plus jeune fils pour acquérir une partie des pouvoirs de Morgoth. Elle s'est alliée au seigneur des ténèbres. Elle a sa cruauté et sa malveillance. Elle s'est donnée à Morgoth. Lilith est la fille de Morgoth. Mais son fils lui était un elfe comme les autres, innocent. Il lui fallait le sang d'un innocent pour faire ce qu'elle voulait faire.

Galadriel eut l'air horrifié d'apprendre une telle nouvelle.

-Alors nous avons deux nouvelles ennemies, Meredith et Lilith.

-Non, car Meredith a pris les pouvoirs de sa fille en faisant un rituel de magie noire avec le sang de son fils. Mais j'ai une question à vous poser ?

-Oui, laquelle ?

-Qui est cet elfe qui hante mes rêves ?

-Vous le saurez en temps utile. Vous devez réussir la quête et aider la communauté. Vous pourrez peut-être sauver une vie.

-Boromir !

-Comment le savez-vous ?

-Comme je l'ai dis à Gandalf, il y a longtemps, il est trop tôt, mais vous saurez tout plus tard. A bientôt Dame Galadriel.

-A bientôt Ainatal.

Je la quittais pour rejoindre les autres et leur remonter le moral. Frodon me regardait d'un air abattu. Je lui fis un sourire éclatant et lui dit en riant :

-Qu'est-ce que ceci ? Un porteur de l'anneau qui perd son anneau. La honte !

Il devint tout rouge et farfouilla dans sa chemise sans trouver ni anneau ni chaîne, les autres se levèrent précipitamment mais comprirent vite que c'est moi qui avais l'anneau. Je lui tendis une petite bourse.

-Cette bourse est imperméable aux maléfices de l'anneau, et tu pourras le porter sans ressentir ou alors amoindrie le poids de l'anneau.

Frodon se releva d'un bond et se jeta dans mes bras.

-Merci, oh merci.

-Mais sache que lorsque tu arriveras près du royaume du Mordor, la protection de cette bourse diminuera jusqu'à disparaître complètement. Je suis désolé mais cela te donnera au moins un peu de temps pour te fortifier. Bon je vous laisse messieurs, je dois faire une farce douteuse à un elfe que j'ai rencontré il n'y a pas si longtemps et qui ne veut jamais me parler.

Tous me demandèrent en se relevant :

-On peut venir avec vous ?

-Bien sûr, mais une chose, arrêter de me vouvoyer. Merci.

Je partis gambader dans la forêt, suivi d'une communauté intrigué et désirant savoir ce que j'allais faire à Haldir, car cela ne pouvait être que lui. Je le recherchais mine de rien et le vis de l'autre côté d'un petit lac. J'allais lui parler comme si je voulais m'excuser ce qui bien entendu n'étais pas mon but ultime. J'avais demandé à la communauté de se cacher et de ne pas faire de bruit. Je m'assis près de lui et discutai, lui fis quand même mes excuses, lui expliquant que je me devais de protéger la communauté sachant qu'on avait déjà perdu un membre. Il me pardonna et me sourit gentiment ( le pauvre, il ne sait vraiment pas ce qui va lui arriver.) Je me relevai en même temps que lui et m'approchai du lac. Soudain, je pris l'air étonné et craintif en regardant le lac. Je me mis à trembler et lui demandai :

-Qu'est ce que c'est ?

-Quoi ?

-Ça là bas !

Il s'approcha du lac, se pencha pour mieux voir le truc invisible que je n'avais pas vu. Et avec un sourire vicieux, je le poussais dans le dos et il plongea la tête la première avec une expression de pure stupeur sous mes hurlements de rire. Il sorti la tête de l'eau en crachant et en me maudissant. Il me regardait me bidonner par terre. Il sorti comme une flèche de l'eau et me poursuivi dans toute la Lothlórien sous les rires des autres elfes et de la communauté. Il écumait littéralement de rage et je passais comme l'éclair devant Celeborn et Galadriel poursuivi par un elfe trempé comme un rat qui me menaçait des pires horreurs. Je saluais rapidement les deux souverains. Ils avaient du mal à ne pas rire. Je m'amusais très bien quand un flash me perturba. Ce fut une scène d'une violence inimaginable. Je tombai à genoux en me tenant la tête entre les mains. Je me mis à hurler de douleur, du sang coulait d'une de mes oreilles. Haldir se rapprochait de moi pour m'aider, mais Galadriel le retint. Je combattais des orques, et je fus attaqué par derrière. La douleur était atroce dans le dos. Me retournant je vis Meredith, clignant des yeux, ce n'était à nouveau qu'un orque. Mais la blessure me faisait souffrir, je sentis une douleur horrible dans le ventre, touchant la blessure, je vis du sang couler sur mes mains et je sombrais dans l'inconscience en entendant hurler mon nom.

Je me réveillais 3 jours plus tard, toute surprise de me trouver dans un lit alors que la dernière fois j'étais coursé par un Haldir trempé et hurlant de rage entouré d'elfes et de la communauté de l'anneau qui riaient de bon cœur. La communauté, mais nous devions partir pour la suite du voyage. J'allais me lever quand j'entendis la voix de Varda, Je me tournai vers elle et elle était là prêt de moi.

-Ne te lèves pas encore, mon amie. Ou ta blessure risque de se rouvrir.

-Alors cette bataille n'était pas née de mon imagination et les autres images non plus ?

-Non, elles sont issues de ton passé.

-Mon passé ! ! ! Mais…..

-Repose-toi. La communauté ne partira que demain et pour l'instant, tu peux te reposer. Et c'est faux tu sais ?

-Qu'est ce qui est faux ?

-Tu n'es pas un monstre, car un monstre aurait exterminé la communauté, prit l'anneau et aurait relevé le seigneur des ténèbres, ce qui n'est pas ton cas.

-Oui, tu as raison. En fait, j'ai peur de moi. Même à Valinor, je ne lâchais pas les armes. On dirais que je ne m'épanouis qu'au cœur des batailles.

-Je sais, car tu pressens que ton ultime bataille va bientôt avoir lieu et tu te prépare à y survivre.

-Merci Varda. Merci d'être toujours là pour m'aider et pour m'écouter et pour me soutenir. Quand j'ai vu qu'Elbereth avait disparu, j'étais prête à rester dans la Moria pour la retrouver. Mais elle était déjà dehors à nous attendre. Elle est jeune mais elle n'est pas stupide. Boooonnnne nuit. Dis-je à la Valie en baillant, et je me rendormis sans faire un seule rêve et sans voir Varda reprendre la forme d'une jeune louve noire avec des taches blanches.

Après un sommeil réparateur, je rejoignis mes compagnons pour leur plus grande joie. Haldir était là, je lui fis un sourire éblouissant et lui demandai innocemment s'il avait apprécié le bain. Il fronça les sourcils et je me plaçai près de la communauté en riant joyeusement. Celeborn nous offrit à chacun une cape elfique et dame Galadriel offrit à chacun d'entre nous un présent. Pour Frodon, ce fut une petite fiole contenant la lumière d'Earëndil, pour Sam, ce fut une petite boîte contenant une graine de mallorn et de la terre de la Lothlórien, pour Boromir, ce fut une ceinture d'or, à Merry et Pippin, elle offrit des petites ceintures d'argent dont la boucle étais une fleur d'or. A Legolas elle donna un arc des Galadhrim Et à Aragorn elle offrit un fourreau fait spécialement pour Andúril et une grande pierre vert claire montée dans une broche d'argent en forme d'aigle aux ailes déployées. Quand elle arriva devant moi, elle voulu m'offrir des dagues elfiques mais devant le regard horrifié des Galadhrim et de Celeborn, je déclinais. Je sortis mes lames avec respect et les montra aux elfes :

-Ces dagues m'ont été offerte par le Vala Ossë, le carquois, par Oromë, ma cotte de maille en mithril par Aulë, ma louve par Tulkas, mon cheval par Manwë, ma ceinture par Ulmo et ma cape par Lórien. Quant à mon arc et mes épées, ils m'ont suivi fidèlement durant tout le temps qu'a duré la guerre contre Morgoth, et je prie Eru qu'ils continuent encore longtemps.

Tous comprirent pourquoi je tenais tant à ses armes et donc que je n'avais pas besoin d'en avoir d'autres. Je rentrai mes dagues et sortis mes épées, et les tendis à Celeborn qui fut surpris d'une telle disparité, d'un côté un sabre avec une lame légèrement courbe et de l'autre une fine épée à lame droite. Il prit French Kiss d'une main et trancha l'air avec, le sifflement obtenu ressembla plus à un cri de joie qu'à autre chose. C'était une lame légère et pourtant très solide. Il y avait un écriture étrange sur la lame avec des entrelacs et des arabesques. Il me rendit mon sabre et pris Mort Subite. Il fut surpris, car les deux épées quoique différentes, avaient le même poids. Quand il fendit l'air avec, il n'y eut aucun son, comme si l'épée ne voulait pas qu'on l'entende.

Celeborn me rendit mon épée et je lui montrais mon arc. Il était usé et c'était une véritable antiquité, car c'était mon arc quand je faisais du tir à l'arc il y a plus de 10000 ans. Il le banda et dans le silence, l'arc cassa net sous mes yeux horrifiés. Je me mis à gueuler :

-AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Mon arc,

mon arc. Mon beau petit arc. Il est tout cassééééééééé….. Ben tant pis. Adieu mon arc.

Celeborn était vraiment désolé de sa bévue et pour se faire pardonner, il me donna donc un arc des Galadhrim et je sais que c'est con, mais j'enterrais mon ancien arc avec respect car c'est comme si j'avais perdu un ami. Ensuite je m'entraînais au tir à l'arc pour m'habituer à mon nouvel arc. J'ose le dire, mais celui-là est 10 x mieux que l'ancien.

A suivre.

Et oui, je suis une sentimentale, snirf. J'arrête de remplir la manche de mes larmes, si vous m'envoyer des reviews.