Rating : G , pour l'instant (a)
Genre : Romance / Drama
Summary : Une guerre. Des milliers de morts. Trois survivants. Un esprit détruit. Deux autres qui se rencontrent. ¤Slash¤ Read & Reviews, Please
Disclaimer : dites, chuis vraiment obligée ?? bon… oki… Tout est de JKR… moi, j'ai simplement réussi à aligner trois mots, d'une profonde nullité…. Le texte en anglais qui se promène vers la fin du chapitre est tiré d'une chanson de L'Âme Immortelle : Lake Of Tears.
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Je souhaiterai remercier Lisandra, Paradise Nightwish, et Astronema, pour leur reviews
Ca m'a faite très plaisir
¤ Hopeless ¤
II/ I will stand by your side-C'est qui le monsieur en noir ? Dites petites fleurs, c'est qui, c'est qui ?
-C'est quelqu'un de très bien, Virginia, répondit la Médicomage, à la place des fleurs.
La jeune fille tourna craintivement la tête vers là où l'interpellait la voix.
Elle eu la surprise de voir une femme, tout de blanc vêtue.
-Vous êtes une ange ? Une fleur ?
-Pas du tout, Ginny.
-Qui êtes-vous alors ?
-Tu le sauras bien assez vite.
Des coups énergiques furent soudain donnés à la porte {povre porte… elle a pas mérité ca….}
Sur le seuil paru un homme de noir vêtu.
L'ancien Maître des Potions du Collège Poudlard.
-Je souhaiterai voir Virginia Weasley.
-Elle est ici, Professeur.
-Bien.
A la vue de Severus Snape, Virginia Weasley se recroquevilla sur elle-même.
Quand il s'approcha d'elle, elle le regarda d'un air apeuré.
Il lui tendit la main.
Elle l'a pris.
Longuement, il lui parla.
Doucement, la lueur de peur des yeux de la jeune rousse disparut.
Elle parut tranquillisée..
Puis, souriant sans joie, le professeur de Potions s'éloigna d'elle.
-Mademoiselle ?
-Oui Professeur ?
-Est-ce que vous avez constaté une évolution dans l'état de Miss Weasley ?
-Oui. Tout à l'heure, elle a semblé comprendre ce que je disais. Elle m'a même répondue.
-Elle a donc conscience de ce qui l'entoure. Avez-vous un espoir de guérison ?
-Son seul espoir est d'être mise en confrontation avec la source de son état, comme je l'ai dis à Mr Potter.
A ce nom, les impénétrables iris noires de l'homme émirent un éclat, qui disparut instantanément, mais, qui quelque part, était toujours présent.
La Médicomage, nommée Sandrine Horpurs, le sentit, et sourit.
Elle était réputée pour autant de cœur que d'intelligence, et était très aimée de ses malades. {ben, oué, fo bien que je me jette des fleurs !! même si tlm c que c entierement faux, ptdr}
Snape su qu'elle connaissait son attirance pour le gamin.
Il rougit, et quitta la salle, suivit par le rire léger de la Médicomage.
¤
Un hurlement déchira le silence du Chaudron Baveur.
Des yeux émeraudes, embués de larmes s'écarquillèrent d'horreur.
Le Survivant se leva en sursaut, et s'habilla d'un coup de baguette magique.
Se précipitant à l'hôpital, il franchit en courant la porte de la chambre de celle qu'il considérait encore comme sa sœur.
Il y trouva Snape, d'une pâleur de mort, dans une chambre vide…
Enfin presque.
Sur le sol, disloqué, se trouvait le corps de Sandrine Horpurs.
Tuée avec une violence sans précédent.
Ses yeux exprimaient encore la douleur de son agonie.
Elle était morte, brûlée de l'intérieur.
Sans espoir de survie…
Mais le pire.. le pire était l'absence de Ginny.
Harry Potter, d'une fureur froide, s'empara de Snape, le tenant par le col, essayant d'oublier qu'en temps normal, il se serai laissé submergé par le désir.
-Qu'avez-vous fait de Ginny, assassin ?
A ce moment, les deux directrices de l'hôpital, Paradise Nightwish et Venusa Black pénétrèrent dans la salle, accompagnées d'une jeune fille, en robe blanche, et aux flamboyants cheveux roux.
A la vue de l'infirmière, elles étouffèrent un cri.
-Que c'est t'il passé, Messieurs ???
-Madame… je suis venu ici, suite à un rêve, et… j'ai appelé le professeur Snape. Nous nous sommes précipités à l'hôpital, pour voir ce qui s'offre sous nos yeux.
-Pourquoi teniez-vous votre professeur par le col ?
-Car j'étais effondré par la disparition de Ginny, et je me suis emporté.
-Nous allons la changer de chambre, car il n'est pas nécessaire qu'elle reste ici, avec le cadavre d'Horpurs.
-Bien, Mesdames.
Mais, là où ils voulurent l'installer, elle semblait paniquée.
Elle ne voulait se séparer des deux hommes.
Ils se décidèrent à rester auprès d'elle, car il était hors de question de la laisser seule.
Mais après qu'elle se soit endormie, le regard de Snape transperça le Survivant de part en part, qui se sentit électrisé par ce regard.
-Pourquoi avez-vous menti à Paradise Nightwish ?
Potter détourna le regard.
-Car, si Ginny est en vie, c'est la seule qui importe. Je ne pense pas que vous ayez tué la fille, et de toute façon, j'ai besoin de vous pour que Ginny soit guérie. Après, rien d'autre n'a d'importance.
-Regardez-moi, Potter.
Un regard ténébreux, croisa l'émeraude des iris du jeune homme.
Snape sut alors qu'il y avait autre chose.
-Qu'y a-t'il Potter ?
-Rien, Snape.
-Dites.
-IL N'Y A RIEN !
-Je ne vous crois pas, Potter.
Des larmes perlèrent sur les joues du jeune homme.
Snape s'approcha de lui, et le prit par l'épaule, le secouant.
-Qu'y a-t'il, POTTER !!
Pour toute réponse, Harry posa ses lèvres sur celles de Severus, qui surpris, resta figé.
Puis le jeune homme quitta la pièce en courant, alors que Severus s'effondrai sur le sol, retenant à peine ses larmes.
¤
Pourquoi ai-je fais ca ?
Je m'étais promis de le surveiller..
Oh, ses lèvres sur les miennes…
Il me rend fou, je crois, cet homme
Mais je crois que ce n'est pas la peine d'espérer…
Il n'a pas répondu à mon baiser…
Ca n'est plus la peine…
Je ne saurai jamais comment le regarder en face
Je ne pourrai plus jamais vivre
Comme jamais je ne serai libre
De ses yeux, de son visage
Comment faire, dans l'orage
Si je suis loin de lui, si loin
Je ne me savais capable d'aimer à ce pont.
Ginny, je ferai tout pour te sauver
Mais une fois ta guérison assurée
J'espère que tu ne pleureras pas
Car je ne verrai pas
Le lendemain de ton retour
Car partagé n'est pas mon amour
Et je ne saurai vivre sans lui.
Ma vie déjà s'enfuit.
Prostré par terre, il déversait, déversait tout le sel de son corps
La lueur d'espoir qui avait toujours régnée dans ses yeux vides disparaissait
Tout devenait terne, tout devenait noir.
Il aimait cet homme.
Il pleurait, il pleurait.
Rien ne semblait pouvoir l'arrêter
Submergé par le désespoir
Le cœur à présent si noir
You took my doubts, you took my fears
(tu t'es emparé de mes doutes, de mes peurs)
You led me through this lake of tears
(Tu m'a guidé dans ce lac de larmes)
So close we are, but still apart
(Si proches que nous soyons, nous sommes séparés)
Not in mine, but in your heart
(Pas dans mon cœur, mais dans le tien)
Puis, passé la fin de nuit, il se releva
Il se reprit en main.
Il retourna dans son Collège, chercher dans la bibliothèque, un livre.
LE livre
Qui expliquerai comment sauver Virginia.
Car Potter tenait absolument à la voir guérir vite.
Pour pouvoir mourir enfin
Enfin libéré.
Enfin sauvé de cet amour qui le détruisait.
Il le trouva.
Le livre d'un auteur peu connu, mais terriblement puissant.
Probablement le meilleur guérisseur qui ai jamais existé.
Et lisant, avidement le livre, il ne s'aperçut que sa tête s'effondrait sur le livre.
-Pars ! Tu dois partir !!
Une jeune médicomage, aux cheveux d'une couleur unique.
Le regard affolée, penchée sur une jeune fille aux cheveux de feu.
-Cours chez Paradise Nightwish !
-Madame…
-Tu trouveras le chemin !! VAS-Y !!
Une personne qui entre dans la salle.
Vêtue de noir.
Levant sa baguette
-Où est la gamine ?
-Vous ne l'aurez jamais.
-Petite idiote… Tu veux donc mourir
-Vous ne la toucherez pas.
-INCENDIO !
-Nooooooooon !
La jeune femme pâlit, et les bras au ciel, elle commence à scander dans une langue étrangère.
Le feu créé par le sortilège l'entoura, l'enfermant dans un dôme de feu, qui pénètre lentement à l'intérieur d'elle, ne lui laissant aucune chance de survie.
Le feu qui commence à séparer les membres du corps de Sandrine Horpurs.
Le feu qui la tue.
Sur ce, Harry Potter se réveilla en hurlant.
Et pâle comme la mort, il prit le livre, et transplana (les barrières de protection s'étant détruites à la mort de Dumbledore) jusqu'à St Mangouste.
Il bafoua sa résolution de ne plus voir Snape, et se jeta dans la pièce où il s'avait qu'il était.
-Snape… je crois que je sais…
-Qui a essayé d'attenter aux jours de Virginia ?
-Oui… il semblerai que ca soit…
