Disclamer : Presque tous les persos appartiennent à Tolkien. Le peu qui reste est à moi.
C'est le premier épisode du retour du roi.
Une baston entre istari ? chapitre 26
Du haut des remparts, je regardais sidérée cette forêt venue de nulle part. J'appelais Aragorn et les autres :
-Aragorn, Boromir, Legolas, Gimli venez voir vite.
-Que se passe – t – il Ainatal ? Qu'avez vous vu ?
Ils se mirent près de moi et je leur répliquais :
-Regardez là-bas !
Je tendais le doigt vers la forêt pour leur montrer le prodige. Une forêt qui apparaît comme ça d'un coup, on voit pas ça tous les jours.
-C'est moi, ou il y a une forêt qui n'était pas là il y a 10 mn.
Tous regardèrent les yeux écarquillés de stupeur. Enfin Galmir rompit le silence qui s'était installé :
-Je te le confirme, c'est pas toi, il y a bien une forêt.
-Mais c'est dingue. D'où vient cette forêt ? Quelqu'un peut me dire comment est apparu cette forêt, parce que là, je commence à baliser grave.
-Tu quoi ? Interrogea Amroth, qui ne comprenait pas ce que je venais de dire. Comme tous les autres en fait.
-Je balise, j'ai peur quoi !
-Ah ! Tu as un drôle de vocabulaire Ainatal. Me dit Aragorn.
-Wi, je sais. Et vous n'avez rien entendu, car si je me mettais à parler comme je le faisais d'habitude chez moi, vous ne comprendriez pas un mot. Bon c'est pas tout ça, mais il faudrait quand même penser aux autres et les prévenir que la bataille du gouffre est terminé et que nous avons gagné. Je sais que c'est amusant de les laisser poireauté mais quand même, il faut être un peu humain. Bon, qui y va ? Personne. D'accord, j'y vais. Mais ce sera à vos risques et périls.
Je descendis les marches tranquillement papotant avec des guerriers à droite et à gauche. Je m'arrêta après 5 mn d'une marche tranquille devant la porte qui fermait les cavernes et toqua plusieurs fois. Une voix tremblante que j'identifia comme celle d'Eowyn retenti étouffer par l'épaisseur du bois :
-Qui est là ?
Question idiote, un orque n'allait pas frapper à la porte, attendre qu'on l'ouvre et demander gentiment s'il pouvait exterminer toute la population. Je poussais un soupir excéder et devant les hommes et les elfes qui bientôt eurent un mal fou à ne pas hurler de rire, je répliquai :
-C'est Sauron, je me suis mis le doigt dans l'œil et ça fait vachement mal.
-Hein ? ? ! !
-Deux !
-A trois on saute. répliqua Elwë totalement mort de rire.
La porte s'ouvrit tout doucement et Eowyn en sortie courageusement. Elle nous vit et vit Théoden vivant, sans une seule blessure. Elle ne comprenait pas. Les orques étaient plus de 10 000 et nous à peine 900 et pourtant on les avaient écrasés. Elle abandonna toute question et dit aux autres :
-Il n'y a plus de danger, vous pouvez sortir à l'air libre.
Tous sortirent, d'abord timidement puis quand certaines reconnaissèrent leurs époux, leur père ou leur frères et se mirent à courir et à se jeter dans leur bras. J'avançais rapidement vers le jeune garçon qui m'intriguait tant quant un autre apparu d'un coup et se mit devant moi. C'était un binoclard (je n'ai rien contre eux, car moi-même je fais partie de cette grande et glorieuse famille) avec des cheveux bruns mal coiffés, des yeux verts, une cicatrice en forme d'éclair sur le front et il tenait dans son bec un fromage…heu….désolé je viens de me tromper de texte. Donc je disais il tenait dans sa main un bout de bois. Je le regardais interloquée et lui demanda :
-Mais qui es – tu et comment as – tu fait pour apparaître comme cela ?
-Je m'appelle Harry Potter.
-Quoi ? Tu t'es gouré d'histoire sale mioche. Là on est dans le seigneur des anneaux. Alors tu vas me faire le plaisir de dégager et vite fait ou j't'en colle une. HEY ! ! ! A tous ceux et toutes celles qui écrivent des fics sur Harry Potter, veuillez ne pas laissez traîner vos persos. Merci. T'es encore là toi ! Mais dégage ou j't'éclate, Morbac.
Le gnome à lunette disparu avec un petit bruit d'explosion et lâcha un petit nuage de fumée. Putain, si je chope ce sale morveux, je lui faire passer l'envie de fumer moi. Bon retournons à l'autre môme. Il est où déjà. Ah, le voilà. Je me mis à le regarder sous toutes les coutures. Il ne comprenait pas pourquoi je lui tournais autour comme un vautour autour d'une carcasse. Les autres non plus ne comprenaient pas ma fascination pour cet enfant. Soudain je me souvins. Mel. Mel était né avec des oreilles rondes et elles étaient devenus pointues à l'âge de 20 ans. Mais depuis sa naissance, il avait toujours eu des oreilles hyper sensibles comme nous tous. Donc j'avais raison, cet enfant était bien un enfant de mon peuple. Je lui demandais doucement :
-Bonjour, je m'appelle Ainatal. Et toi comment – t – appelles tu ?
-Je me nomme Laylë.
-Et quel âge as-tu Laylë ?
-J'ai 7 ans mamzelle.
-As - tu connu tes parents ?
-Oui.
-Et comment s'appelait ton père ?
-Il s'appelait Ellianar.
-Et ta mère ?
-Papa m'a demandé de ne jamais dire le nom de ma maman.
-D'accord Laylë fils d'Ellianar. Tu connais l'origine de ton peuple ?
-Oui, je suis un humain.
-Non mon petit, tu n'en es pas un, tu es un elfe. Par n'importe quelle race d'elfe, tu fait partie des elfes de Phoenix appelé entre eux elfes du renouveau. Ce sont des elfes extrèmement puissants.
-C'est vrai. Je…je suis un elfe. Mais mes oreilles elle ne sont pas pointues.
-Elles le deviendront quand tu atteindra l'âge de 20 ans.
-Mais et les maladies, je les ai toutes eues.
-Oui, tu les a toutes eues, mais tu n'en es pas mort, tu es devenu plus fort, tu y résiste plus facilement. Tu attrape toutes les maladies, mais tu n'en moura jamais même si tu attrapais la peste, tu aurais un peu de fièvre, mais guère plus.
-Mais ce n'est pas possible, cette chose ne peut pas être un elfe. S'insurgea la femme que j'avais d'abord cru être sa mère. Je me tournais vers elle, j'avais un regard froid et noir.
-Je ne vous parle pas, et dites que je mentes pendant que vous y êtes. J'ai plus de 10 000 ans, je reconnais quand même les enfants de mon peuple, et sachez qu'allié ou non, je vous ferais payer ce que vous avez fait subir à cet enfant. Mon peuple n'apprécie guère que l'on touche à l'un de leur enfant, même si c'est un métis.
Elle blêmit violemment et voulut s'en aller, mais d'un signe de la main, elle fut attrapé par les elfes. J'avais vraiment envie de baffer c'te pouffe. J'entraînais le petit vers son nouveau peuple qui l'accepta sans problème quand ils apprirent qu'il était un enfant de leur race, puisque c'était un métis. Je le laissai avec eux pour le plus grand plaisir de Laylë et alla rendre les armes toutes propres et brillantes à Gimli qui était en train de partager le caramel avec les membres de la communauté, Haldir et le roi qui en apprenant la façon d'on avait été traité l'enfant accepta que cette femme soit punit selon les règles des elfes de phoenix. Il fut ravi du résultat mais quand il voulut m'embrasser sur la joue, je fis un pas de côté, sous les rires de tous les autres. Il regardait ses armes brillantes, comme si elles venaient d'être forger. Il était vraiment heureux, il me demanda si je voulais pas aller avec lui chez son peuple, mais Legolas s'insurgea et dit que je devais retourner auprès de mon peuple en forêt noire, mais Boromir lança que je devais aller à Minas Tirith et quant à Aragorn, il était tout à fait d'accord avec l'humain. Le roi et Haldir ne soufflaient mot, mais ils riaient sous cape, de voir 4 hommes se battre pour une elfe.
Le soleil se leva enfin et nous vîmes Gandalf qui arriva sur son blanc destrier suivi des hommes d'Eomer. Tous les cavaliers furent acclamés quand ils passèrent par la porte du gouffre. Ils se demandaient ce qu'ils s'étaient passés, car il n'y avait aucune trace des soldats de Saroumane, comme s'ils n'avaient jamais existé. Eomer regarda Gandalf et on compris qu'il commençait à douter du magicien. Je fis un pas en avant, éclairci ma voix par un petit toussotement et raconta à l'Istari et au rohirrim la bataille de Fort le cor et son dénouement tragique pour les orques. Gandalf fronça les sourcils, mais je lui expliqua en Sindarin que les valars m'étaient apparu et qu'ils m'ont révélé que je ne pourrais plus jamais être corrompue par les forces du mal. Gandalf eut l'air vraiment soulagé. Il me serra contre lui avec douceur et me dit doucement :
-Alors je n'ai plus à craindre pour ton âme et pour nous. Qu'est ce que tu cherches sur ma main ?
-Moi, rien. Je cherchais désespérément Narya pour pouvoir le rendre indépendant, mais Gandalf ne l'avait pas au doigt. Et merde. Je trouverais bien un autre moment, de préférence avant que ne tombe l'unique.
-Gandaalf ?
-Oui, Ainatal, que se passe-t-il ?
-D'où viennent ses arbres ? C'est toi qui les à fait apparaître ?
-Non, ce n'est pas moi. Et si tu veux la réponse, il faudra aller en Isengard.
-En Isengard ? ? ! ! S'écrièrent tous. Je lançais avec un petit rire :
-Allez tous en cœur. Et que vas tu faire là bas ? Je ne pense pas que c'est pour le paysage.
-J'ai à discuter avec Saroumane.
-Ouais, une baston entre Istari. Je pari heuuu, du caramel que c'est Gandalf qui gagne. Je reçu une claque à l'arrière de la tête par Gandalf, Boromir, Aragorn, Legolas, Gimli, Haldir, et Théoden. Aïeuh. Pourquoi c'est toujours moi qui récolte les claques ?
-Parce que c'est toujours toi qui sort les âneries.
-Gnagnagna. Viens ma belle.
Elbereth me sauta dessus et se mit à me lécher pendant bien 5 minute nettoyant complètement mon visage. Les retrouvailles avec la communauté furent très joyeuses. Elle lécha tous les membres de la communauté, y compris Gandalf qui eut droit à double ration de câlins car elle ne l'avait pas vu depuis 5 jours. Je lui demandai à nouveau de rester avec Eowyn. Mais cette fois ci, elle refusa obstinément, voulant à tout prix me suivre. Je dus accepté bien que je ne voulais pas car je craignais qu'il ne lui arrive quelque chose.
Le roi Théoden prit la décision de partir avec Gandalf. Il choisit des hommes en pleine forme et possédant des chevaux rapide pour annoncer à tous la grande victoire du gouffre de Helm dans tous le Rohan et aussi convoquer tous les hommes à Edoras. Il prit 20 cavaliers avec Eomer, Gandalf quant à lui emmena Aragorn, Boromir, Legolas, Gimli, Elbereth qui en était ravi et moi. Nous dûmes traverser la forêt toute nouvelle bien que les arbres soient très vieux. Gimli ne voulait pas y aller, et il fallu toute l'amitié de Legolas envers le nain pour le forcer à y aller. Cette forêt ressemblait à celle de Fangorn. Il nous fallu une heure pour traverser ce bois. Elbereth qui d'habitude adorait courir dans les bois, restait collé à mes semelles. Legolas se retourna et lança :
-Les arbres ont des yeux ! !
-Mais bien sûr, et la marmotte elle met le lembas dans la feuille de mallorn (j'ai du adapter mes expressions, car le chocolat et le papier d'alu sont inconnu en terre du milieu et c'est trop con.) Legolas, c'est plus de l'herbe que t'as fumée là, c'est l'arbre complet.
Tout le monde me regarda avec des yeux rond, ne comprenant pas un mot de ce que je venais de dire à part une chose c'est que je ne croyais pas un mot de ce que venait de dire Legolas. Mais je repris d'une voix étonnée :
-Ah ! Désolé Legolas. Je confirme, les arbres ont des yeux.
-Ce ne sont pas des arbres. Me dit Gandalf.
-Tu veux dire que se sont des ENT ! ! !
-Oui.
-Génial, ça fait longtemps que je voulais voir des ents. Chuis trop contente. Tout ce qui me reste à découvrir, c'est ce que vous me cachez tous.
-On ne te cache rien. Dit Aragorn étonné.
-Pas vous, mais Gandalf, Galadriel, Elrond et Celeborn.
-Moi, mais je ne te cache rien ! ! Dit le magicien d'un air innocent qui me donnais envie de le claquer.
-Mais bien sûr. Je rêve toutes les nuits d'un elfe bizarre. Et je le rencontre en Lothlórien, il y a même une peinture de lui à Imladris. Dis moi qui il est. Vous vous obstinez à me cacher cette information.
-Ben heu ! ! ! Je suis désolé, je ne peux rien te dire, tu sauras tout quand le moment viendra. C'est tout ce que j'ai à te dire.
-J'en ai assez Gandalf. Ces rêves ont faillis me tuer dans la Moria. Dans la Lothlórien, je m'évanouie et je me réveille avec une plaie béante dans le dos. Et tout ce que tu as à me dire c'est que tu es désolé !
-Oui. C'est tout ce que j'ai à te dire.
-Et merde.
Je repartis vers mes trois frères qui avaient voulus venir avec moi, en grognant et en pestant contre toutes les races de la terre du milieu. Gandalf repris sa route en riant sous cape. Mais il était quand même désolé pour moi, ces rêves rendaient ma vie cauchemardesque. Il nous fallu 3 jours de chevauché tranquille avant d'arriver devant l'Isengard. Tout était en ruine, les portes étaient détruites, il y avait des tas de décombres. Et sur un des décombres, il y avait deux petites silhouettes qui étaient en train de dormir pour l'une et de fumée pour l'autre. Je faillis hurler de joie en voyant les 2 hobbits qui nous avaient manquer et qui nous faisaient bien rire. Merry discutait poliment avec Théoden et quant à Pippin, il restait allongé de tout son long. Puis Gandalf et le roi partirent retrouver le maître des lieux, Sylvebarbe.
Je pris la décision de leur faire une farce de ma composition. Je quittais sans un bruit la compagnie. Je contournais sans bruit les ruines et me retrouvais derrière les deux hobbits qui ne m'avaient pas entendus, ni vus. Ils pensèrent que j'avais été tuée et ils pleurèrent ma disparition. Les autres ne leur disant pas où j'étais, car ils voulaient aussi voir la tête des hobbits quand je leur tomberais dessus. Je marchais sans faire bouger une seule pierre. Boromir, Legolas, Aragorn et Gimli firent comme s'il n'y avait personne derrière Merry et Pippin. Et ils s'esclaffèrent quand je mis mes mains sur les épaules des deux hobbits qui hurlèrent de peur sous mes rires. Ils se retournèrent et se jetèrent dans mes bras.
-Ainatal, tu es vivante. Tu peux pas savoir comme tes mauvaise blagues nous ont manqué. Comment cela se fait – il que Boromir soit là alors que lorsque nous avons été capturé, il était gravement blessé.
Je me mis à faire un immense sourire qui disais : " c'est moi qui l'ai fait, chuis la meilleur, chuis la plus forte ". Tous éclatèrent de rire. Les deux hobbits, furent vite pardonné par la communauté quand ils nous apportèrent de quoi nous restaurer. Nous leur avons demander de raconter leurs aventures. Après s'être bien restaurer, les hommes, s'allongèrent par terre pour fumer un peu. Moi j'étais trop excité par ce qui allait arriver, j'allais pouvoir voir une baston entre Istari, dommage qu'elle ne ce fait pas dans la boue. Bah ! On peut pas tout avoir. 1 heure plus tard, Gandalf revint avec Théoden pour demander qui voulait aller voir Saroumane. On décida d'y aller tous. Il nous fallu 10 minutes de marches prudente sur des dalles cassées pour arriver devant Ortanc pour assister à l'affrontement entre Saroumane le décoloré et Gandalf le blanc.
Pour la seconde fois, je vis ou plutôt j'entendis la voix de Grima. Je m'exclama :
-Salut le truc, pas trop cramer, j'espère.
La colère du roi se calma rapidement alors qu'il était en train de glousser du surnom stupide que j'avais donné à son ex-conseiller. Gandalf cessa de sourire et ordonna au truc de faire venir son maître. Je vis enfin ce traître, mais je ne le vis pas comme les autres, un vieillard bienveillant un peu comme Gandalf. Je le voyais tel qu'il était au plus profond de lui-même, noir, et hideux. Je ne pus m'empêcher une expression de dégoût.
-Beurk. Mais c'est qu'il est moche, l'affreux.
Gandalf me regarda et me demanda :
-Comment le vois – tu ?
-Petit, noir et moche.
-Petit ?
-Ben oui. Par rapport à Morgy, Morgoth si tu veux, c'est un minus, un nain de jardin. Désolé Gimli. Heuu comment va – t – on pouvoir l'appeler ?
-Truc. Dit rapidement Gimli.
-Non, c'est le surnom de Grima.
-Rourou
-Non, ça ressemble trop à celui de Sauron.
-Qui est ? Demanda Théoden
-Ronron le débile est de retour. Quoique, on peut changer celui de Sauron qui pourrait être ? Le neuneuil. Non, je reste sur ronron le couillon, ça lui va trop bien. Saroumane quand à lui c'est le décoloré.
-Ils sont débiles ces surnom.
-C'est bien pour cela que je l'est ai pris pour deux gros débiles. AHAHAHAH
Je n'arrêtais pas de rire. Mais je cessai de rire quand Saroumane commença à me parler. Une voix douce et envoutante, mais je l'avais vu sous son véritable jour et rien de ce qu'il pouvait me dire me ferai basculer. Mais les autres eurent quand même peur, ils connaissaient ma véritable puissance et craignirent durant le temps que passâ Saroumane à me parler que je ne me mette de son côté. Quand il eut terminé de déblatérer, je lui dit avec un petit sourire:
-Mais c'est le crapeau qui veut avoir la taille de l'Oliphan. Tu me fait rire Saroumane, tu es comme Sauron, un bouffon. Tu n'es pas mon ennemi, tu es l'ennemi des faibles, mon véritable ennemi se nomme Morgoth et non ses esclaves. Et dois - je te rappeler que je l'ai vaincu sur son propre terrain. Et ce n'est pas un pagut dans ton genre qui arrivera là où à échouer Morgoth. Sur ce le décoloré je t'emmerde.
Il était complètement déstabilisé et choqué. Son pouvoir de persuasion fouarait complètement sur moi, sur Gandalf et sur Gimli. Gandalf le chassa de l'ordre et lui brisa son bâton. A ce moment une boule noire fut lancer d'un étage plus haut, frôla la tête de Gandalf et me fonça droit dessus. Je fis un bond puissant en arrière et l'évita mais que de justesse. Pippin se précipita, pris la boule dans les bras et l'amena vers Gandalf qui la lui arracha des mains en comprenant ce que c'était. J'allai voir Gandalf et lui demandai :
-C'est quoi ? Un palantiri.
-Tu en as déjà vu ?
-Non.
-Alors comment sais tu que s'en est un ?
-Je bouquine, je lis quoi ! Chuis pas comme Pippin, j'ai un cerveau et je l'utilise.
Merry et les autres pouffèrent de rire tandis que Pippin faisait la tête. Soudain, un hurlement retenti dans la tour qui fit s'arrêter la future dispute.
-Oh! Je sens qu'il y a un truc qui va avoir des problèmes, de gros problèmes.
-Tu as raison mon amie. Pouffa Gandalf.
Nous sommes partis donc de l'Isengard pour retourner au gouffre de Helm. Nous avancions tranquillement pas trop pressé par le temps. A la fin de la journée, nous discutions paisiblement au coin du feu. Enfin, mon tour de garde s'acheva et j'allais me reposer. Je dormais profondément sans qu'un seul rêve ne trouble mon sommeil quand :
- AAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGG ! ! !
A suivre.
J'espère que vous avez apprécié ce chapitre, envoyer moi toutes vos suggestions par de bôs pitis reviews. A.
