Disclamer : Tout appartient à Tolkien, sauf ce qui appartient à moi.

Autre chose, Je suis la maîtresse du monde, vous devez tous et toutes m'obéir MOUAHAHAHAHAHA. Et je sais que je vais vous blesser, mais ma patrie se trouve dans l'ancien monde, je suis française. Désolé. Mais merci pour vos reviews, ça ma fait ben plaisirrrr. Alors j'espère que ce dernier chapitre sur les deux tours vous plaira.

La bataille de Fort le Cor chapitre 25

En attendant que revienne Aragorn, et Gimli, je regardais autour de moi, ne voyant que des enfants et des vieillards armés pour une bataille qu'ils savaient perdu d'avance. Je vis un jeune garçon près de moi, 15 ans et il ne savait pas utiliser une épée. La honte. Je me levai et allai le voir. Je lui dis d'une voix douce :

-Tu tiens mal ton épée, un seul coup, et tu te tordra le poignet, tu lâchera ton arme et tu sera tué.

-Comment savez-vous cela ?

-Cela fait 8000 ans que j'entraîne des soldats. Et la plus part ont à peine 7 ans. Nous commençons à apprendre le maniement des armes au moment où nous apprenons à marcher. Et les soldats sont près à combattre à l'âge de 13 ans et sont totalement autonome à 15 ans.

Pendant 10 mn, je lui donnai des conseils, sur sa façon de tenir son épée, de la manier, de se mouvoir, etc, etc… Mais il ne fut pas le seul à écouter mes conseils, ceux qui étaient autour de nous les écoutaient aussi. Puis le cours s'arrêta quand on entendis des cors. Mais ce n'était pas des cors d'orques, ( ni des cors aux pied) mais des cors elfiques. Je me levais tranquillement quand Aragorn et Legolas passèrent devant moi comme des flèches. Je les suivis et vis devant les escaliers une troupe d'elfes armés et en armures se ranger dans un ordre parfait. Ils étaient commandé par Haldir qui approchait doucement de Théoden qui murmura émerveiller :

-Comment est-ce possible ?

Haldir répondit d'un ton hautain et orgueilleux ( comme d'habitude ):

-J'apporte la parole d'Elrond de Foncombe. Autrefois une alliance existait entre les elfes et les hommes. A cette époque nous avons combattu et péris ensemble. Il regarda Aragorn et Legolas qui venaient d'arriver en haut de l'escalier et continue de la même voix : Nous sommes venu honorer cette allégeance.

Aragorn suivi de Legolas se précipita vers Haldir en lui disant :

-Mae govannen, Haldir.

Et il prit l'elfe dans ses bras et le serra fort contre lui en lui tapant le dos. L'elfe resta un instant interdit puis rendit à l'humain son accolade en souriant. Il rajouta :

-Vous êtes plus que bienvenu.

Legolas et Haldir se prirent chacun par les épaules et se saluèrent de cette façon plus… heu…moins directe. L'armée qui était resté sans rien faire fit un demi-tour vers la gauche dans un ensemble parfait. Haldir recommença à parler à Théoden :

-Nous sommes fier de nous battre à nouveau au côté des hommes.

Je regardais tranquillement l'armée quand je reconnu 1 visage familier.

-Galmir ! ! !

Mon cri fit sursauter Haldir qui me salua avec respect. Mon ami leva les yeux vers moi et m'offrit un grand sourire. Je descendis l'escalier comme une flèche et me jeta dans ses bras en criant :

-Galmir, mon frère mais que fait - tu ici ?

Il me répondit doucement :

-Je ne suis pas seul.

Il s'écarta un peu, et je pus voir Amroth et Elwë qui me souriaient aussi heureux que moi de se retrouver. Même si l'heure n'était pas trop aux réjouissances, nous sommes allés sur le chemin de ronde en discutant joyeusement. Nous nous sommes installé à notre place en riant, en chantant les chansons qu'on avaient chanté durant notre périples sur la terre du milieu. Pour s'amuser un peu plus, je leur chantais les chansons qui avaient entraîné la communauté de l'anneau. Les rires allaient bon train, la nuit était noir, et le ciel était obscurci par de gros nuages noirs. On entendait les orques arriver et les derniers rires s'éteignirent. Mes frères me regardaient étrangement, ils sentaient que je leur cachais quelque chose à propos de Valinor. Je leur lançais un coup d'œil furtif et vit leur tête et compris que cette fois-ci, je ne pourrais pas cacher la renaissance des deux arbres. Je leur murmurais :

-Je vous dirais tout après le combat. D'accord ?

-D'accord.

Je me tournais vers Legolas et Gimli et leur dis :

-On fait un pari ?

-Oui, lequel ?

-Celui qui tue le moins d'orques apporte la nourriture aux autres et aura un gage dicté par celui qui en aura tué le plus, c'est d'accord ?

-D'accord !

Mes 3 frères éclatèrent de rire, pensant à juste titre que j'avais l'intention d'en tuer le plus possible pour les forcer à faire ce que je voulais. En face de nous, on pouvait voir une coulé de lumière qui représentait toute l'étendu de l'armée orque. J'entendis un enfant retenir un sanglot de peur. L'orage qui couvait éclata et les premières gouttes de pluie nous tombèrent dessus. La communauté me regardait d'un air de dire, " tu peux pas arrêter 5 secondes non ", en voyant leur tête, je me défendis du mieux que je pus :

-Dans la nature, il y a des forces naturelles que l'on nomme orage. ALORS VOUS ME LÂCHEZ AVEC ÇA. Simplement parce que j'avais tenté de trucider Legolas au conseil. Ce que vous pouvez être rancunier. Et puis de toute façon, je n'aurais pas choisi un orage, mais quelque chose de plus violent.

Ils me regardèrent d'un air septique et se retournèrent vers les orques qui étaient enfin arrivé devant les murs de Fort le Cor. Aragorn disait aux elfes de n'avoir aucune pitié avec les orques, car eux n'en n'auront aucune. Les orques se mirent à taper le sol avec leurs lances. En rugissant comme des possédés, ou comme des boucs en pleine saison du rut. Aragorn tira Andúril de son fourreau pendant que les orques s'excitaient encore plus. Les archers se mettaient en position de tir.

Soudain un vieil homme lâcha sa flèche qui alla le planter dans le cou d'une de ces créatures. Je murmurais à Amroth :

-Joli coup.

-C'est de la chance.

-C'est un joli coup quand même pour un vieux débris.

Aragorn hurla :

-Arrêter.

Le vieux avait l'air tout con, surtout quand les orques se lancèrent à l'attaque. Aragorn hurla à nouveau :

-Parez à tirer.

Tous les archers qu'ils soient humains ou elfiques encochèrent une flèche et se préparèrent à tirer. Legolas ajouta tranquillement :

-Leur armure a une faille au cou et sous les bras.

Aragorn cria une dernière fois en baissant le bras :

-Décochez les flèches !

Les premières flèches partirent et j'eus la joie de voir que leur armure ne faisait pas le poids face aux flèches bénies d'Oromë. Elles les traversaient, et les cramaient. Le pied. Mais cette petite avance ne dura pas, car les premiers elfes tombèrent sous les traits des orques. Nous tirions flèches sur flèches, quand du coin de l'œil je vis Galmir tombé, terrassé par une flèche en pleine poitrine.

Et là je devins folle de rage et de douleur. Je laissai tomber mon arc par terre, une lueur éclatante m'entoura brusquement, mes yeux devinrent noirs comme du charbon, Je n'entendis même pas Aragorn hurler de me calmer. Un vent d'une violence inouïe se leva, balayant le champ de bataille, faisant s'enrouler les nuages d'orage qui devinrent vite des nuages d'ouragan. Les premiers orques qui se trouvaient sur les échelles furent frapper par la foudre qui terrassait aussi ceux qui tenaient les échelles. La puissance du vent augmenta brusquement et fit s'envoler les échelles des orques comme des fétus de paille. Les larmes coulaient le long de mes joues sans discontinuer, à ce stade, personne ne pouvait plus m'arrêter, même pas Gandalf. Amroth et Elwë, craignant mes accès de colère, demandèrent à tout le monde de descendre immédiatement. Haldir se tourna vers eux et demanda d'un ton agressif et hautain :

-Et pourquoi devrions nous fuir alors que la bataille vient juste de commencer ?

-Vous ne l'avez jamais vu folle de rage. Nous si, et on a pu voir les dégâts qu'elle est capable de faire. Il lui sera plus facile de se battre si nous ne sommes pas entre ses pieds, et nous ne risquerons par d'être blesser par elle. On la gêne plus qu'autre chose.

Aragorn me regarda, tenta une dernière fois de me calmer. Il mit sa main sur mon épaule, mais dû la retirer avant d'être cruellement brûler. Il recula précipitamment et accepta. Il ordonna la retraite vers la cour du fort. Il n'y avait plus personne. J'allais pouvoir déchaîner la colère, la rage et la haine que je gardais au fond de mon cœur depuis 10 000 ans. Un pauvre orque qui s'était accroché à la muraille d'enceinte tenta d'aller sur le mur et quand il passa la tête de l'autre côté, il ne vis qu'une petite elfe auréolé d'une lumière éblouissante avec des yeux noir comme la nuit. Comme un con, il lâcha la muraille et s'écrasa à terre. Dans le fort, Amroth et Elwë s'occupaient de Galmir qui avait tendance à perdre beaucoup de sang. L'air horrifié des elfes et celui terrorisé des hommes leur firent levé les yeux de leur ouvrage et ils virent la même lumière en beaucoup plus puissant que la dernière fois au pont de Brandevin il y avait 500 ans. Amroth murmura:

-C'est toujours aussi effrayant, mais on dirait qu'elle est beaucoup plus puissante qu'avant. Déjà qu'elle avait pulvérisé une porte, mais maintenant je n'imagine même pas ce qu'elle pourrait détruire. Tu te rappelle la tête des sbires de Morgoth quand tu as été blessé sur Amon súl, Elwë ?

-Si je m'en rappelle, alors là, c'est sûr que je m'en rappelle. Ils étaient terrorisés, il y en a deux qui ont poussé des petits couinements quand elle les a écrasé contre le mur d'Amon súl. On ne peut pas dire qu'elle soit délicate avec ses ennemis. Tu imagine si Morgoth avait réussi à la battre et à la posséder.

-Si Morgoth avait réussi son coup, nous ne serions pas là en se moment. Mais en tout cas, tu as raison, elle n'est vraiment pas délicate avec ses ennemis. Souffla Galmir en réprimant une grimace de douleur. Les deux elfes lui demandèrent :

-Ne parle pas Galmir, tu te fatigues pour rien. Et, si tu venais à mourir, elle nous tuerait pour ne pas t'avoir sauver. Tu sais comment elle peut être quand elle est en colère. Alors repose toi.

Les elfes et les hommes écoutèrent horrifiés le récit des 3 elfes qui ajoutaient une facette très dangereuse et horrifiante à ma personnalité. Elwë et Amroth cessèrent de parler quand ils entendirent un terrible craquement qui retentit de l'autre côté de la muraille. Ils se demandaient se qu'ils se passaient dehors.

Pendant que mes 3 frères se remémoraient certaines partie de notre voyage, moi je continuais à augmenter la puissance du vent et à griller des orques qui étaient trop près de la muraille. Un orque se mit à hurler, sa peau se cloquait sous la brûlure des éclairs. Puis soudain il prit feu et s'effondra sur le sol. Les orques reculèrent brutalement, ils tentèrent de s'enfuir. Soudain je fus pris d'une véritable crise de rage, et une puissante onde de choc balaya l'armée des orques et soudain, la terre sous l'armée des orques se mit à trembler et à onduler comme prit de convulsion. D'abord doucement, puis de plus en plus fort faisant tomber les orques qui ne comprenaient plus rien et qui hurlaient de peur. Soudain apparu une petite fissure à une dizaines de mètres du mur d'enceinte. Cette petite fissure commença à s'allonger, passa sous les orques et se termina 40 mètre plus loin. Un craquement terrifiant retenti qui fut répercuté par les parois de la montagne. Un jeune garçon s'approcha de l'égout et vit les orques ne faire que de tomber. Il appela un de ses amis et lui dit :

-Haleth, viens voir elle est en train de les faire tomber.

Ce ne fut pas Haleth qui vint, mais Aragorn, Legolas, Haldir, et le roi Théoden qui virent l'horreur de ma colère. Ils virent la cause du craquement retentissant, la fissure venait de s'ouvrir brusquement les orques au dessus d'elle tombèrent dedans en hurlant et de peur et de douleur. De gigantesques flammes jaillissaient du gouffre. Le vent augmenta en allant crescendo, les orques qui n'étaient pas tombés dans la fosse étaient poussé par le vent, sans pouvoir se retenir à quoique se soit vers elle et ceux qui étaient trop près se tordaient de douleur et mouraient brûler par la chaleur infernale des flammes. Tous pouvaient entendre les hurlements de douleurs des orques, et la terreur n'eut pas de borne. Gimli hurla de me calmer, ainsi que Boromir, Legolas et Aragorn, mais la seule chose qu'il y eut, fut une augmentation de la puissance du vent qui commençait à arracher des morceaux de la paroi qui tombait sur l'armée moribonde. Les témoins de ce drame purent voir un orque affolé courir vers la muraille et se cacher de ma colère dans l'égout, suppliant des yeux les témoins de ne pas le trahir. Mais les hommes et les elfes furent projeté loin dans la cour par une force terriblement puissante et ils virent le petit ruisseau devenir une véritable lame de fond qui envoya le dernier orque brûler en enfer dans des sanglots de terreur. Il n'y eut bientôt plus un bruit à part le vent qui commençait à se calmer, et un autre craquement qui prouvait à tous que le gouffre venait de se refermer.

Je me retournai brutalement, sauta à terre et me précipita vers Galmir. Tous reculèrent rapidement terrifié par ma puissance. Mon frère était par terre entouré d'une mare de sang. Je posais doucement mes mains sur son corps et chassa mes sentiments agressifs, ne laissant que mes bons souvenirs me revenir en mémoire. Une douce lueur commença à m'auréoler, moins puissante que l'autre. Elle prouvait ainsi que les pouvoirs que j'utilisais, étaient totalement différents. Je commençais à le soigner quand j'entendis la voix de Mandos qui me disait :

-Que donnerais-tu pour qu'il vive ?

-Tout, mes pouvoirs, mon immortalité et même ma vie si ça peut le sauver, sans aucune hésitation. C'est mon frère, peut-être pas de sang, mais il l'est de cœur.

Je vis Mandos accompagné de Manwë, tout les deux me souriaient :

-Tu fais toujours la différence entre tes amis et tes ennemis, n'est – ce pas ? Nous n'avons jamais pu te remercier pour le présent que tu nous a fait. Alors on va le faire. Premièrement, le mal ne pourra plus jamais avoir de prise sur toi et deuxièmement, tu le saura plus tard, mais sache que maintenant tu ne pourras plus soigner les hommes. Tu viens de faire ton choix. Et maintenant ouvre les yeux et vois ce que tu as accompli.

Ils disparurent tous les deux avec une petit rire et j'ouvris doucement les yeux. Et je vis Galmir sans aucune trace de blessures qui me regardait en souriant largement. Je le pris par les épaules, l'embrassa sur les joues et sur le front, mes larmes coulaient librement sur mes joues et mouillaient les beaux cheveux de Galmir qui se mit à pleurer aussi. Nos larmes se mêlaient ensemble. Après 10 minutes de pleurs, j'étais tellement heureuse de le savoir vivant et en bonne santé que je me mis à le serrer très fort, très très fort, très très très fort contre moi, tellement fort qu'il devenait d'une belle couleur violette. Il me tapa sur l'épaule et me demanda d'un voix étouffé :

-May, si tu m'as sauvé, ce n'est pas pour me tuer maintenant. Alors s'il te plaît laisse moi respirer.

-Hein ! ?

Je le lâchais un peu et vis sa tête. Je le relâchai complètement, me relevai et l'aidai à faire de même sous les hurlements de joie des Elfes et des hommes. Je me sentis soudain quitter terre et fut projeter dans les air par des guerriers ravis de la tournure de la bataille. Il n' y avait eu que peu de mort, mais énormément de blessés dont 4 étaient de mon fait. Aragorn avait l'épaule démise, Haldir était complètement sonné après s'être écrasé sur 4 elfes qui avaient quand même bien amorti la violence du choc, Théoden avait une bosse grosse comme un œuf d'autruche après avoir percuté 3 hommes, 2 elfes et un mur. Et quant à Legolas, il fut le plus gravement touché, car son arrière train heurta de plein fouet une flèche qui traînait dans la coin, et il hurla de douleur sous les hurlements de rire de Gimli.

Je m'approchais doucement d'Aragorn et tenta de le soigner, mais en vain. Je venais de faire mon choix, à partir de maintenant, je ne pouvais que soigner les elfes. Je ne pouvais plus rien pour les hommes et j'en étais désolé. Je l'expliquai à Aragorn qui comprit et demanda à Haldir s'il voulait bien l'aider. Le pauvre ne voyait pas très clair et je le soignais rapidement, ainsi que tous les elfes qui étaient blessés. Le dernier à être soigné fut Legolas, car il m'avait demander de soigner les autres d'abord. J'avais accepté mais de mauvaise grâce et j'étais partis soigner les autres entre grognant qu'il risquait de se vider de son sang. Enfin, je demandais aux elfes de faire une barrière entre nous et les autres pour que Gimli arrête de se foutre de ce pauvre derrière elfique. Sachant que j'avais moi-même une envie folle d'éclater de rire mais pour ne pas heurter la fierté déjà passablement ébréchée de Legolas, je m'abstins de tous rire et de tous commentaire. Je lui retirai la flèche et le soignai très rapidement. 3 minutes plus tard, il put se lever sans problème. Les elfes aidèrent les hommes avec tous les pouvoirs qu'ils avaient.

Je regardais les elfes soigner les hommes, quand je vis Gimli continuer à se foutre de la gueule de Legolas. J'eus une expression de pure sadisme sur mon visage qui effraya les autres pendant quelques secondes, et je m'approchais d'eux avec un air innocent qui ne trompa personne en jouant avec mes doigts. Je demandai à Legolas :

-Pour le pari, tu as tué combien d'orques ?

-5

-Bien et toi Gimli, combien en as – tu tué ?

-Heu….1.

-Etant donné que j'ai du en tuer bien 9000, j'ai gagné le pari. C'était quoi déjà les termes ? A oui, le perdant, donc toi Gimli doit nourrir les autres et tu as un gage. Voyons que vais-je te demander ?

Je réfléchissais tranquillement devant les regards hilares de tous les guerriers présents. Aragorn et Boromir s'esclaffaient en voyant la tête toute décomposé du pauvre nain qui regrettait d'avoir accepté ce pari, mais il ne pensait pas que la bataille se terminerai ainsi. Je m'étais assise sur une marche quand je vis un homme embrasser un elfe sur la joue pour le remercier. Je sauta sur mes pieds en criant :

-Euréka, j'ai trouvé. Gimli fils de Gloïn, ton gage sera de courir après tous les elfes de Fort le cor, de les embrasser sur la joue et en criant à chaque fois que les elfes sont les meilleurs. Et tu n'as pas intérêt à dire non. Sachant bien sûr que les elfes ne sont absolument pas d'accord et qu'ils pourront aller où bon leur semble dans le gouffre de Helm.

Là s'en fut trop pour Aragorn, Boromir, Théoden et les rohirrims qui hurlaient de rire en se tordant par terre. La plupart des elfes avaient mystérieusement disparus laissant le pauvre nain seul au milieu des hommes qui n'arrivaient pas à s'arrêter de rire. Il me regarda méchamment, mais je lui fis un beau petit sourire en lui disant :

-Si tu arrive à le faire, je te donnerai du caramel de mallorn.

Je savais qu'il adorait ça, qu'il serait capable de faire n'importe quoi pour en avoir. Il me confia ses armes et parti à la chasse aux elfes. Peu après, on entendit sa voix bourru crier : " LES ELFES SONT LES MEILLEURS ". Legolas arriva légèrement furieux contre moi, essuyant sa joue d'un air dégoûté, il me vit toujours assise sur les marches, nettoyant avec beaucoup de minutie et de soin les armes du nain leur rendant ainsi toute leur ancienne beauté. J'avais un peu de mal avec les gravures sur les lames des haches. Je leurs rendais leur brillant d'autrefois. On continuait d'entendre Gimli crier sa phrase et de temps en temps, un elfe réapparaissait en se frottant l'air dégoûté sa joue. A chaque fois, je ne pouvais m'empêcher de rire. Enfin après 4 heures de course poursuite dans tout Fort le cor, Haldir fut embrassé sur la joue. Il vint me voir encore plus furieux que Legolas. Galmir, Amroth et Elwë se prêtèrent au jeu et laissèrent Gimli les embrasser sur la joue. Il ne lui restait plus qu'une seule elfe à embrasser, moi. J'allais pour me laisser faire quand j'entendis un bruit bizarre de l'autre côté. Je voulu me relever, mais tous les elfes se jetèrent sur moi et m'empêchèrent de bouger le temps que Gimli applique un bizous mouillé, baveux, gluant et piquant sur la joue. Je me frotta la joue en lâchant un grand :

-Beurk. T'as réussi, Tu trouvera le caramel dans mon sac.

Il parti tout content, mais moi je couru sur le mur d'enceinte et vit une immense forêt là où il n'y avait rien auparavant.

A suivre.

Le retour du roi n'étant pas encore sorti au cinéma, le reste de l'histoire sera calqué sur le livre. Et sachez que j'ai pris un plaisir sadique à inventé ce gage et la blessure plus qu'humiliante de Legolas. Mouahahahahahaha. Si ça vous a plût, dite le en reviews. A